On constate progressivement une mobilisation pour valoriser les savoirs traditionnels de préservation de la nature. Cycles du temps, rahui, oiseaux endémiques… au cœur d’initiatives éco-culturelles.

 

 

 

L'équipe de la Jeune chambre économique de Tahiti souhaite créer un almanach culturel polynésien, un outil au service de la culture pour les Polynésiens, par les Polynésiens. 

- Un almanach pour préserver la culture polynésienne (Tahiti Infos)

 

Autour du 20 mai on célèbre matari’i raro. Yves Doudoute, membre fondateur de l’association culturelle Haururu qui a remis cette célébration traditionnelle en valeur depuis plusieurs années (liée au lever des Pleiades, avec Matari’i i nia en novembre), invite à prêter attention au cycle des éléments qui nous entourent pour mieux comprendre son utilité dans la vie de tous les jours.

- Matari'i i raro commence demain  (La Dépêche de Tahiti)

 

Une réunion d’information s’est tenue, début mai à la mairie de Tautira, dans le cadre du projet de mise en place d’un réseau de rahui à Taiarapu. Une présentation assurée par Pauline Fabre, doctorante, avec le soutien de Tamatoa Bambridge, chargé de recherche. Il s’agit de trouver un équilibre entre pêche et préservation. Un modèle inédit de rahui tournant, avec un “cœur protégé”, est apparu comme le plus adapté. Il a d’ailleurs fait l’unanimité lors de la réunion.

- TAUTIRA - Un projet de rahui présenté aux pêcheurs (La Dépêche de Tahiti)

 

"Vik’ura", "Vik’iti" et "Vik’ana" sont les représentantes des loris endémiques de Polynésie. David Proia, le créateur du concept "Les aventures de Vik’ura & Co, nos perruches polynésiennes" a obtenu que les parcs des jardins de Paofai soient baptisées au nom de ses trois mascottes afin de sensibiliser les enfants à leur environnement.

- Les parcs de Paofai prennent les couleurs de "Vik'ura & Co, nos perruches polynésiennes" (Tahiti Infos)