Crowdfunding (financement participatif), réserve parlementaire ou mécénat, plusieurs initiatives polynésiennes liées au développement durable ou à l’économie solidaire ont bénéficié de fonds permettant à des acteurs du changement de développer leurs activités.
+ Suite à un vote public en ligne pour l’attribution de sa réserve parlementaire 2016, la députée polynésienne Maina Sage a désigné, fin septembre, les 19 associations qui bénéficieront de ses subventions. Voir la liste des associations lauréates sur le site de Radio 1 : Maina Sage finance le reboisement du Raid Painapo
+ La plateforme « Make Sense », initiative polynésienne, a reçu 24 millions Fcfp (200 000 euros) du géant Internet Google, via Google impact challenge. Celle-ci met en lien des entrepreneurs sociaux avec des personnes qui souhaiteraient s’engager dans les projets qu’ils défendent. Christian Vanizette, son initiateur, figurait parmi les dix finalistes de ce concours.
Lire sur Tahiti Infos : Google impact challenge. 200 000 euros pour le projet Make Sense de Christian Vanizette
+ Le site de crowdfunding ekosea.com doit être lancé le 15 novembre à Lorient, dans le Morbihan (France). Ce site a la particularité de s’intéresser à tout projet en lien avec la mer et l’environnement, en métropole… mais aussi en outre-mer. Cette plateforme pourrait permettre de soutenir des initiatives venues du fenua. Son créateur pourrait envisager la mise en place d’une antenne d’Ekosea à Tahiti. Il peut d’ores et déjà compter sur le soutien de trois “parrains” au fenua qui ont adhéré à son projet : le surfeur Hira Teriinatoofa, le “waterman” Teiva Joyeux et enfin le photographe Tim McKenna. En métropole, d’autres sportifs de haut niveau ont fait de même, à l’image du navigateur Loïck Peyron.
Lire sur le site de La Dépêche : Ekosea : un site de crowdfunding dédié à l’océan