AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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        actualités, revues de presse

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Culture

  • Réponses de science

    Qu’il s’agisse de santé ou de géologie, la recherche scientifique permet de mieux comprendre certains fondamentaux de la vie en Polynésie afin de mieux s’y adapter: Une doctorante de l’UPF récompensée pour ses travaux des recherche concernant les plantes polynésiennes et leurs applications cosmétologiques ou pharmaceutiques ; Un colloque organisé à la Maison des sciences de l'homme du Pacifique concernant l’histoire de la santé des Polynésiens ; Une équipe de chercheurs en géologie s’intéresse à l’histoire du sous-sol du lagon de Bora Bora.

  • La Fête de la Science placée sous le thème "Océan de savoirs"

    L’océan, comme véritable laboratoire à ciel ouvert et milieu complexe, mobilise un champ important de la recherche, des sciences fondamentales et appliquées aux sciences humaines et sociales. Cette année, coordonnée par l’association Te Mana o te Moana, avec de nombreux partenaires, la Fête de la Science se déroule en plusieurs lieux, du 4 au 18 octobre. Des journées portes ouvertes y sont aussi organisées, permettant aux scolaires de visiter des centres de recherche comme l’Institut Louis Malardé (ILM), le Criobe et Météo France.

  • Cinq news de "santé environnementale"

    D'après l'OMS, la santé environnementale comprend les différents aspects de la santé humaine, y compris la qualité de la vie, déterminés par les facteurs physiques, chimiques, biologiques, sociaux, psychosociaux et esthétiques de notre environnement. À découvrir dans cette revue de presse: Quid de leurs conséquences sanitaires et environnementales ? Le 29 août est Journée Internationale contre les Essais Nucléaires ; Informations sur les allergènes dans l'étiquetage des produits alimentaires ; Surpoids et obésité: des chiffres qui restent très alarmants ; Le savoir des femmes marquisiennes en matière de plantes médicinales ; Séminaire intégratif Fare Hape 2024 : réinventer le système de santé en intégrant les savoirs ancestraux polynésiens pour des soins plus adaptés et durables.

  • Les Marquises inscrites au patrimoine mondial de l’Humanité

    Le vendredi 26 juillet - à New Delhi, en Inde - le Comité de l’UNESCO a acté l’inscription des Marquises au patrimoine mondial de l’Humanité. L’archipel, considéré comme « un important centre d’endémisme » pour sa flore et sa faune,  est reconnu par l'Organisation des Nations unies comme un bien mixte, dont « la valeur universelle réside tant dans ses richesses culturelles que naturelles ».

  • Développement durable : de la mer à la terre

    Un actif cosmétique découvert dans le rori, concombre de mer : un procédé qui devrait aussi permettre de préserver ces espèces menacées par la surpêche ; Aux Marquises, les agriculteurs, les éleveurs, les pêcheurs lagonaires, les aquaculteurs et les exploitants forestiers consultés pour la feuille de route du développement du secteur primaire ;La fondation Agir contre l'exclusion (Face) va lancer, d'ici septembre, la première banque alimentaire du Fenua ; L’opération ‘ETE perpétuée cette annéeencore à l'occasion de la 13e édition des Floralies, du 2 au 12 mai à la mairie de Punaauia autour du thème : « De la terre à l’océan;Marché du terroir dans les jardins de la mairie de Punaauia pour inciter à consommer local ; Les savoirs ancestraux comme alternative aux répercussions du dérèglement climatique ? La série "De la Mère à la Terre en Outre-mer.

  • Matarii: des célébrations qui questionnent

    Notre rapport au temps qui passe conditionne nos manières de gérer les activités humaines. L’année polynésienne se divisait autrefois en deux principales saisons ou périodes royales (tau ari’i), marquées par deux dates : Matarii i raro, vers le 20 mai, avec la disparition des Pléiades et le début de la saison de la disette (tau o’e) ; Matarii i ni’a, vers le 20 novembre quand commence la saison de l’abondance (tau ‘auhune). Un temps abandonnées, au profit de fêtes laïques ou chrétiennes, leurs célébrations reviennent dans le calendrier des festivités. Une réappropriation qui peut néanmoins être l'objet d'interrogations.

  • Matari'i i nia jour férié ? Le calendrier comme marqueur éco-culturel

    L’ensemble des valeurs, matérielles et immatérielles, qui fondent une société sont souvent reliées à son calendrier. Faire de Matari’i i nia un jour férié pourrait être l'occasion d'encourager la population à se réapproprier le temps polynésien et son cadre naturel. C'est le souhait exprimé par la vice-présidente et ministre en charge de la Culture à l'occasion de la venue à Tahiti du professeur Rangiānehu Mātāmua, spécialiste en astronomie culturelle maorie, qui a permis l’établissement d’une fête nationale en Nouvelle-Zélande à l’occasion de Matariki, le lever des Pléiades maori. Le 16 mars, l'association Haururu, à l'origine de la revitalisation des célébrations de Matari'i, fêtait ses 30 ans d'existence.

  • Transition écologique : de la théorie à la pratique

    Samedi 17 février, l'UPF a organisé une Journée Portes Ouvertes au cours de laquelle les futurs étudiants ont été notamment invités à découvrir la licence "Sciences de la Transition écologique et sociétale" qu'elle va proposer à la rentrée prochaine, en septembre. Une première en Outre-mer ! Cette formation pluri et transdisciplinaire vient tout à fait à point pour former des jeunes qui apprendront ainsi à développer les compétences nécessaires pour s'inscrire dans des métiers d'avenir. De nombreuses professions, tant dans le public que dans le privé, vont devoir en effet intégrer les valeurs et les connaissances aptes à leur permettre de répondre aux défis écologiques et sociétaux des décennies à venir. L'occasion, dans cette revue de presse, de découvrir les articles publiés par les médias locaux durant la semaine du 12 au 18 février 2024. Une démonstration concrète du caractère transversal de ces problématiques qu'ils vont devoir apprendre à découvrir et appréhender.

  • Tourisme durable (suite) : deux sommets et un label

    Le Sommet pour le tourisme durable du Pacifique, comme cela avait été annoncé dans un précédent article*, s'est ouvert ce lundi 16 octobre au Hilton de Faa'a. On trouvera ci-dessous des informations complémentaires acquises lors de l'événement ; Un autre événement s'est tenu simultanément à Tahiti concernant le tourisme de croisière: le deuxième "South Pacific Cruise Forum". S'agit-il d'un tourisme responsable ? ;Alors que le tourisme durable est au cœur d'un sommet il aura aussi été question, cette même semaine, du label "Clef Verte" qui, quant à lui, existe déjà depuis plus de vingt ans. Mais, en Polynésie française, une seule pension de famille est labellisée.

  • Journées mondiales des Océans et de l'Environnement

     Journée mondiale des Océans: double traversée pédagogique Tahiti-Moorea avec plus de 200 collégiens à bord de l'Aremiti pour découvrir le travail de 7 associations de protection de la natureLa fondation Coral Gardeners de Moorea ambassadrice du fenua à l'ONU ;Journée mondiale de l'Environnement : dans les jardins de Paofai,la ville de Papeete a mis en place un village écocitoyen pendant trois jours ; À Tahaa, immersion d'une statue de tortueen ciment pour en faire un refuge corallien pour la faune marine.

  • Nature/Culture : six initiatives éco-culturelles à découvrir

    On a célébré Matarii i raro à Tahiti. La réactivation de cérémonies liées aux changements de saison est l’occasion de ré-ancrer la culture issue de la mémoiredes tupuna dans la réalité environnementale ; Ouverture "gérée" du rahui deTautira tout en préservant la ressource de cette Zone de Pêche Réglementée (ZPR) ; Eva Tarahu, jeune artiste autodidacte écoresponsable, ramasse des planches abîmées et les transforme en des œuvres d’art ; Manger sain : avec son Painapo Snack à Vairao, Lilia Lissardy vise une clientèle de surfeurs et de curieux avec un menu végétarien et gourmand ; Projet Bora-BiodivAlice Carpentier, biologiste marin, s’est déplacée à Vaitape pour apporter des éclairages sur les raies mantas ; Les élèves de CM1-CM2 de l’école Ahototeina de Teahupo’o bouturent du coraildans leur Aire Marine Éducative (AME).

     

  • Communications autour des notions de développement durable et de protection de l’environnement

    Rencontre littéraire à la Maison de la culture autour du livre “L’Urgence écologique au fenua : petit guide pratique pour tous” ; Thèse de doctorat sur le développement d’alternatives durables pour le secteur perlicole ; Lettre ouverte au futur gouvernement afin d'interpeller les nouveaux élus sur la problématique du bien-être des animaux au fenua ; Conférence sur les raies manta (mobula), des animaux emblématiques protégés par le code de l'environnement ; Travail pluridisciplinaire à l'ISEPP pour la réalisation d'un documentaire TV : le regard de jeunes sur des thèmes tels que la précarité, l’environnement, la santé mentale ou encore la pression sociale.

     

  • Six initiatives pour valoriser le patrimoine naturel et la biodiversité polynésienne

    Ateliers collaboratifs Tata’i pour donner une seconde vie à des jouets redistribués aux enfants des quartiers démunis de Mahina ; Biobase étudie la production d’emballages et papiers à base de ressources renouvelables, notamment la fibre de bananier ; Le Fare Natura de Moorea accueille trois expositions de photos mettant à l'honneur certaines richesses sous-marines et terrestres du fenua ; Partenariat Criobe/SOP Manu pour une conférence sur les  ‘’Oiseaux terrestres et marins de Polynésie’' ; Une semaine organisée dans le cadre du programme PROTEGE pour une apiculture conciliant la diversification de la production et le respect de l’environnement ; Une compétition pour recenser les diverses espèces de noix de coco présentes sur le territoire polynésien.

  • Quatre événements éco-culturels à vocation pédagogique

    Quatre événements placés sous le signe de l'alliance de la nature et de la culture se sont déroulées du 17 au 20 novembre : Le 23e Salon du livre, sous le signe des nourritures ; La 21e édition de la Fête de la Science sous le signe du "Réveil climatique" ; La 2e édition de L'Effet Mer : les espèces marines emblématiques du fenua ; Matari’i i ni’a, ou l'alliance traditionnelle nature/culture.

  • Ils agissent pour protéger l'environnement (2)

    Beauté des récifs : L'IRCP organise une expo "photos" ambulante et pédagogique ; l’association Te mana o te moana  sensibilise près de 400 élèves  de Moorea à la problématique des déchets ; l'association Tama no te Tairoto s'intéesse à la ponte des coraux ; la fédération d’associations Tahei ‘auti ia Moorea organise un nouveau rassemblement en faveur d’un développement raisonné de l’île sœur ; Les élèves de l'école de Ua Pou ont participé à une collecte de piles  ; Subvention en faveur de l’association Te mana o te umara, (Te M.O.T.U) pour l’organisation de formations citoyennes au développement durable.    

  • Nature et culture : une alliance à privilégier

    Opposer nature et culture n’a guère de sens pour les sociétés polynésiennes traditionnelles. Dans la perspective d’un développement ‘’durable’’ du fenua, il est aussi préférable de les associer concrètement. Dans cette revue de presse : la stratégie touristique du Pays, Fāri’ira’a Manihini 2027, pour un tourisme durable ;Dans le dernier BSEO, zoom sur l’atoll de Morane, un site isolé dont les peuplements terrestres et marins sont considérés comme atypiques ; Préservation des valeurs agricoles et culturelles du fenua avec Te tau ‘auhune   matari’i i ni’a ; Les oiseaux ont un rôle important dans les traditions orales du fenua. Encore faut-il les protéger... avec discernement.

  • Culture, éducation et sensibilisation au service du développement durable

    Aucun développement ne peut être durable sans inclure la culture. La transition écologique pose un défi de connaissance et d’ancrage citoyen pour appréhender et s’approprier les enjeux du changement climatique, de la raréfaction des ressources, de la transition énergétique ou de la reconquête de la biodiversité… : Premier portail UNESCO pour la une reconnaissance internationale de notre culture et de notre nature ; Financement d’ateliers jeunesse de sensibilisation à la lecture et aux éco-gestes du quotidien ; Les Outre-mer en première ligne sur les questions relatives au réchauffement climatique.

  • Le nouveau projet immobilier du Tahara'a contesté

    Après la côte ouest de Tahiti et Moorea, c'est au tour des habitants de la côte est de se mobiliser contre un projet immobilier de grande ampleur. Abandonné depuis un quart de siècle, l'ancien hôtel devrait faire la place à un nouvel établissement hôtelier mais aussi à un très gros complexe immobilier intégrant un centre commercial. Les édiles de la commune d'Arue et un collectif craignent des conséquences environnementales néfastes et la destruction d'un symbole culturel traditionnel. Elless'y opposent et disent non à ce New Tahara’a projeté par le groupe City. Une manifestation pacifique a été organisée sur place le samedi 16 juillet.

  • Blue Climate Summit : mieux protéger l'océan et le climat

    Cet événement mondial qu'est le Blue Climate Summit a été organisé en Polynésie française sur quatre îles (Tahiti, Moorea, Raiatea, Bora Bora) et à bord du navire de croisière Paul Gauguin. Durant la deuxième quinzaine du mois de mai il a réuni environ 250 scientifiques, chercheurs, décideurs, investisseurs, représentants de communautés et écologistes. Mais que pouvons-nous réellement espérer de ce sommet ? Il reviendra aux analystes et aux historiens d’en tirer une synthèse et de décrypter les consensus ou les incompréhensions qui s’y sont exprimés. Dans l’attente d’un tel travail, AvA-Infos propose une revue de presse des nombreux articles qui ont été écrits sur le sujet dans les médias locaux. Des pistes de réflexion (écologie, économie, société, culture...) sont à y découvrir.

  • Culture et protection de l’environnement

    Avec le festival Ono'u, neuf artistes s'expriment sur le thème de la protection des océans et la biodiversité ; 36 ans après leur premier voyage, les pirogues hawaïennes à voile Hokule’a et Hikianalia sont arrivées en Polynésie françaisei. L'occasion d'une réflexion sur la transmission culturelle, le lien régional, mais aussi la préservation de la planète ; 10 projets sélectionnés à l'occasion du concours Raura’a Ora, portant sur le thème de la biodiversité terrestre ;À Raiatea, associations, élus et habitants de Tumaraa travaillent main dans la main pour la sauvegarde de l’environnement avec, en vue, la mise en place d'un rāhui dans le lagon de "l'Île sacrée" ; 2 600 000 Fcfp de subventions accordées à cinq associations pour la mise en œuvre de projets environnementaux ;  Projet d'aménagement d'un site domanial à Nivee (Hitia'a O Te Ra) destiné à accueillir les manifestations de "car bass" et éviter les nuisances sonores qu'elles peuvent générer.

  • Éducation, art, santé... développer les moyens du changement

    Les enjeux liés à l'environnement et au développement durable, en particulier le changement climatique et la préservation de la biodiversité, appellent une mobilisation de l'ensemble de notre société et de profondes évolutions des comportements individuels et collectifs : ateliers sur le tri des déchets, le rahui ou encore la vie des cétacés pour une classe de l'école primaire Farahei Nui à Faa'a ; quatre classes des écoles primaires de Raiatea participent au concours du projet régional océanien des territoires pour la gestion durables des écosystèmes ; l'environnement et le son au coeur d'une exposition artistique à Tahiti et Moorea ; promotion de la non-violence éducative avec l’association Parents autrement à Tahiti ; la Direction de la Santé lance un appel à projets dans le cadre du dispositif "Commune en santé".

  • Un Noël synthétique ? Quel futur pour nos enfants ?

    Si Noël est la fête des enfants, on devrait plutôt s’inquiéter de l’avenir que l’on va leur laisser : réchauffement climatique, pollutions en tous genres, abonnement à une thérapie génique avec traçage numérique… Attelons-nous plutôt à faire la démonstration de notre capacité à dépolluer la planète et à réduire notre consommation énergivore en retournant notamment le plus possible au local en matière d’échanges.

  • Matari'i i ni'a: quand culture rime avec nature

    Le 20 novembre on a célébré Matari'i i ni'a, célébration ancestrale du changement de saison en lien avec le mouvement de la constellation des Pléiades dans le ciel. L'association Haururu a particulièrement contribué depuis une vingtaine d’années à remettre en valeur ce rendez-vous annuel traditionnel accordé au calendrier tropical naturel des îles polynésiennes. Au fil des ans, elle a inspiré d’autres associations culturelles qui le célèbrent aussi à nouveau. À Tahiti, mais aussi à Moorea, Raiatea et Maupiti.

  • Trois initiatives pour un fenua plus durable

    Trois initiatives, en ce début de novembre, pour mieux réconcilier l’homme, la nature et l’économie dans une société qui doit emprunter le chemin de sa transition écologique : promotion du bio, gestion durable d’entreprises, éducation et préservation de la biodiversité. 

  • Promouvoir un usage respectueux de la nature

    Il y a plusieurs occasions, et de différentes manières, pour promouvoir un usage respectueux de la nature : conférences sur le Droit de l'environnement, Fête de la Science, intervention de députés pour la préservation des écosystèmes marins,challenge de traversée à la nage "solidaire" ou encore restauration des récifs par le bouturage de corail...

  • Culture et environnement : trois projets porteurs d’avenir

    Small Island Big Song : un projet mettant au-devant de la scène des musiciens de 16 nations insulaires des océans Pacifique et Indien, leurs préoccupations et expériences communes concernant la crise climatique ; un stage de découverte de l'environnement permet aux animateurs de randonnées pédestres de mieux comprendre et d'interpréter les paysages, et donc de mieux les sauvegarder ; Philippe Darius est fondateur d’Ekopia Tahiti, une école qui encourage et accompagne ceux qui le souhaitent à transformer leur jardin en fa’a’apu nourricier. Il travaille actuellement avec une équipe à la réalisation d’un ebook qui rassemblera 100 plantes utiles de Tahiti.

  • Marquises et Tuamotu - Climat, environnement, culture: même préoccupation

    À l’occasion de la visite du président de la République, une fresque murale a été créée à Hiva Oa, à l’initiative de la commune en partenariat avec le festival ONO’U. Elle est dédiée à la préservation du patrimoine naturel et culturel marquisien. L’occasion de rappeler les projets d’aire marine (« gérée » ou « protégée » ?) pour l’archipel des Marquises. Au Tuamotu, les habitants de Manihi ne veulent pas faire partie des premiers réfugiés climatiques du fenua.

  • La culture au service de la protection de l'environnement

    La culture contribue à la durabilité environnementale de différentes façons, grâce aux liens intrinsèques entre diversité culturelle et biodiversité, grâce à l’influence qu’elle exerce sur les modes de consommation, mais aussi à travers les pratiques de gestion de l’environnement liées aux connaissances traditionnelles et locales. Certaines facettes de l’art contemporain peuvent aussi y participer…

  • Culture: la préservation de l'environnement évoquée

    Aucun développement ne peut être durable sans inclure la culture. Et l’éducation y a une part importante. Du patrimoine culturel aux industries culturelles et créatives, la culture, selon l’Unesco, « est à la fois un catalyseur et un vecteur de dimensions économiques, sociales et environnementales du développement durable». Malgré la crise liée à la Covid 19, quelques événements peuvent néanmoins avoir lieu. La protection de l'environnement y a sa place...

  • Nature et culture : une symbiose bienvenue

    Célébration de Matarii i ni'a à Papenoo et à Arue, pour la rentrée dans la saison d'abondance ; découverte des jardins de Vaipahi, à Mataiea,un lieu de détente dans un site autrefois réservé aux rites religieux de purification et départ de randonnées ; dernière étape de la construction en cours, à Moorea, du Fare Natura, premier écomusée de Polynésie française.

  • Ciel et mer : les merveilles de notre environnement

    Nous vivons tous les jours au sein d’un environnement stellaire et planétaire. Ce que nous avons tendance à oublier, absorbés que nous sommes par nos propres constructions mentales et matérielles, souvent réduites à la sphère économique… Il est bon de se rappeler que nos ancêtres savaient observer le ciel et, ainsi, naviguer sur le plus vaste océan de la planète. De nos jours, les scientifiques découvrent les profondeurs de cet océan. L’occasion de se rappeler la nécessité de protéger sa biodiversité.

  • La nature du fenua, un monde à découvrir et... à respecter

    La nature et toutes ses ressources, indispensables au développement de la vie sur Terre, sont aujourd'hui confrontées à de multiples menaces. Des passionnés s’engagent pour les protéger : sommet, grotte (site culturel), plantes médicinales ou tinctoriales, espèces endémiques…

  • A lire: "Le Plus Grand Défi de l'histoire de l'Humanité"

    « L’écologie est-elle une victime collatérale de l'épidémie ? », interroge un article récent du journal Le Monde. En ce temps de confinement, mettez entre parenthèses toute autre lecture, et lisez cet ouvrage en priorité. Aucun autre sujet ne devrait avoir plus d'importance que celui de la vie que nous détruisons. Ce sujet doit être pris très au sérieux, et partagé au plus grand nombre. Il est temps de se préoccuper (enfin) de ce qui compte réellement dans notre existence.

  • Comment la culture peut-elle contribuer à la protection de l'environnement ?

    Espace numérique et audiovisuel, lecture, conférences, préservation des langues polynésiennes,  partage de valeurs traditionnelles… autant de facettes de la culture qui peuvent être abordées avec une conscience écologique.

  • À découvrir, six initiatives éco-culturelles pour le fenua

    Selon l'Unesco, "la culture crée un monde riche et varié qui élargit les choix possibles, nourrit les capacités et les valeurs humaines, et est donc un ressort fondamental du développement durable des communautés, des peuples et des nations". Entre tradition et modernité, préservation de la culture et des enjeux environnementaux vont de pair.

  • L'océan célébré lors de la semaine du patrimoine à Punaauia

    La semaine du patrimoine, qui s'est tenue du 20 au 27 septembre au Fare Oire, a été l'occasion de célébrer la culture polynésienne et les richesses de la ville de Punaauia ! Avec, comme thème "Te Moana", cette deuxième édition offrait aux visiteurs la possibilité de s’immerger dans l'héritage marin de la commune et de se sensibiliser à sa protection et à sa sauvegarde.

  • (janvier 2019) Petite revue de presse : Culture et environnement

    Environnement numérique, lecture, préservation des langues polynésiennes, nourriture partagée selon des valeurs traditionnelles, tourisme vert, mode… autant de facettes de la culture qui peuvent être abordées avec une conscience écologique.

  • La culture détermine aussi la façon de vivre des êtres humains

    "En tant que dépositaire du savoir, des significations et des valeurs qui imprègnent tous les aspects de notre vie, la culture détermine aussi la façon de vivre des êtres humains. Elle est, dans toutes ses dimensions, une composante essentielle du développement durable" *. Petit florilège de films, animations, périple en mer ayant contribué, en novembre, à une meilleure visibilité de cette thématique. 

  • Célébration de Matarii i ni’a: la culture pour mieux protéger l’environnement

    Comme tous les ans depuis une vingtaine d’années, autour du 20 novembre, l’association Haururu commémore Matarii i ni’a, qui marque le retour dans la période d’abondance. Des festivités étaient autrefois organisées à l’occasion de cette date importante du calendrier traditionnel polynésien que cette association éco-culturelle a remise en valeur. On a aussi célébré cette date à Faa’a et à Moorea.

  • La biodiversité terrestre et marine: un potentiel à découvrir et à préserver

    La biodiversité terrestre et marine ne dévoile qu’une infime partie d’un potentiel de ressources encore peu exploré à préserver : il représente pour les Outre-mer un moteur innovant de croissance économique dans lequel la recherche joue un rôle majeur. Du 19 au 23 novembre s’est tenu à Tahiti la dixième édition du Colloque international des plantes aromatiques et médicinales (CIPAM) qui a réuni une centaine d’experts, de chercheurs, d’industriels et de tradipraticiens de Polynésie française, d’outre-mer, d’Europe et du Pacifique. 

  • S’inspirer des traditions pour la protection de l'environnement

    La protection de l’environnement est aussi affaire de culture. Certaines des traditions ancestrales sont porteuses d’une sagesse qui manifeste un accord avec les rythmes cosmiques. Le respect de la nature, en particulier en la gardant propre, pourrait s’en inspirer. L’association Haururu a souhaité rappeler un marqueur de temps lié au calendrier traditionnel avec la remise à l’honneur d’une cérémonie oubliée,vaereä marae, qui se situe au moment de l’équinoxe, autour du 20 septembre. 

  • Environnement: les uns polluent, les autres préservent...

    Les îles de la Polynésie offrent des attraits enviés par le monde entier. Encore ne faudrait-il pas contribuer à détruire les merveilles offertes par la nature. Face à l’inconscience de certains, il y a heureusement des initiatives bénéfiques. Quelques exemples relevés en août.

  • Concours : Photographiez les Outre-mer

    Le ministère des Outre-mer organise avec Wikimédia France et l’Agence française de développement, un concours photographique consacré aux espaces naturels protégés des territoires français d’outre-mer. Pendant tout le mois d'août, les participants peuvent tenter de remporter le Prix Wikimédia France en photographiant l’un des espaces naturels protégés présents dans les territoires français d’Outre-mer. 

  • Éducation : des clés de compréhension pour la protection de l’environnement

    Pour un mode de vie sain, les enfants doivent être éduqués de manière positive à l’environnement afin de développer une conscience et un sens de la participation. Également pour les aider à acquérir des connaissances sur les principes écologiques visant à trouver un équilibre entre la santé individuelle et celle de la société et de l’environnement.  Les adultes doivent aussi être informés…

  • Science, nature, culture : dialogue médecine conventionnelle/médecine traditionnelle

    Comment envisager le maintien en bonne santé d’une population sans tenir compte de son environnement culturel et naturel ? Une prise de conscience s’est opérée au sein de personnels soignants du centre hospitalier (CHPF). Le travail entrepris depuis plusieurs mois avec des tradipraticiens en partenariat avec l’association Haururu a abouti, fin mai, à l’organisation d’un séminaire de “médecine intégrative“ au cœur de l’île de Tahiti, dans la vallée de Papenoo.

  • Le développement durable commence par l’éducation

    Science et tradition ne sont pas forcément incompatibles. Une meilleure connaissance de l’univers dans lequel nous vivons permet à chacun de se situer dans le contexte d’interdépendance qui, de l’étoile à la plante et au minéral, constitue notre humanité. Un nouveau Planétarium pour Proscience, le déplacement de la pirogue Faafaite, la célébration de Matarii i raro pour Haururu, les Doctoriales 2018 pour l’UPF… Des approches différentes mais complémentaires sont possibles.

  • Arrivée des baleines: les conseils de l'association Mata Tohora

    L’association Mata Tohora publie régulièrement une newsletter. Voici le contenu de la dernière par laquelle elle présente des nouvelles des cétacés à l’approche de l’arrivée des baleines à bosse en Polynésie. Des informations et des conseils...

  • Environnement, solidarité… la culture a son mot à dire

    Qu’il s’agisse de promouvoir la protection de l’environnement ou de renforcer la solidarité au sein de nos sociétés, il est utile de savoir utiliser des langages qui font appel à la sensibilité. Sculpture, musique ou danse peuvent contribuer à éveiller les consciences.

  • Pour une civilisation équitable et heureuse: la société civile en action

    Certains événements organisés par des structures émanant de la société civile n’ont apparemment pas de stricts liens avec ce que l’on appelle aujourd’hui le développement durable. Et pourtant… En mars, on a célébré la Journée internationale de la Femme et la Journée internationale du Bonheur.

  • Tourisme et participation citoyenne écologiques

    Le tourisme, qu’il soit le fait d’étrangers venus découvrir le fenua ou de résidents désireux de se promener en faisant son footing, peut être l’occasion de s’investir pour une action de protection de l’environnement, ou d’effectuer des actions sociales de façon bénévole. Connaissez-vous le “plogging”  et le “volontourisme” ? 

  • Revue de presse du mois de février

    AvA-Infos poursuit son travail de “scan” de l’actualité locale concernant la protection de l’environnement et le développement durable. Dans tous les domaines, problèmes et… solutions possibles sont repérés. Petit rappel de l'actualité publiée en février.

  • Revue de presse décembre 2017

    Cette revue de presse renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

  • revue de presse novembre 2017

    Cette revue de presse renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

  • Revue de presse octobre 2017

    Cette revue de presse, à la différence des précédentes, n’est pas organisée par thématiques. Elle renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

     

  • Un autre regard sur la présidentielle

     

    Le mois de mai a été marqué par la tenue des élections présidentielles. Comme l’a malheureusement montré un sondage IFOP/WWF,  l’environnement a semblé le grand absent des débats publics. L’ONG Green Peace a néanmoins décidé de décrypter et commenter les principales composantes environnementales des différents programmes des candidats.

  • La culture à l’écoute de l’environnement

     

    On constate progressivement une mobilisation pour valoriser les savoirs traditionnels de préservation de la nature. Cycles du temps, rahui, oiseaux endémiques… au cœur d’initiatives éco-culturelles.

     

  • 2emes Assises Eco Ecole : la pédagogie du développement durable dès la maternelle

    Le mercredi 19 avril dernier, Fedescol a organisé les 2e assises Eco Ecole de Polynésie française avec le soutien du ministère de l’Éducation, de l’ADEME, de FENUA MA et de la DGEE. Lancé il y a cinq ans, ce dispositif de pédagogie du développement durable prend de plus en plus en plus d’ampleur. 

  • La culture au service de l’environnement

     

    La protection de l’environnement passe aussi par des événements culturels, voire sportifs. Le passage de la pirogue hawaïenne à Tahiti et Raiatea, après un voyage de trois ans pour la protection des océans et des cultures autochtones en est un exemple, parmi d’autres, plus modestes.

     

  • 3e édition d’Alternatiba Tahiti

    Face au réchauffement climatique et à la destruction de l’environnement, il est possible d’adopter des solutions au quotidien pour un monde plus humain, convivial et solidaire. C’est ce qu’ont voulu démontrer, les 10 et 11 mars, les 25 étudiants d’une classe Info-Com de 3e année de l’ISEPP qui ont pris le relai de l’association Colibris Tahiti pour l’organisation de la 3e édition d’Alternatiba Tahiti.

  • Organisation du premier Festival Digital de Tahiti

    Le premier festival du numérique en Polynésie, le Digital Festival Tahiti 2017, s’est déroulé  du 16 au 18 mars à la CCISM. Si cela présage des opportunités commerciales, un potentiel de développement économique et des opportunités de communication et d'apprentissage… qu’en est-il de l’incidence sur notre mode de vie ?

     

  • Un Ecoquiz en ligne pour les élèves du primaire et du secondaire

    Fedescol, initiative de la plate-forme Colibris Tahiti, organise depuis le 9 janvier et jusqu'au 10 février un éco-quiz en ligne avec les établissements scolaires engagés dans une démarche de labellisation Eco-Ecole. Ceux-ci ont à répondre chaque semaine à 10 questions concernant le développement durable (3 niveaux de question). Le 7 mars, ceux qui auront le mieux répondu seront récompensés.

  • Petite revue de presse dédiée à la biodiversité

    Préserver la diversité des écosystèmes est indispensable pour gérer durablement les ressources de la planète. Tant au niveau des océans que du patrimoine terrestre. La Polynésie, ses archipels établis au sein du Pacifique, se doit d'y être attentive.

  • Makatea, la Pointe Tata’a : deux projets, deux sujets de discorde

    Au mois de novembre, des associations étaient montées au créneau pour contrer des projets qu’elles estiment menaçant l’écologie et la culture polynésienne. C’est le cas du projet de relance de l’exploitation du phosphate, sur l’île de Makatea,  et de celui de résidence sur la Pointe Tata’a, à Faa’a. De nouvelles informations sur ces sujets.

  • La planète ne doit pas être assassinée sous prétexte de traditions, d’habitudes ou de normes sociales

     

    Il faut bien le reconnaître, si Noêl est au départ une fête religieuse, c'est devenu au fil des ans un grand moment "commercial" favorable à une hyperconsommation qui va aussi laisser de côté un bon nombre de déshérités. Papiers cadeaux et emballages  vont aller saturer les poubelles. Quant aux jouets et sapins en plastique "made in China", ils vont aller dans quelques mois rejoindre les décharges sauvages... Ne parlons pas des milliers de kilomètres parcourus pour apporter ces objets fabriqués dans les usines continentales. Oublions aussi la souffrance des millions d'animaux qui, de par le monde, vont être l'objet d'un abattage industriel forcené...

  • Petite revue de presse centrée sur la vie en société

    Écologie et économie ne sont pas les seuls secteurs à considérer dans l'émergence du développement durable (soutenable) du fenua. Le rôle des relations sociales est souvent méconnu. La misère, les inégalités entre hommes et femmes, la maltraitance… sont des plaies à guérir. La santé mentale et le lien aux racines culturelles ou l'ouverture au monde - sont aussi des domaines à prendre en compte. Au-delà du fait divers, une certaine actualité doit nous interpeller. Reflets d'un mois de novembre riche en informations, voici un florilège d'articles publiés par les médias locaux - classés par ordre chronologique de parution.

  • Projets industriels et touristiques : les associations veulent avoir leur mot à dire

    Projet de ré-exploitation du phosphate de Makatea ; reprise d’un projet de résidence sur la colline de la Pointe Tata’a, à Faa’a ; extension de l’hôtel The Brando, à Tetiaroa ; projet d’Ecoparc dans la vallée de Papenoo : des associations montent au créneau pour défendre une vision « durable » du développement économique. Petite revue de presse. 

  • Des associations actives dans leur contribution au développement durable

    Protection de l’environnement, responsabilité des entreprises, initiatives pour l’amélioration de la vie, recyclage… des associations polynésiennes sont en pointe dans différents domaines pour promouvoir une vie plus responsable, plus solidaire et plus écologique.

  • Ecoparc : Haururu rejoint les associations qui disent non au projet

    Ayant jusqu’alors accepté d’assister aux réunions du comité de pilotage  du fait de son insertion ainsi que de celle du village de Fare Hape dans l’organigramme des concepteurs d’Ecoparc, l’association a participé, le 13 août, à la marche organisée par une douzaine d’associations pour dire non à ce projet privé soutenu par le gouvernement.

     

  • La culture au service de la protection de l’environnement et du développement durable

     

    La protection de l’environnement passe par la culture et par l’éducation. Plusieurs initiatives ont permis, en juin, de proposer des réflexions ou de favoriser une sensibilisation à une meilleure prise en compte de la biodiversité. Ou encore à éclairer la problématique de la gestion des déchets.

  • Un vingtième établissement scolaire labellisé Éco École en Polynésie française

     

    Vingt établissements scolaires sont aujourd’hui labellisés parmi les 38 qui participent en Polynésie française à la démarche du réseau Éco École. Ce label récompense ceux qui ont rempli des conditions d’engagement concret en faveur d’un fonctionnement éco-responsable et intègrent l’enseignement au développement durable (EDD) dans leurs pratiques pédagogiques. Le collège Notre-Dame des Anges (NDA) de Faa’a est le vingtième à avoir rejoint à la mi-juin ce réseau.

  • Journée de l'environnement : un rendez-vous pour le public au Musée de Tahiti

    Cette journée, promulguée par le PNUE, (Programme des Nations Unies pour l'Environnement), est célébrée depuis de nombreuses années et soulève régulièrement les questions essentielles de la protection de l'environnement et ses conséquences sur la qualité de vie des populations et l'avenir écologique de la planète Terre. Au fenua, cette année, elle a été célébrée le 5 juin dans les jardins du musée de Tahiti et des îles. L'objectif : sensibiliser le public à la protection de la nature.

  • Le label éco-école fait des émules

    Le collège Notre-Dame des Anges de Faa’a a obtenu en juin le label d’éco-collège sur la thématique “déchets”. Ce collège de Tahiti travaillera l’année prochaine sur la thématique liée à la santé et à l’alimentation. Il rejoint la quarantaine d'établissements scolaires associés à ce réseau.

  • Mobilisation citoyenne autour des valeurs du « changement »

     

    Ces dernières semaines, à Tahiti, plusieurs initiatives ont vu le jour. Les rencontres Après « Demain » avec les Colibris-Tahiti, les Green Zone Days et la naissance du mouvement citoyen Tahiti Nui Debout. Le film « Demain » projeté en salle à Papeete pendant plus d’un mois, a été l’occasion d’une prise de conscience pour certains. Pour d’autres, il a été prétexte à se rencontrer afin d’avancer dans la perspective que « nous sommes le changement ».

  • Toujours contesté par la population : le projet d’Ecoparc dans la vallée de Papenoo

    Lancé à la fin de l’année dernière, ce projet est soutenu par le ministre du Tourisme. Mais il est loin d’avoir l’assentiment des associations de la vallée. Le comité de pilotage mis en place peine à trouver un consensus pour le développement de cette initiative privée. Une marche dans la vallée a même été organisée pour affirmer l’opposition de la population.

  • Imaginer, projeter, montrer : Demain sera ce que nous en ferons

    Le film "Demain" en salle à Papeete ; Un appel à projets écologiques avec le programme Best 2.0; Une expo de photos et un documentaire ; Un thème de réflexions ; Des étudiants qui imaginent le futur. Culture et économie peuvent faire bon ménage pour promouvoir le développement durable.

  • Polémique autour du projet de grande réserve marine aux îles Australes

    Cela faisait  deux ans  que les 6000 habitants des Australes discutaient autour d'un projet important à leurs yeux : créer une grande Aire Marine Protégée (AMP) autour de leurs îles. Début avril, ils ont sollicité une audience auprès du gouvernement d'Édouard Fritch. Qui n'a pas le même avis sur le sujet, préférant la mise en place d'une "d'Aire Marine Gérée" sur toute la ZEE polynésienne.

     

  • Moorea, vallée d'Opunohu : deux projets alliant tourisme, culture et écologie

    Un musée écologique bientôt en construction dans la vallée d’Opunohu. Cette vallée de Moorea accueillera aussi un parcours ethno-botanique qui devrait permettre de mettre en valeur et de protéger l’ensemble naturel remarquable de ce domaine qui est aussi un site archéologique de premier plan.

  • La communication au service du développement durable

    Plusieurs événements ou initiatives ont été déployés à Tahiti pour la sensibilisation de la population à la protection de l’environnement ou à une vie sociale plus harmonieuse : Journée mondiale de l'eau, des maru maru sauvés, réinsertion des jeunes par l'écologie, Label Hina et JT vert sur TNTV, des lycées branchés écolos, la 3e édition de TedXPPT...

     

  • Se former pour transformer la société

    Imaginons et préparons des lieux écologiques et solidaires en Polynésie française. Colibris Tahiti se fait le relai d'une initiative du Mouvement Colibris qui a lancé en février une formation en ligne afin que chacun puisse travailler sur la conception du projet de ses rêves et disposer d'un cadre pour le lancer et participer activement au réseau "Oasis" de Colibris.

  • AvA-Infos 2016 : le site participatif du développement durable en Polynésie

    Depuis plus d’un an, AvA-Infos sélectionne dans l’actualité polynésienne les informations liées aux problématiques environnementales et sociétales posées par sa transition vers un développement durable. En tentant aussi de les décrypter. Mais AvA-Infos se veut également un site participatif.

  • La santé psychique des enfants et adolescents : un préalable au développement durable

    L'Association des Soignants en Pédospychiatrie de Polynésie française déplore un manque d'effectif et regrette également de ne pas disposer de lieux adaptés aux "soins psychiques" des enfants et adolescents.

     

     

  • AvA-infos : plus d’un an d’infos pour décrypter l’actu « autrement »

    Depuis novembre 2014, Ava-Infos relaie l’actualité locale, et parfois internationale, en sélectionnant les thèmes liés au développement durable, à la protection de l’environnement et à l’économie participative. Près de 300 articles classés par rubriques permettent aujourd’hui de suivre ces thématiques souvent perdues au milieu des faits divers et vite disparues dans le flot continu de l’ « actu », qu’elle soit sur papier, sur internet ou audio-visuelle. Mais cette information n’a pas vocation à rester bien rangée sur un serveur informatique.

  • Extension au niveau national du concept polynésien d’aires marines éducatives

    Début décembre à Paris, Édouard Fritch et la ministre de l’Écologie, Ségolène Royal, ont signé un accord de partenariat qui doit permettre de valoriser et d’étendre au niveau national le concept polynésien des “Aires marines éducatives”.

  • Attentats de Paris, COP 21 : deux expressions d’une crise « systémique »

    Le mois de novembre a été endeuillé en son milieu par les attentats qui, à Paris, ont laissé un lourd bilan : 130 morts, plus de 300 blessés et une population traumatisée. En fin du mois, on a aussi assisté à l’ouverture de la COP 21, conférence internationale destinée, en principe, à favoriser le maintien de la température globale de la planète à un niveau acceptable pour les sociétés humaines. Quelques réflexions.

  • Moment de réflexion : Comment tout peut s’effondrer !

    « C’est un peu surréaliste d’observer ce qui se passe dans les réunions internationales sur le changement climatique. Y a–t-il une seule personne dans ces réunions qui ait vraiment et sincèrement envie de changer quoi que ce soit au système, ou de changer tout court ? »

  • Alternatiba Tahiti 2015 : encore un succès

    Le premier Alternatiba Tahiti, le 29 novembre 2014 à l’Assemblée (Papeete), avait déjà surpris quant au nombre de personnes intéressées par cette initiative. Les Colibris Tahiti remercient toutes les bonnes volontés qui ont de près ou de loin contribué au succès de la 2ème édition d’Alternatiba Tahiti.

  • La « Nature humaine » futur argument touristique de la destination Polynésie ?

    Longtemps axé sur le développement d’un tourisme haut de gamme (bungalows sur pilotis, hôtels 5 étoiles…), le secteur de l’industrie touristique peine à faire émerger Tahiti et ses îles comme une véritable destination « verte ».  Un positionnement fondé sur la valorisation de la « Nature Humaine » est envisagé… 

  • La culture moteur de transformation personnelle et collective

    Trois manifestations culturelles différentes se sont déroulées, en novembre, qui illustrent différentes manières de se responsabiliser face aux enjeux climatiques et sociétaux auxquels les sociétés sont de plus en plus confrontées. Une « méditation pour la Terre », le Salon du Livre de Tahiti et la célébration de Matari’i i Ni'a.

  • Alternatiba Tahiti 2 : le programme

    Samedi, 14 novembre à la mairie de Punaauia, Alternatiba Tahiti mettra en lumière toutes les initiatives locales qui luttent contre la pollution, le gaspillage et œuvrent en faveur du recyclage, des énergies vertes et du partage…

  • Appel aux dons pour construire le "Village des alternatives"

    L’association Colibris Tahiti est en pleine préparation d’Alternatiba Tahiti, le Village des alternatives du Fenua, seconde édition, qui aura lieu le samedi 14 novembre à la mairie de Punaauia. Elle lance un appel aux dons afin d’assurer le bon déroulement de cet événement qui est, rappelons-le entièrement citoyen et bénévole. Alternatiba Tahiti, c'est plus de 50 stands, des conférences, des ateliers, des concerts, un espace de création artistique, un grand maa participatif... et plein d'autres choses...

  • Rapport sur l’état de l’environnement en Polynésie française

    Le ministre de la Culture et de l’Environnement, Heremoana Maamaatuaiahutapu, a participé, le 23 octobre, à la restitution du rapport sur l’état de l’environnement 2015. En 350 pages un état des lieux dynamique des observations réalisées depuis 2007.

  • "Vis ta ville" à Papeete : promotion des fruits et légumes chez les "d'jeunes"

    Depuis le mois d'avril 2009, la Ville de Papeete en partenariat avec l’association Agir Pour l’Insertion (API), a lancé l’opération « Vis Ta Ville » à raison d’un mercredi par mois, en faveur des “Djeun’s” de la capitale. Le 21 octobre, l'objectif était d'encourager les jeunes à consommer régulièrement des fruits et des légumes.

  • "Oasis, un nouveau mode de vie"

    Le magazine Kaizen et le Mouvement Colibris présentent 100 "Oasis", 100 lieux de vie construits aux quatre coins de la France par des femmes et des hommes qui ont décidé de placer l’autonomie, le partage et la convivialité au cœur de leur mode de vie. Et pourquoi pas, bientôt, à Tahiti ? Rendez-vous pour en parler le 14 novembre, au "village des alternatives", Alternatiba Tahiti.

  • Label Hina : Une série écolo 100% locale sur TNTV en février 2016

    Une série télévisée locale est en préparation, co-produite par TNTV et une maison de production polynésienne, Archipel production. Écrite par Sarah Dukhan et Simon Lecoq, "Label Hina" raconte l’histoire d’une jeune Polynésienne qui veut sauver son île du réchauffement climatique.

  • La Fête de la Science sous le signe de l’environnement

    Cette année, la Fête de la Science était organisée en Polynésie française, du 7 au 10 octobre, par l'association Te Mana o te Moana en partenariat avec l'État et le gouvernement du Pays. Le thème retenu : "les services éco-systémiques en Polynésie française : à quoi sert la nature?". 

     

  • L'approche irresponsable des baleines sera désormais réprimée

    Des dispositions du code de l’environnement et le programme « C’est assez », mis en place par l’association Mata Tohora, ont pour objectif d’inculquer aux observateurs de baleines les bons comportements à adopter dans leur approche. Mais la sensibilisation ne semble pas suffisante. Il va parfois lui falloir passer à une phase de répression. 

     

  • Nouvelle projection exceptionnelle du film "En Quête de Sens"

    Lors de la soirée du 1er juin, près de 600 personnes ont pu assister à la projection du film "En Quête de Sens". Un succès qui a incité l'association Colibris-Tahiti (ex 2D Attitude) à proposer une nouvelle soirée de projection et de rencontre le 1er octobre.

  • Projet d’ Ecoparc à Papenoo: « c’est non ! » pour le collectif citoyen

    Le 19 août, était présenté au conseil des ministres un projet de développement d’un ensemble touristique au centre de l’île de Tahiti, dans la vallée de Papenoo. Ce projet, estiment les représentants d’un collectif citoyen, « très vague malgré ses prétentions pharaoniques, ne respecte pas le PAD mis en place depuis 2006 ». Selon eux, la population risque de se voir imposé un projet « parachuté » sans avoir été concertée. Une pétition a d’ailleurs été lancée qui rassemble déjà près de 1500 signatures.

     

  • Évoluer pour être heureux, performant… et changer le monde ! Vivre son utopie !

    Rêvez-vous d’une société où nous pourrions vivre heureux et en harmonie ? Est-ce votre utopie, votre idéal, ce qui vous motive ? Mais est-ce atteignable sans transformation intérieure, sans évolution de la conscience individuelle et collective ? Le Forum International de l’évolution de la conscience propose sa quatrième édition, samedi 10 octobre 2015 à Paris, avec pour thème : Vivre son Utopie. 

  • Sensibilisation à la réduction des déchets : deux jeunes de Faa'a récompensés pour leurs films vidéo

    Un concours "La réduction des déchets, une affaire de famille" a été organisé par la mairie de Faa'a pour sensibiliser la population à cette thématique. Le lauréat, un élève au lycée hôtelier, s'est vu remettre le 3 septembre dernier un chèque de 50 000 Fcfp pour son initiative.

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