La présence de baleines est normale dans les eaux polynésiennes. Mais que deux de ces cétacés nagent dans les eaux du port de Papeete n'est pas courant. L’association Mata Tohora a appelé les capitaines d’embarcations et autres usagers des lieux à rester attentifs pour n’infliger aucune blessure aux deux mammifères marins ; À noter, l'examen prochain à l'Assemblée de deux textes pour fixer de nouvelles limitations de la vitesse des bateaux de plus de 12 mètres ; Fait rare mais pas inhabituel, l’équipe de Mokarran Diving a observé une dizaine de jeunes cachalots au large de la Presqu’île: l'occasion pour le photographe de l'équipe d'immortaliser ce moment de curiosité partagée en respectant les mêmes règles d’approche que pour les baleines à bosse ; De son côté, l’association Te mana o Te moana lance un recensement des tortues de Floride, petite espèce invasive dont l'appétit vorace est potentiellement menaçant pour la faune et la flore du fenua ; Quant à la jeune femelle léopard des mers observée à Rikitea, blessée elle a été l'objet d'un feuilleton qui a duré plusieurs jours. En cause, la gestion de la prise en charge, ou non, de cet animal blessé.
# Attention si vous circulez en bateau dans le port, deux baleines ont été aperçues dans la rade de Papeete. Une alerte qu’on peut voir sur la page Facebook Watchower du port de Papeete. Il est donc demandé aux usagers d’adapter leur vitesse et d’être particulièrement attentifs. L’information a aussi été transmise à l’association de protection des mammifères marins, Mata Tohora.
Deux baleines dans le port de Papeete (Radio 1) 22/10
Deux baleines se trouvent actuellement dans le port de Papeete, selon la page Facebook Watchtower of Papeete Port Control qui dit avoir alerté la vigie et l’association Mata Tohora. Elle appelle les capitaines d’embarcations et autres usagers des lieux à rester attentifs pour n’infliger aucune blessure aux deux mammifères.
Deux baleines repérées dans le port de Papeete (TNTV) 22/10
Il n'y a pas que des navires qui sillonnent le port de pêche de Papeete. En effet, deux baleines y ont été aperçues tout à l'heure. La prudence est requise afin d'éviter une éventuelle collision avec ces mammifères marins.
Deux baleines ont été aperçues dans le port de pêche de Papeete ce matin (22/10). Signalées à la vigie du port de Papeete en VHF, l’information a aussi été transmise à l’association Mata Tohora, spécialisée dans l'observation et la protection des cétacés. La vigie demande donc à tous les usagers de cette partie du port une veille visuelle attentive et une vitesse adaptée pour ne risquer de causer aucune blessure aux cétacés.
Attention, baleines dans le port de pêche de Papeete ! (Polynésie 1ère)
À NOTER
Deux propositions de texte, une loi du Pays et une résolution, doivent être étudiées jeudi (13/11) à l’Assemblée (APF) pour fixer de nouvelles limitations de la vitesse des bateaux de plus de 12 mètres. Dix nœuds dans tous les lagons, en plus des limitations actuelles, et surtout 12 nœuds maximum demandés à l’État en dehors des passes et dans les zones à « risque élevé de collisions » avec les cétacés. L’objectif est d’éviter les blessures de baleines qui alarment régulièrement l’opinion. Quitte à ralentir les navettes Tahiti – Moorea : deux à six minutes supplémentaires sont à prévoir.
La proposition a été rédigée par l’élu Tavini Tematai Le Gayic pour « ‘passer à l’action » après « plusieurs années de débats ». Un débat qui tourne autour d’une question : faut-il ralentir les bateaux pour éviter les collisions avec les baleines. Les professionnels de la mer se sont toujours montrés réservés, les militants environnementaux parlent d’une « nécessité ». Notamment Oceania, qui mène le programme de vigie à bord des navettes qui effectuent la liaison Tahiti – Moorea, particulièrement à risque vu le trafic maritime et la densité de cétacés, en saison, d’une passe à l’autre. L’ex-député, candidat à la mairie de Papeete en mars prochain, dit avoir aussi échangé avec le photographe militant Temoana Poole, et s’est rapproché de la DPAM, du cluster maritime ou encore de l’armée pour ajuster ses propositions. (…)
Tarahoi compte faire ralentir les bateaux pour sauver des baleines (Radio1)
# Samedi 1er novembre, l’équipe de Mokarran Diving a observé une dizaine de jeunes cachalots à la Presqu’île. “On a eu la chance de les voir sauter, ce qui est très rare !”, précise Vincent Truchet. (…) Également photographe, Vincent Truchet a pu immortaliser ce moment de curiosité partagée en respectant les mêmes règles d’approche que pour les baleines à bosse. “C’était un moment extraordinaire. Des cachalots, je n’en avais pas vu depuis 2008 ou 2009 en Guadeloupe. Ce sont les premiers que je vois en Polynésie et surtout, on a eu la chance de les voir sauter, ce qui est très rare !”, se réjouit-il, rappelant qu’un cachalot adulte “passe une grande partie de sa vie sous les 1.000 mètres de profondeur”.
Des cachalots observés au large de Tautira (Tahiti Infos)
Une rencontre rare a eu lieu ce samedi 1ᵉʳ novembre au large de la presqu’île : l’équipe de Mokarran Diving a croisé un petit groupe de cachalots, entre Pueu et Tautira. Une apparition peu fréquente dans les eaux polynésiennes, mais pas inhabituelle. Ces géants des profondeurs, capables de plonger à plus de 2 000 mètres, mesurent jusqu’à 18 mètres pour les mâles et pèsent jusqu’à 60 tonnes.
Ce samedi 1ᵉʳ novembre 2025, les plongeurs de Mokarran Diving ont vécu un moment rare : la rencontre d’un petit groupe de cachalots au large de la presqu’île, entre Pueu et Tautira. (…). Cette baleine se trouve principalement en eaux profondes, d’où son côté discret. D’autres apparitions des cétacés ont été relevées au début du mois d’octobre entre Moorea et Tahiti.(…)
Des cachalots aperçus au large de la presqu’île (Radio 1)
# Une petite tortue pour de gros dégâts. Spécialisée dans les tortues marines, l’association Te mana o Te moana lance un recensement des tortues de Floride, petite espèce invasive dont l'appétit vorace est potentiellement menaçant pour la faune et la flore du fenua.
Au centre de soins des tortues marines, l’association Te mana o te moana se lance dans un nouveau défi écologique : le recensement de la tortue de Floride. L’espèce introduite dans les années 70 au fenua comme animal de compagnie a progressivement été relâchée dans les milieux naturels. Mais cette petite tortue aquatique est une espèce invasive, qui modifie les habitats d’eau douce et fragilise la biodiversité à cause de son appétit vorace. Depuis quelques années, l’association reçoit de plus en plus d’appels. "L’objectif, c’est essayer de les recenser pour mieux connaître où elles sont à Tahiti, dans quelles rivières il peut y en avoir", explique Jade Gouin, vétérinaire et coordinatrice des programmes de conservation à Te mana o te moana. (…) L’association souhaite sensibiliser la population et créer un réseau de bénévoles pour recevoir les signalements. L’espèce est facilement identifiable avec ses points rouges sur la tête. (…)
Recensement des tortues de Floride, espèce invasive à Tahiti (TNTV)
# Ce vendredi 17 octobre, un léopard de mer (Hydrurga leptonyx) a été retrouvé sur le quai principal de Rikitea aux Gambier.
L’animal a été transporté vers un lieu sécurisé afin qu’il puisse se reposer en toute tranquillité.
L’animal semble blessé et affaibli, il vient à terre pour se reposer. Un périmètre de sécurité a été mis en place. (...)
Un léopard des mers « échoué » à Rikitea (Tahiti News)
« Laissons faire la nature », c’est ce que la Diren a expliqué quelques jours après la découverte à Rikitea d’un léopard des mers qui ne semble pas en très bonne forme. L’association Mata Tohora a indiqué qu’elle n’était pas d’accord avec la décision du Pays et qu’il fallait au contraire agir. Elle a même envoyé un courrier au maire de Rikitea et à la procureure de la République, rappelant l’engagement du Pays de protéger les espèces de sa grande aire marine. Le Pays souligne qu’un sauvetage de l’animal, qui n’est pas considéré comme une espèce menacée, suppose d’avoir un financement important, mais aussi d’obtenir des autorisations complexes. Mardi après-midi, Mata Tohora annonçait que la Diren avait décidé d’organiser l’envoi d’une mission vétérinaire.
Le léopard des mers qui est arrivé jeudi dernier à Rikitea est désormais au centre d’un débat entre le Pays et l’association Mata Tohora. Alors que l’animal est visiblement amaigri et même blessé, plusieurs personnes se sont étonnées de la décision de la Diren « de laisser faire la nature ». Pourquoi ne pas nourrir ou même soigner l’animal puisqu’il ne va pas bien ? Une question qui a été posée aux associations et justement, Mata Tohora a fait un long post sur sa page Facebook hier, pour dire son désaccord avec la décision du Pays. (…). En fin d’après-midi, Mata Tohora annonçait sur sa page Facebook que « la Direction de l’environnement a décidé d’organiser un déplacement avec des vétérinaires d’une clinique de Papeete pour établir un diagnostic et prévoir la suite des opérations selon les premiers résultats. Mais depuis quelques heures, il n’est plus visible sur Rikitea. »
« Laissons faire la nature » ? Non, dit l’association Mata Tohora (Radio 1)
Filmé pour la première fois il y a une semaine, le léopard de mer présent à Rikitea alterne entre des phases de chasse et de repos à terre. Mais l'animal qui vit normalement en Antarctique, semble blessé et affaibli. Après discussion avec la direction de l'Environnement, la biologiste Agnès Benet a obtenu l'envoi d'une mission vétérinaire sur l'ile.
Il faut « laisser faire la nature » expliquait récemment la Diren. Agnès Benet, seule docteure en biologie marine du territoire et cofondatrice de Mata Tohora n’est pas de cet avis et l’a fait savoir dans un mail aux médias et à la procureure ainsi que dans un post sur les réseaux sociaux. « Nous sommes interpellés par la population en grand nombre qui ne comprend pas qu’aucune personne spécialiste, vétérinaire et docteur en biologie n’ait été à ce jour mandatée par la Diren dans le cadre de la gestion du sanctuaire et de la nouvelle Grande Zone Marine Protégée », écrivait Agnès Benet. Ce mardi, après un entretien, la direction de l’Environnement semble avoir changé son fusil d’épaule. « Je me suis entretenue avec la direction de l’Environnement qui a révisé sa décision et qui est en train de mettre en place une prise en charge vétérinaire pour lui sur Rikitea. » Encore faut-il que le léopard de mer soit toujours présent, et en vie. Le prochain vol pour l’île des Gambier a lieu le 28 octobre… (…) La docteure en biologie marine rappelle pourquoi il est important de prendre en charge les animaux blessés…(…)
Léopard de mer : une mission vétérinaire va se rendre à Rikitea (TNTV)
Le Pays et les associations de protection de l’environnement font part depuis ce lundi de leur différence de point de vue sur la gestion de la situation concernant le léopard de mer perdu à Rikitea depuis la fin de la semaine dernière.
Visiblement affaibli sur les photos, blessé, peut-être malade, le léopard de mer observé à Rikitea suscite des interrogations. La décision a été prise dimanche de “laisser faire la nature”, alors que l’animal était observé le même jour à Rikitea dans le lagon mais aussi près du hangar technique de la commune, soit le même site que lors de son premier échouage.
(…) Plusieurs actions ont ainsi été engagées. L’association, qui déplore de devoir “laisser faire la nature”, sans tentative de sauver l’animal ni même de pouvoir observer son comportement dans nos eaux bien trop chaudes pour lui, a fait un mail à la mairie de Rikitea, avec copie à la procureure de la République de l’environnement, pour remercier la mairie pour son engagement, mais aussi pour être plus piquant envers la Diren, la mettant face à ses contradictions. (…). Une missive qui a finalement fait pencher la balance du côté de Mata Tohora puisque mardi en fin de journée, nos confrères de TNTV relayaient qu’une mission vétérinaire dirigée par la Diren allait finalement se rendre sur place. (…)
Une mission pour étudier le léopard de mer (Tahiti Infos)
Plusieurs jours maintenant que le léopard des mers semble avoir disparu de Rikitea mais la présidence souhaite visiblement défendre une nouvelle fois sa décision de « laisser faire la nature ». « Ne pas intervenir ne signifie pas abandonner », dit le ministre de l’Environnement, Taivini Teai, qui précise que le Pays s’est appuyé sur les conseils d’une spécialiste des léopards des mers, travaillant à l’université de Rhode Island. Il a tout de même décidé d’envoyer un vétérinaire spécialisé sur place mardi 28 octobre, mais prévient qu’il n’existe pas d’exemple de léopard des mers qui ait survécu dans une zone aussi septentrionale que les Gambier.
Après les précisions du Réseau des gardiens de l’océan et de la Diren sur leur décision de « laisser faire la nature », c’est le ministre de l’Environnement qui défend sa position. Dans un communiqué, il revient sur la visite inattendue du léopard des mers à Rikitea. C’est le 16 octobre qu’un navigateur partage une vidéo de l’animal nageant autour de son voilier puis quelques jours plus tard, il est à terre, suscitant la curiosité mais aussi beaucoup d’inquiétudes des défenseurs de la nature. Et un débat a animé les réseaux sociaux : faut-il agir ou non ? L’association Mata Tohora a notamment dit haut et fort qu’il fallait agir, appelant le Pays à « mandater un vétérinaire et un biologiste pour s’en occuper ». Le Réseau des gardiens de l’océan et la Diren avait répondu : « Pas si simple », avant d’annoncer que des experts seraient finalement bien envoyés sur l’île. Le Pays confirme qu’un vétérinaire sera sur place le mardi 28 octobre. Mais depuis cette annonce, le léopard des mers semble avoir disparu de Rikitea. Il n’y a pas eu de nouvelles observations depuis plusieurs jours. (…). Sur sa décision de « laisser faire la nature », la présidence explique que le réseau des gardiens des océans était en contact avec un docteur en écophysiologie des mammifères marins de l’université de Rhode Island, Emily Sperou, spécialiste des léopards des mers. Et celle-ci a pu déterminer que l’animal était une femelle, jeune, et en « mauvais état corporel » avec des « proéminences osseuses visibles dans les cinq principales régions du corps ». (…) Le ministre de l’Environnement Taivini Teai dit « comprendre les émotions et les inquiétudes » mais « ne pas intervenir directement ne signifie pas abandonner ». Il assure que le Pays était « dans une démarche de respect, de prudence et de responsabilité ». (...)
Léopard des mers : « Ne pas intervenir directement ne signifie pas abandonner », dit le Pays (Radio 1)
"Ne pas intervenir directement ne signifie pas abandonner", souligne le ministère en charge des Ressources marines dans un communiqué détaillant les mesures prises depuis l'arrivée du léopard de mer à Rikitea.
Le léopard de mer continue de faire parler de lui. En début de semaine, Agnès Benet, docteure en biologie marine et fondatrice de l’association Mata Tohora, a interpellé les médias, après avoir sollicité la direction de l’Environnement. « Nous sommes interpellés par la population en grand nombre qui ne comprend pas qu’aucune personne spécialiste, vétérinaire et docteur en biologie n’ait été à ce jour mandatée par la Diren dans le cadre de la gestion du sanctuaire et de la nouvelle Grande Zone Marine Protégée » expliquait-elle. Elle a finalement été reçue par la Diren. À la suite de quoi l’annonce d’une mission vétérinaire a été faite. Ce jeudi, le Pays réagit. Il rappelle que le léopard de mer est une espèce qui vient de loin, son habitat naturel se situant plutôt autour de l’Antarctique. « Sa présence aux Gambier relève d’un cas de vagabondage exceptionnel » rappelle le ministère de Taivini Teai. Le ministère explique qu’aucune structure équipée permettant d’accueillir un tel animal n’existe au fenua. Il assure que la situation est gérée de manière « prudente et encadrée » par le Réseau des gardiens de l’océan. (…). Selon (la) spécialiste (Emily Sperou), les léopards de mer ne sont pas considérés comme menacés par l’UICN et il n’existe par conséquent pas de recommandations spécifiques pour cette espèce. Elle a souligné qu’il n’existe aucun cas documenté de léopard de mer ayant survécu à des latitudes aussi élevées.
Comme cela avait déjà été communiqué, les léopards de mer sont des animaux sauvages et peuvent se montrer imprévisibles. La spécialiste, comme les associations locales, a donc recommandé de ne pas approcher l’animal et de ne pas le nourrir. (…)
Léopard de mer : le Pays assure que le suivi « se poursuit à distance par les services compétents » (TNTV)
Le Léopard des mers a repris le large. Maigre et blessé, l'animal a effrayé la population qui a essayé de le déplacer sans procédure bien définie, ni matériel adéquat. Si la DIREN voulait laisser faire la nature au départ, elle a finalement revu sa stratégie aux vues de la situation.
Blessé à la tête et au cou, un léopard des mers est venu s'échouer à Rikitea. Loin de son habitat naturel dans les eaux glaciales de l'Antarctique, le jeune mammifère marin est apparu amaigri. Sa présence dans un jardin privé a poussé les habitants à le déplacer vers un endroit plus sûr. "Je me dis qu'ils ont fait le maximum, ils ont fait avec leurs propres moyens, mais surtout ils n'ont pas été guidés.", estime Agnès Benet, docteure en océanologie et fondatrice de l’association Mata Tohora. (…). "Chaque cas est différent. Mais la première des choses à faire, c'est de la surveillance, de la prise de photos, des données sans forcément porter atteinte et mettre en danger la personne. C'est la première des choses.", explique par téléphone Aeata Richerd, gestionnaire du Réseau des gardiens de l’océan auprès de la DIREN. (…). Une mission vétérinaire est prévue ce mardi 28 octobre pour prendre en charge l'animal, à condition toutefois que le léopard des mers refasse surface. (+ reportage vidéo)
Rikitea : le léopard des mers a pris le large (Polynésie 1ère)
La jeune femelle n’a plus été observée à Mangareva depuis une semaine. “La mission vétérinaire n’est pas annulée, elle est mise en stand-by”, nous a indiqué le Réseau des gardiens de l’océan (RGO), qui a informé son référent local sur la conduite à tenir au cas où l’animal égaré et affaibli réapparaîtrait, vivant ou mort.
Observée dans la baie de Rikitea, à Mangareva, à partir du 16 octobre, la jeune femelle léopard de mer “en mauvais état corporel” n’a plus été aperçue depuis plus d’une semaine. “L’animal a disparu depuis lundi dernier (20 octobre, NDLR), vers 14 heures. On a sillonné tout le littoral. On a missionné des pêcheurs pour le rechercher, des agents et des élus de la commune se sont mobilisés, on a interrogé la population, mais on ne l’a pas retrouvé”, témoigne Teicho, agent municipal et membre du Réseau des gardiens de l’océan (RGO) sur l’archipel des Gambier. (…)
“On a informé notre référent de la conduite à tenir et des protocoles à faire si l’animal réapparait, vivant ou mort, en attendant l’arrivée du vétérinaire en sachant qu’il n’y a pas de vol tous les jours. Il a notamment des façons de prendre des photos pour conserver ces données et être capable d’identifier l’animal”.
Pour rappel, la présence d’un léopard de mer au Fenua est “exceptionnelle”, l’habitat naturel de ce prédateur se situant autour de l’Antarctique.
Léopard de mer disparu, mission suspendue (Tahiti Infos)