Pêche, bois, plastique… Il y a moyen, mais il faut aussi en avoir l’ambition, de développer des industries “propres”, dans le respect de l’environnement. Trois exemples récents.

 

 

+ La population est invitée à partager ses observations de dispositifs de concentration de poissons (DCP) dérivants pour aider les chercheurs à quantifier l'ampleur du phénomène d'échouage dans le cadre d'une étude menée par la DRM, l’IRD et l’UPF. (Formulaire d'observation en ligne ainsi que sa version papier).

Partagez vos observations sur les dispositifs de concentration de poissons (Tahiti Infos)

 

+ Le bois est un matériau renouvelable, il consomme peu d’énergie pour sa production et sa transformation industrielle, il contribue à la réduction de l’effet de serre en stockant durablement dans les constructions le gaz carbonique absorbé par la forêt. Par ailleurs, le bois et la forêt contribuent à l’équilibre économique et paysager d’un territoire, du fait de la sylviculture qu’ils génèrent et des activités qui en découlent : scierie, transformation, construction. (…) Aujourd’hui, en Polynésie française, le bois local ne représente qu’un peu plus de 10 % du bois utilisé dans la construction. Il y a donc aussi un véritable intérêt économique à développer cette filière. Le Pays souhaite inverser la tendance.

La filière bois - Objectif : couvrir jusqu’à 50 % des besoins du marché (La Dépêche)


+ Des caisses à obus et des palettes transformées en bac à graisse ou en fosse septique : depuis qu'elle traite 50 à 70 tonnes de déchets plastiques par an, la société de fabrication de cuve Tura ora a réduit l'importation de poudre de plastique d'environ 50%. Une "démarche verte" qui lui permet de réduire son empreinte carbone d'au moins 45 tonnes.

Du plastique réduit en poudre et recyclé par dizaines de tonnes (Tahiti Infos)