AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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  • Faire « basculer » l'économie vers un modèle durable

    Une trentaine d’entreprises du fenua prêtes à s’engager dans l'aventure de la Convention des Entreprises pour le Climat (CEC) afin de répondre aux enjeux climatiques ; À Hao (Tuamotu) un écolodge pour la 4e compagnie du RSMA qui se veut novatrice, tournée vers l’écotourisme et l’environnement ; À Papara, la Maison Familiale Rurale (FMR) organise ses journées portes ouvertes pour mieux faire connaître ses formations dans la filière agricole.

  • Déchets : toujours un défi écologique

    La gestion des déchets reste toujours un défi écologique : À Punaauia, intervention bénévole du personnel d'un hôtel dans une opération de ramassage des déchets sur une partie du littoral ;  À Papeete, plan d’action pour retirer de l’eau un maximum de navires abandonnés ou en fin de vie. Mais... l'épave du Corsaire est toujours immergée dans le port, à Motu Uta ; Pour valoriser ces déchets de l’industrie du pneumatique, le syndicat Fenua Ma a mis en place une nouvelle filière de revalorisation des pneus usagés qui sont transformés en chips ; L’occasion, ici, de rappeler la règle des 5R : Refuser, Réduire, Réutiliser, Rendre à la Terre, Recycler.

  • Black Friday v/s Black Out : une « épée de Damoclès » ?

    Un événement commercial annuel, le Black Friday, a été perturbé, les 24 et 25 novembre, par un incident technique ayant mis K.O. le réseau de transport électrique sur toute l’île de Tahiti : un black out , autrement dit en français, une coupure de courant accidentelle généralisée. Au-delà des désagréments engendrés, cette situation devrait nous interroger de façon plus soutenue sur la viabilité et la durabilité du mode de développement socio-technico-économique du fenua.

  • JO 2024 de surf: vers une solution pour la tour des juges ?

    Va-t-on vers une solution satisfaisante, à la fois pour la sécurité de la structure et pour la préservation de l'environnement corallien du site ? La polémique a fait couler beaucoup d'encre*... Après bien des tergiversations - et suite aux interrogations d'associations et de surfeurs, voire de riverains - le Pays et Paris 2024 se sont mis d'accord pour une solution intermédiaire: exit l'option Papara et la réutilisation après aménagement de l'ancienne tour en bois. C'est finalement la tour en aluminium prévue mais allégée, en poids et en taille, qui sera installée.  Le maire de Taiarapu Ouest regrette pour sa part que la nouvelle structure ne soit pas celle promise et estime que les associations « ont gâché la fête ». Les associations protestataires reconnaissent des efforts mais restent sur leurs gardes.

  • J.O de surf à Teahupoo : le feuilleton continue

    Un sujet local - mais dont l'écho est international - mobilise la sphère médiatique depuis la mi-octobre. Il s'agit en l'occurence de la construction d'une tour des juges dans le lagon de Teahupoo, une structure destinée à accueillir le jury des compétitions de surf comptant pour les Jeux Olympiques 2024. Au-delà de son aspect sportif et socio-économico-politique, il implique une dimension environnementale non négligeable - l'intégrité du plateau corallien et un possible impact sur la vague mythique du spot. S'ajoutant à la vingtaine d'articles consacrés à ce sujet par la presse locale en ligne*, en voici une douzaine d'autres dont on peut deviner qu'ils ne seront pas les derniers, en attendant les décisions (15 ou 20 novembre ?) qui seront prises: la même tour allégée, la reprise consolidée de la tour en bois, une barge amovible type Criobe pour forer ses fondations, un autre spot (à Papara) ? Il sera peut-être alors temps de tirer des conclusions de cet épisode feuilletonnesque à rebondissements... AvA-Infos laisse à la sagacité du lecteur le soin d'en découvrir les multiples arcanes.

  • Des pistes pour une économie plus durable

    Protection de la biodiversité et souveraineté alimentaire : pose de la première pierre du futur centre technique des plants et semences de Ua Huka ; L’UPF lance un nouveau diplôme universitaire « Management et Transformation par l’Innovation », notamment dans les domaines de l’intelligence collective et de la conduite du changement ; L’association Raiatea Sitting veut remettre au goût du jour le concept du troc ; Concept « Do It Yourself, ou Fais-le-Toi-Même » : le Brico-Lab vient d’ouvrir ses portes dans le centre-ville de Papeete ;  Embouteillages, transport collectif : préparation de la « Semaine de la mobilité » ; Polémique autour de l'application de covoiturage NiuCar.

  • Des politiques agricoles à forts enjeux : autonomie alimentaire, santé, environnement :

    Autonomie alimentaire, objectifs de santé, développement économique, ancrage des populations et environnement sont au programme du recensement général agricole lancé ce 16 août.  Avec un volet sur l’agroécologie, une innovation au niveau mondial ; La Polynésie française  accueillera un atelier régional sur la durabilité des systèmes alimentaires du Pacifique du 2 au 6 octobre ; Les JO 2024 à Teahupoo dans la ligne de mire des instances de l'agriculture du fenua : des plants vivriers et des graines maraîchères afin que les athlètes, le staff et les spectateurs puissent manger local pendant l'événement ; Une jeune société locale, Go Green Tahiti, commercialise des méthaniseurs domestiques qui permettent de répondre à une problématique environnementale et énergétique. Pouvant fabriquer du gaz et de l’engrais à partir de déchets organique, elle espère trouver un écho auprès des autorités organisatrices des Jeux olympiques, notamment pour traiter les biodéchets produits lors de la préparation des repas des athlètes.

  • Déchets et pollution: des réponses pour une meilleure maîtrise

    Le collectif Nana sac plastique et l’association Ti’ai Fenua présentent au gouvernement leur projet de mise en place d’un réseau de ressourcerie dédié à la réparation d’équipements électriques et électroniques afin de limiter la quantité de déchets générée ; Vaste opération de retrait des épaves dans les zones relevant de l'autorité portuaire ; À Punaauia, discussion Pays/commune : Gestion des déchets et assainissement des eaux usées, réhabilitation de la décharge de la Punaru’u ; Incivilités nocturnes à répétition sur la plage de Mitirapa, à Toahotu : aménagements de la commune pour répondre à la pollution sonore ; Les océans sont "dégoutants": en séjour à Tahiti sur son voilier Voice of the oceans, cette Brésilienne tente d’éveiller les consciences.

  • Déchets, pollutions, dégradations, embouteillages : les news de début juillet 23

    L’association Mama Natura s'investit pour ramasser les déchets lors des festivités du Heiva ; Elle participe aussi à l'opération de mesure de densité des déchets du programme Wildlands Studies, à Papara ; Le président du Pays à Raiatea pour trouver un équilibre dans le traitement des déchets (décharge saturée) ; Extraction de matériaux dans la rivière Taharuu: la Polynésie française condamnée à dédommager des riverains ; Cofinancement par l’État et le Pays de neuf projets communaux touchant aux services publics environnementaux (assainissement des eaux usées, alimentation en eau potable, gestion des déchets…) ; Embouteillages récurrents: quid de la sécurisation de la circulation dans le quartier de Nuuroa (Méridien), à Punaauia ?

  • Transplantation de corail, pae tai, et parcours arboricole, pae uta

    La diversité biologique - ou biodiversité - est la variété de la vie sur Terre, sous toutes ses formes, depuis les gènes et les bactéries jusqu’aux écosystèmes entiers comme les forêts ou les récifs coralliens. Résultat de 4,5 milliards d’années d’évolution, elle est de plus en plus influencée – souvent négativement, malheureusement - par les activités humaines. Mais il existe aussi des actions positives : à Papeete, l'armée transplante du corail pour le sauvegarder ; à Arue, un collectif a mis en place un petit parcours arboricole pédagogique à l'entrée de la piste qui mène à l'Aorai.

  • Énergie renouvelable: des solutions pour nos îles

    C'est une problématique de premier ordre pour les communes isolées, particulièrement dans les Tuamotu. L’énergie solaire pour déssaliniser l'eau de mer : produire de l'eau douce et abordable pour tous ;  L´AFD abonde l'EPIC Te Ito Rau no Moorea-Maia'o  de plus de 500 millions Fcfp afin d'améliorer le mix énergétique à Moorea et l'électrification de Maiao.

  • Environnement: actions en cours du tissu associatif

    L’association Manu-SOP a sauvé l’an dernier 334 oiseaux marins, grâce à son réseau de bénévoles ; Avec la FAPE, « Parcours écologie » et fresque pour l’environnement réalisée par des jeunes en réinsertion judiciaire à la Maison de la culture de Papeete ;Ateliers collaboratifs de réparation à Rangiroa avec l'association Tata'i ; L’association de protection de la vallée de Punaru’u a fait don de 50 pieds d’orangers à la ville de Punaauia ; À Moorea, l'écomuséeTe Fare Natura favorise l'insertion professionnelle.

  • Bons points pour l'environnement

    Les aires marines éducatices sont nées il y a dix ans. Les élèves de de l'école Patoa de Taioha'e poursuivent les activités entreprises au sein de l'AME de Nuku Hiva ;  des scientifiques du Criobe de Moorea, continuent d'évaluer l’état du milieu marin marquisien dans le cadre du programme Polynesia Mana de surveillance des récifs coralliens ; label Challenges pour un Fenua durable : 5 entreprises du fenua engagées en faveur de l’environnement récompensées par la CCISM  ; une entreprise dpolynésienne, Hello Scoot, couronnée lors de la 7e édition du concours Innovation Outre-mer pour son service de location en ligne de scooters électriques.

  • Énergie, santé, respect de l'environnement : des solutions novatrices

    Lancement du projet agrisolaire Mahana O’Hiupe à la Presqu’île ; Coral Gardeners projette de planter un million de coraux d’ici 2025 ; signature du label “Commune en Santé” pour 14 communes issues des 5 archipels ; Création d'une brigade verte à Rikitea ; Annonce du prochain Tech4islands Summit pour l’émergence de nouveaux modèles insulaires de développement, durables et résilients ; Le glamping : une activité d'hébergement basée sur l'échange.

  • Déchets: ne pas se désintéresser du problème...

    Parler « déchets » n’est pas un sujet sexy. Ces histoires de poubelles n’intéressent pas grand monde. Et pourtant, l'accroissement de leur production est de plus en plus problématique et pourrait générer une crise environnementale et sanitaire si ne sont pas mises en place des solutions adéquates pour leur gestion éco-durable. 

  • Pour un développement plus "durable" : il existe des alternatives

    Le développement économique n’est pas qu’une affaire de gros sous. Certaines associations et entreprises l’ont compris et donnent une dimension écologique et/ou solidaire à leurs activités. Une démarche à ne pas confondre avec le « greenwashing* » dont peuvent abuser certaines autres…

  • L’éducation à la santé et au bien vivre est une priorité du développement durable

    Donner les moyens de vivre une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tous les âges est essentiel pour le développement durable. Quelques exemples d’initiatives déployées en avril en Polynésie française.

  • L’économie circulaire en progression sur le fenua

    L’économie circulaire concerne l’utilisation des sous–produits, le recyclage, la réparation, la récupération,… mais aussi plus généralement les activités dont le processus de production se nourrit des principes du développement durable. Des événements en parlent et des projets, comme celui de "ressourcerie" de Colibris Tahiti, se montent.  

  • Le Cobaturage arrive en Polynésie

     

    Un site Internet gratuit met en relation des plaisanciers avec des personnes désirant effectuer une traversée, une sortie en mer ou bien une activité maritime ou fluviale. Mis en place depuis un près de deux ans en métropole, le concept pourrait faire des adeptes en Polynésie.

  • Tortues d’Or : un concours pour récompenser le meilleur tri sélectif

    Les trophées décernés par Fenua Ma – anciennement la SEP (Société environnement polynésien) - récompensent les efforts consentis en matière de tri sélectif. Un espoir ? Une enquête réalisée par ce syndicat mixte auprès de 900 personnes démontre que  98 % des personnes interrogées estiment que trier les déchets est incontournable pour la protection de notre environnement. 

  • La santé psychique des enfants et adolescents : un préalable au développement durable

    L'Association des Soignants en Pédospychiatrie de Polynésie française déplore un manque d'effectif et regrette également de ne pas disposer de lieux adaptés aux "soins psychiques" des enfants et adolescents.

     

     

  • Les atteintes à l'environnement seront de plus en plus réprimées

    La gestion des déchets est un casse-tête en Polynésie française depuis de nombreuses années, souvent faute de prise de conscience responsable de la part des individus. Depuis le 5 janvier, une avancée législative permet de simplifier la procédure pénale actuelle et l’abandon de déchets en zone classée est puni de contraventions qui peuvent être directement appliquées par les agents assermentés du Pays. Idem pour les nuisances sonores et l'entrave à la circulation.

  • Formation en cours à l'UPF de douze techniciens des énergies renouvelables

    La nouvelle promotion 2015/2016 a déjà entamé sa formation : elle comprend pour la première fois des apprentis en convention avec l’Université de la Polynésie française et deux entreprises locales, EDT et l’OPH. L'objectif : former des techniciens supérieurs capables de conduire des projets dans les domaines de la maîtrise de l’énergie et des énergies renouvelables dans les secteurs industriels et tertiaires en intégrant les aspects techniques, financiers et économiques.

  • FireChat : un réseau de communication gratuit, résilient et indépendant des réseaux traditionnels

    FireChat est une application mobile gratuite sans réseau GSM ou Internet...  La ville de Arue s'est proposée pour en devenir une commune pilote en Polynésie française. Elle a a noué un partenariat avec Open Garden, société à l'origine de l'application, et Smart Tahiti Networks, opérateur à l'origine de NiuTV.

     

  • Des financements pour des projets écologiques ou participatifs

    Crowdfunding (financement participatif), réserve parlementaire ou mécénat, plusieurs initiatives polynésiennes liées au développement durable ou à l’économie solidaire ont bénéficié de fonds permettant à des acteurs du changement de développer leurs activités.

  • Entrepreunariat social : Make Sense retenu au concours Google Impact Challenge

    Fin août, AvA-Infos avait annoncé la mise en place d'un relais local de l'initiative internationale d'entrepreneuriat social, Make Sense. Suite au Google impact challenge organisé à travers le monde par le géant Internet pour "soutenir et promouvoir des projets innovants qui peuvent avoir un impact positif ", cette association créée par un Polynésien fait partie des finalistes.

  • Lancement d'un site internet de location d'objets entre particuliers à Tahiti et en Polynésie

    Le site LocFute.com a été mis en ligne à la fin du mois d'août. Il s'agit, selon ses concepteurs, d'un nouvel outil lancé pour permettre de consommer mieux, ou tout du moins de dépenser moins. Le principe, permettre de louer occasionnellement ce dont on aurait peut l'utilité dans l'année plutôt que de l'acheter. Et, réciproquement, de proposer à la location un outil que l'on possède mais dont l'on n'a pas besoin de disposer en permanence. Le tout, entre particuliers.

  • Projet de "Ressourcerie" à Tahiti : un endroit de collecte et de réparation pour éviter le gaspillage

    Colibris-Tahiti projette la mise en place d'un endroit où l'on pourrait laisser des objets usagés et où ceux-ci seraient recyclés. Une façon de leur donner une seconde vie, d'éviter qu'ils ne contribuent à augmenter la pollution et enfin de participer à une économie circulaire et solidaire. L'occasion également de créer un lieu de rencontre et d'éducation à l'environnement.

  • Ouverture du J'Âm, premier restaurant « vegan » à Papeete

    Le J’Âm a ouvert ses portes le 10 août. Installé rue Vienot à Papeete, cet établissement pas comme les autres offre un concept alternatif de restauration qui n’avait pas encore été proposé à Tahiti. On y déguste une cuisine végétalienne et le plus bio possible, mais le lieu est aussi ouvert à des rencontres, elles aussi alternatives.

  • Une première à Tahiti : ouverture d'un garage participatif

    Yves Jeager a ouvert début août le premier garage participatif du fenua. Cette structure, installée à Papeete, s’adresse avant tout aux personnes qui souhaitent effectuer elles-mêmes les opérations d’entretien en bénéficiant des conseils d’un spécialiste de la mécanique. 

  • Coursier à vélo : le concept prend

    La bicyclette ne doit plus faire ses preuves en termes de rapidité. En ville, elle se révèle même très efficace pour transporter plis et petits colis. Baptiste, qui a lancé son activité de coursier à vélo, il y a quatre mois, travaille aujourd’hui avec une douzaine d’entreprises privées et il entend continuer à développer son activité intitulée Mana Cycle Express.

  • "Touchez pas à la mer" : il faut aussi trouver des solutions pour la protéger

    On connaît la chanson d'Antoine écrite il y a déjà près de 30 ans. Aujourd'hui, les recommandations du chanteur de "moins faire les idiots", ont elles été entendues ? Des "continents de plastique", envahissent les océans. N'y a-t-il pas moyen de réagir ? Un jeune Néerlendais a inventé un système qui semble révolutionnaire et qui devrait bientôt être mis en application dans le Pacifique. 

  • Les P'tits ateliers de Punaauia, pour petits et grands

    Un endroit où les parents peuvent aller avec leurs enfants sans gêne. Les adultes y discutent, les enfants s'y amusent et y créent. C'est le concept des P'tits ateliers, version nomade du P'tit café, lancé en décembre 2014 sur la commune de Punaauia mais arrêté en décembre de la même année.

  • Solidarité et partage pour une société plus équitable

    Des fruits et des légumes frais pour les plus démunis, la considération des handicapés et des malades, ou encore des vacances pour les enfants défavorisés. 

    Donner aux plus démunis des fruits et légumes frais. L'idée n'est pas neuve mais la concrétiser reste compliqué. Une convention a été signée le 8 juillet entre le ministère de l’Agriculture et la Croix-Rouge pour permettre aux épiceries solidaires de bénéficier des fruits et légumes habituellement jetés par le Service du développement rural.

     

  • Déchets : une gestion compliquée et des initiatives contestées

    Dans le compte-rendu du conseil des ministres de lundi 13 juillet, le Pays annonce la révision de sa politique des déchets. À Hitia’a, l’installation d’un centre d’enfouissement technique (CET) suscite la polémique. Des solutions pour les batteries et les carcasses de voitures.

  • Intelligence artificielle et bionique : la technologie toute puissante est-elle une alternative pour résoudre les problèmes de l'Humanité ?

    L’intelligence artificielle n’est plus seulement un sujet de science fiction, les progrès de la science et de la technologie nous en approchent chaque jour d’avantage, avec ses espoirs et ses inquiétudes. Va-t-elle poser un problème majeur à l'humanité ? Un film récemment projeté à Tahiti pose en tout cas la problématique. Les "alternatifs", qui utilisent volontiers les outils informatiques et le Net, peuvent-ils éluder la question ?

     

  • Journées Bleues : écotourisme marin et protection des espèces emblématiques

    La Polynésie Française a accueilli, début juin, les Journées Bleues, séminaire régional sur le thème de l’écotourisme bleu dans le Pacifique lié aux espèces emblématiques. Ce séminaire a réuni 14 Pays membres du PROE ainsi qu’une trentaine d’acteurs de l’écotourisme dans le Pacifique. Ce séminaire s’est déroulé en séances plénières et en ateliers, qui ont permis aux petits Pays Océaniens de s’exprimer sur cette thématique.

  • Séminaire régional d'éco-tourisme : « les Journées bleues »

    La Polynésie française accueille, du 1er au 5 juin, "les Journées bleues", un séminaire régional sur le thème de l'écotourisme bleu dans le Pacifique lié aux espèces marines emblématiques. Cet évènement, initié par le gouvernement de Polynésie française, est organisé en collaboration avec le PROE (Programme Régional Océanien de l'Environnement).

  • Environnement : vers une "politique de résorption des décharges sauvages"

    Le ministère de l’Environnement a présenté au gouvernement une communication concernant les décharges sauvages, qui échappent à la réglementation locale et sont illégales. Elles sont la conséquence de l’insuffisance des moyens de collecte et de traitement des détritus, notamment dans les archipels mais également d’un réel incivisme. 

  • Projet de minibus solidaires

    Un entrepreneur a eu l'idée de mettre gratuitement à disposition des mairies des minibus permettant de transporter, gratuitement, des gens ou des associations qui n’ont pas les moyens de se payer un tel service. Le tout est financé par de la publicité affichée sur la carrosserie du véhicule, le sponsor profitant d’une visibilité importante lors de ses déplacements en zone urbaine. 

  • Mahina veut devenir une destination de tourisme durable

    La municipalité de Mahina invite ses acteurs économiques et associatifs  à participer à la mise en place d’une dynamique concrète pour faire de Mahina une véritable destination touristique, dans le cadre d’un schéma de développement durable.

     

  • Mana Cycle Express : Baptiste, coursier à vélo, veut développer un mode de « mobilité douce » à Tahiti

    Baptiste Sureau vient de démarrer un projet professionnel simple et peu coûteux. Depuis le 4 mai, il offre un service de livraison de colis aux entreprises et aux particuliers, avec sa bicyclette comme seul moyen de locomotion. Une idée écologique qui est aussi une alternative économique qui aura la préférence des sociétés ou des individus qui veulent vivre « autrement » à Tahiti, en accord avec un mode d’existence plus respectueux de l’environnement et favorisant les initiatives alternatives au « système ».

  • 60% des batteries seulement recyclées en Polynésie : un nouveau projet de collecte et de retraitement

     Ayant travaillé en Polynésie de 1982 à 1984 en tant que militaire, Bernard Laumonnier y est revenu en 2014. Il s'est aperçu que le problème des batteries abandonnées dans la nature n’avait pas disparu. Ce constat, rapporte La Dépêche de Tahiti  l’amène aujourd’hui à vouloir implanter une société qui exporterait les batteries usagées vers une entreprise métropolitaine spécialisée dans le recyclage.

     

  • BEST III : une initiative d'aide européenne aux porteurs de projets concernant la protection de la biodiversité

    Le premier des trois ateliers de consultation polynésienne de l'initiative européenne Best III s'est déroulé le mercredi 8 avril à Papeete. Son objectif : élaborer un profil d'éco-système pour la Polynésie française particulièrement axé sur la protection de la biodiversité. Des aides financières européennes peuvent être apportées aux projets, notamment associatifs, qui vont dans ce sens. Le deuxième atelier est prévu pour le lundi 27 avril.

  • Soutenir un projet d’éco-tourisme « Whale-Watcher » à Tahiti

    Ce projet consiste en une croisière aventure sur l'observation des baleines à bosses à bord du "Jambo" le catamaran du célèbre navigateur Laurent BOURGNON. 8 semaines d’aventure à but éducatif et scientifique sur les baleines à bosses. 8 semaines de rapport complet d'observation des cétacés. 8 semaines de tournage dans l'Océan Pacifique.

  • La Polynésie française : un laboratoire naturel pour l’étude des écosystèmes insulaires océaniens

    L’Unité Mixte de Recherche (UMR) n°241 « Ecosystèmes Insulaires Océaniens » a organisé jeudi 26 mars à l'UPF une matinée de présentation de ses projets scientifiques et de ses premiers résultats.   L'objectif était de porter à la connaissance du public (services de l’Etat et du Pays intervenant ou concernés dans le domaine de l’environnement ou de l’exploitation des ressources naturelles, associations, bureaux d’étude, organismes de recherche, particuliers s’intéressant à ces problématiques) la nature et les enjeux de cette initiative fédérative et de mutualisation de moyens, qui a été mise en place dans le cadre du projet quinquennal 2012-2016. 

  • L'espace Info Énergie réouvert : des conseils gratuits et indépendants pour réduire sa consommation d’énergie.

    l’Espace Info Energie (EIE), fermé depuis septembre 2013, est à nouveau ouvert. Toujours en partenariat avec l'ADEME et la Polynésie française, il  est désormais porté par la Fédération des OEuvres Laïques (FOL) et offre des conseils gratuits et indépendants pour réduire sa consommation d’énergie.

  • Transformer les cimetières en forêts sacrées

    Pourquoi les alternatives ne concerneraient elles pas aussi l’après-vie ? Deux designers italiens médiatisent leur projet de « bois sacré » : enterrer les défunts dans des poches au dessous d’arbres plantés. Un funéraire écologique en quelque sorte…

  • Ateliers Montessori pour adultes avec "Parent Autrement à Tahiti" en mars et avril

    L’association Parent Autrement à Tahiti organise, en mars et avril, des ateliers s’adressant aux adultes (parents, enseignants, professionnels de l’éducation). Objectifs : accompagner des enfants de 3 à 6 ans dans leurs apprentissages ; découvrir la pédagogie Montessori ; manipuler le matériel pédagogique ; comprendre la progression des présentations afin de le mettre en pratique chez vous ou dans vos classes.

  • Vendredi 23 janvier, "Apéro-sel" au Casa Bianca de Punaauia

    Le collectif PolySEL lance son 1er "apéro-sel", vendredi 23 janvier à partir de 17h30 au restaurant Casa Bianca, à la marina Taina (Punaauia, Tahiti). L'objectif ? Se rencontrer, discuter, répondre aux questions des nouveaux membres, échanger sur les offres et demandes et surtout passer du bon temps !

  • FabTown, le réseau de mise en relation par centres d'intérêt

    Un temps à la tête d'une distillerie à Tahiti, Dominique BROGI a eu un parcours professionnel polyglotte et international qui l'a menée, aujourd'hui, à lancer un réseau social original : FabTown, une application qui géolocalise les gens en fonction de leurs centres d’intérêt, de la pâtisserie à la solidarité. Le but de ce réseau ? Créer du contact et de l’entraide et non exposer sa vie idéalisée comme sur Facebook.

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