Il y a urgence à sensibiliser les populations à la dégradation accélérée de notre environnement. Sensibilisation et formations grand public pour la protection des cétacés. L’aire marine éducative comme outil d’apprentissage

Chaque année, le 19 février est une journée qui donne un coup de projecteur sur les mammifères marins en général et sur les baleines en particulier. Ces animaux, menacés, évoluent dans tous les océans du monde, certains croisent dans nos eaux. 

Page enfant : c’est la journée de la baleine ! (Tahiti Infos)

Selon les habitants de Raraka, dans les Tuamotu, deux baleines sont dans leur lagon depuis… quatre mois. D’après les anciens, elles ne sont là habituellement que pour un mois maximum.

Il y a encore des baleines à Raraka (TNTV)

Créée en décembre 2017, l’association Oceania, qui a pour objectif l’étude et la conservation des cétacés de Polynésie française, poursuit son action d’information et de vulgarisation auprès du public de Moorea en ouvrant sa première permanence.

Moorea- Étude et conservation des cétacés: Oceania propose des formations grand public (La Dépêche)

 

Une convention de partenariat a été signée entre le ministère polynésien de l’Education, de la Jeunesse et des Sports, et l’Agence française pour la Biodiversité (AFB). Elle vise à attribuer des financements au projet lauréat de l’appel à projet national AFB « Initiatives pour la reconquête de la biodiversité en Outre-Mer » : le projet Ite Mata, avec l’aire marine éducative comme outil d’apprentissage du diagnostic écologique et de la restauration de milieux.

Aire marine éducative: partenariat entre le ministère de l’éducation et l’Agence française pour la biodiversité (Presidence.pf)

 

À Tetamanu, suite au succès d’un documentaire sur la richesse de la vie sous-marine et nocturne, une partie de la population de l’atoll s’inquiète des conséquences de plongées sans cesse plus nombreuses dans la passe à la nuit tombée. Un collectif « lettre ouverte à » a réuni 300 signatures sur les 800 âmes que compte l’atoll paumotu.

Fakarava : une pétition pour que Tetamanu ne soit pas un « Las Vegas » de la plongée (La Dépêche)