AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

AvA-Infos, ouvrons nos regards à la planète

 

        actualités, revues de presse

En savoir plus >>

Déchets

  • La protection de l'environnement est une affaire de tous les jours

    Pollutions, gestion des déchets, espèces invasives, sauvegarde des coraux, comportements (ir)respectueux envers la faune marine (baleines)... Il y a ceux qui perturbent inconsciemment (ou par avidité) les écosystèmes et dont les dégâts doivent être réparés. Et il y a aussi ceux qui agissent pour un fenua plus "durable" ! Petite revue de presse.

  • Économie, société et environnement : des pistes pour un développement plus “durable”

    Sur la route d'un développement plus “durable”, il y a les plus et les moins. Le fenua, pour se diriger vers plus de résilience face au réchauffement climatique et pour mieux répondre aux défis sociétaux et environnementaux, doit se frayer un chemin entre écueils et propositions positives.

  • Environnement, santé et et sécurité: trois cas problématiques

    Pollution majeure, accident industriel ou gestion des déchets à l’échelle d’une île… Certaines situations écologiques et sécuritaires doivent être traitées avec sérieux. Trois cas viennent d'alimenter l’actualité en ce mois d’août. L’un, en conséquences des essais nucléaires, l’autre à propos de la sécurité des dépôts d’hydrocarbures et de gaz à Papeete, le troisième concernant le site à l’air libre de déchets de Rangiroa.

  • Les déchets : un problème ou une ressource possible ?

    Il y a ceux qui polluent sans vergogne… et il y a ceux qui cherchent (et qui proposent) des solutions. La gestion des déchets n’en finit pas de se poser. Régulièrement, des collectifs de citoyens et des associations se mobilisent pour nettoyer des sites publics pollués par des “cons-ommateurs” irresponsables. Mais est-ce voué à se perpétuer sans fin ?

  • Îles, déchets et pollution : un bilan, des problèmes et des actions

    Les îles éloignées de Tahiti, notamment les Tuamotu et les Gambier, sont aussi concernées par les problèmes de pollution et de traitement des déchets. Quelques exemples relevés dans la presse locale dans la première dizaine de juillet. En ce qui concerne le plastique, le Vanuatu pourrait en tout cas inspirer la Polynésie française...

  • Moins de déchets, plus de mobilisation éco-citoyenne

    La crise liée au coronavirus a fortement perturbé de nombreux aspects de la vie quotidienne, y compris au niveau de la gestion des déchets. Produire moins de déchets s’avère encore plus une nécessité. Plusieurs solutions ont été mises en avant au fenua.

  • Quel après Covid19 voulons nous voir advenir ?

    La tension médiatique autour de la pandémie Covid19 se relâchant, l'actualité concernant la protection de l'environnement refait surface dans les médias locaux. Le mois de juin va aussi être l'occasion de rendre plus visibles les démarches éco-responsables initiées sur le fenua: sensibilisation au changement climatique, agriculture saine et durable, gestion des déchets...

  • Le plastique dans les tuyaux de la législation polynésienne

    Le texte proposé et adopté à la mi-mai par les représentants de l’APF « pose l’obligation générale de prendre toutes les mesures pour limiter à la source l’utilisation d’articles en plastique et de rechercher des alternatives 100 % biodégradables. Elle concerne autant les acteurs en amont (producteurs, importateurs, distributeurs) qu’en aval de la chaîne (clients) ».

  • Déchets dans la nature : il est possible de réagir !

    Jeter les déchets dans la nature, ce n’est pas sans conséquence. Ils y restent longtemps, parfois très longtemps. Les milieux naturels sont pleins de ces déchets qui mettent des années à être dégradés. Les centres de traitement ne peuvent pas absorber n’importe quelles matières. Des réactions se font jour…

  • Pollutions: encore et toujours... se battre !

     Des pehu encore abandonnés n'importe où, heureusement  des bénévoles et le mouvement citoyen pour le climat continuent leur lutte contre les déchets abandonnés sur les lieux publics ; un lâcher de ballons en plastique heureusement stoppé ; une pollution du lagon suite à un rejet d'eaux usées non contrôlé ; des car-bass encore accusés de pollution sonore ; 9 pesticides sur la sellette et de l'eau boueuse régulièrement déversée dans un lagon... À noter aussi, la découverte d'importants stocks de matériel électronique de communication, laissés sur place dans la montagne de Moorea.  

  • Pollution/Gestion des déchets (du 01 au 10/02/20)

    Petite revue de presse dédiée au suivi des événements liés à la pollution et/ou à la gestion des déchets relatés par la presse locale dans la période du 1 au 10 février: carcasses de voitures, extraction d'agrégats en rivière, plastique...

  • Pollution : des lendemains qui ne chantent pas toujours…

    Premier mois de l’année 2020. Aux grandes fêtes de la consommation, Noël et Nouvel An, a succédé le ballet des poubelles… quand elles sont ramassées (!). Trop nombreuses sont encore en effet les décharges sauvages. Et ce, malgré l’intervention de volontaires pour débarrasser la nature de ces déchets polluants. Il y a aussi les décharges qui brûlent, les thoniers pollueurs, un récif abîmé par une drague… Sans oublier le projet d’une nouvelle unité de concassage dans la vallée de Papeno'o, qui soulève des oppositions. Ou encore une étude d'impact environnemental bâclée, à Raiatea....

  • L'environnement au fenua – l'actualité de décembre 2019

    La protection de l’environnement est toujours d’actualité en Polynésie. Les écosystèmes, menacés par la pollution, doivent faire l’objet d’une surveillance constante. Mais de nombreuses initiatives heureuses peuvent être signalées pour le dernier mois de l’année 2019.

  • "Nana", les sacs plastiques ?

    Une loi de pays est dans les tuyaux pour une interdiction partielle des sacs plastiques... en juillet 2021. Le 19 décembre, le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) a donné un avis favorable au projet de texte du gouvernement “relatif aux dispositifs spécifiques aux produits utilisant du plastique”. Nul besoin, néanmoins, d'attendre un an et demi pour renoncer aux emballages à usage unique, des solutions existent déjà.

  • On peut fêter Noël "autrement" !

    Noël n’a pas toujours été synonyme de surconsommation ! Comment fêter Noël autrement, en retrouvant le sens profond de cette fête du solstice d’hiver (dans l'hémisphère Nord) et célébrant le retour de la lumière ? Certaines initiatives ont proposé des alternatives pour rendre plus acceptable ce qui est finalement devenu une fête... de la consommation. D’autres ont été plus radicales, notamment les actions non violentes d’Extinction Rébellion pour dire « non à la surconsommation ! »

  • "Le meilleur des déchets est celui que l'on ne produit pas"

    L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) a organisé jusqu'au 24 novembre la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets. C’était la neuvième édition polynésienne du genre. L'objectif de cette semaine est clairement d’encourager et de sensibiliser la population sur la réduction des déchets, car il existe des solutions, parfois toutes simples. Plusieurs actions à découvrir… Saviez-vous que 2/3 des déchets que nous jetons dans le bac gris pourraient être compostés ?

  • La gestion des déchets en quête de solutions

    Encore et encore... les opérations de ramassage de déchets, plus ou moins bénévoles, n'en finissent pas de retirer des tonnes de produits qui n'ont rien à faire dans la nature, sur les rivages, dans le lagon ou dans les vallées... Cette problématique, récurrente, doit être prise à bras le corps.

  • Environnement : un mois d'actualité

     Participation à un programme de sauvegarde de la biodiversité, sensibilisation de la jeunesse à la protection des océans par le biais de supports de communication (BD en l'occurence), nettoyage de lieux publics, lutte biologique contre les moustiques en remplacement de la pulvérisation de produits chimiques, dépollution d'un navire échoué, lutte contre les pollutions sonores... il y a plusieurs moyens d'agir pour la protection de l'environnement. Zoom sur des actions entreprises en octobre.

  • Mieux traiter les déchets et en produire moins

    Le traitement des déchets en Polynésie française repose aujourd’hui encore en grande partie sur l’enfouissement. Encore faut-il qu’ils ne soient pas jetés n’importe où dans la nature. Outre le recyclage, la création de déchetteries pourrait en diminuer la production. Ce qui permettrait de limiter le recours à l’enfouissement, et ainsi économiser les capacités de stockage des CET.

  • Pollution: réactions écocitoyennes dans plusieurs communes

    Les mauvaises habitudes et l'incivisme ont la vie dure... Il se trouve toujours des individus inconscients ou irrespectueux dont les comportements contribuent à polluer et à dégrader l'environnement commun. Parfois aussi, face aux dégradations dues aux éléments naturels, c'est l'inaction des services compétents qui est en cause. Des réactions salutaires se font jour, cependant, de la part d'organisations communales ou d'associations. Petit florilège du mois en cours...

  • Quid des terres contaminées de Hao ?

    Il est un problème de gestion des déchets que ne peuvent pas résoudre de simples moyens familiaux ou communaux, voire territoriaux : celui des terres contaminées de l’atoll de Hao, suite aux opérations menées sur cette base technique du CEA, lors des essais nucléaires à Moruroa et Fangataufa.

  • Déchets : mieux les gérer et, surtout, les réduire

    Un Polynésien produit en moyenne 280 kg de déchets/an. Si on impute les déchets des entreprises au nombre d’habitants, on en est à 365 kg/hab/an. Nos modes de consommation doivent encore changer car sur un territoire insulaire, leur gestion reste une problématique pour de nombreuses communes.

  • Des initiatives pour une meilleure gestion des déchets en Polynésie

    Les déchets abandonnés en pleine nature sont l’une des principales pollutions du fenua. Manque de civisme, inconscience ? Des opérations ciblées de ramassage tentent d’améliorer la situation. La sensibilisation et l’éducation s’avèrent néanmoins toujours nécessaires pour une meilleure protection de l’environnement.

  • Sacs en plastique: activer la prise de conscience et proposer des alternatives

    Les sacs plastiques semblent bien utiles mais ils sont une source de pollution considérable, durant tout leur cycle de vie. Leur production consomme des produits pétroliers, de l’eau, de l’énergie, et émet des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique. La prise de conscience évolue… doucement. La législation aussi.

  • Campagnes en cours de récupération des déchets électroniques et électriques

    Nos déchets électroniques et électriques (DEE) sont des substances potentiellement polluantes, c’est pourquoi ils sont considérés comme dangereux. Leurs composants mettent des années à se déliter et sont toxiques pour la nature. Mais ils contiennent aussi des matériaux valorisables et peuvent être recyclés.

  • Pollutions : la revue de presse du mois de juillet

    La pollution n’a pas de vacances… Plastique, pollution quotidienne, pollution lumineuse nocturne, conséquences des essais nucléaires, pollution de l'océan… les médias en ont parlé durant ce mois de juillet. Retour sur des sujets qui fâchent mais que l’on préfère souvent « balayer sous le tapis » pour ne pas avoir mauvaise conscience…

  • Revue de presse "retro" pollutions : quelques news du mois de juin

     L’écologie au quotidien comme dirait M. de la Palisse, cela concerne par définition la vie de tous les jours. Et ce, dans tous les secteurs. Mais il y a ceux qui polluent et ceux qui essaient de faire quelque chose pour conserver un environnement plus sain. La presse en a parlé...

  • Pollution, en mer et à terre : il y a les pollueurs et ceux qui se mobilisent

    La pollution par les plastiques a été multipliée par dix depuis 1980 ; environ 300-400 millions de tonnes de métaux lourds, solvants, boues toxiques et autres déchets issus des sites industriels sont déversés chaque année dans les eaux du monde, et les engrais qui arrivent dans les écosystèmes côtiers ont produit plus de 400 “zones mortes”.La Polynésie et ses habitants, à moindre échelle certes, ne sont pas exempts d’irresponsabilité.

  • Une consommation plus éthique et plus écologique

    La Polynésie française est délibérément engagée dans le type de société de consommation mondiale qui caractérise notre époque. Au risque de défavoriser une production économique locale, de ne pas se soucier des plus démunis et de créer une pollution non gérable. Certaines initiatives plus éthiques et plus écologiques voient le jour. On peut les encourager.

  • Le casse-tête de la pollution et de la gestion des déchets

    On ne peut pas parler de développement durable sans évoquer la question complexe de la gestion des déchets ni celle de la diminution des pollutions. Deux thématiques qui sont liées et qui impliquent la responsabilité des autorités mais aussi celle des entreprises et des habitants, même les plus jeunes.

  • Déchets et pollution : l’urgence d’une réelle prise de conscience

    Il est encore trop souvent fait, hélas, ce constat amer : « les gens considèrent notre fenua comme un dépotoir ». La prise de conscience ne s’est pas encore faite, pour de nombreux esprits, des conséquences à long terme de gestes irresponsables. Notamment en ce qui concerne les déchets de plastique. Le tri sélectif en vue d’un traitement approprié, récompensé par les Tortues d’Or, pourrait être une solution s’il était vraiment appliqué.

  • Fin des crèmes solaires sur les plages touristiques. Et fin de la pollution des plages ?

    Les crèmes solaires mettent en danger les massifs coralliens. À la mi-février, la ministre du Tourisme, Nicole Bouteau, a annoncé l’interdiction prochaine des crèmes solaires sur certains sites touristiques. À quand une réglementation pour conserver des plages propres et sans déchets abandonnés ?

  • Sujets sensibles : ferme aquacole de Hao, CET, aménagements de rivière, déchèterie

    Ferme aquacole de Hao, projet de CET de Raiatea, travaux sur la rivière Taharu’u, projet de déchetterie à Punaauia, autant de sujets de questionnements.

  • (janvier 2019) Petite revue de presse : pollutions

    Des bonbonnes de bromure de méthyle en mer, des centaines de sacs plastique dérivant au large, une nappe de gasoil dans le lagon de Arue, des risques d’inondation… et de pollution à Hitia’a… Le “paradis” en prend un coup dans le nez ! Un point positif, le ministère en charge de l'Environnement a décidé de renouveler l'opération de nettoyage des plages de 20 îles des Tuamotu-Gambier.

  • Pollution : encore des progrès à faire en matière d’éco-civisme

    Il est à craindre que les problèmes de pollution soient encore longtemps un sujet d’actualité. Même si l’incivisme ou l’irrespect des règles sont en partie compensés par l’engagement citoyen. Communes et sociétés ne sont pas exemptées de se conformer à la législation…

  • Opération ‘Ete : remplacer les sacs en plastique par des sacs à base végétale

    L’opération ‘Ete s’est déroulée les 22, 23 et 24 novembre au centre Vaima, à Papeete. C’était la deuxième édition de cette initiative de promotion des sacs de course locaux, en remplacement des sacs plastique à usage unique. Pendant ces trois jours, des paniers en pandanus, mais aussi des sacs en tissu et des cabas en matériaux recyclés fabriqués par des artisans locaux y ont été proposés.

  • Déchets : les réduire, les recycler, ne pas les abandonner dans la nature

    Du 17 au 25 novembre s’est tenue la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets (SERD), un temps fort pour essayer de diminuer nos déchets et de consommer mieux ! L’objectif de la SERD est de sensibiliser tout un chacun à la nécessité de réduire la quantité de déchets générée et donner des clés pour agir au quotidien aussi bien à la maison, au bureau ou à l’école, en faisant ses achats ou même en bricolant. L'occasion de découvrir des initiatives qui vont déjà dans ce sens.

  • Campagne mondiale contre la pollution plastique des océans : Race for Water en escale à Tahiti

    En escale en Polynésie française pour un mois, le catamaran "écolo" Race For Water parcourt les océans dans le cadre d’une campagne de lutte contre le plastique qui pollue l’océan. L’occasion pour les Polynésiens de mieux comprendre ce phénomène et de s’investir réellement pour juguler cette « peste » artificielle qui détruit la biodiversité marine et impacte la santé des animaux et des humains. 

  • La pollution, encore et toujours d’actualité…

    Question traitement des déchets, le « paradis » sur terre qu’est Tahiti et ses îles souffre de bien des maux. À Tahiti, Moorea, Rangiroa et Raivavae… il y a encore du travail en perspective. Des associations se mobilisent mais l’incivilité des habitants est pointée du doigt. L’insuffisance des infrastructures – notamment aux Tuamotu - doit aussi être relevée…

  • Déchets sauvages (2) : l’incivisme toujours d’actualité mais un bénévolat participatif actif

    La gestion des déchets et la protection de l’environnement vont de pair. Malheureusement, la prise de conscience n’est pas encore généralisée. Dans la première quinzaine de septembre, associations, communes et institutions ont néanmoins relevé le défi et l’on a pu constater de fortes mobilisations dans la population. Un jour viendra peut-être où il n’y aura plus nécessité de déployer de telles opérations parce que la population aura compris.

  • En bref: Les sacs plastiques à usage unique interdits en 2019 en Polynésie ?

    Le gouvernement a annoncé par voie de communiqué que les sacs plastiques et sacs oxo-dégradables vont devenir interdits en 2019. A Tahiti, les autorités se sont réunis avec les professionnels (producteurs, distributeurs et importateurs) pour discuter de ce projet. 

  • Environnement: les uns polluent, les autres préservent...

    Les îles de la Polynésie offrent des attraits enviés par le monde entier. Encore ne faudrait-il pas contribuer à détruire les merveilles offertes par la nature. Face à l’inconscience de certains, il y a heureusement des initiatives bénéfiques. Quelques exemples relevés en août.

  • Déchets sauvages : l’incivisme toujours d’actualité mais un bénévolat participatif actif

    À Taiarapu-Est dans le quartier de Maraeapai, à Papeete, dans la vallée de Tipaerui ou à Motu Uta… comme en bien d’autres endroits à Tahiti, l’incivisme est toujours de mise et des associations sont encore obligées de participer à des nettoyages participatifs. Cette participation citoyenne et les alertes relayées sur les réseaux sociaux sont une invitation à tout un chacun de “faire sa part”, d'agir à son échelle pour la nature et la société.

  • Déchets: ne pas se désintéresser du problème...

    Parler « déchets » n’est pas un sujet sexy. Ces histoires de poubelles n’intéressent pas grand monde. Et pourtant, l'accroissement de leur production est de plus en plus problématique et pourrait générer une crise environnementale et sanitaire si ne sont pas mises en place des solutions adéquates pour leur gestion éco-durable. 

  • Pollution : Les matières plastiques, toujours sur la sellette

    La pollution due aux plastiques s’avère de plus en plus en plus comme l’un des grands problèmes environnementaux dans le monde. 18 tonnes de plastique entrent dans l’océan chaque minute ! En juillet, plusieurs événements ont été organisés en Polynésie française afin de lutter contre cette pollution dont beaucoup de personnes ne mesurent pas la gravité.

  • La problématique des déchets, encore et toujours d’actualité

    Les déchets s’accumulent. Qu’en faire ? Les solutions techniques, parfois difficiles à mettre en place, ne sont pas les seules réponses possibles. Renforcer la prise de conscience s’impose...

  • Des pistes pour une économie polynésienne plus solidaire et “durable”

    Situation économique difficile pour une grande partie de la population, et pourtant gaspillage alimentaire… Gabegie d’emballages, production alimentaire locale insuffisante… Sommes-nous prêts aujourd’hui à relever ces défis ? Des solutions émergent pour faire face à ces aberrations et contribuer à l’édification d’une économie résiliente. 

  • Lutte contre la pollution : des associations se mobilisent

    Le problème de la pollution par l’accumulation de déchets en zone publique, notamment sur le littoral, est récurrent en Polynésie française. Incivilité, manque de réactivité des pouvoirs publics…? Les habitants de certaines communes, fiu des déchets, se mobilisent pour les ramasser, parfois avec l’aide des municipalités. De bonnes initiatives, mais pour mettre fin à ce genre de pollution, la réduction des déchets à la source est une priorité.

  • Un leitmotiv pour l’alimentation : “local et sain”

    Manger local et de saison, c’est reprendre contact avec celles et ceux qui nous nourrissent, retrouver la fraîcheur des aliments et les saveurs du terroir. C’est aussi encourager la production alimentaire près de chez soi et, par la même occasion, l’autonomie alimentaire et un partage plus juste des ressources nourricières avec le reste du monde. C’est aussi choisir d’acheter des fruits et légumes cultivés sur des exploitations de taille réduite qui pratiquent une agriculture écologique et favorisent les variétés locales.

  • Déchets et environnement : peut mieux faire

    Malgré son image de carte postale, la pollution des rivières et des lagons est un problème récurrent en Polynésie française, à Tahiti mais aussi dans les îles. Une prise de conscience se manifeste, malgré tout, et des initiatives pédagogiques demandent à être encouragées. 

  • Revue de presse du mois de février

    AvA-Infos poursuit son travail de “scan” de l’actualité locale concernant la protection de l’environnement et le développement durable. Dans tous les domaines, problèmes et… solutions possibles sont repérés. Petit rappel de l'actualité publiée en février.

  • Ils veulent sensibiliser la population pour un fenua plus écologique

    La protection de l’environnement est l’affaire de tous. Des institutions et des associations se mobilisent pour tenter de sensibiliser la population à un peu plus de civisme écocitoyen. 

  • Pollution et déchets : il est possible de mieux les gérer

    À Tahiti comme dans les îles, la gestion responsable des déchets devient une obligation pour de nombreuses communes qui ont pris conscience de son importance pour le bien-être et la santé des populations ainsi que pour la protection de l’environnement. Encore faudrait-il que les citoyens ne se laissent pas aller à un “j’menfoutisme” déplorable.

  • revue de presse novembre 2017

    Cette revue de presse renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

  • Revue de presse octobre 2017

    Cette revue de presse, à la différence des précédentes, n’est pas organisée par thématiques. Elle renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

     

  • Grande revue de presse (3e trimestre 2017) : Pollutions et déchets

    Pollution des sols, des eaux de rivière, du lagon… la destination Tahiti et ses îles, idyllique pour nombre de touristes, continue hélas à subir de nombreuses dégradations issues de multiples causes. Des solutions se dessinent néanmoins, de même que dans la gestion des déchets. Mais le bilan est encore loin d’être positif… De la mi-juin à fin septembre, AvA Infos a scanné les médias locaux en ce qui concerne cette thématique. En voici un petit florilège.

  • Tristes Tropiques : une île déserte couverte de plastique

     

    Une île déserte du Pacifique abrite « 38 millions de déchets plastiques ». L’île Henderson qui fait partie de la colonie britannique de Pitcairn est située à quelques centaines de kilomètres des Gambier. 

  • Traitement des déchets : deux initiatives communales positives

     

    En matière de traitement des déchets, il faut aussi parler des initiatives positives qui permettent une amélioration de la situation. Deux exemples à Pirae (Tahiti) et Nuku Hiva (Marquises).

  • Pollutions : toujours d'actualité

    Malgré sa réputation de « paradis » la Polynésie est loin d’en présenter tous les avantages. Petit tour d’horizon des pollutions de toutes sortes relevées en mai en Polynésie.

  • Lutte contre les pollutions : une responsabilité du Pays et des communes, mais aussi des citoyens

     

    Si nombre d’actions doivent être engagées par le Pays, les communes ont aussi leur part de responsabilité dans la lutte contre les pollutions de toutes natures. Et les citoyens doivent s’y impliquer également…

  • 3e édition d’Alternatiba Tahiti

    Face au réchauffement climatique et à la destruction de l’environnement, il est possible d’adopter des solutions au quotidien pour un monde plus humain, convivial et solidaire. C’est ce qu’ont voulu démontrer, les 10 et 11 mars, les 25 étudiants d’une classe Info-Com de 3e année de l’ISEPP qui ont pris le relai de l’association Colibris Tahiti pour l’organisation de la 3e édition d’Alternatiba Tahiti.

  • La pollution n'est pas une fatalité

     

    La pollution a encore de beaux jours devant elle en Polynésie. C'est hélas le revers de la carte postale ! Pour autant, la vigilance et des actions concrètes peuvent contribuer à la rendre moins virulente. Zoom sur quelques exemples relevés en mars.

     

  • Fêtes de fin d’année : des initiatives éco-responsables

     

    Comme chaque année, les «fêtes» de fin d’année donnent lieu à des réjouissances festives. Malgré le climat d’euphorie imposé, il est important de mettre en perspective l’impact massif de l’exploitation animale et de la surconsommation lors de cette période. Et de proposer des solutions alternatives.

  • Les enfants sensibilisés à une alimentation saine ainsi qu’au tri et au recyclage

     

    "Que ton aliment soit ton médicament" disait Hippocrate, célèbre médecin de l’Antiquité. L’éducation à une alimentation saine, particulièrement en direction des enfants,  est une  nécessité. Des initiatives vont dans ce sens. Il faudrait qu’elles se multiplient… Le tri et le recyclage peuvent aussi devenir des reflexes. C’est ce que leur enseignent les marionnettes Tao et Tiaporo.

     

  • Petite revue de presse centrée sur l’environnement

    Qu’il s’agisse de pollution, ou au contraire d’initiatives visant à rendre le fenuaplus propre et plus écologique, le mois de novembre a connu son lot d’événements. Avec, aussi, quelques insertions dans le Pacifique, voici un tour d’horizon de la manière dont les médias locaux ont traité ces sujets. Les articles sont classés par ordre chronologique de parution.

     

  • Les gravats de Hao déplacés à Rikitea au coeur d'une polémique

    Le déplacement de gravats en provenance de Hao et destinés à la rénovation d'une route à Rikitea, sur l'île de Mangareva aux Gambier, ont été suspectés d'être contaminés au plutonium. L'association 193 est montée au créneau pour s'y opposer. La polémique a été abondamment relayée et commentée en novembre par les médias.

  • La pollution hélas toujours tristement d’actualité

    La lutte contre la pollution est l’affaire de tous. Particuliers et communes doivent s’y engager alors que la situation est toujours loin de donner satisfaction

  • La culture au service de la protection de l’environnement et du développement durable

     

    La protection de l’environnement passe par la culture et par l’éducation. Plusieurs initiatives ont permis, en juin, de proposer des réflexions ou de favoriser une sensibilisation à une meilleure prise en compte de la biodiversité. Ou encore à éclairer la problématique de la gestion des déchets.

  • Environnement : il y a encore du boulot !

     

    Qualité de l’air, gestion des déchets, occupation du territoire, état de la pêche, agriculture, biodiversité, patrimoine naturel, pollutions diverses, qualité des eaux : les constats observent une dégradation générale étroitement liée à la répartition démographique, sur le territoire de la Polynésie française.

     

  • Pollutions : Des problèmes, un effort, des solutions et du savoir-vivre

     L'état des rivières et du littoral, à Tahiti, laisse parfois réellement à désirer ; Un jeune lycéen est à l'origine d'une opération de nettoyage sur la côte Est de Tahiti qui a entraîné plus de cent personnes ; Des solutions existent pour la collecte des déchets ;  Quant aux amateurs de car audio, ils veulent adopter une attitude constructive et consensuelle pour éviter de voir cette passion être mise en péril.

  • Les atteintes à l'environnement seront de plus en plus réprimées

    La gestion des déchets est un casse-tête en Polynésie française depuis de nombreuses années, souvent faute de prise de conscience responsable de la part des individus. Depuis le 5 janvier, une avancée législative permet de simplifier la procédure pénale actuelle et l’abandon de déchets en zone classée est puni de contraventions qui peuvent être directement appliquées par les agents assermentés du Pays. Idem pour les nuisances sonores et l'entrave à la circulation.

  • La Semaine Européenne de Réduction des Déchets (SERD)

    L’objectif de la SERD est de sensibiliser tout un chacun à la nécessité de réduire la quantité de déchets générée et donner des clés pour agir au quotidien aussi bien à la maison, au bureau ou à l’école, en faisant ses achats ou même en bricolant.

  • Alternatiba Tahiti 2 : le programme

    Samedi, 14 novembre à la mairie de Punaauia, Alternatiba Tahiti mettra en lumière toutes les initiatives locales qui luttent contre la pollution, le gaspillage et œuvrent en faveur du recyclage, des énergies vertes et du partage…

  • Appel aux dons pour construire le "Village des alternatives"

    L’association Colibris Tahiti est en pleine préparation d’Alternatiba Tahiti, le Village des alternatives du Fenua, seconde édition, qui aura lieu le samedi 14 novembre à la mairie de Punaauia. Elle lance un appel aux dons afin d’assurer le bon déroulement de cet événement qui est, rappelons-le entièrement citoyen et bénévole. Alternatiba Tahiti, c'est plus de 50 stands, des conférences, des ateliers, des concerts, un espace de création artistique, un grand maa participatif... et plein d'autres choses...

  • Opération "clean up day" à Faaa avec la "Brigade verte"

    L'opération "clean-up day", aujourd'hui mondiale, existe depuis huit ans en Polynésie française. À Faa'a, les élèves des établissements scolaires procèdent régulièrement à des opérations de nettoyage des déchets sur les plages et aux embouchures de rivières. Ces actions  sont aussi des opérations de sensibilisation au tri des déchets. Des actions dont certaines sont coordonnées par la "Brigade verte" de Ludovic Bardoux.

  • Sensibilisation à la réduction des déchets : deux jeunes de Faa'a récompensés pour leurs films vidéo

    Un concours "La réduction des déchets, une affaire de famille" a été organisé par la mairie de Faa'a pour sensibiliser la population à cette thématique. Le lauréat, un élève au lycée hôtelier, s'est vu remettre le 3 septembre dernier un chèque de 50 000 Fcfp pour son initiative.

  • Déchets : une gestion compliquée et des initiatives contestées

    Dans le compte-rendu du conseil des ministres de lundi 13 juillet, le Pays annonce la révision de sa politique des déchets. À Hitia’a, l’installation d’un centre d’enfouissement technique (CET) suscite la polémique. Des solutions pour les batteries et les carcasses de voitures.

  • Opération "Plastic Free" en juillet

    En juillet, pour la 2e édition de cette opération "Plastic Free July Tahiti", Fenua Ma et l'ADEME proposent à la population de participer à leur défi. Leurs partenaires et le grand public sont invités à essayer de ne pas utiliser les plastiques à usage unique durant le mois de juillet.

  • Environnement : vers une "politique de résorption des décharges sauvages"

    Le ministère de l’Environnement a présenté au gouvernement une communication concernant les décharges sauvages, qui échappent à la réglementation locale et sont illégales. Elles sont la conséquence de l’insuffisance des moyens de collecte et de traitement des détritus, notamment dans les archipels mais également d’un réel incivisme. 

  • "Action bénévole déchets Polynésie" : l'initiative se poursuit

    En décembre dernier, une étudiante créait une page FB originale : "Action bénévole déchets Polynésie", pour inciter les citoyens  à ramasser les détritus dans leur environnement quotidien.. . Objectif : changer les mentalités et inciter les gens à rendre l’île plus propre par un acte désintéressé. Le principe est simple : il suffit de ramasser des déchets trouvés en chemin (sur la plage, les bordures de routes, ou autres), de les prendre en photo et de les publier sur la page créée par Mareva. Où en est cette action ?

  • Pourquoi il est important de recycler les bouteilles en plastique

    Une bouteille en plastique met plusieurs siècles pour se dégrader et si elle est à l'abri de la lumière, ce temps peut-être encore plus long. Différents "continents" de plastique ont aussi été identifiés au milieu des océans, dont le Pacifique Sud. Ces objets de notre consommation quotidienne doivent être impérativement recyclés. Soit par des filières industrielles, soit de manière plus ludique…

  • 60% des batteries seulement recyclées en Polynésie : un nouveau projet de collecte et de retraitement

     Ayant travaillé en Polynésie de 1982 à 1984 en tant que militaire, Bernard Laumonnier y est revenu en 2014. Il s'est aperçu que le problème des batteries abandonnées dans la nature n’avait pas disparu. Ce constat, rapporte La Dépêche de Tahiti  l’amène aujourd’hui à vouloir implanter une société qui exporterait les batteries usagées vers une entreprise métropolitaine spécialisée dans le recyclage.

     

  • Recyclage encore problématique des lampes à basse consommation

    Tubes fluorescents, lampes fluocompactes et lampes à décharge sont des déchets spéciaux ! En fin de vie, ils doivent être récupérés et recyclés dans la filière de traitement spécifique, et surtout ne pas être brisés avant d’y arriver ! Elles contiennent notamment une faible quantité de mercure qui impose de les réintégrer, après usage, dans un circuit de recyclage adapté.Ce n’est pas encore très évident de procéder à ce recyclage à Tahiti…

  • Arrêt technique de l'Aremiti Ferry 2 : Moorea croule sous les déchets

    Depuis l'arrêt technique, le 13 janvier dernier, du Ferry transporteur - de Moorea vers le centre de tri de Motu Uta - ce sont près de 600 m3 de déchets putrescibles qui ont été accumulés dans les bacs et sur deux sites à ciel ouvert, indiquait La Dépêche de Tahiti dans son édition du 24 janvier. Le quotidien revient sur le sujet dans son édition du 5 février, l'île-soeur étant toujours saturée de déchets.

  • Semaine de réduction des déchets novembre 2014

    Le lycée Samuel Rapooto a encore bien participé cette année 2014 à la SERD (semaine de réduction des déchets) avec différents ateliers mis en place, des projections de films, l'intervention de Séverine Willay pour un grand jeu sur la mondialisation et d'autres choses encore.

  • Un imprimeur polynésien labellisé "Imprim'Vert"

    Leader du marché polynésien, l'imprimerie STP-Multipresse annonce avoir été labellisée "Imprim'Vert". Cette labellisation confirme la volonté d'une entreprise de ce secteur de réduire les impacts environnementaux liés à ses activités en respectant un cahier des charges national.

  • Du 22 au 30 nov, Tahiti participe à la Semaine européenne de la réduction des déchets

    La Semaine européenne de la réduction des déchets se déroule cette année du 22 au 30 novembre. L’objectif de cet événement est de sensibiliser tout un chacun à la nécessité de réduire la quantité de déchets générée et de donner des clés pour agir au quotidien aussi bien à la maison, au bureau ou à l’école, en faisant ses achats ou même en bricolant. En 2014, pour la quatrième participation de la Polynésie française à la Semaine européenne de la réduction des déchets (SERD), 128 projets labellisés sont mis en œuvre dans la collectivité du 22 au 28 novembre. Cette participation représente 45% des actions françaises menées en outre-mer et 4% de la totalité au plan national.

  • 15 novembre : Journée mondiale du recyclage

    Les journées mondiales sont nombreuses à être célébrées tout au long de l'année. Certaines ont plus d’importance que d’autres, parce qu’elles mettent notre avenir en avant, celui de la planète, de ce que nous léguons à nos enfants. Cette journée semble en tout cas avoir été largement oubliée en Polynésie française. Que signifie celle-ci ?

  • Le plastique, pas si fantastique

    PlastiquesL’impact du plastique sur l’environnement a fait l’objet de nombreux articles, campagnes, documentaires :

    • impact sur les ressources épuisables : la production des matières plastiques utilise du pétrole ainsi que des métaux : plomb, cadmium, mercure
    • impact sur le climat : la production des matières plastiques est très polluante (C02)
    • impact sur la biodiversité : les sacs en plastique, les bouchons et débris divers en plastique sont responsables de la mort d’animaux (dauphins, tortues, oiseaux marins). D’après le Programme Environnemental des Nations Unies, les débris de plastique causent la mort de plus d’un million d’oiseaux marins chaque année, ainsi que celle de plus de 100 000 mammifères marins.
    • impact sur les éco systèmes : dans la nature, les matières plastiques se dégradent peu et mal (100 ans pour une bouteille en plastique) ; polluant ainsi les milieux naturels. 

Contactez la rédaction

e mail ava infosContactez directement l'équipe de rédaction de AvA en écrivant à cette adresse : contact@ava-infos.org ou en utilisant le formulaire suivant.

Un site d'infos participatif

PlumeAvA-infos est un site d'information participatif. Vous faites partie d'une association, vous êtes actif dans le développement durable ? Envoyez vos articles à paraître sur AvA-infos, ou indiquez vos prochains rendez-vous à ne pas rater dans l'Agenda...