AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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        actualités, revues de presse

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L'actualités des océans

  • Les animaux, gardiens de la biodiversité

    Les animaux, gardiens de la biodiversité, jouent un rôle crucial dans la préservation des écosystèmes*. Leur diversité génétique et leurs interactions complexes contribuent à maintenir l’équilibre délicat de la nature. On n’oubliera pas non plus les animaux domestiques qui doivent être soignés avec respect… Dans cette revue de presse : La saison de ponte des tortues verte bat son plein sur l’atoll de Tetiaroa: de superbes photos partagées par Te Mana o te moana collectées dans le cadre d’une étude scientifique menée depuis plus de 15 ans en partenariat avec la Diren ; Selon une étude, 20 000 requins seraient capturés par accident chaque année au fenua ; À Vairao, depuis 18 mois les oursins font l’objet de travaux de recherche ciblés par l'Ifremer ; Deux vétérinaires lancent une cagnotte pour se rendre dans les îles dépourvues de spécialistes pour soigner et stériliser les animaux  ; 

  • Biodiversité, gestion des emballages : deux défis environnementaux

    Préservation de la biodiversité et meilleure gestion des déchets sont au coeur de la protection de l'environnement : La SOP Manu a mené une campagne de dératisation high tech à Ua Pou (Marquises) pour mieux protéger plusieurs espèces d'oiseaux menacées ; L’association Mata Tohora souhaite que le Pays fasse évoluer le Code de l’environnement pour une meilleure préservation des cétacés ; L’association Tama no te Tairoto, qui veut mieux connaître la biodiversité de nos récifs, a réalisé un inventaire du récif frangeant à Arue ; Surconsommation d'emballages divers et gestion de ces déchets : l'ADEME prépare la semaine européenne de la réduction des déchets (Serd) du 18 au 26 novembre prochains.

  • L'observation, clé de la protection de la faune marine

    Une équipe de l’Observatoire des Requins de Polynésie (ORP) a observé des raies Mobula Thurstoni pour la première fois en Polynésie française:  l’ORP et la Direction de l’Environnement invitent toute personne porteuse d’informations sur ces espèces ; L'association Oceania lance la 6e édition du projet “Vigie Sanctuaire” : l’objectif principal est de limiter le risque de collisions entre les navettes et les baleines dans le chenal Tahiti/Moorea ; Les baleines à bosse sont de retour dans les eaux polynésiennes. Si elles viennent encore en nombre sur toute la saison de reproduction, le dérèglement climatique pourrait impacter leurs habitudes. 

  • Plusieurs missions de protection de la faune marine et des atolls

    Oceania relance son projet Vigie sanctuaire dans l'objectif de prévenir les collisions avec des baleines entre Tahiti et Moorea ; Les prestataires de « sorties baleine » doivent obtenir tous les ans une dérogation au Code de l’Environnement. Pour la tranquillité de ces mammifères marins , la Diren ne devrait pas en créer de nouvelles cette saison ; Retour de mission de l'association SOP Manu qui, à bord du « B2M » le Bougainville de la Marine nationale, a pu contribuer à  réaliser ou compléter la cartographie de l’état de santé de la faune et la flore des Tuamotu ; Une mission de l'IRD pour mieux comprendre comment l’azote dérivé des excréments d’oiseaux marins influence les coraux au cours du temps.  

  • Climat, Exploitation des fonds marins : quel avenir ?

    Les îles polynésiennes ont beau être isolées au milieu du Pacifique, elles n'en sont pas moins concernées par des problématiques mondiales. Réchauffement climatique : La trajectoire actuelle des émissions de gaz à effet de serre en Polynésie française n’est pas cohérente avec l’Accord de Paris. La nouvelle stratégie climatique polynésienne en cours d’élaboration devra par conséquent proposer un scénario et un plan d’actions qui renforcent l’ambition climatique de l’ensemble des acteurs du territoire ; Exploitation des fonds marins: L’AIFM à un moment critique alors que la communauté internationale vient de s’engager à préserver la haute mer et à protéger 30% des océans d’ici 2030.

  • Cinq initiatives d’accompagnement international pour la préservation de l’environnement

    Initiative Kiwa : un exemple de coopération régionale pour accompagner des projets centrés sur les Solutions fondées sur la nature à travers des subventions et de l’assistance technique ; Le Fonds de coopération économique, sociale et culturelle pour le Pacifique relaye son deuxième appel à projet de l’année 2023 ;Porté par l’État, le « Fonds vert» vise à subventionner les investissements de toutes les collectivités territoriales favorisant la performance environnementale, l’adaptation au changement climatique et l’amélioration du cadre de vie ; Plan France 2030 : pour le soutien à l’innovation, l’industrialisation et la transition écologique ;Les États membre de l’ONU ont adopté le premier traité international, un accord capital pour contrecarrer les menaces qui pèsent sur l’océan et sa bonne santé.

  • Journées mondiales des Océans et de l'Environnement

     Journée mondiale des Océans: double traversée pédagogique Tahiti-Moorea avec plus de 200 collégiens à bord de l'Aremiti pour découvrir le travail de 7 associations de protection de la natureLa fondation Coral Gardeners de Moorea ambassadrice du fenua à l'ONU ;Journée mondiale de l'Environnement : dans les jardins de Paofai,la ville de Papeete a mis en place un village écocitoyen pendant trois jours ; À Tahaa, immersion d'une statue de tortueen ciment pour en faire un refuge corallien pour la faune marine.

  • Développement durable: les dernières news d'avril

    Tourisme: l'arrivée, dans le port de Papeete, de“super-paquebots” source de réactions de la population ; Agriculture: sessions d’information et de formation sur le thème des engrais verts et des auxiliaires de culture dans le cadre du programme PROTEGE ; Consommation: annonce, à partir du 6 mai prochain, de la 6ème édition de l’opération ‘Ete (alternatives artisanales au plastique) ; Transport aérien : un taux minimum de carburants « verts » sera imposé pour les avions au départ du continent européen ; Géopolitique et mondialisation: quid de la biodiversité et des terres rares des fonds marins du Pacifique ?

  • Halte aux DCP dérivants !

    Les dispositifs de concentration de poissons dérivants (DCP) constituent une véritable pollution et représentent un véritable fléau environnemental. Le ministre polynésien de l’Environnement et de la direction des Ressources marines souhaite mobiliser les pays du Pacifique et faire pression sur les instances internationales pour modifier la réglementation.  La Polynésie française prend les devants concernant la protection des aires marines protégées dans la Pacifique et notamment la surutilisation de DCP dérivants.

  • Interdiction de l'exploitation minière en haute mer (suite)

    Présent à Vancouver (Canada) au Congrès international sur les AMP, les aires marines protégées, le ministre polynésien de la Culture et de l'Environnement, Heremoana Maamaatuaiahutapu, a signé la pétition "Indigenous voices call for a ban on deep sea mining" - Les voix autochtones appellent à l'interdiction de l'exploitation minière en haute mer.

  • Préserver l'environnement : initiatives locales et internationales

    Remise de 300.000 Fcfp à l'association Puna Roa Piha’e’ina et à l'association 'A Nui Taputapuatea ; Appel d'offres de la DIREN pour une nouvelle opération de nettoyage des plages de 12 atolls des Tuamotu ; À Moorea, le sentier des guetteurs de Opunohu a ouvert ses portes au public ; À Hao, sur le site de l’AME, les élèves de l'atoll apprennent à pratiquer le bouturage de coraux ; Le 2 février,  c'était la Journée internationale des zones humides : l’occasion de faire un point sur ces écosystèmes en Polynésie ; Comment passer de 8% d’aires marines protégées à 30% en moins de 10 ans ? Le ministre de l’Environnement représente la Polynésie française au 5e congrès des aires marines protégées, au Canada.

  • Protection de l'environnement marin: ZPR, Aire marine protégée et Pavillon bleu

    Plusieurs communes s'engagent ou poursuivent une démarche de protection de leur environnement marin:Ouverture de la pêche repoussée dans la ZPR de Tautira ; La commune de Hitia’a O Te Ra demande la création d'une nouvelle zone de pêche réglementée (ZPR) ; Aux Australes, l’association Rahui Nui no Tuhaa Pae mène actuellement une consultation générale de la population pour la mise en place d’une aire marine protégée ; 10 ans de Pavillon bleu pour la marina Taina de Punaauia  ; Aux îles Cook, l'ONG « Marae Moana », veut impliquer toute la population dans la préservation de son patrimoine océanique quifait face à deux grands défis : la pêche intensive, et l’exploitation des ressources minières.

  • 7e forum de l’Économie bleue : entre préservation, productivité et résilience

    Le 7e forum de l’Économie bleue de Polynésie française s'est déroulé les 19 et 20 octobre à la présidence. Une centaine d’acteurs publics et privés du domaine maritime étaient attendus à ce rendez-vous. ayant pour ambition de trouver les bons arbitrages dans la recherche d’équilibre entre la productivité, la préservation à long terme des milieux marins et la résilience au changement climatique. Un point au niveau local en amont des Assises de l’Économie de la Mer qui réunira deux mille décideurs de l’économie bleue en métropole début novembre.

  • Environnement, ressources marines : le Pacifique, enjeu international

    Après le sommet "États-Unis et îles du Pacifique" auquel a participé la Polynésie française, est envisagée la tenue à Tahiti par la France d'un second “One planet summit pour les îles”, dans le courant du second semestre 2023 ; Réunion "technique"  du Groupe des Parlements des îles du Pacifique (GPIP) à l'Assemblée de la Polynésie française, à Papeete, pour une “réunion technique” en préalable à la conférence du groupe en 2023 ; La situation internationale dans le Pacifique est aussi marquée par un antagonisme USA/Chine qui concerne non seulement les dimensions géostratégiques et économiques mais aussi le contexte environnemental et la protection des ressources marines ; À ce dernier titre, par ailleurs, l'association environnementale Bloom attaque devant le Conseil d'État un décret sur les aires maritimes protégées, accusant le gouvernement français d'"imposture écologique". 

  • Petite revue de presse : diverses actions contribuant à la protection de l'environnement

    Résoudre la problématique des dispositifs de concentration de poissons dérivants en Polynésie française ; La zone biomarine de la DRP reconnue projet de transition écologique ; L’éco-responsabilité s’est invitée au Tahiti Soul Jazz Festival ; Découverte de modes de transports alternatifs lors de la Semaine européenne de la mobilité 2022 ; Une jeune société souhaite valoriser de manière artisanale les coques destinées à être jetées.

  • Demande de moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins

    Le 27 juin dernier, parallèlement à la Conférence des Nations Unies sur les océans, était annoncée la création d’une alliance mondiale pour s’opposer à l’exploitation minière des fonds marins. 57 représentants de 33 pays ont répondu à cet appel et demandaient un moratoire sur l’exploitation minière des fonds marins. Suite à une saisine du gouvernement polynésien qui veut porter cette question auprès de l'Assemblée (APF), le CESEC a examiné le 2 septembre un projet d’avis sur le projet de délibération relatif à un moratoire sur l’exploitation minière des grands fonds marins.

  • Une tribune pour « préserver au maximum » la haute mer

    Dans une tribune publiée dans le quotidien Le Monde, un collectif de cinquante députés de la NUPES, dont les trois députés polynésiens et trois autres élus des Outre-mer, demandent "à la France de se montrer exigeante pour préserver au maximum" la haute mer, alors que se tient, à partir de ce lundi, une session visant à finaliser un nouveau traité sur la haute mer aux Nations Unies.

  • Océan : la biodiversité, enjeu environnemental

    Connaître pour les protéger les espèces marines et côtières est un enjeu environnemental global : Plus de 30 potentielles nouvelles espèces découvertes au fond de l’océan Pacifique ; La période des baleines commence dans les eaux polynésiennes, comment organiser des sorties d'observation ? ; Des orques observées dans les eaux polynésiennes ; Une delphine gestante retrouvée morte à Rangiroa ; La taille des requins du Pacifique.

  • Actualités de l'océan : AMP, économie bleue, perliculture, biodiversité marine, houle destructrice

    La houle océanique a frappé plusieurs littoraux du fenua. Si l’un des poumons de la planète, l’océan, tousse, il est nécessaire d’explorer des façons novatrices d’accroître sa capacité à combattre la crise climatique : Selon l’Institut français des relations internationales (IFRI), les aires marines protégées (AMP) de la zone Pacifique représentent un dispositif privilégié pour la gestion de l’espace maritime et la protection de la biodiversité ; un point sur l'économie bleue avec le président du Cluster maritime ; La problématique des déchets perlicoles est au cœur de la politique menée par le Pays ; Plusieurs dispositifs en place pour leur protection : baleines, corail, poissons... 

  • Conférence des Nations Unies sur les océans : "plus d'ambition..."

    Après le Blue Climate Summit qui s’est tenu en mai (à Tahiti, Moorea, Raiatea et sur le Paul Gauguin), un autre événement consacré à la même thématique - la sauvegarde des océans -, mais d’ampleur mondiale celui-ci, s’est tenu fin juin à Lisbonne. La "Conférence des Nations Unies sur les océans", à laquelle participait la Polynésie française, avait pour objectif de mettre en œuvre des solutions innovantes fondées sur la science, dont le besoin se fait cruellement sentir, afin d’ouvrir un nouveau chapitre de l’action mondiale en faveur des océans. On retrouvera ici les articles consacrés par la presse locale à cette conférence internationale.

  • Participation polynésienne à la conférence de l'ONU sur les océans

    La deuxième conférence des Nations unies sur les océans se tient du 27 juin au 1er juillet 2022 dans la capitale portugaise, en présence de nombreux chefs d’État, notamment Emmanuel Macron. La « déclaration de Lisbonne », déjà préparée en coulisses, est aussi attendue que les enjeux sont importants, annonce la presse locale. (…) Le ministre de la Culture, de l’Environnement et des Ressources marines y est présent.

  • Promouvoir et favoriser une gestion durable du fenua, au sein du Pacifique

    Outre le Blue Climate Summit, la Polynésie française a accueilli récemment plusieurs événements régionaux visant à promouvoir et favoriser une gestion durable du fenua : Projet régional océanien des territoires pour la gestion durable des écosystèmes (PROTEGE) ; Conseil de coopération économique du Pacifique réuni en séminaire à Tahiti pour une meilleure gouvernance et une utilisation durable des ressources de la grande région ; Séminaire international sur l’économie bleue organisé par l’université ; Matinales du MEDEF sur la thématique de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) et engagements du Pays en matière d’environnement.

  • Blue Climate Summit : mieux protéger l'océan et le climat

    Cet événement mondial qu'est le Blue Climate Summit a été organisé en Polynésie française sur quatre îles (Tahiti, Moorea, Raiatea, Bora Bora) et à bord du navire de croisière Paul Gauguin. Durant la deuxième quinzaine du mois de mai il a réuni environ 250 scientifiques, chercheurs, décideurs, investisseurs, représentants de communautés et écologistes. Mais que pouvons-nous réellement espérer de ce sommet ? Il reviendra aux analystes et aux historiens d’en tirer une synthèse et de décrypter les consensus ou les incompréhensions qui s’y sont exprimés. Dans l’attente d’un tel travail, AvA-Infos propose une revue de presse des nombreux articles qui ont été écrits sur le sujet dans les médias locaux. Des pistes de réflexion (écologie, économie, société, culture...) sont à y découvrir.

  • L'économie bleue : pour une utilisation durable des ressources océaniques

    "L'économie bleue" est un concept économique relatif à des activités économiques liées aux océans, aux mers et à leurs côtes. « Il est probable que les pressions et les impacts cumulatifs sur les écosystèmes marins générés par une exploitation croissante de la mer augmentent à un rythme plus rapide que les effets des avancées technologiques et de la mise en œuvre des politiques de protection des écosystèmes marins*». Petit point sur la situation de ce secteur économique en Polynésie française. Et quelques précisions sur la définition et le domaine d'application précis de ce domaine qui varient selon les organisations ou les chercheurs.

  • Biodiversité : mieux la comprendre pour mieux la protéger

    Pour être mieux protégée, la biodiversité doit être mieux comprise, mieux gérée et faire l’objet de communications ciblées : organisation, début mai, d’un atelier régional pour rassembler une quarantaine d’acteurs des Zones de Pêche Règlementée (ZPR) pour la préservation des ressources marines ; concours scolaire “Raura’a Ora” : des productions littéraires et audiovisuelles dans le but de valoriser la biodiversité de la Polynésie ; l'association Toromiki no Mangareva a lancé un concours de dessin sur le thème de la protection des oiseaux des Gambier ; analyse des eaux du lagon de Hao : teneur en microplastiques et impact de leur présence sur les huitres perlières...

  • Un Blue Climate Summit programmé pour la fin mai en Polynésie française

    Le Blue Climate Summit programmé pour se dérouler du 14 au 20 mai, en grande partie à bord du paquebot Paul-Gauguin, a pour objectif de faire avancer des solutions tirant parti de l’océan pour combattre le changement climatique, de faire se rencontrer « des investisseurs avec des besoins et des opportunités au croisement de l’océan et du climat, de galvaniser des groupes de travail, et stimuler des annonces majeures », a annoncé début mars Blue Climate Initiative (BCI).

  • One Ocean Summit : contexte Indo-Pacifique et réactions

    Le One Ocean Summit, organisé à Brest du 8 au 13 février, a fait l’objet de plusieurs articles qui ont été relayés par AvA-Infos dans deux revues de presse. Si cet événement a permis d’en considérer les différents aspects économiques et écologiques, il a aussi permis de mettre en relief la réalité de la zone indo-Pacifique: une immense aire géographique – dont la Polynésie française - au cœur d’un enjeu géostratégique. Un sommet international qui fait l’objet d’appréciations diverses et contrastées.

  • One Ocean Summit (suite)

     

    Le One Ocean Summit, qui s’est déroulé à Brest du 9 au 11 février a été l’occasion de rassembler scientifiques, ONG, politiques et entrepreneurs avec l’objectif de donner un coup d'accélérateur sur plusieurs dossiers internationaux cruciaux autour des mers. La Polynésie était particulièrement concernée. À lire, trois complément d’informations : à Brest, le ministre de la Culture en charge de l’environnement a participé au Forum des Régions Côtières ; le 15 février, réactions du président de la Fédération des associations environnementales Te Ora Naho ; à Papeete, le 16 en visioconférence à la Présidence, deux journées consacrées à la biodiversité Outre-mer.

  • One Ocean Summit: sommet international pour une meilleure protection des océans

    Une délégation polynésienne a participé au sommet organisé à Brest du 9 au 11 février afin de renforcer la coopération internationale pour une meilleure protection des océans. Le gouvernement local a exprimé attendre des engagements à la hauteur des enjeux climatiques, notamment avec la montée des eaux qui menace d’engloutir les archipels du Pacifique dans un futur proche. Une démarche traduite par la volonté d'« océaniser les consciences ». Tous les articles consacrés à l'événement. Invitation à un exercice pour en tirer la synthèse...

  • Quid de la protection des 5 millions de km2 d’océan de la Polynésie française

    La Chambre territoriale des comptes (CTC) et la Cour des comptes ont publié (le 7 février) un rapport commun de 37 pages, qui met en relief le manque de coordination entre l’État, le Pays et les acteurs privés et associatifs dans la protection des 5 millions de km2 d’océan de la Polynésie française. Elle émet 10 recommandations pour bâtir une stratégie concertée. La presse locale a abondamment traité le sujet. Un point est fait sur les résultats de la surveillance de sda Zone économique exclusive (ZEE), qualifiée de « ressource nationale et d’élément du patrimoine commun de l’humanité ».

  • Protéger l'océan

    Le corail, poumon de l'océan, est menacé. Mais un récif de coraux géants en forme de rose et en bonne santé, au large de Tahiti, a fait le buzz. Il s'agit d'une espèceconnue pour sa résistance aux chocs thermiques ; le sénateur Teva Rohfritch a été nommé rapporteur de la mission d’information "sur lexploration, la protection et l’exploitation des fonds marins : quelle stratégie pour la France ?" ; la FAPE Te Ora Naho lance une grande campagne de communication « 30 x 30 Polynésie française » appelant à la protection de 30% de l’océan et des lagons de Polynésie française d’ici 2030 ; pour prévenir les accidents en mer (et les pollutions qui vont avec) et préserver la réserve de biosphère de Fakarava, l'État recommande aux navires de pêche deux itinéraires.

  • L'océan sous surveillance

    Immense, l'océan est aussi fragile. Réglementations et observations peuvent contribuer à le protéger: Zones de pêche règlementée (ZPR) ; recherche des bénévoles pour observer sur toute la Polynésie la ponte synchronisée d’une espèce de corail ; coup de pouce pour les tortues marines ; présence rare d'orques dans les eaux polynésiennes ; spécialistes du comportement des requins à Rikitea ; encadrement de la circulation et du mouillage des navires dans le lagon de Huahine ; création de deux voies maritimes recommandées dans la ZEE pour éviter les échouages, notamment de pétroliers.

  • L'océan, une ressource à protéger

    Réservoir d’une biodiversité menacée, l’océan est soumis à des processus comme le réchauffement, l’acidification ou la montée du niveau des eaux qui ont un impact durable sur les écosystèmes, notamment sur les coraux. Photographier ce milieu, outre que d’en magnifier la beauté, peut aussi contribuer à le préserver. La pêche durable est aussi devenue une problématique urgente et il est nécessaire de protéger certaines espèces animales marines et d’eau douce du patrimoine naturel polynésien.

  • En bref : “L'émotion de la découverte” pour la Fête de la Science 2021

    La 30e fête de la science a été inaugurée mercredi 10 novembre au parc Paofai et se déroule aussi à Moorea. Cette nouvelle édition est coordonnée par l'association Te mana o te moana, et a pour ambassadrice Laëtitia Hedouin, chargée de recherche au Criobe, le laboratoire d'étude des écosystèmes coralliens. L’occasion d’inviter les Polynésiens à devenir des observateurs des récifs polynésiens. Des interventions pédagogiques sont prévues dans les lycées et collèges de Tahiti et Moorea.

  • Les hauts et les bas de l'économie bleue

    Les océans sont non seulement source de nourriture et d’emplois mais ils soutiennent également la croissance économique, régulent le climat et contribuent au bien-être des communautés côtières. Encore faut-il que la gestion de ses ressources soit entreprise de manière durable, écologiquement et économiquement. Dans l’actualité, cette semaine : le projet aquacole, contesté, de Hao ; les fermes polynésiennes de crevettes et de poissons ; le rahui à cheval sur les communes de Teva i uta et Papara ; la production issue de la pêche hauturière ; le braconnage de tortues.

  • Environnement: les dernières news

    La période de confinement à Tahiti et Moorea profite aux baleines à bosse ; Demande de soutien pour l'opérationVigie sanctuaire” ; 3 mesures concernant l’environnement au Conseil des ministres du 15/9 : projet de délibération autorisant la prorogation de la convention entre la Polynésie française et l’IFREMER pour 5 années supplémentaires - nouveau projet de convention pluriannuelle ADEME – Polynésie française 2021-2023 – Installations classées : arrêté modifiant le code de l’environnement ; À travers son projet d’AMP, la Codim (Marquises) souhaite développer une économie bleue de façon raisonnée.

  • L’éco-musée Te Fare Natura ouvert au public

    Te Fare Natura, situé à l’entrée de la baie de ‘Opunohu, à Moorea, a officiellement ouvert ses portes le samedi 31 juillet. La célébration prévoyait une cérémonie d’accueil traditionnelle avec des chants de la vallée, des danses traditionnelles, des ateliers… Celles-ci ont été annulées pour raisons sanitaires. Mais le public, qui a répondu nombreux à cette occasion, a pu découvrir cet éco-musée consacré à la connaissance de l'environnement – particulièrement marin – du fenua.

  • Des programmes d'envergure régionale pour une Océanie plus résiliente

    À l'issue du 5e Sommet France-Océanie, les États et territoires du Pacifique ont assuré un « soutien plus large aux initiatives en cours » sur le volet du climat et de la biodiversité ; Emmanuel Macron, qui doit venir en Polynésie française, le 24 juillet, y a promis de renforcer la coopération entre la France et les États d'Océanie; la France va ainsi augmenter son financement à des programmes de protection des écosystèmes, comme l'initiative Kiwa. L’Office français de la biodiversité (OFB) lance deux appels à projet pour la restauration d’écosystèmes à destination des associations, communes et services publics polynésiens; présence à Tahiti de la donatrice du programme Pew Bertarelli Ocean Legacy (PBOL) qui œuvre à créer des zones marines protégées dans le monde entier et à développer la connaissance de la science marine. Elle souhaite recueillir les doléances des communautés locales des archipels afin de les porter aux Nations unies.

  • Agir pour la protection du milieu marin

    La sensibilisation au respect et à la protection du milieu marin (et de l'environnement de manière générale) est l'un des piliers de la préservation d’écosystèmes vitaux : la Diren alerte à propos d'une recrudescence des actes de maltraitance constatés en Polynésie sur les tortues marines ; elle rappelle les règles de prudence à adopter en présence d’un animal sauvage (dauphins...) ; à Bora Bora, la société Espace Bleu agit pour protéger et restaurer les récifs coralliens ; les jeunes protestants de la paroisse de Mataiea nettoient la plage publique de Atimaono ; à Moorea, l’écomusée Fare Natura se prépare à ouvrir ses portes, le 31 juillet.

  • Mettre l’océan sous protection : plusieurs initiatives en cours

    À Moorea, le Criobe - une institution scientifique dédiée à la connaissance de la nature et à ses relations avec l’espèce humaine - souffle ses 50 bougies. Il aura bientôt pour voisin le Fare Natura, un site de découverte de l’environnement polynésien ; Bilan quinquennal pour l’Ifrecor qui est quant à lui engagé dans la préservation des récifs coralliens ; Retrait de déchets perlicoles dans le lagon de Tahaa ; À Moorea, le collège de Paopao obtient le label « aire marine éducative » (AME) ; Les bikers de Tahiti organisent une tournée autour de l’île pour informer la population sur la nécessité de sauvegarder nos océans; À Moorea, Coral Gardeners sensibilise les plus jeunes à la protection des récifs coralliens

  • Préserver l'océan et apprendre à le connaître

    L'océan constitue une réserve de biodiversité équivalente ou supérieure à celle des forêts tropicales. Si des animaux emblématiques comme les baleines – celles-ci reviennent encore dans nos eaux – on peut s'en réjouir. Moins de voir des tortues blessées car ayant été fléchées ! La DIREN et Mata Tohora rappellent des mesures élémentaires dans l’approche de ces animaux. L’éducation dispensée aux élèves dans le cadre des Aires marines éducatives (AME) peut contribuer à plus de responsabilité dans notre rapport à l’océan.

  • Une semaine dédiée à la protection de l’océan

    Cette année, la Journée mondiale de l’Océan, fêtée le 8 juin, se poursuit pendant plusieurs jours à Tahiti. Nana sac plastique, la FAPE et Pew Bertarelli organisent un événement festif et participatif jusqu’au 19 juin. D’autres acteurs - associations, RSMA, coopérative de pêche, IIME...-  ont aussi organisé des événements pour sensibiliser la population à l’importance d’en protéger l’intégrité.

  • La Polynésie française, futur « hub » de pêche hauturière ?

    Lors du conseil des ministres du 7 avril, le gouvernement s’est déclaré favorable à un projet visant à renforcer la position de la Polynésie française comme « hub » pour les flottes de pêche internationales. Mais celui-ci ne fait pas l’unanimité au sein des armateurs locaux et il inquiète les organisations écologistes.

  • Rāhui et PGEM pour mieux protéger nos ressources

    Le rāhui,tradition polynésienne tombée en désuétude, est aujourd'hui utilisé pour préserver l'environnement. Un appel à projets doté de 500 000 Fcfp d'aides est lancé par la fondation Pew - Bertarelli et la FAPE. Quant à la commune de Moorea, elle a entamé  un processus de révision de son Plan de gestion de l’espace maritime pour des pratiques plus responsables des activités menées sur son lagon. On remarquera aussi la proposition de zonage de la FAPE pour une protection forte de l’environnement marin sur l'ensemble de la ZEE de la Polynésie française.

  • Le plastique ne fait pas bon ménage avec les tortues marines

    Les tortues marines, déjà menacées d’extinction pour diverses raisons (braconnage, réchauffement des océans…) subissent aussi la pollution de leur espace de vie. Le plastique serait-il en train de modifier l'écosystème marin sans que l'on en mesure encore toutes les conséquences ?

  • Océan et lagons: une biodiversité à connaître et protéger

    L'état de la vie marine est un bon indicateur de la santé de notre environnement. Encore faut-il en avoir connaissance et adopter de bonnes pratiques pour la conservation de sa biodiversité. Coraux, récifs, requins, rahui... autant de sujets abordés récemment dans des articles ou des émissions TV des médias locaux. À relire et à revoir (replay).

  • Pae tai : l’océan, entre protection et menaces

    L'océan, quand il est respecté, est source  d'innombrables richesses. Rahui et pêche durable contribuent à une exloitation raisonnable et durable de la ressource halieutique. En revanche, le non respect de certaines réglementations élaborées pour sa protection, la destruction de l'environnement et la menace de certaines espèces invasives contribuent à son apauvrissement.

  • Pêche illégale : la surveillance de la ZEE de Polynésie française

    La surexploitation des stocks est aujourd’hui la première menace des populations marines, suivie par la destruction de leurs habitats. La pêche illégale, non réglementée et non déclarée (INN) contribue au problème de la surpêche puisque ceux qui la pratiquent ne respectent pas les règles. Ils pêchent sans prendre en considération l’environnement ni les quotas de pêche. Les eaux polynésiennes sous surveillance de protection.

  • Biodiversité, environnement : protéger les espèces menacées

    Les îles et atolls de Polynésie française hébergent une biodiversité exceptionnelle, marquée par une faune et une flore riches et diversifiées. Tant du côté mer (poissons, cétaces, corail...), que du côté terre (plantes et oiseaux endémiques). La situation peut néanmoins apparaître très préoccupante à certains égards.Des mesures de protection s'avèrent nécessaires...

  • Ciel et mer : les merveilles de notre environnement

    Nous vivons tous les jours au sein d’un environnement stellaire et planétaire. Ce que nous avons tendance à oublier, absorbés que nous sommes par nos propres constructions mentales et matérielles, souvent réduites à la sphère économique… Il est bon de se rappeler que nos ancêtres savaient observer le ciel et, ainsi, naviguer sur le plus vaste océan de la planète. De nos jours, les scientifiques découvrent les profondeurs de cet océan. L’occasion de se rappeler la nécessité de protéger sa biodiversité.

  • Environnement: être plus attentif à la nature pour mieux la protéger

    La protection de l’environnement passe aussi, et d’abord, par une attention plus grande donnée à la nature et à ses composantes : qu’elles soient animales ou végétales. Depuis le début du mois d’août, plusieurs actions en cours.

  • Environnement: plusieurs action de protection en cours

    Protéger l'environnement, c'est préserver la survie et l'avenir du fenua.Des actions sont en cours pouréviter la pollution d'un récif des Tuamotu, sauvegarder la faune marine (requins et cétacés) ou des oiseaux endémiques... Petits coups de projecteur sur des acteurs, associatifs ou publics, qui  participent en ce moment à sa protection.

  • « Santé des écosystèmes » et santé humaine sont liés

    Durant cette première quinzaine du mois de juillet, la presse locale a relevé une actualité inhabituellement intéressée à rapporter des contacts entre humains et animaux. Empathie, cruauté, fascination, intérêt économique… Et si la pandémie causée par la maladie de la Covid-19 était, aussi, l’occasion de questionner la relation entre l’Humanité et son environnement.

  • Arutua : l'armateur du navire échoué sommé de le dépolluer et de l’enlever, sous astreinte de 500 000 Fcfp par jour de retard

    Le 30 avril, le tribunal administratif a condamné en référé l'armateur du navire Sheng Gang Shun 1, échoué à Arutua (Tuamotu) a dépolluer et enlever le navire, sous astreinte de 500 000 Fcfp par jour de retard.

  • Des mesures contre le risque de pollution du lagon de Arutua

    Pandémie et confinement n’empêchent pas l’obligation de réagir face à une extension du risque de pollution du lagon de Arutua à cause de l’échouement, en mars, d’un navire chinois. Le gouvernement a lancé la première étape d’un plan d’intervention avec l’envoi d’une équipe de spécialistes embarqués à bord d’un catamaran.

  • La protection de l’environnement, toujours d’actualité !

    La crise sanitaire ne doit pas faire oublier les nécessités de protection de l’environnement. Si les associations ne peuvent plus continuer leurs actions de terrain, elles n’en continuent pas moins leurs activités de sensibilisation. Le gouvernement, de son côté, précise son plan d’actions pour la gestion du navire chinois échoué à Arutua, qui présente, en son état actuel, de nombreux risques écologiques.

  • Le rahui de Ua Huka a été officiellement classé en Zone de Pêche Réglementée, la première des îles Marquises

    Le Conseil des ministres a prononcé le classement de deux Zones de Pêche Réglementée (ZPR) dénommées "Tokatai" et "Teuaua" au droit de l’île de Ua Huka, aux Marquises. La pêche y sera interdite jusqu'en 2024,  afin de permettre la régénération des ressources marine, notamment les langoustes et les crabes toe toe, qui sont fortement soumis à la pression à une forte exploitation. Ce classement fait suite à une demande de la commune de Ua Huka qui s’est engagée dans une démarche de préservation de ses ressources marines.

  • Protection de la biodiversité: petite revue de presse du 01 au 10/02/20

    Petite revue de presse dédiée au suivi des événements liés à la protection de la biodiversité relatés par la presse locale dans la période du 1 au 10 février : 

  • Mieux connaître et protéger la biodiversité du fenua

     Lorsque la perte de biodiversité se produit, la santé des écosystèmes est affectée. Ils deviennent moins résilients lorsque certaines de leurs composantes sont perdues en raison de l'extinction ou de la disparition. Ils ne peuvent alors plus s'adapter aux changements environnementaux. D'où l'importance de certaines démarches scientifiques pour mieux en comprendre les différents aspects. D'où, aussi, l'importance de communiquer à ce sujet et de respecter les réglementations qui protègent les différents milieux naturels. L'actualité d'octobre.

  • Protection de l'océan: les Polynésiens estiment qu'il faut mieux faire

    Une conférence était organisée le lundi 14 octobre par l’ONG Pew pour présenter les résultats d’un sondage d’opinion sur la protection de l’océan en Polynésie française. Près de 80% des Polynésiens pensent que l’océan en Polynésie française est en mauvaise santé et insuffisamment protégé. Environ 90% d’entre eux souhaitent la création de rahuidans leur lagon. Les projets de grandes aires marines protégées aux Australes et aux Marquises sont largement plébiscités par une grande majorité de la population de ces archipels.

  • L'océan célébré lors de la semaine du patrimoine à Punaauia

    La semaine du patrimoine, qui s'est tenue du 20 au 27 septembre au Fare Oire, a été l'occasion de célébrer la culture polynésienne et les richesses de la ville de Punaauia ! Avec, comme thème "Te Moana", cette deuxième édition offrait aux visiteurs la possibilité de s’immerger dans l'héritage marin de la commune et de se sensibiliser à sa protection et à sa sauvegarde.

  • « Nous sommes le peuple de l’océan »


    Une conférence sur “l’économie bleue durable” avec les présidents des parlements des îles du Pacifique a été organisée les 10 et 11 septembre à l’Assemblée de la Polynésie française. « Nous sommes le Peuple de l’Océan, contraint aux mêmes défis, sous le joug des mêmes menaces, porteurs des mêmes espoirs et déterminé à nous exprimer d'une seule voix ! », a lancé le président de l’APF dans son discours d’ouverture.

  • Le réchauffement climatique : un danger pour les petits pays insulaires

    Les 52 petits pays insulaires sur la planète émettent moins de 1 % des émissions de gaz à effet de serre. Et pourtant, leur survie est menacée. Les petites nations insulaires du Pacifique, comme le Vanuatu, seraient rendues inhabitables ou disparaîtraient entièrement. Les îles des Tuamotu auraient sûrement aussi beaucoup à craindre…

  • Expédition "Under the pole": les coraux profonds, espoir des récifs coralliens

    Depuis le début du mois de juin, l’expédition Under The Pole III déploie pour la première fois, à proximité de Moorea, un dispositif expérimental unique digne d’un roman de Jules Verne : la Capsule. Il s’agit d’une unité d’habitat sous-marin miniature et autonome permettant à trois plongeurs de rester en immersion continue durant 72 heures (ou plus…), et ainsi d’alterner sous l’eau plongées, phases de repos et phases d’observation. Lors de ses investigations précédentes, les mois derniers, cette expédition a trouvé du corail à 172 m de profondeur. Un espoir pour résister au blanchissement du corail*...

  • "Biodiv-Bora" : Un projet pilote « unique au monde »

    La commune de Bora Bora, qui détient le label du Pavillon Bleu depuis 19 ans, souhaite mettre en place des dispositifs performants pour encore mieux protéger son environnement, notamment en réponse aux rejets de son système d’assainissement collectif et des lixiviats du Centre d’Enfouissement Technique (CET). Elle a un projet, "Biodiv-Bora", dont l’objectif est de faire un bilan exhaustif de l’état de santé du lagon et de mettre en place des moyens de monitoring (plateforme environnementale) nécessaires au suivi sur le long terme et en continu du récif corallien.

  • "Mana Honu", la nouvelle mascotte de Te Mana o te Moana

    À l’occasion de la Journée mondiale de l’océan, l’association Te Mano O Te Moana a présenté la mascotte de son nouveau projet de sensibilisation à la pollution plastique. Avec son slogan « Aita te pehu ! » (« non aux déchets ! » en tahitien), Mana Honu, ou « La tortue sage », est le symbole de l’une de ses activités de protection de la nature.

  • Les peuples et les dirigeants du Pacifique appelés à protéger l’Océan

    Il y a une dizaine de jours, une délégation de représentants de Hawaï, Rapa Nui, Palau Nouvelle-Zélande et des Îles Cook était accueillie à Tahiti pour participer à un échange international intitulé Island Voices (“les voix des îles”). Organisée par l’association Pew Polynésie et la Fédération des Associations de Protection de l’Environnement - Te Ora Naho (FAPE), cette rencontre entre référents investis dans la promotion de la culture traditionnelle et la protection de l’environnement avait pour objectif de renforcer la coopération de la société civile de la région pour la protection de l’Océan Pacifique. 

  • Protection de la ressource: le rahui à l’affiche

    La pratique traditionnelle polynésienne durahui, qui consiste à limiter le prélèvement de ressources naturelles (plantes, produits de la mer) temporairement et dans des zones délimitées, est un mode de jachère qui permet notamment de ne pas piller le lagon, quand il s’agit de ressources marines.Dans l’actualité: la volonté de Papara d’en instaurer un, la parution d’un livre et une exposition caritativeau profit des associations de protection de l'océan et du lagon.

  • Protection de la Biodiversité : mangroves, tortues et corail

     En Polynésie française, se trouve une vaste biodiversité marquée par une faune et une flore riche et diversifiée. Barrière naturelle et berceau de la vie maritime, quel est le rôle de la mangrove dans nos îles ? Seules cinq espèces de tortues existent au fenua. Elles sont toutes menacées par le braconnage. Quant au corail, il est menacé de blanchissement. Les crèmes solaires sont elles un danger ?

  • Utilisation des espaces maritimes polynésiens : menaces et ressources

    La surveillance est l’une des clés du développement économique et de la préservation des espaces maritimes polynésiens. La présence de thoniers chinois a créé un tollé sur les réseaux sociaux. Il semble qu’il s’agisse d’une fausse polémique. La pêche et la commercialisation, illégales, de tortues marines (déjà menacées par les rats) semblent quant à elles des réalités bien locales. L’océan offre pourtant d’autres ressources que la pêche, ainsi que semble le montrer une récente étude d’impact réalisée aux Australes.

  • Pollution: des bonbonnes bien embarrassantes pour l'administration

    Des bonbonnes de bromure de méthyle flottant à la surface de l’eau avaient été récupérées en janvier par le Aito Nui. Elles provenaient du Kura Ora 2, immergé dans la première semaine de janvier au large de Papeete. En mars, l’affaire remonte à la surface...

  • Actualité de l’océan : la protection toujours d’actualité

    Il y a urgence à sensibiliser les populations à la dégradation accélérée de notre environnement. Sensibilisation et formations grand public pour la protection des cétacés. L’aire marine éducative comme outil d’apprentissage

  • Protéger l’océan : réglementer, surveiller, réprimer mais aussi sensibiliser

    Qu’il s’agisse de la ressource halieutique en haute mer ou de la « nurserie » que représentent les récifs coralliens, les humains dépendent en grande partie de l’océan. Très égoïstement, nous avons tout intérêt à en protéger l’intégrité.

  • La culture détermine aussi la façon de vivre des êtres humains

    "En tant que dépositaire du savoir, des significations et des valeurs qui imprègnent tous les aspects de notre vie, la culture détermine aussi la façon de vivre des êtres humains. Elle est, dans toutes ses dimensions, une composante essentielle du développement durable" *. Petit florilège de films, animations, périple en mer ayant contribué, en novembre, à une meilleure visibilité de cette thématique. 

  • Campagne mondiale contre la pollution plastique des océans : Race for Water en escale à Tahiti

    En escale en Polynésie française pour un mois, le catamaran "écolo" Race For Water parcourt les océans dans le cadre d’une campagne de lutte contre le plastique qui pollue l’océan. L’occasion pour les Polynésiens de mieux comprendre ce phénomène et de s’investir réellement pour juguler cette « peste » artificielle qui détruit la biodiversité marine et impacte la santé des animaux et des humains. 

  • Baleines et coraux, marqueurs de la biodiversité menacée

    Baleines et coraux sont deux symboles des menaces qui pèsent sur les écosystèmes marins. Les unes, de par leur grande taille, sont les plus gros animaux de la planète et effectuent chaque année des migrations de plusieurs milliers de kilomètres. Les seconds, notamment en région tropicale, procurent des niches écologiques à de nombreuses espèces animales qui y trouvent nourriture, refuge, protection et abri. Tous deux sont en danger…

  • Quel avenir pour les baleines ?

    Si elles sont protégées dans nos eaux, leur sort est encore problématique en de nombreux endroits de l’océan, malgré la décision de la Commission baleinière internationale qui a dit non le 14 septembre, au Brésil, au retour de la chasse commerciale. 

  • Mata Tohora vous présente les nouvelles des cétacés du mois d'août

     

    Basée à Tahiti, Mata Tohora est une association polynésienne à buts scientifique et pédagogique. L’esprit de Mata Tohora est de fédérer les passionnés de mammifères marins, amateurs ou professionnels. Cette association publie régulièrement une newsletter qu’AvA-Infos relaie ici pour le mois d'août.

  • Les baleines à bosse sont dans nos eaux

    Présentes de juillet à fin octobre dans les eaux polynésiennes, les baleines à bosse sont assurément une occasion de spectacle. Il reste, néanmoins, que leur approche doit se faire en respectant des règles précises. Et peut-être d’envisager un autre rapport à ces mammifères magnifiques…

  • Les coraux en danger, sous la loupe des scientifiques

    L'année 2018 a été déclarée "année internationale des récifs coralliens" par les Nations unies. La secrétaire d’Etat à la Transition écologique a de son côté annoncé le lancement d’une mission qui devra identifier les produits chimiques les plus toxiques pour les récifs coralliens.  L'expédition française Tara pacifique tente aussi de comprendre et d'expliquer le phénomène de leur blanchissement.

  • Étude scientifique des coraux et des super-prédateurs

    Un programme d'exploration scientifique sur une année entière, consacré à l’étude des coraux et des super-prédateurs en Polynésie Française, a débuté le 11 août. Il s’inscrit dans le cadre d’une expédition, Under the pole 3, qui a pour objectif de réaliser un tour du monde des régions océaniques entre mai 2017 et 2020 et se focaliser dans les études sur la zone crépusculaire (zone mésophotique) qui se situe entre 50 et 150 m de profondeur.

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