AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

AvA-Infos, ouvrons nos regards à la planète

 

        actualités, revues de presse

En savoir plus >>

Produits

  • Vers la fin du plastique et de l'aluminium à usage unique...

    Face au recours massif du plastique à usage unique, des mesures sont nécessaires pour réduire drastiquement les quantités produites et consommées. Le Conseil économique, social, environnemental et culturel (CESEC) de la Polynésie française a examiné, jeudi 11 avril, le nouveau projet de loi du Pays relatif à la réduction de l'utilisation du plastique et de l'aluminium à usage unique ; À suivre, aussi : un projet de réseau de ressourceries en Polynésie française bientôt envisageable ?

  • Deux pièces du puzzle écologique du fenua

    Les enjeux écologiques peuvent être variés et certains sujets peuvent n'avoir apparemment aucun rapport les uns avec les autres. Une vision transversale permet néanmoins de prendre en compte leur diversité dans une perspective de développement durable.Ainsi, le stockage de gaz importé nécessite des infrastructures spécifiques à Tahiti. Plusieurs grands chantiers sont en cours. Quid de leur impact environnemental ? Par ailleurs, dans la vie quotidienne, dépendants que nous sommes aujourd'hui de cette énergie utile à bien des activités domestiques, de nombreux de nos compagnons animaux (chiens et chats) sont laissés à eux-mêmes.  Une situation préoccupante présentant des répercussions potentiellement préjudiciables à l’ordre public, à l’image de notre destination, à la préservation de la richesse de notre biodiversité et surtout au bien-être des animaux. 

  • Développement durable: des pistes à suivre

    Formations d’initiation à la permaculture à Tahiti et à Moorea afin de promouvoir cette forme d’agriculture respectueuse de l’environnement ; Anthony Tchekemian, maître de conférences en géographie et urbanisme à l'UPF, s'intéresse aux jardins urbains collectifs en tant que réponse aux problèmes d’approvisionnement en produits frais, tant du point de vue économique que sanitaire ; Organisation à l'APF de la première édition du Forum des métiers du primaire et de l’artisanat traditionnel ; Le Centre des métiers d’art fabrique du papier 100% local grâce à des végétaux du fenua ;  Les algues rouges (remu ‘ura en tahitien) objets d'une nouvelle production en aquaculture à Vairao ; Des pistes de réflexion pour sauver la ressource halieutique de Bora Bora.

  • 37e Foire agricole : "Cultivons une alimentation de subsistance"

    La Foire agricole 2023 se déroulera du 28 septembre au 8 octobre prochain. Avec pour thème “Cultivons une alimentation de subsistance” – l'événement veut mettre l'accent sur le plan de transition alimentaire en cours : procurer aux Polynésiens une alimentation accessible financièrement, saine et respectueuse des principes diététiques et enfin durable. C’est-à-dire qui repose sur une agriculture qui met en œuvre les principes de l’agroécologie. Un stand "bio" sera présent. L'opération ‘etey sera aussi renouvelée, proposant des contenants éco-responsables en lieu et place des sacs en plastique. Priorité au frais ou au  transformé à partir de produits cultivés localement.

  • Agriculture et alimentation en route vers un modèle résilient et durable

    Quatre exemples en cours de la transition vers des systèmes alimentaires et agricoles plus durables : Un 3e bâtiment prévu pour l'Agropol, le centre de recherche, d’innovation et de valorisation en agriculture de Papara. Objectif: la sécurité alimentaire et le maintien de la biodiversité ;  Les JO 2024 à Teahupo’o, prétexte pour développer l'autonomie alimentaire du fenua et la mise en valeur de notre alimentation traditionnelle polynésienne et de ses produits locaux ; Un cacao polynésien d’exception, qui produit ses arômes grâce à un terroir singulier, primé par le Club des croqueurs de chocolat, une confrérie basée dans l’Hexagone qui regroupe 150 spécialistes du cacao ; Petit portrait d'un éleveur de poules pondeuses bio sur le plateau de Taravao.

  • Environnement: les news de début juillet 23

    Respect de l’environnement mais aussi résolution des conflits d’usage: un même comité de gestion accompagnera et évaluera désormais les deux zones de pêche réglementée (ZRP) de Mahina ; Nettoyage et  restauration écologique du "Jardin de corail", à Tahaa ; Projet “To'a Nu'uroa” : les associations Tamari'i Pointe des pêcheurs, Tamari'i no te moana et Mata avei'a engagent une action pluridisciplinaire et pluriannuelle centrée sur la protection et l'amélioration de la couverture corallienne des récifs de Puna'auia ; Taux de mortalité anormal des larves de crevettes bleues : un espoir pour la filière de crevetticulture ? ;Pesticide le plus utilisé au monde et classé par l’OMS comme cancérogène “probable”, quid de l'interdiction du glyphosate en Polynésie française ?  Les habitants de la vallée Onohea à Tiarei n’en peuvent plus des petites fourmis de feu.

  • Le riche potentiel économique de plantes locales

    Les plantes ont un riche potentiel qui n'est pas qu'agricole. De nouveaux débouchés pour les produits locaux  avec la fabrication d'hydrolats  ? 10 plantes polynésiennes pourraient trouver une ne place dans le milieu pharmaceutique international ; Une société polynésienne s'intéresse aux graines de sapindus, appelées koku'u en marquisien. Outre que des bijoux, on peut aussi en faire du savon.  

  • Black Friday ou Green Friday ?

    Black Friday, comme Halloween, nous vient des USA. C'est l'un des piliers du consumérisme ambiant qui anime l'économie contemporaine. Ces évènements promotionnels devenus incontournables avant Noël sont sources de pollutions multiples : les livraisons de colis s’emballent, les emballages s’amoncellent et la surconsommation exige une surproduction néfaste de biens... Et, apparemment, les Polynésiens "lykent" ça...! Dur, dur pour la transition écologique ! Et si on passait au Green Friday !?

  • Économie circulaire et innovation : deux clés du développement durable

    Il ne s'agit plus aujourd'hui de se contenter de concevoir un produit de sa naissance à sa fin de vie, mais de sa naissance à sa renaissance. Il s'agit d'un cycle de vie circulaire qui s'étend de la recherche et du développement jusqu'à la remise en état, et ainsi de suite... Quelques exemples d'économie circulaire au fenua: un composteur par foyer à Arue ; FACE veut redonner une nouvelle vie aux vieux téléphones portables ; collecte et recyclage des balises de pêche échouées. Quant à l'innovation : Resipol, consortium de recherche, soutient des projets innovants en matière d'énergie renouvelable, économie circulaire, résilience face aux changements climatiques, préservation et valorisation des ressources naturelles, alimentation saine et durable et valorisation des ressources humaines ; "L'impact", humain et environnemental est au coeur de la 4e édition de Tahiti Congrès, en juin, pour faire évoluer le modèle traditionnel des entreprises ; Un appel large est aussi lancé aux Polynésiens dans le cadre du programme Polynnov: les projets seront évalués selon leur potentiel impact (économique, social, environnemental, sanitaire) sur le développement de la Polynésie.Enfin, des élèves de Bora Bora découvrent la barge expérimentale Nohu Criobe, laboratoire scientifique ambulant sur lagon pour étudier la vie du corail.

  • Evénements: des salons à la mode écodurable

    Il n’existe pas encore en Polynésie française de salons spécifiquement dédiés aux thématiques du développent durable et de la protection de l’environnement. Mais certains événements organisés au fenua laissent augurer d’une (encore timide ) percée. L’occasion d’en relever l’organisation en ce début d’octobre: la Fête de la Science, le Salon Made in Fenua et un premier "Local Market", à Papeete.

  • Un leitmotiv pour l’alimentation : “local et sain”

    Manger local et de saison, c’est reprendre contact avec celles et ceux qui nous nourrissent, retrouver la fraîcheur des aliments et les saveurs du terroir. C’est aussi encourager la production alimentaire près de chez soi et, par la même occasion, l’autonomie alimentaire et un partage plus juste des ressources nourricières avec le reste du monde. C’est aussi choisir d’acheter des fruits et légumes cultivés sur des exploitations de taille réduite qui pratiquent une agriculture écologique et favorisent les variétés locales.

  • Manger local et plus sain

    Manger sain et respecter l’environnement sont deux démarches qui, combinées, contribueraient grandement à développer un mode de vie “durable”. La consommation de produits locaux est aussi une garantie pour la limitation des gaz à effet de serre – et donc du réchauffement climatique – eux-mêmes grandement induits par le transport des produits importés. Une campagne a été lancée en janvier pour renforcer cette dynamique.

  • Économie, innovation et développement durable : des pistes à suivre

    L’économie polynésienne a grandement à gagner à encourager l’innovation et des initiatives allant dans le sens du développement durable. En mai, plusieurs exemples ont été récompensés.

  • Alimentation : des pistes pour sortir de la dépendance aux importations

     Plus de 80% des produits agro-alimentaires sont importés en Polynésie française, sans véritable traçabilité. Des alternatives sont possibles : l'autosubsistance alimentaire, via les jardins partagés, les circuits cours ou encore la promotion de produits locaux...

  • Projet de "Ressourcerie" à Tahiti : un endroit de collecte et de réparation pour éviter le gaspillage

    Colibris-Tahiti projette la mise en place d'un endroit où l'on pourrait laisser des objets usagés et où ceux-ci seraient recyclés. Une façon de leur donner une seconde vie, d'éviter qu'ils ne contribuent à augmenter la pollution et enfin de participer à une économie circulaire et solidaire. L'occasion également de créer un lieu de rencontre et d'éducation à l'environnement.

  • Miel importé : sa réintroduction pose question

    Le mois d’août a vu un certain nombre de manifestations se déployer concernant l’importation de miel venu de l’extérieur de la Polynésie française afin de pallier à une pénurie devenue récurrente. Depuis 2011, seul en effet le miel produit localement était autorisé à la vente sur le territoire afin de protéger les abeilles des maladies attaquant les ruches. 

  • Des sacs réutilisables pour fruits et légumes

    Après les sacs de courses réutilisables voici venus les sacs pour fruits et légumes réutilisables. Sandrine Li, de Green ID, a lancé récemment cette initiative désormais opérationnelle dans au moins dix magasins de Tahiti. Une façon de lutter contre une forme de pollution qui affecte 88% de la surface des océans dont 1/3 dans le Pacifique.

  • Grand succès du ma'a bio organisé par le SPG BioFetia

    Le système participatif de garantie (SPG) BioFetia  a organisé, dimanche 12 juillet au restaurant du Musée Gauguin de Papeari, la 3e édition de son buffet annuel. Un dîner-buffet “saveurs bio et ma’a tahiti” pour combler les papilles gustatives tout en apportant des informations sur la “planète bio” en développement dans le monde et en Polynésie. Plus de 150 personnes ont participé à ce ma'a Tahiti  préparé à partir des produits des agriculteurs de l'association. Le repas a également été l'occasion de deux présentations : "les risques des pesticides sur la santé humaine" par le Dr Stéphane Darteyre et "les principes de la permaculture", par Jonathan Cunéo.                                                                          

  • Nouveau à Tahiti : la voiture électrique et son garage solaire

    Un SUV tout électrique, la e6 de la société chinoise BYD, est désormais importé en Polynésie française. Il a notamment comme particularité d'être rechargeable sur un équipement solaire autonome, également fourni en option par l’importateur.

  • Lutter contre le gaspillage alimentaire

    Le 14 avril, le député PS de la Mayenne, Guillaume Garot, a remis à Ségolène Royal et à Stéphane Le Foll son rapport sur la lutte contre le gaspillage alimentaire qu'il défendra la semaine prochaine à l'Assemblée nationale. Celui-ci a été missionné le 15 octobre dernier afin qu’il formule des recommandations au Gouvernement en matière de lutte contre le gaspillage alimentaire.

  • Tahiti : Un “défi” alimentaire choquant

    “La page a été vue plus de 34 000 fois en 36 heures, nous avons reçu des centaines d’appels, on est actuellement à 500 inscrits”, explique un jeune chef d’entreprise, qui n’en revient pas d’un tel succès. De quoi s'agit-il ? D'un concours surprenant organisé par un responsable d'un snack à Tahiti : avaler un cheeseburger d’un kilo et 300 à 400 grammes de frites en 20 minutes (!). Coup de gueule de AvA-Infos !

     

  • Grogne d’agriculteurs et polémique à propos de l’usage d'un pesticide

    Un collectif d’agriculteurs dénonce la possible interdiction par le ministère de l’Agriculture, jugée « arbitraire », de l'usage d’un pesticide, le paraquat, connu du public sous le nom de « Gramoxone ». Quid de l’usage des pesticides en Polynésie française ?

  • Un imprimeur polynésien labellisé "Imprim'Vert"

    Leader du marché polynésien, l'imprimerie STP-Multipresse annonce avoir été labellisée "Imprim'Vert". Cette labellisation confirme la volonté d'une entreprise de ce secteur de réduire les impacts environnementaux liés à ses activités en respectant un cahier des charges national.

Contactez la rédaction

e mail ava infosContactez directement l'équipe de rédaction de AvA en écrivant à cette adresse : contact@ava-infos.org ou en utilisant le formulaire suivant.

Un site d'infos participatif

PlumeAvA-infos est un site d'information participatif. Vous faites partie d'une association, vous êtes actif dans le développement durable ? Envoyez vos articles à paraître sur AvA-infos, ou indiquez vos prochains rendez-vous à ne pas rater dans l'Agenda...