AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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Participatif et Collaboratif

  • Initiatives pour un fenua plus durable

    La protection du fenua est l'affaire d'"acteurs" engagés (institution, fondation, association, particulier...) à l'origine de "solutions" ou d'études qui méritent d'être remarquées. À noter, en cette fin d'année 2023 : Prolongation du rahui de Ua Huka jusqu'en 2025 ;  État des lieux de la faune et de la flore d'îlots des Australes ; Lancement d’un projet d’aquaponie au sein du bassin de la Présidence ; 60 millions de francs CFP en faveur de dix associations de protection animale de Polynésie française ;  Bilan de quatre ans d'activités de l’association Raiatea Animara pour venir en aide aux animaux domestiques mais aussi aux familles ; Bilan de la surveillance de la radioactivité par l'IRSN : une radioactivité "très basse" ; Une seconde vie pour les jouets inutilisés avec le collectif Tata'i et "réparer au lieu de jeter" avec Rawena Temahahe, la réparatrice de Vairao qui ramène à la vie machines à laver et autres appareils électroménagers...; Une baleine à bec de cuvier, échouée dans la baie de Vaiare à Moorea, a pu regagner le large avec l'aide de nageurs, bénévoles et associations ; La plage de Taunoa, à l'embouchure de la Fautaua, croule sous les déchets. Face à une population locale qui excelle dans l'incivilité... ce sont aux associations (en l'occurence Mama Natura) de pallier ce manque de responsabilité !

  • Écologie et militantisme : cinq nouvelles initiatives

    L’association Te Mana O Te Umara annonce l'organisation, les 22, 23 et 24 mai prochains, d'un nouveau tour de l’île à pied avec une brouette pour attirer l’attention de la population sur l’urgence du changement climatique ; Avec son projet The Cool Life, Clara Barth veut relier Moorea à Marseille en voilier pour en ramener des solutions écologiquement inspirantes ; La Makatea Vertical Adventure est un rendez-vous sportif et écotouristique, du 19 au 23 juin pour faire découvrir l’île à travers des activités proches de la nature tout en sensibilisant le public à la cause environnementale ; Dive For Pehu est un nouveau mouvement dont l'objectif est de dépolluer le lagon et de sensibiliser le public à la cause environnementale. 

  • Biodiversité: trois options scientifiques en cours

    Comprendre l’urgence écologique et climatique nécessite de nous documenter sur ses causes et ses conséquences. Une étude est en cours pour mieux comprendre le rôle majeur des oiseaux marins dans la bonne santé des récifs et des îles coralienne ; Le directeur général de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a proposé à la Polynésie française de devenir membre de l’organisation internationale ; L’Office français de la biodiversité (OFB) a lancé (le 27 mars) un appel à manifestation d’intérêt national visant à soutenir et financer des projets de recherche-action sur les espèces exotiques envahissantes.

  • Ateliers participatifs de réflexion sur la problématique des transports en Polynésie

    Face aux bouchons récurrents et aux difficultés de stationnement en ville, pour pallier les problèmes de circulation à Tahiti, la Direction des Transports Terrestres a organisé des ateliers participatifs afin de proposer des projets. Trois idées “lauréates” seront intégrées à la révision du schéma directeur des transports collectifs et de déplacements durables, prévue pour être effectuée en 2024.

  • Environnement: actions en cours du tissu associatif

    L’association Manu-SOP a sauvé l’an dernier 334 oiseaux marins, grâce à son réseau de bénévoles ; Avec la FAPE, « Parcours écologie » et fresque pour l’environnement réalisée par des jeunes en réinsertion judiciaire à la Maison de la culture de Papeete ;Ateliers collaboratifs de réparation à Rangiroa avec l'association Tata'i ; L’association de protection de la vallée de Punaru’u a fait don de 50 pieds d’orangers à la ville de Punaauia ; À Moorea, l'écomuséeTe Fare Natura favorise l'insertion professionnelle.

  • Protection de l'environnement : quatre initiatives pour la mettre en valeur

    La Polynésie française récompensée pour sa lutte contre l'introduction d'espèces invasives sur le territoire ;   Une série documentaire TV qui met en lumière les initiatives et les combats de neuf lanceurs d'alerte issus de chacun des territoires ultramarins. En Polynésie, avec Jason Man Sang, militant écologiste ; L’association la Brigade Verte Tahiti poursuit ses actions de sensibilisation et de conscientisation en corrélation avec les établissements scolaires ;  Développer la Polynésie française de manière durable et faire du fenua une terre d’innovation… C’est l’objectif de la stratégie adoptée à l’Assemblée (APF).

  • Ces associations agissent concrètement pour la protection de l'environnement

    L’association Ti’ai fenua (Nana sac plastique, atelier Tata'i) dresse le bilan de 2022. De gros projets sont prévus l’an prochain et dans cette dynamique l’association lance un appel à de potentiels bénévoles qui souhaiteraient s’engager en faveur de l’environnement ; Moana Van der Maesen expose ses oeuvres à l'international : un message pour pousser les humains à la préservation du vivant ; L’association Tamarii Pointe des pêcheurs fait partie des 4 lauréats en Polynésie de l’appel à projet pour la résilience des récifs coralliens et des écosystèmes associés ; Entretien: président de la Fédération des associations de protection de l'environnement, Winiki Sage, revient sur les grandes priorités de la Fape ; L'association Mokarran Protection Society, basée à Rangiroa, débute  un cycle de missions pour les trois prochaines années dédié à la migration (et donc à la protection) du Grand requin-marteau ; L’association sportive « Coureurs des Gambier » replante des dizaines d’arbres endémiques de l’archipel. L’objectif est de reboiser une partie de la forêt, envahie par des espèces invasives.

  • Quelques réponses aux crises en cours

    Quelques réponses face aux crises (économiques, écologiques, sociétales...) : Objectif autonomie alimentaire, autonomie énergétique du fenua et réforme de la fiscalité pour le député Brotherson ; Sensibilisation aux modes de transport alternatifs avec le Challenge “écomobilité” ; La résistance comme mot d'ordre face à l'urgence climatique pour l'association Te Motu ; L’humusation, une pratique funéraire écologique.

  • Énième action de ramassage des déchets à l’embouchure de la vallée de Tipaerui

    Malgré des signalements récurrents, la situation n’évolue pas sur ce site comme à d’autres endroits du domaine public. À l’occasion du World Cleanup day et de la Semaine européenne du développement durable, une action de l’association Project Rescue Ocean pour une prise de conscience collective.

  • Les associations sur le front de l'environnement

    Les associations jouent un rôle non négligeable dans la protection de l'environnement. En Polynésie française, réparties dans les cinq archipels, elles peuvent être lanceuses d'alerte, contribuer à la sensibilisation du public, ou encore engager des actions de terrain... : Le 17 septembre, la Fédération des Associations de Protection de l'Environnement - Te Ora Naho, qui en regroupe une quarantaine, a organisé une soirée-concert pour la 2ème édition des Trophées du fenua durable ; Le collectif "poihere te natura" entretetient le sentier de randonnée menant au sommet du mont Aorai ; L'association La Fresque du climat,propose des ateliers ludiques qui permettent de saisir l'urgence climatique ; Une classe de terminale du lycée Lamennais ramasse des détritus avec l'association Rescue Ocean ;Quatre associations reçoivent des subventions en fonctionnement pour un montant total de 2 213 350 Fcfp

  • Une société en quête d'aménagement durable

    Protection de l’environnement, aménagement et développement durable des communes, atténuation et adaptation au changement climatique, production d’énergie renouvelable... ont en commun l'implication de la société citoyenne. Propositions et confrontations font partie d'un quotidien relativement discret mais peuvent aussi émerger de façons plus visibles sur la scène publique, voire judiciaire.

  • Environnement, climat: associer État, Pays et société civile pour la gouvernance

    Certaines interventions, comme la participation au sommet international One Ocean Summit, ne peuvent être que du ressort du Pays. Mais le futur Plan Climat de la Polynésie française (PCPF) ne pourra qu’être favorisé par la mobilisation des acteurs locaux, des habitants et des entreprises. La représentation de la société civile, le Cesec, a été consultée pour donner son avis sur le projet de loi du pays portant composition et administration du domaine public, un secteur qui doit notamment intégrer la protection des littoraux. Quant aux associations de protection de l'environnement, elles peuvent devenir des partenaires sollicités à part entière pour le développement du fenua. C'est en tout cas ce qui est ressorti du premier séminaire organisé à leur intention, jeudi 9 décembre à la Présidence.

  • Des actions en faveur de l'environnement

    Associations, institutions, particuliers... se mobilisent pour la protection de la nature: l'association Manu poursuit ces actions de dératisation pour la protection des oiseaux ; à Moorea, on se préoccupe de la situation d’envahissement de la petite fourmi de feu ; la Direction de la Biosécurité agit pour empêcher l'infestation des cocotiers par des insectes xylophages ;  Herehia Helme scrute l'état de santé de deux rivières de Tahiti ; Titouan Bernicot, fondateur de Coral Gardeners, a été choisi pour participeraux  "Young activity summit" ; à Nuku Hiva, un mariage éco-responsable pour Hinenao Kimitete et Tehotu Tauraatua; à Moorea, l'écomusée Te Fare Natura flirte avec le thème de Halloween ; à Raiatea, projet d'un nouvel écolodge ; à Moorea, des projets immobiliers contestés.

  • Pour un environnement mieux préservé: des initiatives à suivre

    Le réchauffement climatique, l'actualité le démontre, ne doit pas faire oublier d'autres problématiques qui lui sont associées dans la vie de tous les jours. La protection de la biodiversité, le tourisme durable dans une perspective de transition écologique, la création dejardins partagés associatifs et communaux, la formation à une agriculture elle aussi “durable”. On n'oubliera pas non plus la sensibilisation par le biais de création expressive (BD, écriture, image...). Le dépôt sauvage de déchets par une population encore inconsciente des conséquences de gestes irréfléchis ou égoïstes nécessite encore, hélas, l'action de bénévoles. Quant aux chiens errants, ils méritent un meilleur sort que celui qui leur est souvent réservé.Aux Marquises, l’association Nuku Hiva Animara est en cours de création pour y remédier.

  • Ils agissent pour un développement plus durable du fenua

    Une plateforme incitant les commerçants à proposer leurs invendus alimentaires et permettant aux particuliers d’acheter à petits prix ; le portrait d’un militant écologiste qui, pendant un mois, a composé ses repas à partir de produits exclusivement locaux ; un projet de ferme agri-solaire à Huahine ; Tata’i, des ateliers collaboratifs de réparation, une idée géniale qui permet de redonner vie à des appareils qui ne fonctionnent plus ; une entreprise qui récupère les cartouches d’imprimante et les intégre dans un circuit d’économie circulaire ; un moment collaboratif sous forme de “cartopartie” pour améliorer l'accessibilité des lieux aux personnes à mobilité réduite.

  • Petite revue d'efforts collectifs pour un fenua durable

    L’émergence d’un développement plus “durable”, au sein d’une nature respectée et protégée, est le fruit d’efforts collectifs. Qu’ils viennent d’associations, parfois avec le soutien d’entreprises, ou d’institutions publiques : ramassage de déchets et sensibilisation locale, préservation d’un biotope en danger, recyclage et conception de produits ménagers naturels, protection de la ressource halieutique, amélioration des services publics environnementaux… C’est la dernière moisson de cette revue de presse.

  • L'urgence climatique : à "prendre au sérieux"

    Le 8 décembre était célébrée la Journée mondiale du climat. Covid, préparation des fêtes de fin d'année... Cette date est passée relativementsous silence, malgré l'urgence. L'ONU, les Pays du Pacifique, appellent à réduire les émissions de gaz à effet de serre. La Polynésie française a participé à une table ronde virtuelle entre les dirigeants du Forum des Iles du Pacifique et les grandes nations "Partenaires du dialogue du Forum.Sur le fenua, des associations ont tenté de communiquer et d'agir pour (continuer de) sensibiliser la population.

     

  • Développement durable: sensibilisation et actions en cours

     Sensibilisation au tourisme éco-culturel, semaine "santé, développement durable", formation à l'agriculture, valorisation des déchets de poisson, "upcycling", engagement pour la propreté d'un littoral... autant d'initiatives pour un fenua plus "durable" à faire connaître et à soutenir.

  • Développement durable : sur le front de la sensibilisation

    Alimentation, solidarité, traitement des déchets, santé, lutte contre la pollution : associations, écoles et institutions… développent des actions diverses et variées, concrètes ou artistiques, pour inciter la population à adopter des comportements plus écologiques et plus solidaires. De beaux exemples de la transversalité nécessaire au développement durable.

  • Économie : développer des stratégies de développement vraiment “durables”

    Avec plus de 280 000 habitants dans dix ans, la Polynésie française se doit de développer des solutions qui répondent à un développement vraiment “durable”, c'est-à-dire écologiquement soutenable, économiquement résilient et socialement plus équitable. Alimentation, énergie, transport... doivent être examinés à cette aulne. Le consommateur, en devenant un “consom'acteur” peut aussi poser un geste politique qui, autant qu'un vote, implique son sens de la responsabilité. 

  • Les déchets : un problème ou une ressource possible ?

    Il y a ceux qui polluent sans vergogne… et il y a ceux qui cherchent (et qui proposent) des solutions. La gestion des déchets n’en finit pas de se poser. Régulièrement, des collectifs de citoyens et des associations se mobilisent pour nettoyer des sites publics pollués par des “cons-ommateurs” irresponsables. Mais est-ce voué à se perpétuer sans fin ?

  • Environnement: plusieurs action de protection en cours

    Protéger l'environnement, c'est préserver la survie et l'avenir du fenua.Des actions sont en cours pouréviter la pollution d'un récif des Tuamotu, sauvegarder la faune marine (requins et cétacés) ou des oiseaux endémiques... Petits coups de projecteur sur des acteurs, associatifs ou publics, qui  participent en ce moment à sa protection.

  • Le scandale du mois ! Du gazon synthétique sur le front de mer à Papeete

    AUE HO'I E ! Te Ora Naho, la FAPE (fédération des associations de protection de l’environnement) a décidé de remettre un prix mensuel des actions honteuses pour l'environnement et le développement durable en Polynésie française. Le gazon synthétique installé sur front de mer de Papeete est la première action du genre à être épinglée… Une pétition a par ailleurs été lancée par un collectif citoyen sur le réseau social Facebook.

  • Quel après Covid19 voulons nous voir advenir ?

    La tension médiatique autour de la pandémie Covid19 se relâchant, l'actualité concernant la protection de l'environnement refait surface dans les médias locaux. Le mois de juin va aussi être l'occasion de rendre plus visibles les démarches éco-responsables initiées sur le fenua: sensibilisation au changement climatique, agriculture saine et durable, gestion des déchets...

  • Revue de presse : zoom sur l’actualité de l’environnement

    AvA-Infos poursuit sa veille et scanne les médias locaux à la quête des infos concernant le développement durable et la protection de l’environnement. A lire : deux actus problématiques et cinq propositions pour un développement plus autosuffisant et résilient.

  • Le confinement générateur de solidarité et de créativité

    Le confinement annoncé par le gouvernement pour stopper la propagation de l’épidémie de coronavirus est peut-être l’occasion de redécouvrir l’importance de nos liens. C’est le moment de s’intéresser aux personnes les plus fragiles en ces temps difficiles, d’inventer une autre manière de cultiver ses relations, de découvrir des formes de créativité et une manière plus équilibrée de s’alimenter, le moment aussi peut-être de se reconnecter à l’essentiel. De nombreux élans de solidarité se manifestent.

  • Coronavirus - Réflexions pour l’après-Covid-19

    De crise sanitaire localisée, la pandémie du Covid-19 est devenue en un temps record une crise économique et sociale mondiale. Elle montre de façon dramatique l’interdépendance des trois piliers du développement durable : l’environnement, le social et l’économie et la nécessité de changer notre modèle de production et nos modes de vie. Quelques réflexions issues du tissu associatif, local et international.

  • Associations/engagement éco-citoyen: (petite revue de presse du 01 au 10/02/20)

     L’engagement dans la vie de la cité ne se réduit pas aux seules élections, et il y a bien d’autres occasions pour chacun d’investir et de s’investir dans la vie collective. Petite revue de presse dédiée pour la période du 1 au 10 février.

  • Culture: des nourritures pour le corps… et pour l’esprit

    S’il est nécessaire de dénoncer et d’alerter face à des situations critiques…il est aussi bon d'informer et de sensibiliser. De nombreuses actions étaient à relever, en avril: concert, festivals, conférences, pièce de théâtre, BD... Elles touchent à plusieurs domaines du "développement durable" dont les problématiques sont, par essence, transversales.

  • Marches pour sensibiliser au réchauffement climatique

    La question du réchauffement climatique est sur le devant de la scène et, avec elle, la nécessaire implication des États pour endiguer la hausse des températures. Longtemps sous-informée, la société civile se mobilise pour inciter les gouvernements à agir de façon concrète. À la mi-mars, des centaines de manifestations se sont déroulées en métropole. À Tahiti aussi, le mouvement a été suivi. Quelle suite donner à cette prise de conscience ?

  • Un autre regard sur notre environnement quotidien

    L’embellissement du cadre de vie urbain et péri-urbain est aussi une façon de contribuer à l’amélioration du cadre de vie. Le concours “J’embellis ma commune” a démarré le 15 février. Sur le port de Papeete, 16 bennes à déchets du port de Papeete ont été confiées à cinq artistes.

  • Pollution : encore des progrès à faire en matière d’éco-civisme

    Il est à craindre que les problèmes de pollution soient encore longtemps un sujet d’actualité. Même si l’incivisme ou l’irrespect des règles sont en partie compensés par l’engagement citoyen. Communes et sociétés ne sont pas exemptées de se conformer à la législation…

  • Un Noël plus solidaire ? Ne pas oublier les plus défavorisés

    Comme rappelé précédemment, la solidarité est intrinsèque au développement durable. Que faire pour que Noël ne se réduise pas à la folie consumériste ? Comment agir pour que cette fête soit avant tout un moment de partage et d’ouverture aux autres ? Des associations, chrétiennes ou non, se mobilisent pour que « festivités » rime avec « solidarité ».

  • Dérèglement climatique : La COP24 part mal. Il est urgent de réagir

    La vingt-quatrième session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP24) se tient du 2 au 14 décembre en Pologne. L’une des tâches les plus importantes de la COP24 consistera à élaborer et adopter un ensemble de décisions garantissant la pleine application de l’Accord de Paris, conformément aux décisions adoptées à Paris (COP21) et à Marrakech (CMA1.1). En outre, elle inclura le «dialogue de facilitation» destiné à soutenir la mise en œuvre des engagements nationaux pris à Paris en 2015.

  • Des clés pour une agriculture et une alimentation « durables »

    Beaucoup d’habitants de Tahiti sont déconnectés de la réalité agricole. La nourriture n’arrive pourtant pas toute seule dans leurs assiettes. Production locale, circuits courts, suivi de la qualité… autant de considérations qui doivent interpeller les consommateurs s’ils veulent participer à l’élaboration d’une économie vraiment « durable ». 

  • S’inspirer des traditions pour la protection de l'environnement

    La protection de l’environnement est aussi affaire de culture. Certaines des traditions ancestrales sont porteuses d’une sagesse qui manifeste un accord avec les rythmes cosmiques. Le respect de la nature, en particulier en la gardant propre, pourrait s’en inspirer. L’association Haururu a souhaité rappeler un marqueur de temps lié au calendrier traditionnel avec la remise à l’honneur d’une cérémonie oubliée,vaereä marae, qui se situe au moment de l’équinoxe, autour du 20 septembre. 

  • La pollution, encore et toujours d’actualité…

    Question traitement des déchets, le « paradis » sur terre qu’est Tahiti et ses îles souffre de bien des maux. À Tahiti, Moorea, Rangiroa et Raivavae… il y a encore du travail en perspective. Des associations se mobilisent mais l’incivilité des habitants est pointée du doigt. L’insuffisance des infrastructures – notamment aux Tuamotu - doit aussi être relevée…

  • Déchets sauvages (2) : l’incivisme toujours d’actualité mais un bénévolat participatif actif

    La gestion des déchets et la protection de l’environnement vont de pair. Malheureusement, la prise de conscience n’est pas encore généralisée. Dans la première quinzaine de septembre, associations, communes et institutions ont néanmoins relevé le défi et l’on a pu constater de fortes mobilisations dans la population. Un jour viendra peut-être où il n’y aura plus nécessité de déployer de telles opérations parce que la population aura compris.

  • Déchets sauvages : l’incivisme toujours d’actualité mais un bénévolat participatif actif

    À Taiarapu-Est dans le quartier de Maraeapai, à Papeete, dans la vallée de Tipaerui ou à Motu Uta… comme en bien d’autres endroits à Tahiti, l’incivisme est toujours de mise et des associations sont encore obligées de participer à des nettoyages participatifs. Cette participation citoyenne et les alertes relayées sur les réseaux sociaux sont une invitation à tout un chacun de “faire sa part”, d'agir à son échelle pour la nature et la société.

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