AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

AvA-Infos, ouvrons nos regards à la planète

 

        actualités, revues de presse

En savoir plus >>

Acteurs du changement

  • Mise en oeuvre de stratégies de développement durable

    Afin d'assurer un progrès économique, équitable sur le plan social, tout en préservant la base de ressources et l'environnement pour les générations futures... des stratégies sont à mettre en place au niveau du Pays, des communes, des entreprises et à l'échelle internationale, particulièrement au niveau du Pacifique :  Invité dernièrement par l'Assemblée de la Polynésie française, Günter Pauli, un industriel belge, s’inspire de la nature pour développer une économie durable fondée sur le concept d'"Économie bleue" ; La thématique retenue pour la 32ème édition du Congrès des communes n’est autre que la transition écologique ; Innovation et problématiques insulaires d’espace, écologiques, de population... , la communauté French Tech du fenua a signé un accord avec les communautés French tech de Nouvelle-Calédonie, d’Australie et de Nouvelle-Zélande… ; L’Union européenne poursuit la mise en œuvre de son portefeuille de 156 projets, d’une valeur de 663 millions d’euros (env. 79,560 milliards Fcfp), structuré autour des axes de l’alliance bleue-verte avec le Pacifique, qui fixe le cadre de son engagement financier dans la région pour 2021-2027.

  • Réchauffement climatique : Sit-in de mobilisation à Papeete

    L’association Te Motu a organisé un sit-in, samedi 17 juin place Tarahoi, face à "l'urgence de la situation". Elle souhaite redonner du souffle à la mobilisation pour interpeller la population face au réchauffement climatique et interpelle le nouveau gouvernement. Si elle n'a pas regroupé beaucoup de monde, elle a néanmoins permis de "discuter avec la centaine de personnes présentes de ce qu'on peut faire, les sensibiliser, les informer et s'organiser collectivement pour mettre en place des actions", estime le militant écologiste Jason Man, président de l'association. L'occasion de rappeler que les océans ont connu leur mois de mai le plus chaud jamais enregistré.

  • Écologie et militantisme : cinq nouvelles initiatives

    L’association Te Mana O Te Umara annonce l'organisation, les 22, 23 et 24 mai prochains, d'un nouveau tour de l’île à pied avec une brouette pour attirer l’attention de la population sur l’urgence du changement climatique ; Avec son projet The Cool Life, Clara Barth veut relier Moorea à Marseille en voilier pour en ramener des solutions écologiquement inspirantes ; La Makatea Vertical Adventure est un rendez-vous sportif et écotouristique, du 19 au 23 juin pour faire découvrir l’île à travers des activités proches de la nature tout en sensibilisant le public à la cause environnementale ; Dive For Pehu est un nouveau mouvement dont l'objectif est de dépolluer le lagon et de sensibiliser le public à la cause environnementale. 

  • Revue de presse du 20 au 26 mars 2023

    Zooms sur l'engagement associatif local : Coral Gardeners , l'association Tamarii no Nuuroa,les associations Tamari’i no te Moana et Tamari’i Pointe des Pêcheurs, l’association Brigade Verte, l'association Manu SOP ; Crise mondiale de l'eau, la situation au fenua ; une technologie pour mesurer l'impact des activités humaines sur la vie sous-marine de nos lagons ; de l’hydrogène vert… produit grâce à un procédé d’électrolyse de l’eau et à partir d’énergies renouvelables ; production électrique solaire: création de modèles de prévision d'ensoleillement fonctionnant grâce à l'intelligence artificielle ; Alerte climatique: parution du nouveau rapport de synthèse du GIEC ; Earth Hour" 2023 (60 minutes pour la planète)

  • Protection de l’environnement : Zoom sur « Ceux qui font »

    Sensibiliser la populationaux enjeux écologiques : Ciné conférence avec la projection du documentaire de Maud Fontenoy ‘Un océan de solutions’ à l’Université de la Polynésie française et à la Maison de la culture ; Des ateliers de sensibilisation à la protection des écosystèmes marins avec l'association Tamarii Pointe des Pêcheurs ; Observation des pontes de coraux en Polynésie avec l'association Tama No Te Tairoto.

  • Alternatives écodurables: ça bouge au fenua

    Le haut-commissariat a annoncé, ce vendredi 17 février, que les entrepreneurs du fenua qui valorisent le développement durable peuvent désormais prétendre à la subvention “fonds vert” ;  Allianz Polynésie va financer les actions du Fare Natura pour la réinsertion professionnelle des jeunes volontaires en services civiques ; zoom sur la fondation Anāvai, plateforme de financement participatif ; Deux projets d'éco-villages, à Moorea et à Tubuai ; À Raiatea, des élèves de l’école primaire de Puohine ont partagé leurs connaissances sur leur Aire marine éducative (AME) et sa biodiversité avec une classe du collège d'Uturoa.

  • Polluer est facile. Dépolluer l'est moins... mieux vaut éviter la première option

    Echoué il y a deux ans à Arutua, le navire chinois Shen Gang Shun 1 a été démantelé. L'opération vient de s'achever. 700 tonnes d’acier découpés, un chantier qui au départ devait durer cinq semaines et qui s’est étalé sur six mois pour un coût de 362 millions… sans compter la remise en état du site d’échouement avec notamment nettoyage du site et des traces éventuelles d’hydrocarbures ; À Tahiti, la Brigade verte a lancé une action de dépollution sur le littoral de Faa'a: 1/2 tonnes de déchets ramassés... Elle organise aussi plusieurs actions grand public afin de sensibiliser le jeunesse à la protection de l’environnement ; Les fonds marins de Faa’a nettoyés en grande partie grâce aux 70 bénévoles qui ont participé au Tefana water day: 4,6 tonnes de déchets récupérés (!) ; L'association Hoturea Nui propose plusieurs exemples de récupération et de recyclage des déchets.

  • Énième action de ramassage des déchets à l’embouchure de la vallée de Tipaerui

    Malgré des signalements récurrents, la situation n’évolue pas sur ce site comme à d’autres endroits du domaine public. À l’occasion du World Cleanup day et de la Semaine européenne du développement durable, une action de l’association Project Rescue Ocean pour une prise de conscience collective.

  • Les associations sur le front de l'environnement

    Les associations jouent un rôle non négligeable dans la protection de l'environnement. En Polynésie française, réparties dans les cinq archipels, elles peuvent être lanceuses d'alerte, contribuer à la sensibilisation du public, ou encore engager des actions de terrain... : Le 17 septembre, la Fédération des Associations de Protection de l'Environnement - Te Ora Naho, qui en regroupe une quarantaine, a organisé une soirée-concert pour la 2ème édition des Trophées du fenua durable ; Le collectif "poihere te natura" entretetient le sentier de randonnée menant au sommet du mont Aorai ; L'association La Fresque du climat,propose des ateliers ludiques qui permettent de saisir l'urgence climatique ; Une classe de terminale du lycée Lamennais ramasse des détritus avec l'association Rescue Ocean ;Quatre associations reçoivent des subventions en fonctionnement pour un montant total de 2 213 350 Fcfp

  • Blue Climate Summit : mieux protéger l'océan et le climat

    Cet événement mondial qu'est le Blue Climate Summit a été organisé en Polynésie française sur quatre îles (Tahiti, Moorea, Raiatea, Bora Bora) et à bord du navire de croisière Paul Gauguin. Durant la deuxième quinzaine du mois de mai il a réuni environ 250 scientifiques, chercheurs, décideurs, investisseurs, représentants de communautés et écologistes. Mais que pouvons-nous réellement espérer de ce sommet ? Il reviendra aux analystes et aux historiens d’en tirer une synthèse et de décrypter les consensus ou les incompréhensions qui s’y sont exprimés. Dans l’attente d’un tel travail, AvA-Infos propose une revue de presse des nombreux articles qui ont été écrits sur le sujet dans les médias locaux. Des pistes de réflexion (écologie, économie, société, culture...) sont à y découvrir.

  • Recyclage : plusieurs modes d’emplois

    Il est important de penser à économiser les ressources car la raréfaction des matières premières faisant ravage, on doit assurer une production constante mais écologique. Le recyclage et le développement durable vont donc de pair. Cela peut se décliner de plusieurs manières. Trois exemples nous en sont donnés dans l’actualité : un trimaran entièrement recyclé de passage à Tahiti ; le premier biovateur, ou biocomposteur, inauguré à Papeari, permettant de produire un engrais bio ; la mouche “soldat noir” comme activateur de recyclage organique de déchets fait l'objet d'une thèse de doctorat.

  • Sept clés pour un fenua durable

    On retrouvera dans cette revue de presse sept événements passés présents ou à venir visant à renforcer la dynamique éco-durable du fenua : la parution de la deuxième édition du magazine annuel de la FAPE « 50 solutions pour un Fenua Durable » ; l’économie circulaire en action avec l'atelier collaboratif de réparation Tātā'i ; une exposition baptisée « Insolite corail » à la CCISM ; le retour du Village de l’alimentation et de l’innovation (VAI) ; un séminaire d’intelligence collective avec l’Adie Polynésie ; le séminaire des porteurs de projet du dispositif Mouv’outremer ; la publication du rapport d'impact de Coral Gardeners.

  • "L'économie bleue" ou circulaire, un concept à développer

    II est possible de révolutionner notre consommation et nos moyens de productiontout en protégeant la nature. C'est la base du concept d'"économie bleue", ou économie circulaire qu'est venu promouvoir l'auteur et industriel belge Günter Pauli, invité par la CCISM. Des idées en partie appliquées aux Gambier où l'on projette de désaliniser l’eau de mer grâce à l’énergie du soleil... Un concept qu'il serait bien de reprendre pour le Schéma d’aménagement général (Sage) du Pays. L’agence 'Ōpua d’aménagement et de développement durable des territoires était l'invitée d'un séminaire pour favoriser le rassemblement des institutions du Pays, des communes et leurs groupements, de l’Etat, ses établissements publics et financiers.

  • Matari'i i ni'a: quand culture rime avec nature

    Le 20 novembre on a célébré Matari'i i ni'a, célébration ancestrale du changement de saison en lien avec le mouvement de la constellation des Pléiades dans le ciel. L'association Haururu a particulièrement contribué depuis une vingtaine d’années à remettre en valeur ce rendez-vous annuel traditionnel accordé au calendrier tropical naturel des îles polynésiennes. Au fil des ans, elle a inspiré d’autres associations culturelles qui le célèbrent aussi à nouveau. À Tahiti, mais aussi à Moorea, Raiatea et Maupiti.

  • La Polynésie représentée au Congrès mondial de la nature

     Organisé tous les 4 ans par l'UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature), ce congrès regroupe les acteurs qui œuvrent pour la protection de la biodiversité ainsi que les leaders scientifiques, politiques, économiques, associatifs... du monde entier, pour tenter de mettre fin à l'alarmant déclin de la biodiversité de notre planète. Une délégation polynésienne composée de ministres, de techniciens mais aussi de représentants de la société civile – dont la FAPE – est présente à Marseille pour y participer. Au programme de leurs présentations : concept d’aire marine gérée pour la ZEE ; nurseries coralliennes bio-inspirées ; financement des solutions fondées sur la nature pour l’adaptation au changement climatique dans le Pacifique ; rahui côtier de Ua huka ; grande aire marine protégée des Marquises,Te tai nui a hau.

  • Ils agissent pour un développement plus durable du fenua

    Une plateforme incitant les commerçants à proposer leurs invendus alimentaires et permettant aux particuliers d’acheter à petits prix ; le portrait d’un militant écologiste qui, pendant un mois, a composé ses repas à partir de produits exclusivement locaux ; un projet de ferme agri-solaire à Huahine ; Tata’i, des ateliers collaboratifs de réparation, une idée géniale qui permet de redonner vie à des appareils qui ne fonctionnent plus ; une entreprise qui récupère les cartouches d’imprimante et les intégre dans un circuit d’économie circulaire ; un moment collaboratif sous forme de “cartopartie” pour améliorer l'accessibilité des lieux aux personnes à mobilité réduite.

  • Premiers Trophées du Fenua Durable

    Une soirée de remise de prix était organisée, vendredi 11 juin, par la fédération des associations de protection de l’environnement (FAPE) Te Ora Naho. Tenue à la brasserie Hoa, à Fare Ute, elle a permis de distinguer quatre lauréats parmi les cinquante initiatives proposées dans l’édition 2020 du magazine « 50 Solutions pour un Fenua Durable » publié par la FAPE.

  • Petite revue d'efforts collectifs pour un fenua durable

    L’émergence d’un développement plus “durable”, au sein d’une nature respectée et protégée, est le fruit d’efforts collectifs. Qu’ils viennent d’associations, parfois avec le soutien d’entreprises, ou d’institutions publiques : ramassage de déchets et sensibilisation locale, préservation d’un biotope en danger, recyclage et conception de produits ménagers naturels, protection de la ressource halieutique, amélioration des services publics environnementaux… C’est la dernière moisson de cette revue de presse.

  • Ils agissent pour la protection de la biodiversité du fenua

    La protection de la biodiversité a ses acteurs issus de la société civile et des associations. Préservation des espaces naturels avec la Brigade verte Tahiti, évitement des collusions navires/baleines dans le chenal de Moorea avec Oceania, éradication d’une colonie de petites fourmis de feu (PFF) à Punaauia avec la SOP Manu. La DIREN, quant à elle, rappelle, en cette période de sécheresse, que le feu peut détruire des spécimens souvent “uniques au monde “.

  • Le réchauffement climatique ne doit pas passer « sous les radars »

    2020 est l’année la plus chaude enregistrée sur la planète, ex aequo avec 2016. Alors que l’alerte au changement climatique résonne depuis déjà plusieurs années, les mesures mises en place ne sont souvent pas à la hauteur de la situation : il faut réagir vite et mieux…

  • Ils s'investissent pour protéger l’environnement : petite revue de presse

    Des gestes d’incivisme contribuent toujours à polluer notre environnement, hélas ! Mais des réactions positives et des actions de sensibilisation se font aussi heureusement connaître, à Tahiti et dans les îles. Petit tour de l’actualité dédiée à cette thématique. L’occasion de découvrir les associations, les individus et le institutions qui s’y investissent.

  • L'urgence climatique : à "prendre au sérieux"

    Le 8 décembre était célébrée la Journée mondiale du climat. Covid, préparation des fêtes de fin d'année... Cette date est passée relativementsous silence, malgré l'urgence. L'ONU, les Pays du Pacifique, appellent à réduire les émissions de gaz à effet de serre. La Polynésie française a participé à une table ronde virtuelle entre les dirigeants du Forum des Iles du Pacifique et les grandes nations "Partenaires du dialogue du Forum.Sur le fenua, des associations ont tenté de communiquer et d'agir pour (continuer de) sensibiliser la population.

     

  • Développement durable : sur le front de la sensibilisation

    Alimentation, solidarité, traitement des déchets, santé, lutte contre la pollution : associations, écoles et institutions… développent des actions diverses et variées, concrètes ou artistiques, pour inciter la population à adopter des comportements plus écologiques et plus solidaires. De beaux exemples de la transversalité nécessaire au développement durable.

  • Société, économie, culture, environnement : déployer un regard transversal

    Appréhender la thématique du développement durable, c’est intégrer la notion de “transversalité” entre des domaines apparemment loin les uns des autres… Tout est lié ! : éco-mobilité, alimentation durable, société : éducation et sensibilisation, culture, protection de l’environnement et de la biodiversité. Le mois de septembre est riche en initiatives. Les médias locaux en ont parlé, mais de façon dispersée. Il est opportun de les contextualiser dans cette perspective.

  • Ils sont des gardiens de la nature: zoom sur une douzaine d'initiatives

    Associations, écrivains, scientifiques... se mobilisent pour protéger ou mettre en valeur la nature. Particulièrement la richesse et la fragilité de sa biodiversité. L'actualité de ces dernières semaines a été riche d'événements ou de publications relayés par les médias. Des initiatives à suivre et à encourager !

  • Économie : développer des stratégies de développement vraiment “durables”

    Avec plus de 280 000 habitants dans dix ans, la Polynésie française se doit de développer des solutions qui répondent à un développement vraiment “durable”, c'est-à-dire écologiquement soutenable, économiquement résilient et socialement plus équitable. Alimentation, énergie, transport... doivent être examinés à cette aulne. Le consommateur, en devenant un “consom'acteur” peut aussi poser un geste politique qui, autant qu'un vote, implique son sens de la responsabilité. 

  • Environnement: être plus attentif à la nature pour mieux la protéger

    La protection de l’environnement passe aussi, et d’abord, par une attention plus grande donnée à la nature et à ses composantes : qu’elles soient animales ou végétales. Depuis le début du mois d’août, plusieurs actions en cours.

  • Le scandale du mois ! Du gazon synthétique sur le front de mer à Papeete

    AUE HO'I E ! Te Ora Naho, la FAPE (fédération des associations de protection de l’environnement) a décidé de remettre un prix mensuel des actions honteuses pour l'environnement et le développement durable en Polynésie française. Le gazon synthétique installé sur front de mer de Papeete est la première action du genre à être épinglée… Une pétition a par ailleurs été lancée par un collectif citoyen sur le réseau social Facebook.

  • Le temps est venu d’opérer un changement culturel et structurel majeur

    La société polynésienne se développe dans un contexte de mutations planétaires à propos desquelles il est important de réfléchir pour mieux saisir les grands enjeux auxquels est confrontée l’Humanité en ce début du XXIe siècle. Particulièrement en cette période de crise sanitaire et économique. On découvrira ci-dessous quelques-unes des réflexions relayées dans les revues de presse de la Fondation Pour La Nature Et L'Homme (FNH).

  • Bateau de pêche chinois échoué à Aratua : risque de pollution et violation du Code de l'environnement

    A la mi-mars, un navire de pêche chinois s’est échoué sur le récif d’un atoll des Tuamotu, Arutua. Au risque de pollution, s’est ajoutée la constatation d’une infraction caractérisée des conditions imposées dans la ZEE de Polynésie française, sanctuaire protégé de requins. En avril, bien que les autorités du Pays et de l’Etat estiment qu’il n’y aurait pas eu pêche illégale à l’intérieur des eaux polynésiennes, la FAPE porte plainte pour détention d’espèces protégées dans ses cales, en violation de l’article LP 2211-3 du Code de l’environnement.

  • A lire: "Le Plus Grand Défi de l'histoire de l'Humanité"

    « L’écologie est-elle une victime collatérale de l'épidémie ? », interroge un article récent du journal Le Monde. En ce temps de confinement, mettez entre parenthèses toute autre lecture, et lisez cet ouvrage en priorité. Aucun autre sujet ne devrait avoir plus d'importance que celui de la vie que nous détruisons. Ce sujet doit être pris très au sérieux, et partagé au plus grand nombre. Il est temps de se préoccuper (enfin) de ce qui compte réellement dans notre existence.

  • Crise sanitaire : tirons les leçons de cette épreuve

    Aujourd'hui, la pandémie liée au coronavirus Covid-19 nous invite à observer, en temps réel, le déglinguage rapide et mondial des dimensions boursières, géopolitiques, pétrolières, économiques, commerciales et diplomatiques de notre monde humain. Et à s’engager pour un fonctionnement plus écologique et plus solidaire, en bref plus humain, de notre société.

  • Municipales : « L’environnement n’est plus un bonus, c’est une question de survie »

    Municipales : « L’environnement n’est plus un bonus, c’est une question de survie »

    L’échéance électorale est désormais très proche puisque le premier tour des élections municipales se déroule ce samedi 15 mars. Les candidats en lice ont-ils intégré l’importance de la dimension écologique dans leurs programmes ? La fédération des associations de protection de l’environnement (FAPE) Te Ora Naho, les invite à préciser sérieusement leur intention à engager les collectivités locales polynésiennes dans « une transition économique et solidaire » cohérente et volontariste. 

  • Actualité politique: le réchauffement climatique et la protection de l’environnement ne pourront être occultés

    Venue prochaine d'Emmanuel Macron en Polynésie française, élections municipales en cours… le réchauffement climatique et la protection de l’environnement ne pourront être occultés. C’est ce que veulent faire savoir de jeunes citoyens polynésiens qui ont entamé un tour de Tahiti à pied avec une brouette, suivi d’une incursion à Moorea pour sensibiliser la population mais aussi… les candidats. Seront-ils entendus ?

  • Associations/engagement éco-citoyen: (petite revue de presse du 01 au 10/02/20)

     L’engagement dans la vie de la cité ne se réduit pas aux seules élections, et il y a bien d’autres occasions pour chacun d’investir et de s’investir dans la vie collective. Petite revue de presse dédiée pour la période du 1 au 10 février.

  • L'environnement au fenua – l'actualité de décembre 2019

    La protection de l’environnement est toujours d’actualité en Polynésie. Les écosystèmes, menacés par la pollution, doivent faire l’objet d’une surveillance constante. Mais de nombreuses initiatives heureuses peuvent être signalées pour le dernier mois de l’année 2019.

  • Marches pour le climat: Tahiti et Moorea au diapason de la planète

    Du 20 au 27 septembre, un nombre record de plus de 7.6 millions de personnes sont descendues dans les rues, dans le monde, et ont manifesté pour réclamer une action climatique à leurs gouvernants. Il s’agissait de la plus vaste mobilisation pour le climat de l’Histoire. En France, associations de défense de l’environnement, mouvements sociaux et particuliers ont appellé à marcher pour alerter face au réchauffement climatique et réclamer la fin des énergies fossiles. Le 21 septembre, une mobilisation a eu lieu à Tahiti et Moorea, certes moins impressionnante, mais marquant également une prise de conscience et une volonté de voir la problématique du réchauffement climatique réellement prise en compte par les autorités.

  • Marches pour le climat: "System change, not climate change"

    Une semaine internationale pour le climat se déroule du 20 au 27 septembre, avec plusieurs moments forts dans de nombreux pays. En Polynésie française, le mouvement Citoyens pour le climat de Tahiti prévoit de se joindre à l'événement mondial de la Marche pour le climat, le samedi 21 septembre.

  • Dérèglement climatique : ça chauffe ! On s'en fout ?

    En Polynésie, les derniers mois ayant été plutôt frais (ce qui est normal lors de l’hiver austral), le sujet du réchauffement climatique n’a guère été évoqué par la presse locale…Et pourtant, la situation est loin d’être réconfortante au niveau mondial. Le sujet était d'actualité en août et le sera encore en septembre...

  • En juillet, une vingtaine d'initiatives "éco-durables"

     

    Préservation de l'environnement; agriculture et alimentation plus respectueuses de la nature et de la santé humaine; réduction de la consommation d'énergie, si possible renouvelable; gestion et recyclage des déchets ; traitement de l'eau; activités économiques soucieuses de l'écologie; éducation... Le mois de juillet a été riche en initiatives "éco-durables".

  • Le réchauffement climatique : un danger pour les petits pays insulaires

    Les 52 petits pays insulaires sur la planète émettent moins de 1 % des émissions de gaz à effet de serre. Et pourtant, leur survie est menacée. Les petites nations insulaires du Pacifique, comme le Vanuatu, seraient rendues inhabitables ou disparaîtraient entièrement. Les îles des Tuamotu auraient sûrement aussi beaucoup à craindre…

  • Les humains ingèreraient et respireraient 5 grammes de plastique par semaine

    On le sait désormais, l’intégrité des océans est menacée par la pollution au plastique… Mais cette pollution affecte aussi notre santé de manière insidieuse… Selon un rapport commandé par le World Wildlife Fund (WWF), Fonds mondial pour la nature, à l'université de Newcastle (Australie) les humains ingèreraient et respireraient une nuée de particules de plastique dont le poids a été estimé à quelque 250 grammes annuellement. Soit 5 grammes par semaine, le poids d’une carte de crédit ( !).

  • Les peuples et les dirigeants du Pacifique appelés à protéger l’Océan

    Il y a une dizaine de jours, une délégation de représentants de Hawaï, Rapa Nui, Palau Nouvelle-Zélande et des Îles Cook était accueillie à Tahiti pour participer à un échange international intitulé Island Voices (“les voix des îles”). Organisée par l’association Pew Polynésie et la Fédération des Associations de Protection de l’Environnement - Te Ora Naho (FAPE), cette rencontre entre référents investis dans la promotion de la culture traditionnelle et la protection de l’environnement avait pour objectif de renforcer la coopération de la société civile de la région pour la protection de l’Océan Pacifique. 

  • Journée mondiale de l’Océan: la jeunesse concernée

    La cause environnementale est un enjeu de société. Les "marches pour le climat" organisées en mars dernier ont montré une mobilisation de nombreux jeunes pour cette cause qui touche, plus que toutes les autres, leur génération. Cet investissement s’est ressenti à nouveau dans l’organisation de plusieurs événements à l’occasion de la Journée mondiale de l’Océan.

  • Concert écolo avec Jack Johnson

    Le musicien hawaiien, chanteur et surfeur, Jack Johnson s’est produit vendredi dernier, place To’ata. Il a accueilli quelques associations du fenua impliquées dans la protection de l’environnement et la promotion du développement durable. Des membres de Manu Iti Faa Ora (Colibris Tahiti), Tia’i Fenua (Nana sac plastique), Te Mana o te Moana et Coral Gardeners ont pu tenir un stand à l’entrée de To’ata pour faire connaître leurs activités.

  • Culture: des nourritures pour le corps… et pour l’esprit

    S’il est nécessaire de dénoncer et d’alerter face à des situations critiques…il est aussi bon d'informer et de sensibiliser. De nombreuses actions étaient à relever, en avril: concert, festivals, conférences, pièce de théâtre, BD... Elles touchent à plusieurs domaines du "développement durable" dont les problématiques sont, par essence, transversales.

  • Portraits d'acteurs du changement : ils font bouger le fenua

    Ils ou elles sont à l’origine d’une action, d’une entreprise, d’un mouvement, d’une innovation… qui souhaite apporter un impact social et environnemental positif dans la vie de tous les jours. En mars, plusieurs de ces "éclaireurs" ont fait l’objet d’articles ou d’interviews dans la presse locale. AvA-Infos vous propose de les retrouver ici.

  • V.A.I. et Ti’a Fenua : deux événements pour la promotion du développement durable

    Fin mars, deux « salons » ont été organisés à Papeete visant à promouvoir des gestes éco-durables dans la vie économique quotidienne : la deuxième édition du Village de l’Alimentation et de l’Innovation (V.A.I.) ; la première édition de Ti’a Fenua Eco durable Expo Market. Deux événements bien couverts par les médias locaux.

  • Marches pour sensibiliser au réchauffement climatique

    La question du réchauffement climatique est sur le devant de la scène et, avec elle, la nécessaire implication des États pour endiguer la hausse des températures. Longtemps sous-informée, la société civile se mobilise pour inciter les gouvernements à agir de façon concrète. À la mi-mars, des centaines de manifestations se sont déroulées en métropole. À Tahiti aussi, le mouvement a été suivi. Quelle suite donner à cette prise de conscience ?

  • Des pistes pour un Fenua vraiment “durable”

    Qu’il s’agisse de gestion des déchets, de consommation responsable, ou de transport..., la situation est en encore loin d’être satisfaisante, chiffres à l’appui. Mais des solutions se dessinent. Quelques propositions émergent. Un annuaire des “acteurs du changement” dresse déjà une première liste d’une centaine d’alternatives.

  • Petite revue de presse : Alimentation (février 2019)

    Les fruits et les légumes n’arrivent pas par miracle dans nos assiettes. Le temps, les insectes… et donc l’environnement y ont leur part. Regard sur quelques initiatives pour une plus grande autonomie alimentaire et zoom sur la promotion d’une agriculture de qualité.

  • (janvier 2019) Petite revue de presse : Alimentation, environnement

    On dit que la santé est dans l’assiette. Elle est aussi dans la terre qui a produit la nourriture. Du producteur au consommateur, en passant par le distributeur, petit point sur certains maillons positifs de la chaîne de l’alimentation. Et une alerte concernant le lait infantile !

  • Petite revue de presse : décembre 2018 en bref

    AvA-Infos s’efforce de donner un fil conducteur à ses revues de presse en identifiant la thématique des articles mentionnés. Nous vous proposons ici, en vrac, un tifaifai de sujets variés qui ont tous un lien avec le développement durable et la protection de l’environnement. L’occasion de comprendre que ces problématiques sont transversales et concernent la société dans sa globalité.

  • Quatre exemples de producteurs agro-alimentaires du fenua éco-responsables

    Ils sont jeunes et veulent développer des filières de production agro-alimentaire éco-responsables. Quatre exemples dont a parlé la presse en décembre : Permaculture, agriculture bio, élevage de poules pour les œufs et élevage de crevettes en eau douce.

  • Pollution : encore des progrès à faire en matière d’éco-civisme

    Il est à craindre que les problèmes de pollution soient encore longtemps un sujet d’actualité. Même si l’incivisme ou l’irrespect des règles sont en partie compensés par l’engagement citoyen. Communes et sociétés ne sont pas exemptées de se conformer à la législation…

  • Des fêtes de fin d’année « écolo » ? C’est possible !

    Les fêtes de fin d’année représentent un moment fort, entre tradition et consommation effrénée. Halloween, Black Friday, maintenant Noël et bientôt le Nouvel An… tout est prétexte à oublier que l’on n’a qu’une planète. Le réchauffement climatique ? Oublié ! La pollution par les emballages plastique ? Oubliée ! L’obsolescence programmée des objets ? Oubliée ! Et si l’on pensait “autrement” cette période de convivialité…

  • Dérèglement climatique : La COP24 part mal. Il est urgent de réagir

    La vingt-quatrième session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP24) se tient du 2 au 14 décembre en Pologne. L’une des tâches les plus importantes de la COP24 consistera à élaborer et adopter un ensemble de décisions garantissant la pleine application de l’Accord de Paris, conformément aux décisions adoptées à Paris (COP21) et à Marrakech (CMA1.1). En outre, elle inclura le «dialogue de facilitation» destiné à soutenir la mise en œuvre des engagements nationaux pris à Paris en 2015.

  • Dérèglement climatique : l’économie concernée

    Le changement climatique a des conséquences sur l’économie mondiale. Il bouscule déjà les équilibres sociaux, sanitaires et géopolitiques dans de nombreuses régions du monde. Isolée géographiquement mais très dépendante de ses importantions, la Polynésie française doit s'organiser pour plus de résilience. Des solutions alternatives se dessinent au sein de la société civile.

  • Des clés pour une agriculture et une alimentation « durables »

    Beaucoup d’habitants de Tahiti sont déconnectés de la réalité agricole. La nourriture n’arrive pourtant pas toute seule dans leurs assiettes. Production locale, circuits courts, suivi de la qualité… autant de considérations qui doivent interpeller les consommateurs s’ils veulent participer à l’élaboration d’une économie vraiment « durable ». 

  • La culture détermine aussi la façon de vivre des êtres humains

    "En tant que dépositaire du savoir, des significations et des valeurs qui imprègnent tous les aspects de notre vie, la culture détermine aussi la façon de vivre des êtres humains. Elle est, dans toutes ses dimensions, une composante essentielle du développement durable" *. Petit florilège de films, animations, périple en mer ayant contribué, en novembre, à une meilleure visibilité de cette thématique. 

  • Célébration de Matarii i ni’a: la culture pour mieux protéger l’environnement

    Comme tous les ans depuis une vingtaine d’années, autour du 20 novembre, l’association Haururu commémore Matarii i ni’a, qui marque le retour dans la période d’abondance. Des festivités étaient autrefois organisées à l’occasion de cette date importante du calendrier traditionnel polynésien que cette association éco-culturelle a remise en valeur. On a aussi célébré cette date à Faa’a et à Moorea.

  • La solidarité est intrinsèque au développement durable

    “La solidarité doit s’appliquer envers tous les autres, les populations défavorisées, les exclus, les plus faibles, les plus démunis, les plus pauvres… Cette solidarité s’exprime à différentes échelles de territoire, du local au mondial. Être solidaire avec les générations futures, c’est inscrire les actions et les décisions dans une perspective de long terme…” * Plusieurs 'journées' ou 'semaines' leur ont été consacrées en novembre.

  • Changements climatiques : une prise de conscience pas encore suffisante

    Des scientifiques et des personnalités du monde tirent la sonnette d’alarme. Début octobre, de nombreuses manifestations ont eu lieu en France et ailleurs… La réalité du changement climatique n’est cependant pas encore bien perçue par la population polynésienne.

  • Comment le réchauffement climatique impactera-t-il le fenua ?

    Le dernier rapport du Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC ou IPCC en anglais), constitué au sein des Nations Unies, tire à nouveau la sonnette d'alarme. Des marches en Europe et un sit -in de mobilisation à Tahiti ont été organisés pour attirer l'attention. Que faut il craindre le plus pour la Polynésie si les températures moyennes de la planète augmentaient de 1,5 voire de 2 degrés en 2040 ? 

  • Près de 800 scolaires sensibilisés aux sucres cachés

    777 élèves issus de 16 établissements scolaires de Tahiti (5 écoles, 5 collèges, 6 lycées) impliqués dans la pédagogie Eco Ecole (éducation au développement durable) se sont retrouvés le jeudi 25 octobre au matin pour une projection gratuite du film Sugarland. Ce documentaire primé  était projeté grâce à un partenariat entre Fédéscol (association Manu Iti Fa’a Ora, ex Colibris-Tahiti), le cinéma Majestic et le producteur. 

  • L’éco-responsabilité gagnera-t-elle du terrain au fenua ?

    Pour réussir une démarche d’éco-responsabilité, il faut communiquer en mettant en avant les gains pour l’environnement et la société, pour le personnel et pour la mission des diverses organisations, quels que soient leur statut, leur nature de leurs activités... Les commerçants et les entreprises sont appelés à s’engager pour plus d’éco-responsabilité. Cette dynamique doit aussi être impulsée au niveau de la mobilité.

  • Manger sain et local : une tendance qui monte, à Tahiti

    On relève un intérêt grandissant des consommateurs pour une nourriture saine, le plus possiblement issue d’une production locale.  Celle-ci ne remplacera pas complètement les aliments importés  (plus de 80%) mais il est heureux de voir se réduire l’écart trop important existant entre les lieux de production et les espaces de consommation tout en proposant une nourriture saine.

  • Le développement durable au programme de l’Éducation

    Deux séminaires ont été organisés durant la semaine du 15 au 19 octobre par la Direction générale de l'éducation et des enseignements (DGEE) Polynésie. Ils portaient notamment, conjointement et de manière complémentaire, sur l’éducation au développement durable (EDD) dans les établissements scolaires. 

  • S’inspirer des traditions pour la protection de l'environnement

    La protection de l’environnement est aussi affaire de culture. Certaines des traditions ancestrales sont porteuses d’une sagesse qui manifeste un accord avec les rythmes cosmiques. Le respect de la nature, en particulier en la gardant propre, pourrait s’en inspirer. L’association Haururu a souhaité rappeler un marqueur de temps lié au calendrier traditionnel avec la remise à l’honneur d’une cérémonie oubliée,vaereä marae, qui se situe au moment de l’équinoxe, autour du 20 septembre. 

  • Campagne mondiale contre la pollution plastique des océans : Race for Water en escale à Tahiti

    En escale en Polynésie française pour un mois, le catamaran "écolo" Race For Water parcourt les océans dans le cadre d’une campagne de lutte contre le plastique qui pollue l’océan. L’occasion pour les Polynésiens de mieux comprendre ce phénomène et de s’investir réellement pour juguler cette « peste » artificielle qui détruit la biodiversité marine et impacte la santé des animaux et des humains. 

  • Réchauffement climatique : la mise en garde se précise

    La fin du mois d’août a vu la démission surprise du ministre français de la Transition écologique, Nicolas Hulot. Cet événement intervient à un moment où, en septembre, ont été évoquées de grandes problématiques en rapport avec les changements climatiques en cours. 

  • Des actions pour une société plus écologique et plus solidaire

    Appels à projets, actions collectives et participatives, carrefours coopératifs, programmes de réinsertion, actions d’échange et de solidarité… le mois de septembre a été riche de propositions qui contribuent à promouvoir un développement  soutenable, sur les plans de l’écologie et de la solidarité.

  • Bonne santé et environnement sain : deux conditions pour un développent vraiment "soutenable"

    Une meilleure santé est «à la fois une condition préalable, le résultat et un indicateur des trois volets du développement durable», précise une déclaration émise lors de la Conférence Rio+20, en 2012. En outre, un environnement sain est une condition préalable à une bonne santé. La situation en Polynésie française laisse à réfléchir… Des initiatives bénéfiques émergent cependant.

  • Protection de la biodiversité : des défis à relever

    La biodiversité offre des biens irremplaçables et indispensables à notre quotidien : l’oxygène, la nourriture, les médicaments et de nombreuses matières premières (bois, fibres, etc…). Lorsqu’ils sont en bon état, les milieux naturels et les espèces nous rendent aussi de nombreux services. Encore faut-il les protéger. Quelques exemples (et contre-exemples) d’initiatives en septembre.

  • Production d’énergie photovoltaïque: prorogation de l’aide aux particuliers

    La ministre de la Modernisation de l’administration, en charge de l’énergie et du numérique, a présenté en Conseil des ministres une proposition de prorogation du dispositif d’aide financière à destination des particuliers pour l’installation d’une unité de production photovoltaïque. Instauré en septembre 2017, ce mécanisme couvre la totalité du territoire. Il s’adresse aussi bien aux maisons raccordées à un réseau de distribution publique qu’aux usagers isolés de toute distribution publique d’électricité.

  • Déchets sauvages (2) : l’incivisme toujours d’actualité mais un bénévolat participatif actif

    La gestion des déchets et la protection de l’environnement vont de pair. Malheureusement, la prise de conscience n’est pas encore généralisée. Dans la première quinzaine de septembre, associations, communes et institutions ont néanmoins relevé le défi et l’on a pu constater de fortes mobilisations dans la population. Un jour viendra peut-être où il n’y aura plus nécessité de déployer de telles opérations parce que la population aura compris.

  • Mata Tohora vous présente les nouvelles des cétacés du mois d'août

     

    Basée à Tahiti, Mata Tohora est une association polynésienne à buts scientifique et pédagogique. L’esprit de Mata Tohora est de fédérer les passionnés de mammifères marins, amateurs ou professionnels. Cette association publie régulièrement une newsletter qu’AvA-Infos relaie ici pour le mois d'août.

  • Des "savanturiers" au service de l’environnement

    Les dégâts causés par  les êtres humains (surpêche, braconnage, déchets balancés dans les océans...) sont innombrables. Il y a pourtant aujourd’hui des centaines de solutions pour protéger l’environnement de manière économiquement rentable. Des scientifiques-explorateurs-entrepreneurs, de passage en Polynésie, en donnent l’exemple. 

  • Préservation du milieu naturel et protection des oiseaux endémiques

    Les arbres et l’environnement forestier sont des lieux à protéger pour la sauvegarde des oiseaux, notamment les oiseaux endémiques. Arrachage sauvage ou en vue de la construction de lotissements doivent être surveillés et régulés. En août, des problèmes ont été soulevés entre Faa’a et Punauia, du côté du lotissement Miri. Pour ce projet, un registre de doléances est mis à la disposition su public et consultable jusqu'au 27 août. 

  • Une aire marine éducative inaugurée à Anaa (Tuamotu)

    Une aire marine éducative (AME) a été inaugurée le 10 août sur l’île de Anaa, dans l’archipel des Tuamotu. Baptisée « Te Kura Moana O Tagihia » l’espace est également labellisé. Il s’étend sur deux kilomètres sur une partie récifale et lagonaire entre le motu du village Tukuhora et Temarie l’ancien chef-lieu de Anaa.

  • Pour un développement plus "durable" : il existe des alternatives

    Le développement économique n’est pas qu’une affaire de gros sous. Certaines associations et entreprises l’ont compris et donnent une dimension écologique et/ou solidaire à leurs activités. Une démarche à ne pas confondre avec le « greenwashing* » dont peuvent abuser certaines autres…

  • Le projet de la FAPE parmi les 44 lauréats du concours “Mon projet pour la planète”

    La liste officielle des 44  lauréats retenus dans le cadre de la démarche  « Mon projet pour la planète » a été publiée le 31 mai. Parmi eux, huit viennent de l’Outremer dont un de Polynésie française. Le projet proposé par la FAPE, domaine “biodiversité”, s'intéresse à la mangrove polynésienne et vise à déterminer si on assiste ou non à un remplacement des écosystèmes littoraux endémiques.

  • Science, nature, culture : dialogue médecine conventionnelle/médecine traditionnelle

    Comment envisager le maintien en bonne santé d’une population sans tenir compte de son environnement culturel et naturel ? Une prise de conscience s’est opérée au sein de personnels soignants du centre hospitalier (CHPF). Le travail entrepris depuis plusieurs mois avec des tradipraticiens en partenariat avec l’association Haururu a abouti, fin mai, à l’organisation d’un séminaire de “médecine intégrative“ au cœur de l’île de Tahiti, dans la vallée de Papenoo.

  • Des pistes pour une économie polynésienne plus solidaire et “durable”

    Situation économique difficile pour une grande partie de la population, et pourtant gaspillage alimentaire… Gabegie d’emballages, production alimentaire locale insuffisante… Sommes-nous prêts aujourd’hui à relever ces défis ? Des solutions émergent pour faire face à ces aberrations et contribuer à l’édification d’une économie résiliente. 

  • Lutte contre la pollution : des associations se mobilisent

    Le problème de la pollution par l’accumulation de déchets en zone publique, notamment sur le littoral, est récurrent en Polynésie française. Incivilité, manque de réactivité des pouvoirs publics…? Les habitants de certaines communes, fiu des déchets, se mobilisent pour les ramasser, parfois avec l’aide des municipalités. De bonnes initiatives, mais pour mettre fin à ce genre de pollution, la réduction des déchets à la source est une priorité.

  • Environnement, solidarité… la culture a son mot à dire

    Qu’il s’agisse de promouvoir la protection de l’environnement ou de renforcer la solidarité au sein de nos sociétés, il est utile de savoir utiliser des langages qui font appel à la sensibilité. Sculpture, musique ou danse peuvent contribuer à éveiller les consciences.

  • Les produits agricoles vendus comme "bio" doivent être garantis ou certifiés

    Une conférence de presse a été organisée, le 25 avril à la Direction de l’agriculture, afin de rappeler au public, via les médias, la réglementation concernant l’affichage du “bio” en Polynésie française. Ce terme, qui est l’expression d’un label, y est en effet encadré de manière précise et aucun producteur ne peut l’employer sans avoir fait l’objet d’une garantie ou d’une certification.

  • Ils veulent sensibiliser la population pour un fenua plus écologique

    La protection de l’environnement est l’affaire de tous. Des institutions et des associations se mobilisent pour tenter de sensibiliser la population à un peu plus de civisme écocitoyen. 

  • Revue de presse décembre 2017

    Cette revue de presse renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

  • revue de presse novembre 2017

    Cette revue de presse renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

  • Revue de presse octobre 2017

    Cette revue de presse, à la différence des précédentes, n’est pas organisée par thématiques. Elle renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

     

  • Trois initiatives éco-citoyennes originales

     

    Les meilleures idées ne viennent pas toujours des laboratoires. Des entreprises et des citoyens innovent en proposant des solutions ingénieuses pour conserver un environnement vivable. Trois exemples en Polynésie: recyclage et création de mode, une appli pour signaler les problèmes, une charte pour supprimer les sacs plastique à usage unique.

  • 1ere édition du Village de l’Alimentation et de l’Innovation

    Une dizaine d’exposants y étaient présents pour faire découvrir leurs ateliers culinaires et sensoriels afin de promouvoir des comportements alimentaires sains et durables. L’événement était aussi l’occasion de conférences et d’ateliers en partenariat avec le lycée hôtelier de Punaauia. 

     

  • Dix bourses pour des projets de protection du lagon

    Début avril, dix projets de protection des lagons ont été récompensés par la fondation Pew, en partenariat avec la Fédération des associations de protection de l’environnement (FAPE).

  • 2emes Assises Eco Ecole : la pédagogie du développement durable dès la maternelle

    Le mercredi 19 avril dernier, Fedescol a organisé les 2e assises Eco Ecole de Polynésie française avec le soutien du ministère de l’Éducation, de l’ADEME, de FENUA MA et de la DGEE. Lancé il y a cinq ans, ce dispositif de pédagogie du développement durable prend de plus en plus en plus d’ampleur. 

  • Le développement durable est l‘affaire des citoyens : une dizaine d'exemples

     

    Éducation, promotion, sensibilisation… le développement durable est l‘affaire des citoyens qui s’investissent de plus en plus pour un monde plus humain et plus écologique. À découvrir, une dizaine d’initiatives, en mars, en Polynésie française…

     

  • 3e édition d’Alternatiba Tahiti

    Face au réchauffement climatique et à la destruction de l’environnement, il est possible d’adopter des solutions au quotidien pour un monde plus humain, convivial et solidaire. C’est ce qu’ont voulu démontrer, les 10 et 11 mars, les 25 étudiants d’une classe Info-Com de 3e année de l’ISEPP qui ont pris le relai de l’association Colibris Tahiti pour l’organisation de la 3e édition d’Alternatiba Tahiti.

  • 60 établissements scolaires participent à l’écoquiz de Fedescol

     

    Un quiz en ligne sur le développement durable s’est déroulé du  9 janvier au 12 février.  Pour mettre en valeur les  équipes pédagogiques et  les élèves les plus impliqués, une  «Journée des finalistes» a été organisée au Motu Ovini (Papeari) le 7 mars 2017. Plus de 16 000 quiz réalisés.

     

  • Petite revue de presse centrée autour de l’agriculture et de l’alimentation

    Agriculture : Sortie d’un guide pratique d’agriculture naturelle, portraits d’agriculteurs bio, lutte biologique pour protéger les légumes. Alimentation : portrait de Hereiti qui partage ses recettes « vegan » en photo et vidéo sur Facebook et Instagram ; un concours de recettes autour de produits du fenua.

     

  • La planète ne doit pas être assassinée sous prétexte de traditions, d’habitudes ou de normes sociales

     

    Il faut bien le reconnaître, si Noêl est au départ une fête religieuse, c'est devenu au fil des ans un grand moment "commercial" favorable à une hyperconsommation qui va aussi laisser de côté un bon nombre de déshérités. Papiers cadeaux et emballages  vont aller saturer les poubelles. Quant aux jouets et sapins en plastique "made in China", ils vont aller dans quelques mois rejoindre les décharges sauvages... Ne parlons pas des milliers de kilomètres parcourus pour apporter ces objets fabriqués dans les usines continentales. Oublions aussi la souffrance des millions d'animaux qui, de par le monde, vont être l'objet d'un abattage industriel forcené...

Contactez la rédaction

e mail ava infosContactez directement l'équipe de rédaction de AvA en écrivant à cette adresse : contact@ava-infos.org ou en utilisant le formulaire suivant.

Un site d'infos participatif

PlumeAvA-infos est un site d'information participatif. Vous faites partie d'une association, vous êtes actif dans le développement durable ? Envoyez vos articles à paraître sur AvA-infos, ou indiquez vos prochains rendez-vous à ne pas rater dans l'Agenda...