AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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Alimentation

  • Le gouvernement souhaite le développement de l'agro-écologie

    Dans un contexte où le secteur agricole et alimentaire affronte de plein fouet les aléas climatiques et les tensions internationales, la nécessité s’impose de mieux maîtriser la production agricole pour garantir l’indépendance alimentaire du Pays. Avec un vecteur de développement durable : l’agro-écologie. L’objectif est d’amplifier la production tout en diminuant les pressions sur l’environnement et en préservant les ressources naturelles et leurs capacités de renouvellement.

  • Économie durable : agronomie, écotourisme, innovations, gestion des déchets

    Les activités économiques doivent être un moyen au service d’un projet sociétal : Apprendre aux gens à produire de l'engrais de poisson bio et pas cher ; Cacao : son potentiel de développement pourrait faire du chocolat polynésien le nouvel or noir du fenua ; Écotourisme : un futur écolodge à Huahine, à l’emplacement de l’ancien hôtel Hana Iti ; Un nouveau parc paysager à Vaitupa, dans la commune de Fa’a ; La quatrième édition de la Tech4Islands Summit Tahiti va s’articuler autour de trois axes : la transition énergétique, le tourisme durable et la souveraineté alimentaire ;Moorea se débarrasse de ses vieilles carcasses, la même chose aussi à Tahiti ?

  • Trois piliers pour une alimentation saine : environnement, santé, économie

    Le secteur de l'alimentation concerne plusieurs thématiques complémentaires - environnement, santé, économie - qu'il faut concilier :  Accompagnement des agriculteurs pour explorer la piste d’une culture de légumes sans eau ; Journée "portes ouvertes" chez un agriculteur bio ; Biosécurité pour la protection de notre fenua contre l’introduction de virus, bactéries ou parasites ; Situation sanitaire catastrophique ("70% des Polynésiens en surpoids) du fait d'une surconsommation d'aliments nocifs.

  • Facettes du développement durable: dernières news

    La prise de conscience et la mobilisation citoyenne apparaissent prioritaires pour remplir les objectifs de développement durable d'ici à 2030. Produire, valoriser et diffuser les connaissances sur cette thématique très transversale y contribue. Les dernières news à découvrir:  alimentation, transport, énergie, lutte contre le sac plastique à usage unique, casse-tête des épaves de bateaux abandonnées, mobilisation pour une appropriation citoyenne des espaces communs.

  • Des clés pour une alimentation durable

    La question de reconquérir l’autonomie alimentaire du fenua est de plus en plus urgente. Celle-ci doit passer par une augmentation de la production locale. Et ce, sans sacrifier à la qualité, ainsi qu'ont pu le démontrer quatre des agriculteurs "bio" regroupés au sein du système participatif de garantie (SPG) Biofetia, lors de deux "journées portes ouvertes" des faa'apu bio organisées par cette association. Découverte, également, d'une formation à l’agriculture syntropique, un concept éminemment écologique.  Également au menu de cette rubrique, un colloque sur la recherche apicole à l'occasion de la journée mondiale des abeilles. Et un clin d'oeil associant agriculture et production d'énergie : le solaire va peut-être aider les vaches à produire plus de lait.

  • Promouvoir et favoriser une gestion durable du fenua, au sein du Pacifique

    Outre le Blue Climate Summit, la Polynésie française a accueilli récemment plusieurs événements régionaux visant à promouvoir et favoriser une gestion durable du fenua : Projet régional océanien des territoires pour la gestion durable des écosystèmes (PROTEGE) ; Conseil de coopération économique du Pacifique réuni en séminaire à Tahiti pour une meilleure gouvernance et une utilisation durable des ressources de la grande région ; Séminaire international sur l’économie bleue organisé par l’université ; Matinales du MEDEF sur la thématique de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) et engagements du Pays en matière d’environnement.

  • Santé: une démarche éco-responsable et inclusive

    Alors qu’en Polynésie française, une personne sur six est en « longue maladie », un label sera décerné aux 38 établissements scolaires inscrits cette année dans le dispositif "Santé à l’école".Une approche globale, inscrite dans un cadre de développement durable*, donnant aux élèves la possibilité d’acquérir des compétences en matière de santé tout en développant les compétences scolaires attendues à leur niveau de classe. Rangiroa a aussi inauguré) sa première édition Ea’ttitude.

  • Cinq initiatives en faveur du développement durable du fenua

    Cession de terres domaniales aux îles Australes afin de favoriser leur autonomie alimentaire et dynamiser leurs activités agricoles et artisanales. Sans oublier le traitement de leurs déchets ; ils seraient plus de 150 agriculteurs "bio" en Polynésie française : portrait de l'un d'eux à Mataiea ; à Tahiti, une société se spécialise dans les emballages réalisés à partir de fibres de bananiers, une réelle alternative aux emballages importés ; latelier Tata'i, qui lutte contre l’obsolescence programmée se déploie à Rangiroa ; ouverture d'un camping écolo à Bora Bora, sur le motu Taufāri’i.

  • La transition écologique du fenua en cours : une semaine de news

    La FAPE Te Ora Naho vient de faire paraître le 2ème numéro de son magazine annuel « 50 Solutions pour un fenua durable ». L’occasion de jeter un coup d’œil transversal sur une semaine durant laquelle ont été déployées plusieurs facettes de ce « développement durable » dont beaucoup peinent encore à saisir la nécessité. On y retrouvera, sur une période hebdomadaire, les différentes catégories décrites et illustrées dans le magazine. Problématiques, solutions et acteurs...

  • Facettes du développement durable

    Il y a de multiples manières de contribuer à un développement durable (c-à-d vivable, soutenable et équitable) du fenua. D'abord, se mobiliser pour lutter contre la pollution, souvent fruit de l'inconscience et de l'égoïsme. Favoriser l'autonomie énergétique et l'habitat écologique, contribuer à la promotion d’une meilleure alimentation en sont d'autres facettes. Les news de la semaine.

  • Le développement durable en marche : une dizaine d'exemples en Polynésie

    Bio expérimental à Rangiroa, permaculture à Faa’a ; protection des zones humides à Moorea ; une convention État/Pays pour accompagner la transition énergétique ; appel à projets pour la création d'un Atlas de la biodiversité communale ; appel à projets pour préserver durablement le patrimoine, la biodiversité et les richesses naturelles de la vallée de la Punaru’u ; végétalisation des murs de l’école Tuterai Tane, à Pirae, pour éviter la climatisation des classes ; à Raiatea, l’association Te miti e te fenua veut concilier économie et écologie ; subvention pour le futur siège « vert » de la Codim ; un univers virtuel, éco-durable baptisé Maohi Games.

  • Développement durable : agriculture, recyclage, cinq projets en cours

    Cette revue de presse vous invite à découvrir cinq projets en cours orientés vers un développement durable du fenua. Leur traitement éditorial est différent selon les médias. L'occasion d'en préciser les différentes facettes, selon l'angle retenu : Agriculture = Faire fructifier les terres de Maupiti et développer son autonomie alimentaire ; bel essor du pitaya, ou fruit du dragon, à Hao - Recyclage = appel à financement pour un projet de Upcycling, à Faa’a ; une solution pour traiter et recycler les pneus usagés qui s’accumulent à Paihoro ; valorisation des coquilles d'huîtres perlières à Fakarava. En bonus, une démarche calédonienne d'écomobilité qui pourrait inspirer la Polynésie française.

  • Développement durable: faire émerger des solutions

    Le développement durable demande des équipements structurants engagés dans la durée. L'année 2022 démarre avec des projets dont on espère qu'ils aboutiront: collaboration État/Pays pour l'aménagement, l'habitat, les transports, l'énergie ;  validation du schéma directeur du traitement des déchets sur les 10 années à venir ( bac marron, réseau de déchetterie et incinérateur) ; la commune de Teva I Uta met le paquet pour développer l'agriculture bio ; le swac du groupe Pacific Beachcomber fait le buzz au Consumer Electronics Show de Las Vegas ; aux Tuamotu, un projet innovant de création d’un laboratoire de transformation de produits issus de l’aquaculture ; l'UPF souhaite organiser un challenge pour tester les technologies houlomotrices ; accompagnement de la transition écologique: la démarche partenariale avec l'Ademe reconduite jusqu'en 2023.

  • Propositions pour une agro-foresterie plus durable

    Une agriculture durable est rendue possible grâce à un système de production agricole qui vise à assurer une production pérenne de nourriture, de bois et de fibres en respectant les limites écologiques, économiques et sociales qui assurent la maintenance dans le temps de cette production. Cette tendance commence à être mieux représentée en Polynésie française. Quelques exemples en cette fin d’année.

  • Évolution du fenua en direction d’une agriculture saine et de qualité

    Montée en puissance du bio en Polynésie, avec notamment les deux premiers producteurs d’œufs labellisés ; octroi des mentions « Appellation d’origine », « Indication géographique » ou encore « Qualité supérieure » aux produits polynésiens de la terre, de la mer et de l’artisanat traditionnel ; projet d’aides à l’acquisition de motoculteur électrique pour faciliter le travail au fa’a’pu.

  • L'agriculture locale en quête de résilience

    Consommation locale, circuits courts, premières productions d'oeufs bio en Polynésie, formations aux métiers agricoles... Le secteur de l'agriculture du fenua poursuit sa mue en direction d'une production plus résiliente, moins dépendante de l'extérieur et plus saine, au profit des consommateurs. Après une année d'absence, la foire agricole a fait son retour, dans des conditions "mini", néanmoins, en fonction des conditions actuelles de crise "sanitaire". Un stand tenu par la Direction de la santé donne de l’information sur l’alimentation équilibrée et la santé globale.

  • Développement économique v/s la préservation de l'environnement

    La mise en place d’activités économiques peut (ou ne pas) faire bon ménage avec les nécessaires protections de l’environnement. Le point sur différents projets en cours. En positif: Règlementation des espaces maritimes de Raiatea et Tahaa ; deux visions de l'économie bleue ; la biosécurité ; faapu collectif à Mahina  // Posent problème:  le PGEM de Moorea ; projet d’élevage porcin à Taravao ; Glyphosate : un dossier enterré ?

  • Trois initiatives pour un fenua plus durable

    Trois initiatives, en ce début de novembre, pour mieux réconcilier l’homme, la nature et l’économie dans une société qui doit emprunter le chemin de sa transition écologique : promotion du bio, gestion durable d’entreprises, éducation et préservation de la biodiversité. 

  • Les effets bénéfiques des plantes

    Santé individuelle et santé collective vont de pair avec la bonne santé de l’environnement. La valorisation des plantes médicinales, aromatiques et cosmétiques est l’un des éléments permettant de renforcer les systèmes immunitaires humains et naturels. En vue de leur production et de leur commercialisation s’est tenu récemment à Tahiti un séminaire préparatoire à une réunion des tradipraticiens, prévu pour le 11 décembre. Un livre collaboratif sur les plantes utiles du Pacifique est aussi en préparation.

  • Des pistes pour plus d'autonomie alimentaire

    L'autonomie alimentaire du fenua, objectif de développement durable, est un horizon encore lointain. Consommer local et aider les producteurs à écouler leurs stocks, ces raisons permettront-elles de concrétiser un moratoire sur l'importation des carottes ? Un potager « clé en main » permettant de cultiver fruits et légumes du Fenua est aujourd'hui proposé par une jeune start-up lauréate du concours Tech4Islands Awards ; la population d'Arue est encouragée à planter bio et, pour cela, à apprendre à fabriquer de l'engrais de poisson.

  • Pour une alimentation durable: réflexion et pratique

    De l'organisation d'une table ronde et d'un forum à la pratique sur le terrain, l'agriculture et l'alimentation sont au coeur du développement durable* quand leurs acteurs s'engagent à en valoriser la dimension écologique et à promouvoir la santé des consommateurs: transition alimentaire, restauration collective, agriculture biologique, électro agriculture.

  • L'alimentation en question : privilégier l'autonomie et la qualité

    Notre assiette constitue le socle incontournable du changement que nous souhaitons pour notre santé et celle de la planète. La crise sanitaire actuelle démontre à l'envi que les pathologies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires...) qui affectent une grande partie des Polynésiens ont notamment pour cause une mauvaise alimentation. D'où la nécessité d'établir un diagnostic du système alimentaire du fenua ; l'intérêt aussi de retourner vers une alimentation plus traditionnelle mettant en valeur ses produits ; ce qui implique, pour plus d'autonomie alimentaire, d'accompagner les porteurs de projets agricoles ; de faire connaître la préparation et l’utilisation d’engrais à base de déchets de poisson comme engrais naturel ;sans oublier de développer le sens du goût chez les jeunes...

     

  • Développement durable : des initiatives en cours

    Le développement durable s’invite au cœur d’activités qui ont une importance dans la vie quotidienne : protection de la biodiversité, traitement des déchets, alimentation, tourisme. Il y a encore beaucoup de choses à dynamiser mais des initiatives, pionnières ou plus avancées, indiquent le chemin à suivre.

  • Environnement et société - annonces officielles : récompense, espoir et... déception

    Les annonces se suivent et ne ressemblent pas: Bonne nouvelle pour Jean Kape qui vient d'être nommé lauréat des prix du leadership pour l’environnement des îles du Pacifique par le secrétariat du Programme régional pour l’environnement dans le Pacifique; Annonce officielle de l'organisation, à Tahiti en octobre, d'une une table-ronde sur la Transition alimentaire qui doit devenir un axe central et prioritaire de nos politiques publiques ; Déception, en revanche, pour les habitants de Moorea mis devant le fait accompli d'une parution au JOPF de la révision du PGEM de l'île soeur et donc un blanc-seing potentiel pour des projets immobiliers pas toujours bienvenus et contestables sur le plan environnemental et sociétal...

  • Pour une alimentation "durable" : mieux comprendre et s'organiser

    Prémunir la population des maladies, en mangeant équilibré ; Mieux comprendre les mauvaises habitudes de consommation ; Produire de la nourriture en éduquant et en partageant (3 projets en cours à Moorea, Mahina, Arue) ; Malgré les difficultés d'écoulement de leur production (pour cause de confinement), des agriculteurs se disent prêts à proposer de véritables solutions pour promouvoir et vendre le fruit de leur travail.

  • Des technologies adaptées au développement durable

    Soixante-sept solutions innovantes en provenance de 20 pays et territoires étaient candidates à ce concours, Tech4Islands Award, organisé par la French Tech Polynésie dans l’objectif de faire émerger des solutions innovantes par et pour les îles en faveur d’un développement insulaire plus autosuffisant, durable, inclusif et résilient ; près de 7 milliards de francs CFP d’investissements privés sont attendus pour construire des centrales photovoltaïques avec batterie, qui pourraient être reliées au réseau dès 2023.

  • DD, environnement, alimentation/santé, habitat/énergie : revue de presse du 29 août

    Le développement durable est une approche transversale : il s’inscrit dans une démarche globale, mais nécessite de prendre en considération les enjeux sociaux, économiques et environnementaux des sujets traités, et de les débattre dans un cadre de démocratie participative.

    Source : http://www.vedura.fr/developpement-durable/cadre/principe-transversalite
    Droits de reproduction : http://www.vedura.fr/legal/droit-reproduction-contenu (à lire impérativement avant toute reproduction de contenu)
    Pour nous contacter : http://www.vedura.fr/contact

    Le développement durable est une approche transversale : il s’inscrit dans une démarche globale, mais nécessite de prendre en considération les enjeux sociaux, économiques et environnementaux des sujets traités, et de les débattre dans un cadre de démocratie participative.

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    Le développement durable est une approche transversale : il s’inscrit dans une démarche globale, mais nécessite de prendre en considération les enjeux sociaux, économiques et environnementaux des sujets traités, et de les débattre dans un cadre de démocratie participative.

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    Développement durable et protection de l'environnement; alimentation et santé; habitat et énergie... cette revue de presse fait le point sur une douzaine de sujets relayés fin août par les médias locaux. L'occasion de suivre une actualité dont il est bon de comprendre la transversalité: écologie, économie, vie en société, aménagement du territoire... tout est lié !

  • Pour un environnement mieux préservé: des initiatives à suivre

    Le réchauffement climatique, l'actualité le démontre, ne doit pas faire oublier d'autres problématiques qui lui sont associées dans la vie de tous les jours. La protection de la biodiversité, le tourisme durable dans une perspective de transition écologique, la création dejardins partagés associatifs et communaux, la formation à une agriculture elle aussi “durable”. On n'oubliera pas non plus la sensibilisation par le biais de création expressive (BD, écriture, image...). Le dépôt sauvage de déchets par une population encore inconsciente des conséquences de gestes irréfléchis ou égoïstes nécessite encore, hélas, l'action de bénévoles. Quant aux chiens errants, ils méritent un meilleur sort que celui qui leur est souvent réservé.Aux Marquises, l’association Nuku Hiva Animara est en cours de création pour y remédier.

  • Alimentation: progression du bio et du compostage, promotion des produits locaux

     Le bio est en émergence à Tahiti et dans les îles. Des formations sont organisées par le CFPPA. La filière des oeufs issus d'élevages de poules menés en mode d'agriculture biologique est en voie d'encadrement par un label. Quant au compostage individuel, il fait l'objet d'un programme de développement auprès de plus d’une centaine de foyers volontaires de Mahina.

  • Référentiels et recherche pour une meilleure identification de la qualité des aliments

    Il existe plusieurs qualités dans la production des œufs, selon les conditions d'élevage des poules. Les consommateurs pourront désormais y voir plus clair ; Quant aux produits "bio", ils doivent être certifiés pour être vendus comme tels. Pour les productions locales vendues localement, en Polynésie française comme dans le Pacifique, c'est la Norme océanienne d'agriculture biologique (NOAB) qui est appliquée. Un guide de lecture est en cours d'élaboration pour une meilleure appréhension des certificateurs et des producteurs ; Recherches en cours de la DRM concernant l'aquaculture.

  • Résilience climatique, autosuffisance alimentaire : des pistes à suivre

    Le Fenua s’oriente-t-il vers une meilleure résilience au changement climatique ? L’Initiative Kiwa, « guichet unique » de la résilience climatique dans le Pacifique ; Les schémas de l’Agence d'aménagement et de développement durable des territoires seront-ils économiquement et écologiquement soutenables ? ; Sans doute faudra-t-il changer certaines habitudes alimentaires délétères… ; À Maupiti, bon exemple, on se bouge par contre pour plus d'autosuffisance alimentaire ; Un concours, Tech4Islands, souhaite en tout cas mettre en lumière des solutions innovantes pour aider les îles à se développer de manière durable, à protéger leurs ressources et à s’orienter vers l’autosuffisance.

  • Santé, environnement, économie, métiers d’art : l’alimentation au cœur de l’éducation

    Le dispositif « Ecole en santé » de Polynésie française a pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé accessibles à l’école, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves ; la notion de circuit court est enseignée dès la maternelle, où les tout petits apprennent à manger les légumes qu'ils cultivent ; un projet de loi à l’étude pour imposer une part minimale de produits locaux dans l’élaboration des menus de la restauration scolaire ; au Centre des métiers d’art, le regard d’artistes en formation sur l’environnement, la biodiversité, l’alimentation.

  • Vers une agriculture durable et une alimentation plus saine

    La souveraineté alimentaire était au programme du conseil des ministres du 14 juin. Le nouveau président de la CAPL table aussi sur l'autosuffisance alimentaire du Pays en améliorant la production tout en diminuant la dépendance aux produits chimiques. À Faa'a, la Brigade Verte et l’association Hotuarea Nuimènent une campagne de plantation d’arbres fruitiers dans un quartier prioritaire de la commune. Des ateliers « faaapu » ysont aussi proposés aux enfants sur le temps périscolaire. Une nourriture saine, qui évite les aliments diabétogènes est la base d'une bonne santé.

  • Alimentation durable : petite revue de presse

    Mettre en place un schéma d’alimentation durable, c’est mettre en avant une dimension économique, une dimension environnementale, une dimension sociale. Petite revue de presse de l’actualité récente : marché du terroir ; expérience de manger 100% local pendant un mois ; ressources de la noix de coco ; aquaponie ; projet de mise en terre de plantes endémiques à Moorea.

  • Pour une agriculture nourricière et respectueuse de l’environnement

    L’agriculture, du champ à l’assiette, est l’une des pierres angulaires du développement durable. Au menu de l’actu locale : Promouvoir la filière agricole, informer sur l’appellation « biologique », utiliser des intrants respectueux de l’environnement (jus de poisson), former à la permaculture, protéger les terres de la fourmi de feu, valoriser les déchets organiques dans les écoles, et intégrer les produits locaux dans leurs menus.

  • Naturel, local, en circuit court: une tendance qui monte

    Décider de se tourner vers une alimentation locale et directe ne manque pas de points positifs. Tout d’abord, c’est la meilleure des options santé par l’achat de produits de qualités et, de plus, de saison. En effet, en tant que consommateur, vous êtes au courant de ce qui se retrouve alors dans votre assiette. Naturel, local, solidaire, en circuit court... la tendance se développe sur le fenua. 

  • Une production saine et locale ? Votez avec votre fourchette

    Lutte contre le gaspillage alimentaire, desserts sans sucre ajouté, composition d’une assiette équilibrée, vaisselle à usage unique en matière écoresponsable, l’agriculture métier d’avenir, valorisation des déchets de poissons, trésors de la noix de coco... De multiples ingrédients composent la recette d'une alimentation saine. Et deux événements à suivre en mai pour mieux consommer local.

  • Le fenua en route vers une production agricole durable ?

    Satisfaire les besoins alimentaires grâce à une production de qualité, en quantité adéquate et dans le respect de la souveraineté alimentaire tout en protégeant l'environnement, c'est l'un des défis auxquels est confrontée la Polynésie française. Cela implique aussi de préserver, voire créer, des emplois attractifs et de qualité, tant salariés que non-salariés, en activant la formation, l’accompagnement à la conversion, la transition, la revalorisation de l’image du métier d’agriculteur.rice. Cette revue de presse fait le point sur des avancées actées dernièrement sur le fenua. Avec de nombreux liens pour en savoir plus sur le sujet.

  • Grands équipements : eau, énergie, transport, secteur primaire

     L'eau, l'énergie, les transports, les resssources impliquées dans l'agriculture et la pêche... sont des secteurs des domaines primaires et secondaires de production qui ne peuvent être maîtrisés dans leur globalité qu'à une vaste échelle  (publique ou privée). La vie quotidienne en dépend (consommation, habitat, déplacements...). Ils doivent être appréhendés dans une perspective de développement durable, c'est-à-dire aussi soutenable, sur le moyen et le long terme. Plusieurs points importants de leur gestion ont pu être abordés en mars.

  • Un environnement sain pour une alimentation saine

    Beaucoup de personnes déclarent vouloir consommer des aliments sains, c’est-à-dire bons pour leur santé, pour celle des paysans qui les produisent, respectueuses de celle des animaux d’élevage et écologiques. En parallèle, trop nombreux sont encore ceux qui ingurgitent d’énormes quantités de sucre, d’amidon et de matières grasses, produits à bon marché avec peu d’attention pour la santé, le bien-être animal ou l’environnement. Il y a des alternatives à cette “mal-bouffe”.

  • Agriculture et alimentation plus durables : la transition en cours

    Le processus de transition agricole et alimentaire en cours au fenuapoursuit son chemin, petit à petit. Émergence du bio, recours à une agriculture plus "reponsable"... petits et gros producteurs s'y mettent. Des formations sont organisées pour les animateurs de centres de vacances et de loisirs en vue d'y promouvoir  de bonnes pratiques alimentaires. Quant à la noix de coco, elle offre de nouveaux débouchés pour qui sait utiliser la nature fibreuse de sa bourre... 

  • Alimentation: vers un développement local durable

    Une approche globale de l'alimentation permet de prendre en compte de nombreux enjeux de développement durable : modes de production agricole, santé et nutrition, aménagement du territoire et foncier, éducation, cohésion sociale et mieux vivre ensemble… 

  • Alimentation durable: une tendance en évolution positive

    La crise sanitaire et socio-économique actuelle fait devenir de plus en plus importante la question de l’alimentation : l’agriculture - et sa capacité potentielle à assurer une autonomie alimentaire - mais aussi la consommation des aliments et leur préparation culinaire sont au cœur d’une tendance en évolution positive sur le fenua. Économiquement, socialement et sur le plan de la santé.

  • Alimentation: les métiers de la terre revalorisés

    Et si la prochaine crise n'était pas sanitaire mais alimentaire ? Redynamiser le secteur agricole c'est: créer de l'emploi; nourrir les gens avec des produits de qualité pour les garder en bonne santé; favoriser la biodiversité; créer du lien social; repeupler les districts et les îles ; augmenter la résilience du territoire; développer l'Agri-tourisme; limiter nos importations...

  • Ils font bouger le fenua

    Ils sont entrepreneurs, sociétés, porteurs de projets, développeurs de programmes... et ils proposent des initiatives qui vont dans le sens d'une économie plus équitable et/ou plus respectueuse de l'environnement.

  • Initiatives alternatives: le respect de la nature en commun

    Un point commun relie ces activités humaines:  production d'énergie, agriculture et jardinage, activités touristiques et de randonnée, cuisine, aménagement de sites ou de bâtiments... Ces initiatives récentes tentent de concilier leur opérativité avec le respect de la nature. 

  • Économie: quelques initiatives à suivre

     Artisanat v/s agriculture, lunettes biodégradables, réduction du gaspillage alimentaire,fabrication de crème solaire et d’huile sèche à base de Tamanu bio, autosuffisance alimentaire du Pays... autant de pistes à suivre dans la direction d'une économie polynésienne plus "durable".

  • Pae uta: une dynamique en cours pour plus d'autonomie alimentaire

    75% de ce que nous mettons dans nos assiettes vient de l’importation. La couverture des besoins alimentaires n’est que partiellement assurée par l’agriculture locale. Celle-ci fait néanmoins l’objet d’une politique de soutien active du Pays. Avec un bémol, cependant, évoqué par le Cesec. Des initiatives de formation et la mise en route de projets novateurs contribuent aussi à la mise en place d'une autonomie alimentaire souhaitable, pour plus de résilience.

  • Développement durable: sensibilisation et actions en cours

     Sensibilisation au tourisme éco-culturel, semaine "santé, développement durable", formation à l'agriculture, valorisation des déchets de poisson, "upcycling", engagement pour la propreté d'un littoral... autant d'initiatives pour un fenua plus "durable" à faire connaître et à soutenir.

  • Développement durable : sur le front de la sensibilisation

    Alimentation, solidarité, traitement des déchets, santé, lutte contre la pollution : associations, écoles et institutions… développent des actions diverses et variées, concrètes ou artistiques, pour inciter la population à adopter des comportements plus écologiques et plus solidaires. De beaux exemples de la transversalité nécessaire au développement durable.

  • Initiatives économiques éco-durables en développement

    Des entreprises polynésiennes proposent des produits et services plus respectueux de l’environnement et certaines s’engagent dans des actions concrètes de développement durable. Quelques exemples en développement dont les médias ont récemment parlé.

  • Agriculture durable : un concept en émergence au fenua

    Le concept d’agriculture durable est fondé sur la nécessité de développer des pratiques qui n’ont pas d’effets néfastes sur les ressources naturelles, tout en conduisant à une amélioration de la productivité agricole. Pour ainsi dire, produire plus, plus proprement, avec moins de ressources. Le Pays, des particuliers ou encore une commune de Tahiti s’engagent dans cette voie. Quelques exemples actuels en voie de développement.

  • Alimentation : la crise Covid-19, occasion de dynamiser les productions locales

    Le modèle de développement acté en Polynésie française pendant des décennies a des conséquences importantes et préoccupantes en matière d’alimentation. L'agriculture y a été longtemps dévalorisée. Or, la situation de crise sanitaire, avec ses conséquences économiques, démontre l’urgence d’un développement plus résilient et d’une moins grande dépendance aux importations. Des réponses, individuelles, communautaires ou collectives commencent à émerger...

  • Alimentation et développement durable: les exemples du mois

    L’alimentation durable constitue une porte d'entrée de plus en plus empruntée pour la mise en mouvement des territoires dans la transition écologique et solidaire. Elle impose une approche transversale des enjeux et en cela porte une visée transformatrice du modèle de développement des territoires : défi énergétique (lutte contre le dérèglement climatique), défi environnemental (préservation des ressources naturelles et de la biodiversité), mais également développement de l’emploi local non délocalisable, aménagement du territoire, santé, mieux vivre ensemble, lien entre les espaces ruraux et urbains...*En voici quelques exemples médiatisés par la presse locale en septembre.

  • Société, économie, culture, environnement : déployer un regard transversal

    Appréhender la thématique du développement durable, c’est intégrer la notion de “transversalité” entre des domaines apparemment loin les uns des autres… Tout est lié ! : éco-mobilité, alimentation durable, société : éducation et sensibilisation, culture, protection de l’environnement et de la biodiversité. Le mois de septembre est riche en initiatives. Les médias locaux en ont parlé, mais de façon dispersée. Il est opportun de les contextualiser dans cette perspective.

  • Agriculture, alimentation, plantes et santé : des pistes de résilience à suivre

    La crise liée à la Covid-19 a mis en évidence les fragilités d’un système économique très dépendant des importations. Le secteur stratégique qu’est l’agriculture doit être plus résilient : l’agro-écologie apporte des réponses qui doivent être valorisées ; les écosystèmes productifs originaux, comme le plateau des orangers à Tahiti, doivent être protégés ; les déchets de poisson transformés en intrants bio ; Consommer local et valoriser les circuits courts ; des plantes au service de la santé.

  • Planter pour assurer la sécurité alimentaire

    L'agriculture mondiale est à un carrefour. Alors que l'impact du changement climatique sur la production alimentaire est déjà négatif, la demande agricole devrait augmenter de 70 à 100 % d'ici 2050. Le Fenua, qui est très dépendant des importations, doit s’intéresser beaucoup plus à sa sécurité alimentaire. Quelques exemples, en ce mois de juin, d’initiatives qui peuvent servir d'exemple.

  • La résilience en action: des exemples au fenua

    La situation de crise liée à l’épidémie Covid19 a suscité des réponses de résilience*. Un mouvement de fond dans cette direction serait souhaitable. Certaines initiatives lancées pendant et après le confinement en sont l’expression. Un rapport à la terre plus soutenu, notamment, en est l’une des manifestations. La valorisation des ressources locales et patrimoniales en est une autre.

  • Le Cesec favorable à l'extension de la mention « bio » à plus de produits

    Le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) s’est réuni le 30 avril pour examiner deux projets de "loi du Pays". L'un d'entre eux encadre l’utilisation du terme « biologique » qui pourra être étendu à de nombreux produits, comme le mono’i.

  • Alimentation en période de crise : des solutions émergent

    La crise liée au Covid-19 n’est pas que sanitaire. Elle a aussi des conséquences dans la vie quotidienne, notamment en ce qui concerne l’alimentation. Peur de manquer et situation anormale du marché mènent à des situations qui peuvent être appréhendées de façon différente. Les uns paniquent et se ruent dans les magasins. Les autres font émerger de nouvelles possibilités d’approvisionnement.

  • En bref: alimentation/santé (du 01 au 10/02/20)

    Petite revue de presse dédiée au suivi des événements liés aux secteurs de l'alimentation relatés par la presse locale dans la période du 1 au 10 février.

  • Gaspillage alimentaire et difficulté à trouver des produits frais locaux à prix abordable

    L’alimentation durable s’impose comme un défi collectif à relever et comme une voie d’avenir pour les filières alimentaires. Le gaspillage alimentaire peut, paradoxalement, aller de pair avec une difficulté à trouver des produits frais et locaux. Source de plaisir et réponse aux besoins vitaux des hommes, l’alimentation est au cœur des enjeux environnementaux, sanitaires et socio-économiques. 

  • Le diabète, "catastrophe" sanitaire pour le Cesec

    Dans un rapport adopté à l'unanimité, les conseillers de la quatrième institution du Pays, le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), ont interpellé les responsables politiques au sujet de la situation du diabète en Polynésie et recommandent diverses mesures pour faire face à cette "catastrophe" sanitaire. Cette problématique n'est pas que sanitaire, au sens strict. Elle concerne l'évolution de la société polynésienne dans son ensemble. Le modèle actuel est-il "durable" ?

  • L'agriculture polynésienne dans une démarche de transition écologique

    L'agriculture polynésienne semble se diriger vers des pratiques innovantes incitant les agriculteursà s’engager dans la transition agroécologique et le développement de l’agriculture biologique: soutien du programme PROTEGE du fonds européen de développement, exonération de droits et taxes à l’importation de certains produits utilisables dans le mode de production Bio. Des initiatives privées voient aussi le jour pour développer des produits de qualité.

  • Alimentation: soutenir des démarches écodurables

    Une agriculture saine et durable, l'insertion dans la société par le travail de la terre, une production locale soutenue par les consommateurs, la lutte contre le gaspillage alimentaire... Autant de volets à soutenir pour un secteur alimentaire éco-durable. Quelques initiatives relevées en octobre.

  • Alimentation : une démarche favorisant du ma'a sain et local

    Il est agréable de pouvoir constater, de temps en temps, une évolution positive de la situation. C'est le cas, en ce mois de septembre, en ce qui concerne le domaine de l'alimentation. Des institutions (la DAG, la CAPL) et des entreprises privées s'engagent dans une démarche favorisant du ma'a sain et local.

  • En juillet, une vingtaine d'initiatives "éco-durables"

     

    Préservation de l'environnement; agriculture et alimentation plus respectueuses de la nature et de la santé humaine; réduction de la consommation d'énergie, si possible renouvelable; gestion et recyclage des déchets ; traitement de l'eau; activités économiques soucieuses de l'écologie; éducation... Le mois de juillet a été riche en initiatives "éco-durables".

  • L'agriculture polynésienne à la recherche de modèles durables

    L’agriculture est au cœur de tous les grands débats actuels relatifs à l’environnement, l’eau, la biodiversité, la lutte contre la faim …, autant de sujets qui conditionnent l’avenir de notre planète. Mais aussi de notre fenua. Il faut savoir répondre aux besoins ET préserver le potentiel de nos sols.

  • Une consommation plus éthique et plus écologique

    La Polynésie française est délibérément engagée dans le type de société de consommation mondiale qui caractérise notre époque. Au risque de défavoriser une production économique locale, de ne pas se soucier des plus démunis et de créer une pollution non gérable. Certaines initiatives plus éthiques et plus écologiques voient le jour. On peut les encourager.

  • PPN : un problème économique, de santé et d’environnement

    La récente polémique économique, entre le gouvernement et l’Autorité de la concurrence, concernant la réglementation des PPN recouvre une problématique de santé : surpoids, obésité, diabète… qui peut affecter gravement l’avenir de la population polynésienne. Sans compter l'empreinte carbone des produits importés, majoritaires...

  • V.A.I. et Ti’a Fenua : deux événements pour la promotion du développement durable

    Fin mars, deux « salons » ont été organisés à Papeete visant à promouvoir des gestes éco-durables dans la vie économique quotidienne : la deuxième édition du Village de l’Alimentation et de l’Innovation (V.A.I.) ; la première édition de Ti’a Fenua Eco durable Expo Market. Deux événements bien couverts par les médias locaux.

  • Petite revue de presse : Alimentation (février 2019)

    Les fruits et les légumes n’arrivent pas par miracle dans nos assiettes. Le temps, les insectes… et donc l’environnement y ont leur part. Regard sur quelques initiatives pour une plus grande autonomie alimentaire et zoom sur la promotion d’une agriculture de qualité.

  • (janvier 2019) Petite revue de presse : Alimentation, environnement

    On dit que la santé est dans l’assiette. Elle est aussi dans la terre qui a produit la nourriture. Du producteur au consommateur, en passant par le distributeur, petit point sur certains maillons positifs de la chaîne de l’alimentation. Et une alerte concernant le lait infantile !

  • Quatre exemples de producteurs agro-alimentaires du fenua éco-responsables

    Ils sont jeunes et veulent développer des filières de production agro-alimentaire éco-responsables. Quatre exemples dont a parlé la presse en décembre : Permaculture, agriculture bio, élevage de poules pour les œufs et élevage de crevettes en eau douce.

  • Des clés pour une agriculture et une alimentation « durables »

    Beaucoup d’habitants de Tahiti sont déconnectés de la réalité agricole. La nourriture n’arrive pourtant pas toute seule dans leurs assiettes. Production locale, circuits courts, suivi de la qualité… autant de considérations qui doivent interpeller les consommateurs s’ils veulent participer à l’élaboration d’une économie vraiment « durable ». 

  • Près de 800 scolaires sensibilisés aux sucres cachés

    777 élèves issus de 16 établissements scolaires de Tahiti (5 écoles, 5 collèges, 6 lycées) impliqués dans la pédagogie Eco Ecole (éducation au développement durable) se sont retrouvés le jeudi 25 octobre au matin pour une projection gratuite du film Sugarland. Ce documentaire primé  était projeté grâce à un partenariat entre Fédéscol (association Manu Iti Fa’a Ora, ex Colibris-Tahiti), le cinéma Majestic et le producteur. 

  • Manger sain et local : une tendance qui monte, à Tahiti

    On relève un intérêt grandissant des consommateurs pour une nourriture saine, le plus possiblement issue d’une production locale.  Celle-ci ne remplacera pas complètement les aliments importés  (plus de 80%) mais il est heureux de voir se réduire l’écart trop important existant entre les lieux de production et les espaces de consommation tout en proposant une nourriture saine.

  • Manger local pour soutenir le développement durable

    En Polynésie française, près de 80% de l’alimentation est importé. La démarche de consommer local s’inscrit dans une dynamique de développement durable qui commence petit à petit à prendre ses marques. Producteurs, distributeurs et consommateurs sont invités à s’y engager et à mieux apprécier des variétés végétales comestibles souvent méconnues, à l’instar duremuet des Rutiacées.

  • Pour un développement plus "durable" : il existe des alternatives

    Le développement économique n’est pas qu’une affaire de gros sous. Certaines associations et entreprises l’ont compris et donnent une dimension écologique et/ou solidaire à leurs activités. Une démarche à ne pas confondre avec le « greenwashing* » dont peuvent abuser certaines autres…

  • Santé et environnement : de vrais problèmes

    Tahiti/paradis ! C’est l’image de marque que l’on souhaite « vendre » à l’extérieur. Oui, mais… Des chiffres publiés en juin, notamment à l’occasion de deux événements dédiés à la protection de la santé, incitent à penser qu’il y a encore beaucoup à faire en matière de santé environnementale. Diabète, "la maladie de la malbouffe", addictions – notamment chez les jeunes – pourraient bien obérer l’avenir si l’on n’y prend garde.

  • Santé et environnement sont liés : la situation en mai

    En santé publique, l’environnement est aujourd'hui considéré comme l'ensemble des facteurs pathogènes “externes” ayant un impact sur la santé. En avril-mai, la population a pu être exposée à plusieurs risques, relève la presse locale : leptospirose, ciguatera... sans compter une fragilisation de la santé mentale due à un environnement social déstabilisant. Les maladies non transmissibles pourraient être mieux évitées. Quid d'une transmission génétique des maladies consécutives aux expérimentations nucléaires ?

  • Un leitmotiv pour l’alimentation : “local et sain”

    Manger local et de saison, c’est reprendre contact avec celles et ceux qui nous nourrissent, retrouver la fraîcheur des aliments et les saveurs du terroir. C’est aussi encourager la production alimentaire près de chez soi et, par la même occasion, l’autonomie alimentaire et un partage plus juste des ressources nourricières avec le reste du monde. C’est aussi choisir d’acheter des fruits et légumes cultivés sur des exploitations de taille réduite qui pratiquent une agriculture écologique et favorisent les variétés locales.

  • Les produits agricoles vendus comme "bio" doivent être garantis ou certifiés

    Une conférence de presse a été organisée, le 25 avril à la Direction de l’agriculture, afin de rappeler au public, via les médias, la réglementation concernant l’affichage du “bio” en Polynésie française. Ce terme, qui est l’expression d’un label, y est en effet encadré de manière précise et aucun producteur ne peut l’employer sans avoir fait l’objet d’une garantie ou d’une certification.

  • Pour une alimentation saine… et un environnement sain

    Jambon-beurre, burger, frites… les habitudes alimentaires sont souvent à l’origine de graves désordres pour la santé, mais aussi pour l’environnement. Il y a heureusement de saines réactions, à suivre sans modération.

  • La revue de presse de la Fondation pour la Nature et l’Homme

    La Fondation pour la Nature et l’Homme (FNH) publie régulièrement une revue de presse dédiée à des thématiques environnementales. AvA-Infos s’en fait ici le relai en en publiant quelques extraits. Aujourd’hui, petite revue de presse centrée sur agriculture (dont OGM), alimentation, forêt, pêche, apiculture et jardinage + 1 publication & 2 annonces (mercredi 14 mars).

  • Manger local et plus sain

    Manger sain et respecter l’environnement sont deux démarches qui, combinées, contribueraient grandement à développer un mode de vie “durable”. La consommation de produits locaux est aussi une garantie pour la limitation des gaz à effet de serre – et donc du réchauffement climatique – eux-mêmes grandement induits par le transport des produits importés. Une campagne a été lancée en janvier pour renforcer cette dynamique.

  • 1ere édition du Village de l’Alimentation et de l’Innovation

    Une dizaine d’exposants y étaient présents pour faire découvrir leurs ateliers culinaires et sensoriels afin de promouvoir des comportements alimentaires sains et durables. L’événement était aussi l’occasion de conférences et d’ateliers en partenariat avec le lycée hôtelier de Punaauia. 

     

  • Le développement durable est l‘affaire des citoyens : une dizaine d'exemples

     

    Éducation, promotion, sensibilisation… le développement durable est l‘affaire des citoyens qui s’investissent de plus en plus pour un monde plus humain et plus écologique. À découvrir, une dizaine d’initiatives, en mars, en Polynésie française…

     

  • 3e édition d’Alternatiba Tahiti

    Face au réchauffement climatique et à la destruction de l’environnement, il est possible d’adopter des solutions au quotidien pour un monde plus humain, convivial et solidaire. C’est ce qu’ont voulu démontrer, les 10 et 11 mars, les 25 étudiants d’une classe Info-Com de 3e année de l’ISEPP qui ont pris le relai de l’association Colibris Tahiti pour l’organisation de la 3e édition d’Alternatiba Tahiti.

  • La santé peut être dans l’assiette mais pas dans la cigarette…

     

    En mars, a été lancé un appel à projets "Bouger plus et manger équilibré". Il a aussi été annoncé une hausse du prix du tabac à partir du 1er avril. On a aussi reparlé des indemnisations des victimes du nucléaire. Dans le cadre du développement durable, la santé est un objectif, mais également un préalable indispensable.

     

  • Petite revue de presse centrée autour de l’agriculture et de l’alimentation

    Agriculture : Sortie d’un guide pratique d’agriculture naturelle, portraits d’agriculteurs bio, lutte biologique pour protéger les légumes. Alimentation : portrait de Hereiti qui partage ses recettes « vegan » en photo et vidéo sur Facebook et Instagram ; un concours de recettes autour de produits du fenua.

     

  • Les enfants sensibilisés à une alimentation saine ainsi qu’au tri et au recyclage

     

    "Que ton aliment soit ton médicament" disait Hippocrate, célèbre médecin de l’Antiquité. L’éducation à une alimentation saine, particulièrement en direction des enfants,  est une  nécessité. Des initiatives vont dans ce sens. Il faudrait qu’elles se multiplient… Le tri et le recyclage peuvent aussi devenir des reflexes. C’est ce que leur enseignent les marionnettes Tao et Tiaporo.

     

  • Économie, innovation et développement durable : des pistes à suivre

    L’économie polynésienne a grandement à gagner à encourager l’innovation et des initiatives allant dans le sens du développement durable. En mai, plusieurs exemples ont été récompensés.

  • Alimentation et santé : une situation préoccupante en Polynésie

    Les décès dus aux maladies cardiovasculaires sont 2.3 fois plus importants en Polynésie qu'en métropole et dans les DOM. Le diabète touche également particulièrement les Polynésiens. Il y aurait près de 11 000 diabétiques à Tahiti et dans les îles dont 5 300 ayant un diabète de type 2. L'obésité touche 38% des hommes et 50% des femmes. Le résultat d'une mauvaise alimentation  Mais il existe heureusement des initiatives pour manger mieux et surtout plus sain.

  • Ferme aquacole à Hao : 150 milliards d'investissements mais quid de l'environnement ?

    Début avril, se sont tenues à Hao des réunions d'information visant à vulgariser l'étude d'impact environnemental concernant le projet de ferme aquacole. Mais cette étude ne s'intéresse qu'aux installations de l'usine construite à terre. Toute la partie sur l'élevage des poissons dans le lagon n'apparait absolument pas. Le Président Édouard Fritch est  néanmoins parti à Shangaï pour discuter business avec les Chinois…

  • Alimentation : des pistes pour sortir de la dépendance aux importations

     Plus de 80% des produits agro-alimentaires sont importés en Polynésie française, sans véritable traçabilité. Des alternatives sont possibles : l'autosubsistance alimentaire, via les jardins partagés, les circuits cours ou encore la promotion de produits locaux...

  • Inflation à la baisse mais coût de l'alimentation en hausse. Et si les fruits et légumes passaient en PPN ?

     

    Les chiffres de l'inflation de décembre 2015 publiés début janvier par l'ISPF indiquent que les prix sont à la baisse, sauf pour l'alimentation. Ce qui entraîne naturellement les populations les plus modestes à consommer majoritairement les produits dits de première nécessité (PPN). Cela a-t-il des conséquences pour la santé ?

  • Pas assez de prévention : la « malbouffe » à l’origine du diabète et de nombreuses maladies

    Depuis trente ans, l'alimentation a changé à notre insu. Les conséquences nocives de chaque coup de fourchette sont aujourd’hui visibles : diabète, obésité, maladies cardio-vasculaires... En Polynésie française, plusieurs activités ont été organisées à la mi-novembre, à l'occasion de la Journée mondiale du diabète afin de promouvoir les efforts de prévention.

  • Alternatiba Tahiti 2 : le programme

    Samedi, 14 novembre à la mairie de Punaauia, Alternatiba Tahiti mettra en lumière toutes les initiatives locales qui luttent contre la pollution, le gaspillage et œuvrent en faveur du recyclage, des énergies vertes et du partage…

  • Appel aux dons pour construire le "Village des alternatives"

    L’association Colibris Tahiti est en pleine préparation d’Alternatiba Tahiti, le Village des alternatives du Fenua, seconde édition, qui aura lieu le samedi 14 novembre à la mairie de Punaauia. Elle lance un appel aux dons afin d’assurer le bon déroulement de cet événement qui est, rappelons-le entièrement citoyen et bénévole. Alternatiba Tahiti, c'est plus de 50 stands, des conférences, des ateliers, des concerts, un espace de création artistique, un grand maa participatif... et plein d'autres choses...

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