AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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        actualités, revues de presse

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Droit

  • Les Marquises inscrites au patrimoine mondial de l’Humanité

    Le vendredi 26 juillet - à New Delhi, en Inde - le Comité de l’UNESCO a acté l’inscription des Marquises au patrimoine mondial de l’Humanité. L’archipel, considéré comme « un important centre d’endémisme » pour sa flore et sa faune,  est reconnu par l'Organisation des Nations unies comme un bien mixte, dont « la valeur universelle réside tant dans ses richesses culturelles que naturelles ».

  • Évolution en cours de la législation environnementale

    Ancrer l'écologie dans la société polynésienne passe par la législation concernant les thématiques environnementales. Celle-ci  doit évoluer en tenant compte de critères sociaux, scientifiques et économiques en transformation. Cela concerne des sujets aussi variés que les nuisances sonores, la gestion des déchets, la transition énergétique, la fourniture d'eau potable ou l'utilisation de ressources naturelles, botaniques notamment...
      
  • Essais nucléaires: une enquête pour réévaluer leurs impacts sur l'environnement et la population du fenua

    Une commission d'enquête va être créée à l'Assemblée nationale sur "la politique française d'expérimentation nucléaire" et ses conséquences en Polynésie française, à la demande des députés du groupe GDR. Ils souhaitent une réévaluation de l'ampleur et de l'intensité de la dispersion des particules radioactives lors des essais atmosphériques en Polynésie et de leurs conséquences sanitaires, économiques, sociales et environnementales.

  • En bref, droit et environnement: deux affaires au tribunal

    Le Corsaire,sombré en rade de Papeete, fait l'objet d'une querelle juridique entre le Port autonome et la société Degage qui estime ne pas être responsable de son échouage et de ses conséquences environnementales potentielles ; Quant à l'Hôtel de Puunui,  devant être rénové pour être prêt à l'occasion des épreuves de surf des Jeux olympiques de 2024, iln'a pas fait l'objet d’une étude d’impact environnemental ni d’une enquête publique. Les deux affaires sont en instance au tribunal...

  • Biodiversité, pollutions: les dernières news d'avril

     Portrait de Caroline Blanvillain, l’une des sept salariés de la SOP Manu en charge, notamment, de la sauvegarde du Monarque de Tahiti ; Le centre de soins des tortues marines de l’association Te Mana o te Moana quitte en juin ses locaux de Moorea, pour s’installer à l’InterContinental Tahiti de Faa’a ; Pollution de rivière à Teahupo’o ; Nuisances sonores à à Hitiaa O Te Ra ; "Corsaire" coulé dans le port de Papeete: du nouveau sur la responsabilité de l’épave à renflouer ; Creusement de lagune: rejet de la requête de résidents du motu Terurumi à Bora Bora.

  • Territoriales : quelle place pour l'écologie et le climat ?

    La Polynésie française vient de rentrer dans une période électorale au cours de laquelle les partis en lice vont présenter leurs programmes. Économie, société, culture... font l'objet de déclinaisons différentes pour tenter de convaincre les électeurs de leur bien fondé. Les interventions médiatisées des uns et des autres, selon une procédure légale très stricte, ne peuvent être relayées dans le cadre de cette revue de presse. Mais qu'en est-il aussi de leur positionnement sur les questions environnementales ? Afin d'informer la population, la FAPE Te Ora Naho leur a envoyé un questionnaire auquel quatre d'entre eux ont répondu. Ces questions, et leurs réponses, peuvent d'autant plus se poser qu' El Niño, une anomalie chaude présente au large du Chili, pourrait faire un retour remarqué dans l’océan Pacifique.

  • Biodiversité, environnement, climat : les news du 9 au 15 janvier

    Petite revue de presse dans laquelle il est question de protection de la biodiversité et de l'environnement mais aussi des conséquences du déréglement climatique pour nos îles : Annonce de la tenue, en février prochain, du 5e Congrès international sur les aires marines protégées ; Élaboration d'une « cartographie génétique » de la biodiversité marine du domaine maritime français, hexagonal et outre-mer, un outil-clé pour mieux la préserver ; À Napuka, fermeture d'un "dépotoir" communal par un proriétaire du terrain sur lequel la mairie déverse les déchets depuis plusieurs années ; À Punaauia, les riverains de Miri et du Lotus sont vent debout contre l’étude d’impact d'un projet immobilier qu’ils jugent minimisée ; Deux urbanistes appellent à l’urgence des décisions politiques avant que les habitants des Tuamotu ne deviennent les premiers réfugiés climatiques de la République.

  • Protection de l'environnement : les associations lanceuses d'alerte

    Reconnaissance du préjudice écologique dans l'affaire du dégazage du thonier Xin Shi Ji 203 au large de Arue en 2019. Son propriétaire condamné à verser un peu plus de 3,5 millions de francs CFP à la FAPE Te Ora Naho ; Tortues marines victimes des chauffards de la mer :  Te Mana o te moana s’indigne ; Sea Shepherd Tahiti rejoint la coalition « Sea Shepherd Origins » qui entend bien « préserver l’ADN originel » de l’organisation.

  • À Bora Bora, Tahiti (Faaone), Hao, Moorea : sur le front de la protection de la nature

    La situation de la villa "Quintessence" de la société Bora Yes de nouveau évoquée en audience au tribunal administratif ; Plus d’extraction dans la vallée de Mapua’ura, à Faaone, tant que le problème d’indivision ne sera pas réglé ; Fin des hostilités autour de l'AME de Hao. Après les actes de vandalisme, un compromis a été trouvé entre ayants droit et éducation ; La fédération Tāhei 'autī ia Moorea a célébré les un an de sa mobilisation pour la préservation de l'authenticité de l'île soeur, en réaction à des projets immobiliers.

  • Braconnage de tortues, pollution sonore : la loi doit être respectée

     Protégées depuis 1971 en Polynésie française, les cinq espèces de tortues marines présentes au fenua sont toutes inscrites sur la liste rouge de l’UICN comme espèces « vulnérables », « menacées d’extinction » ou « gravement menacées d’extinction ». Les peines deviennent de plus en fortes pour les braconniers. Les auteurs de nuisances sonores dont aussi dans le collimateur de la Justice.

  • Ava-Infos : les revues de presse du fenua durable

    Les différents médias du fenua relaient sur le web des informations concernant le développement durable et la protection de l’environnement qu’ils traitent sur leurs supports respectifs (tv, radio, presse écrite). Mais le flux d’infos étant continu, et ces dernières étant mélangées avec toutes sortes d’autres éclairages (politique, fait divers, culture, etc…), il est important, pour ceux qui s’y intéressent, de pouvoir suivre cette actualité de façon ciblée. Les revues de presse AvA-Infos sont une source d'informations pour les lecteurs exigeants qui ne veulent pas être de simples consommateurs de l'actualité. Elles représentent une base de données établie sur huit années qui peut intéresser les chercheurs et les étudiants qui souhaitent  "creuser" ces sujets.

  • L’association Te Ora Hau hausse le ton contre les "violences sonores"

     

    L’association de lutte contre les « nuisances » sonores a tenu son assemblée générale samedi 3 septembre : elle a renouvellé son bureau, à la faveur d’un grand nombre d’adhésions nouvelles, et modifié même son vocabulaire, parlant à présent de « violences » sonores. Elle entend “renforcer sa stratégie de protection des victimes et de dénonciation des faits délictueux”.(…) Te Ora Hau dénonce “l'égoïsme de nombreux concitoyens”, mais surtout pointe du doigt “l'indifférence de trop d'élus”.(…)

  • La biodiversité, “tout le monde s’en fiche” ???

    En juillet, Nicolas Hulot a présenté son plan d’action. Une nécessité quand l’on connaît l’état catastrophique de la situation au niveau mondial. L’idée est de changer d’échelle en matière de biodiversité et de la porter en haut de l’agenda politique national (Hexagone et Outre-mer) et international, au même rang que le changement climatique. Qu’en est-il en Polynésie française ?

  • Protection de la biodiversité : une urgence

    La protection de la biodiversité devrait être une priorité absolue de tous les gouvernements. Celle-ci est frappée, au niveau mondial, d'un déclin à la rapidité inédite. Les pollutions persistantes et la surexploitation des ressources accélèrent la disparition des populations animales et végétales.  Qu’en est-il en Polynésie française ? 

  • Conséquences des essais nucléaires : un sujet toujours sur le grill

    Les associations continuent à agir pour une meilleure reconnaissance de leurs conséquences sanitaires et environnementales. Pour elles, la notion de « risque négligeable » doit être supprimée de la Loi Morin. Retour de Bruno Barillot à la tête du COSCEN. Après François Hollande, Alain Juppé, en visite à Tahiti, amorce une « conversion » du discours officiel. 

     

  • Un représentant des associations, qui plus est de protection de l'environnement, élu à la tête du CESC

    Actuel président de la Fédération des associations de protection de l'environnement (FAPE), Winiki Sage a été élu président de l'institution qui représente la société civile au sein des institutions  de la Polynésie française : le Conseil Économique, Social et Culturel (CESC). Il entend faire reconnaître le rôle important que jouent celles-ci dans la vie publique.

  • COP 21 : Les accords du Bourget pourront-ils être tenus ?

    Nous sommes en pleine saison chaude et, cette année en Polynésie française, celle-ci s'avère d'une tendance plus élevée que les normales saisonnières, au moins dans les îles de la Société. 2015 s’est aussi avérée en France la 3e année la plus chaude depuis 1900. Est-ce le signe indubitable du changement climatique ?

     

  • Punaauia veut veiller sur sa faune aquatique

    Le conseil municipal de Punaauia a récemment  validé la mise en place d’un comité de surveillance des espèces animales marines et d’eau douce. Parallèlement, la commune a  finalisé son projet de zones de pêche réglementées (ZPR) et attend sa validation par le Pays.

  • Ondes électromagnétiques le CESC veut une révision de la proposition de loi

    Le CESC s’est saisi de la proposition de « loi du Pays » du représentant à l’APF Antonio Perez dont la vocation est de protéger la population de l'impact des ondes électromagnétiques. Ce texte a été jugé imprécis et parfois même contre-productif et les représentants de la société civile s'interrogent sur la nécessité de ce texte. Cette problématique devrait cependant être prise au sérieux.

  • Premier sommet des ministres de l’Énergie des Pays et Territoires d’Outre-mer

    Les 16 et 17 juin derniers, s'est tenu à Bruxelles le premier sommet des ministres de l'Energie des Pays et Territoires européens d'Outre-Mer. Un événement organisé par l’Association des Pays et Territoires d’Outremer (OCTA) avec le soutien de la Commission européenne. En vue, une stratégie de réduction de la dépendance envers les combustibles fossiles.

  • Colloque au Sénat sur les incidences du réchauffement climatique pour le Pacifique

    Un colloque a été organisé le 9 juin par le groupe d'amitié France-Vanuatu-Îles du Pacifique du Sénat en partenariat avec la délégation permanente de la République de Palau auprès de l'Unesco. Étaient abordés deux questions : quel avenir pour les îles du Pacifique face au dérèglement climatique ? Comment concilier croissance et protection des écosystèmes océaniques ? 

  • Les associations polynésiennes de protection de l'environnement veulent être entendues

    Une réunion a rassemblé, mercredi 3 juin à la mairie de Punaauia, plusieurs associations de protection de l’environnement. Leur objectif : s'entendre et préciser les termes de leurs inquiétudes et de leurs exigences avant la rencontre prévue le mardi 9 juin avec le président Edouard Fritch et son gouvernement.

  • Changement climatique : afin de préparer la COP21, la Polynésie française accueille le « Polynesian leaders Group » (PLG)

    Ayant pour objectif de préparer la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques de 2015 (C0P21/CMP11) qui se tiendra à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015, la Polynésie française accueillera une conférence du « Groupe des Leaders Polynésiens » (PLG - Polynesian Leaders Group) à la mi-juin, précise le communiqué du Conseil des ministres du 27 mai.

  • Loi sur le renseignement : un texte liberticide ?

    Le projet de loi sur le renseignement que les députés ont voté dernièrement à l'Assemblée nationale ne laisse pas d'inquiéter.  Demain, n'importe quel gouvernement autoritaire aura-t-il ainsi un outil idéal pour museler toute opposition sous prétexte de garantir la sécurité publique ? Deux députés sur les trois députés polynésiens ont voté pour ce projet de loi. Une menace sur la liberté d'expression ?

    Ce texte qui a été voté par une très grande majorité des députés doit être présenté au Sénat à partir du 20 mai. Quel sera le vote des deux nouveaux sénateurs élus récemment  par les grands électeurs polynésiens ? Les uns et les autres pourront-ils justifier leur vote ?

     

  • Réchauffement climatique : les pays du Pacifique souhaitent un accord universel et contraignant

    Le directeur général du Programme Régional Océanien de l'Environnement (PROE), David Sheppard, a tenu une conférence de presse, le 17 avril à la Maison de la Nouvelle-Calédonie à Paris, à l'occasion de la préparation de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (dite COP 21) qui se tiendra à Paris du 30 novembre au 11 décembre. Malgré des dossiers encore en suspens, un accord puissant est souhaité par cette organisation intergouvernementale qui compte 26 Etats et territoires membres dans le Pacifique. Ceux-ci sont particulièrement concernés par la montée du niveau des océans qui en est la conséquence.

  • Réchauffement climatique : la majorité des pays tarde à engager des mesures

    Seuls 33 pays sur 195, dont les Etats-Unis et ceux de l'Union européenne, ont livré, avant la date butoir du 31 mars, leur « contribution nationale » à l'objectif de limitation du réchauffement fixée par la CNUCC. Il semble pourtant y avoir urgence. L'année 2014 aura bien été la plus chaude jamais enregistrée sur la terre, une tendance qui se poursuit…  

  • Assemblée nationale : Les députés interdisent les pesticides tueurs d'abeilles

    Jeudi 19 mars, l'Assemblée nationale a voté un amendement qui interdit pour de bon les pesticides néonicotinoïdes tueurs d'abeilles sur le sol français ! « Si l'amendement est confirmé par le Sénat, c'est tout le travail que nous avons mené ensemble ces deux dernières années qui est récompensé », explique l’association Pollinis dans un communiqué.

  • La création de l'agence pour la biodiversité votée à l'Assemblée nationale

    L'Assemblée nationale a voté, mercredi 18 mars, la création de l'Agence française de la biodiversité (AFB). Selon ce texte qui reconnaîtt que 80 % de la biodiversité française se situe outre-mer, cinq sièges supplémentaires ont été attribués à des représentants « de chacun des cinq bassins écosystémiques ultramarins ».

  • Projet de loi pour la création d’une Agence nationale de la biodiversité

    Près de quarante ans après la loi de protection de la nature de 1976, un projet de loi doit notamment permettre la création d'ici la fin 2015 d'une Agence nationale de la biodiversité, promise par François Hollande lors de la première conférence environnementale en 2012.

  • Actualisation par l'UICN de la liste rouge des espèces végétales terrestres endémiques de Polynésie française

    Afin d’appuyer le programme de conservation des espèces végétales menacées de Polynésie française initié entre 2006 et 2008, la direction de l’Environnement a engagé en 2012 un travail de coordination pour aboutir à la révision de la liste des espèces végétales endémiques de la Polynésie française, selon les critères de l’UICN.

  • Le préjudice écologique bientôt inscrit dans la loi française

    La garde des sceaux s'engage à instaurer dans le code civil le principe de responsabilité environnementale, indique Le Monde dans son édition du 12 février. Concrètement, explique le quotidien du soir, il s'agit de mieux prendre en compte, lors d'une catastrophe écologique par exemple, les dommages causés à la nature sauvage.                                                                                                                                                                                                                      

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