Le projet Restauration des services écosystémiques et adaptation au changement climatique (Resccue) intéresse quatre pays dans le Pacifique : la Nouvelle-Calédonie, le Vanuatu, Fidji et la Polynésie française. Sur le territoire polynésien, ce projet, dont la maîtrise d’ouvrage est assurée conjointement par le ministère de l’Environnement local et la Communauté du Pacifique (CPS), concerne deux sites pilotes bénéficiaires de ces financements.

Il s’agit de l’île de Mangareva - qui s’est notamment investie dans la production de perles de culture - et de Moorea, plus précisément la vallée de Opunohu avec ses attraits touristiques bien connus et son développement agricole raisonné.

Ce programme a pour objectif de proposer des moyens de lutte et de préservation pour répondre à certaines préoccupations environnementales, que ce soit au niveau de la sécurité sanitaire, de la sécurité alimentaire ou de la sécurité environnementale, une perte de foncier due à l’érosion ayant été constatée. Face à ces enjeux, Resccue a participé à de nombreux ateliers en faveur de la révision du plan de gestion de l’espace maritime (PGEM), arrivée aujourd’hui au stade de l’enquête publique, mais a aussi financé des projets en faveur des exploitations ou fermes agricoles aux motivations biologiques.

+ Restitution de Resccue : des projets lancés pour 125 millions de francs au fenua (La Dépêche)

En savoir plus sur le Projet Resccue

RESCCUE est financé principalement par l’Agence française de développement (AFD) et le Fonds français pour l’environnement mondial (FFEM) pour une durée de cinq ans (01/01/2014 - 31/12/2018).