AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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Biodiversité et Environnement

  • Journée de l'environnement : un rendez-vous pour le public au Musée de Tahiti

    Cette journée, promulguée par le PNUE, (Programme des Nations Unies pour l'Environnement), est célébrée depuis de nombreuses années et soulève régulièrement les questions essentielles de la protection de l'environnement et ses conséquences sur la qualité de vie des populations et l'avenir écologique de la planète Terre. Au fenua, cette année, elle a été célébrée le 5 juin dans les jardins du musée de Tahiti et des îles. L'objectif : sensibiliser le public à la protection de la nature.

  • Phosphate et terres rares. Les promesses risquées du sous-sol…

     

    L’exploitation du phosphate de Makatea arrêtée en 1966 pourrait bien reprendre. Quant aux terres rares et autres nodules polymétalliques qui tapissent les fonds sous-marins de la Polynésie, ils représentent un marché potentiel qui pourrait être important. Quels risques pour l’environnement ?

     

  • Hao, entre projets mirifiques et risques sanitaires et environnementaux

     

    Il y a un an était posée la première pierre de la ferme aquacole de Hao. Un projet  qui a pour ambition de booster l'économie de l'atoll, et du Pays (1 million de tonnes par an !!!), mais qui suscite de légitimes craintes par rapport à son impact environnemental. Ce complexe financé par un groupe chinois pose de nombreuses questions...

  • Environnement : il y a encore du boulot !

     

    Qualité de l’air, gestion des déchets, occupation du territoire, état de la pêche, agriculture, biodiversité, patrimoine naturel, pollutions diverses, qualité des eaux : les constats observent une dégradation générale étroitement liée à la répartition démographique, sur le territoire de la Polynésie française.

     

  • Beau succès des 1ères Assises ECO-ECOLE de Polynésie

    Le mercredi 20 avril, se sont déroulées à la DGEE (Pirae), les 1ères Assises  ECO-ECOLE de Polynésie française. Au programme une après-midi de rencontres autour de thématiques du développement durable pour les représentants d’une quarantaine d’établissements scolaires du fenua.

  • Énergie : des barrages et du solaire ?

    Avec comme objectif 50% d'énergie renouvelable à l'horizon 2020, le gouvernement envisage de développer la filière hydroélectrique. Parallèlement, des solutions de stockage centralisé vont permettre de poursuivre et accentuer le développement de la filière solaire.

     

  • Imaginer, projeter, montrer : Demain sera ce que nous en ferons

    Le film "Demain" en salle à Papeete ; Un appel à projets écologiques avec le programme Best 2.0; Une expo de photos et un documentaire ; Un thème de réflexions ; Des étudiants qui imaginent le futur. Culture et économie peuvent faire bon ménage pour promouvoir le développement durable.

  • Climat : après la COP 21, le Pacifique continue à se mobiliser

    Un sommet océanien du développement durable ; une expédition scientifique consacrée à la recherche sur les récifs coralliens menacés par le réchauffement climatique ; l'intérêt marqué des églises du Pacifique pour ce sujet ; une coopération régionale Outre-mer… Les communautés insulaires du Pacifique de plus en plus concernées.  

  • Polémique autour du projet de grande réserve marine aux îles Australes

    Cela faisait  deux ans  que les 6000 habitants des Australes discutaient autour d'un projet important à leurs yeux : créer une grande Aire Marine Protégée (AMP) autour de leurs îles. Début avril, ils ont sollicité une audience auprès du gouvernement d'Édouard Fritch. Qui n'a pas le même avis sur le sujet, préférant la mise en place d'une "d'Aire Marine Gérée" sur toute la ZEE polynésienne.

     

  • L’économie polynésienne en quête de développement participatif, responsable et durable

    Économie circulaire, plateformes sociales et solidaires, réflexions sur l’innovation… ou encore partage de l’expression artistique, l’économie polynésienne montre de nouveaux visages de son développement.

  • Moorea, vallée d'Opunohu : deux projets alliant tourisme, culture et écologie

    Un musée écologique bientôt en construction dans la vallée d’Opunohu. Cette vallée de Moorea accueillera aussi un parcours ethno-botanique qui devrait permettre de mettre en valeur et de protéger l’ensemble naturel remarquable de ce domaine qui est aussi un site archéologique de premier plan.

  • La biodiversité animale menacée

    La perte de biodiversité a des effets néfastes sur plusieurs aspects du bien-être humain. La Polynésie française, au sein du Pacifique, n'est pas épargnée : blanchiment des coraux, espèces invasives d’insectes, rats destructeurs de la faune aviaire endémique, pêche illégale au thon... autant de menaces à maîtriser. 

  • La communication au service du développement durable

    Plusieurs événements ou initiatives ont été déployés à Tahiti pour la sensibilisation de la population à la protection de l’environnement ou à une vie sociale plus harmonieuse : Journée mondiale de l'eau, des maru maru sauvés, réinsertion des jeunes par l'écologie, Label Hina et JT vert sur TNTV, des lycées branchés écolos, la 3e édition de TedXPPT...

     

  • Les pollutions, une menace toujours présente...

    La face cachée du paradis... Pesticides, Hao : son plutonium et sa ferme aquacole, la pollutions sonore et celle des rivières, le danger méconnu des pollutions électromagnétiques… La vigilance et la prévention sont plus que jamais de mise…

  • Conséquences des essais nucléaires : le Président de la République interpellé pour « aller plus loin »

     Le dossier des essais nucléaires et de leurs conséquences sanitaires et environnementales en Polynésie française a évolué avec la visite du chef de l'État, en février dernier. Mais les annonces qu'il a faites concernant leur "réparation" ne satisfont pas totalement les associations Moruroa e tatou et 193. 

  • Maintenir la biodiversité est un défi auquel sont confrontées les sociétés d'aujourd'hui. En Polynésie aussi

    Depuis le Sommet de la Terre, à Rio de Janeiro en 1992,  la préservation de la biodiversité est considérée comme un des enjeux essentiels du développement durable. Des lois peuvent la renforcer. De nombreuses pratiques irresponsables peuvent au contraire la faire diminuer. Petit point sur la situation en ce début d'année. 

  • L’école 2+2 = 4 de Punaauia rejoint le réseau Éco-École

    L’école 2+2 = 4  a reçu fin janvier le label « Éco-École », un titre européen décerné par la Fédération pour l’éducation à l’environnement en Europe (FEEE) aux établissements scolaires qui s’engagent dans une démarche citoyenne et éco-responsable et qui, par ailleurs, mettent en place une éducation sur le développement durable. Elle rejoint une vingtaine d'établissements scolaires polynésiens déjà dans le réseau.

     

  • Réchauffement climatique : menaces sur la biodiversité

    Les travaux du GIEC ont  mis en évidence l’influence des activités humaines dans la perturbation du climat par l’émission des gaz à effet de serre (GES). Un réchauffement climatique anormalement rapide menace la biodiversité, en mer et à terre. 

  • Nucléaire : la demande de référendum se précise et mobilise

    La pétition demandant un référendum pour que la population puisse exprimer son avis en ce qui concerne les "essais" nucléaires pendant trente ans (de 1966 à 1996) en Polynésie française recueille déjà aux environs de 30 000 signatures. L'ignorance de jeunes sur cet épisode de l'Histoire récente n'est toutefois pas sans interpeller.

  • Cyber action pour la protection de la biodiversité en Polynésie française

    Selon le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN), les deux tiers des plantes endémiques et la moitié des oiseaux des îles et atolls de Polynésie française, dont de nombreuses espèces uniques au monde, sont menacés. Une cyber action est en cours, lancée par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

  • Ondes : une étude établit la causalité pour l'électrosensibilité !

    Selon une étude récente de de l'ARTAC (Association pour la Recherche Thérapeutique AntiCancéreuse), les malades se réclamant d’une électro-hypersensibilité et/ou d’une sensibilité multiples aux produits chimiques sont de vrais malades, que leur affection ne relève nullement d’une pathologie psychiatrique ou même psychosomatique.

     

  • COP 21 : un bilan mitigé

    Le mois de décembre a été marqué par l’organisation à Paris de la COP 21. Une conférence internationale ayant pour ambition de permettre d’éviter les conséquences potentiellement catastrophiques du réchauffement climatique en cours. Celle-ci a été conclue  par un accord, dit « Accord de Paris » qui a été salué unanimement. Mais ne s’agit-il pas d’un leurre ?

  • Noël en question : une fête devenue anti-écologique et mondialement inéquitable ?

    Noël est une occasion de faire la fête … et de retrouver la famille. Mais, il faut le reconnaître, une occasion supplémentaire de dépenser et de consommer… Au fil des années, l’événement devient purement commercial  et de moins en moins religieux. Est-ce vraiment durable, à l’heure où il devient urgent de réfléchir aux conséquences de notre mode de vie ?

  • Rivières en crue sur la côte est de Tahiti : des dégâts évitables ?

    Le samedi 12 décembre, de fortes pluies se sont abattues sur une partie de la côte est de Tahiti occasionnant de graves dégâts. Plus de 60 maisons détruites, une centaine gravement endommagées, un mort… Ces dégâts étaient-ils évitables ?

  • Tahiti Mahana Beach : le projet sur les rails, mais…

    On constate, dans la dernière décennie, un déclin de la visite touristique en Polynésie française, de 264 000 visiteurs à environ 150 000. À ce titre, le projet du Tahiti  Mahana Beach peut représenter un moteur de développement économique. Mais quid des conditions de protection de l’environnement et de la sécurité ?

  • Attentats de Paris, COP 21 : deux expressions d’une crise « systémique »

    Le mois de novembre a été endeuillé en son milieu par les attentats qui, à Paris, ont laissé un lourd bilan : 130 morts, plus de 300 blessés et une population traumatisée. En fin du mois, on a aussi assisté à l’ouverture de la COP 21, conférence internationale destinée, en principe, à favoriser le maintien de la température globale de la planète à un niveau acceptable pour les sociétés humaines. Quelques réflexions.

  • Moment de réflexion : Comment tout peut s’effondrer !

    « C’est un peu surréaliste d’observer ce qui se passe dans les réunions internationales sur le changement climatique. Y a–t-il une seule personne dans ces réunions qui ait vraiment et sincèrement envie de changer quoi que ce soit au système, ou de changer tout court ? »

  • 1ères Assises de l’environnement des étudiants : les jeunes sensibilisés à la COP21

    300 à 400 jeunes réunis pendant une journée à Papeete pour être sensibilisés et débattre autour des problématiques environnementales et des enjeux du réchauffement climatique. Une délégation d’une trentaines de jeunes a été envoyée à Paris afin de participer aux rassemblements de jeunes en amont de la conférence internationale, pour participer à la COY21, la conférence jeunesse de la COP21.

  • Alternatiba Tahiti 2015 : encore un succès

    Le premier Alternatiba Tahiti, le 29 novembre 2014 à l’Assemblée (Papeete), avait déjà surpris quant au nombre de personnes intéressées par cette initiative. Les Colibris Tahiti remercient toutes les bonnes volontés qui ont de près ou de loin contribué au succès de la 2ème édition d’Alternatiba Tahiti.

  • La « Nature humaine » futur argument touristique de la destination Polynésie ?

    Longtemps axé sur le développement d’un tourisme haut de gamme (bungalows sur pilotis, hôtels 5 étoiles…), le secteur de l’industrie touristique peine à faire émerger Tahiti et ses îles comme une véritable destination « verte ».  Un positionnement fondé sur la valorisation de la « Nature Humaine » est envisagé… 

  • La culture moteur de transformation personnelle et collective

    Trois manifestations culturelles différentes se sont déroulées, en novembre, qui illustrent différentes manières de se responsabiliser face aux enjeux climatiques et sociétaux auxquels les sociétés sont de plus en plus confrontées. Une « méditation pour la Terre », le Salon du Livre de Tahiti et la célébration de Matari’i i Ni'a.

  • La Semaine Européenne de Réduction des Déchets (SERD)

    L’objectif de la SERD est de sensibiliser tout un chacun à la nécessité de réduire la quantité de déchets générée et donner des clés pour agir au quotidien aussi bien à la maison, au bureau ou à l’école, en faisant ses achats ou même en bricolant.

  • Alternatiba Tahiti 2 : le programme

    Samedi, 14 novembre à la mairie de Punaauia, Alternatiba Tahiti mettra en lumière toutes les initiatives locales qui luttent contre la pollution, le gaspillage et œuvrent en faveur du recyclage, des énergies vertes et du partage…

  • Rapport sur l’état de l’environnement en Polynésie française

    Le ministre de la Culture et de l’Environnement, Heremoana Maamaatuaiahutapu, a participé, le 23 octobre, à la restitution du rapport sur l’état de l’environnement 2015. En 350 pages un état des lieux dynamique des observations réalisées depuis 2007.

  • Opération "clean up day" à Faaa avec la "Brigade verte"

    L'opération "clean-up day", aujourd'hui mondiale, existe depuis huit ans en Polynésie française. À Faa'a, les élèves des établissements scolaires procèdent régulièrement à des opérations de nettoyage des déchets sur les plages et aux embouchures de rivières. Ces actions  sont aussi des opérations de sensibilisation au tri des déchets. Des actions dont certaines sont coordonnées par la "Brigade verte" de Ludovic Bardoux.

  • "Save the coconuts", dernière : "Protégeons notre fenua !"

    Cette manifestation qui s'est déroulée sur plusieurs mois visait à sensibiliser la jeunesse polynésienne aux problématiques des changements climatiques.Pour son cinquième et dernier événement, "Save the Coconuts" a donné rendez-vous samedi 24 octobre, dans les jardins de la Pointe Vénus sur le thème "Protégeons le fenua".

  • "Oasis, un nouveau mode de vie"

    Le magazine Kaizen et le Mouvement Colibris présentent 100 "Oasis", 100 lieux de vie construits aux quatre coins de la France par des femmes et des hommes qui ont décidé de placer l’autonomie, le partage et la convivialité au cœur de leur mode de vie. Et pourquoi pas, bientôt, à Tahiti ? Rendez-vous pour en parler le 14 novembre, au "village des alternatives", Alternatiba Tahiti.

  • Label Hina : Une série écolo 100% locale sur TNTV en février 2016

    Une série télévisée locale est en préparation, co-produite par TNTV et une maison de production polynésienne, Archipel production. Écrite par Sarah Dukhan et Simon Lecoq, "Label Hina" raconte l’histoire d’une jeune Polynésienne qui veut sauver son île du réchauffement climatique.

  • Le projet Ecoparc de Papenoo au coeur d’un débat de fond

    Les promoteurs du projet privé Ecoparc, dans la vallée de Papenoo, ont pour objectif de réunir des représentants du Pays, de la commune, des acteurs de la vallée et de leur société au sein d’un comité de pilotage. Mais la précipitation avec laquelle ils proposent leur calendrier de réalisation est loin de susciter l’adhésion de la population et des associations. De nombreuses questions se posent.

  • Un TedXPapeete dédié à l’environnement

    Un TEDxPapeeteSalon, formule originale,  s’est tenu le 1er Octobre à l'InterContinental Tahiti Resort & Spa autour d’un thème précis : l’environnement en relation avec la COP 21, en fin d'année. Quatre intervenants ont évoqué plusieurs thématiques intéressant aussi les problématiques locales.

  • Préservation de la biodiversité : les insectes, nuisibles ou auxiliaires de protection

    Les espèces exotiques envahissantes, comme la petite fourmi de feu, doivent être prises en compte pour en limiter la prolifération.  Au contraire, certains insectes peuvent être  utilisés comme auxiliaires pour combattre des ravageurs en lieu et place des produits chimiques. Des procédures souvent délicates à mettre en place.

     

  • La Fête de la Science sous le signe de l’environnement

    Cette année, la Fête de la Science était organisée en Polynésie française, du 7 au 10 octobre, par l'association Te Mana o te Moana en partenariat avec l'État et le gouvernement du Pays. Le thème retenu : "les services éco-systémiques en Polynésie française : à quoi sert la nature?". 

     

  • Ondes électromagnétiques le CESC veut une révision de la proposition de loi

    Le CESC s’est saisi de la proposition de « loi du Pays » du représentant à l’APF Antonio Perez dont la vocation est de protéger la population de l'impact des ondes électromagnétiques. Ce texte a été jugé imprécis et parfois même contre-productif et les représentants de la société civile s'interrogent sur la nécessité de ce texte. Cette problématique devrait cependant être prise au sérieux.

  • L'approche irresponsable des baleines sera désormais réprimée

    Des dispositions du code de l’environnement et le programme « C’est assez », mis en place par l’association Mata Tohora, ont pour objectif d’inculquer aux observateurs de baleines les bons comportements à adopter dans leur approche. Mais la sensibilisation ne semble pas suffisante. Il va parfois lui falloir passer à une phase de répression. 

     

  • Alternatiba : un mouvement citoyen mondial, bientôt aussi à Tahiti

    Alternatiba, initiative citoyenne née en 2013 au Pays basque, a sillonné l'Europe à vélo pour sensibiliser les populations aux solutions contre le réchauffement climatique. Après quatre mois sur les routes, le Tour Alternatiba a rallié samedi 26 septembre la place de la République, à Paris, où est installé pour l'occasion un village des alternatives, Alternatiba Paris. Près de 50 000 personnes y sont attendues pour le week-end ! À Tahiti, un événement similaire, toute proportion gardée, se prépare pour le 14 novembre. 

  • Projet d’ Ecoparc à Papenoo: « c’est non ! » pour le collectif citoyen

    Le 19 août, était présenté au conseil des ministres un projet de développement d’un ensemble touristique au centre de l’île de Tahiti, dans la vallée de Papenoo. Ce projet, estiment les représentants d’un collectif citoyen, « très vague malgré ses prétentions pharaoniques, ne respecte pas le PAD mis en place depuis 2006 ». Selon eux, la population risque de se voir imposé un projet « parachuté » sans avoir été concertée. Une pétition a d’ailleurs été lancée qui rassemble déjà près de 1500 signatures.

     

  • Sensibilisation à la réduction des déchets : deux jeunes de Faa'a récompensés pour leurs films vidéo

    Un concours "La réduction des déchets, une affaire de famille" a été organisé par la mairie de Faa'a pour sensibiliser la population à cette thématique. Le lauréat, un élève au lycée hôtelier, s'est vu remettre le 3 septembre dernier un chèque de 50 000 Fcfp pour son initiative.

  • Proposition de "loi du pays" pour protéger la population en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques

    Une proposition de texte législatif  a été déposée début septembre à l'APF par le représentant Antonio Perez. Celle-ci a pour objet d'obtenir une réglementation locale concernant les antennes relais et fait suite au mécontentement d'associations de riverains, ou de collectifs de quartier après l’installation de pylônes dédiés sur des terrains privés, faisant partie de zones d’habitation. Elle a été déposée "au nom du principe de précaution".

  • Climat et énergies renouvelables : formations gratuites en ligne

    L’ADEME annonce le lancement de deux MOOC (formations gratuites en ligne) en lien avec des thématiques environnementales : "Causes et enjeux du changement climatique" et « Énergies renouvelables ». Ces cours sont accessibles à partir du site internet de l’Université virtuelle environnement et développement durable (UVED).

  • Les associations de plus en plus remontées contre les extractions dans les rivières

    Cela fait un moment que les riverains de rivières des Tahiti montent au créneau pour dénoncer des travaux d’extraction de matériaux qui endommagent les vallées et le littoral. Installés depuis plusieurs jours sur un rond-point du front de mer de Papeete, les membres d’un syndicat regroupant plusieurs de ces associations interpellent la population. Le syndicat No Te Aru Tai Mareva monte également le ton à l’égard du gouvernement.

  • Depuis une quinzaine de jours, l'Humanité vit "à crédit"

    Depuis une quinzaine de jours, l'Humanité a dépassé les ressources renouvelables de la planète qui lui sont disponibles pour une année. Autrement dit, elle vit à crédit et puise donc dans les réserves naturelles de la Terre d'une façon non réversible. Depuis 1986 - date à partir de laquelle a été institué ce calcul par Global Footprint Network - cette limite recule régulièrement. En 2015, l'économie humaine a déjà consommé son potentiel annuel en presqu'une demi année.   

  • Save the coconuts : déjà trois rendez-vous avec la population

    Save the coconuts » est une campagne de communication organisée en partenariat avec le Pays et l'ADEME. Elle a pour objectif de sensibiliser la jeunesse aux bouleversements actuels et à venir engendrés par les changements climatiques. Et notamment de leur impact sur les générations futures. 

  • Miel importé : sa réintroduction pose question

    Le mois d’août a vu un certain nombre de manifestations se déployer concernant l’importation de miel venu de l’extérieur de la Polynésie française afin de pallier à une pénurie devenue récurrente. Depuis 2011, seul en effet le miel produit localement était autorisé à la vente sur le territoire afin de protéger les abeilles des maladies attaquant les ruches. 

  • Protection de la faune aviaire endémique de Polynésie française

    Sur les 39 oiseaux terrestres nicheurs que compte la Polynésie française, 29 sont endémiques de la Polynésie française ou orientale. Sur ce nombre, 20 sont menacés de disparition et classés selon les critères de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) soit en danger critique d'extinction pour 6 d'entre eux, en danger pour 7 autres et 7 sont vulnérables à l'extinction.

  • Des sacs réutilisables pour fruits et légumes

    Après les sacs de courses réutilisables voici venus les sacs pour fruits et légumes réutilisables. Sandrine Li, de Green ID, a lancé récemment cette initiative désormais opérationnelle dans au moins dix magasins de Tahiti. Une façon de lutter contre une forme de pollution qui affecte 88% de la surface des océans dont 1/3 dans le Pacifique.

  • Opération "Plastic Free" en juillet

    En juillet, pour la 2e édition de cette opération "Plastic Free July Tahiti", Fenua Ma et l'ADEME proposent à la population de participer à leur défi. Leurs partenaires et le grand public sont invités à essayer de ne pas utiliser les plastiques à usage unique durant le mois de juillet.

  • Exposition à l'aéroport de Tahiti-Faa'a : "60 solutions face au changement climatique"

    Du 30 juin au 31 août, le public pourra découvrir cette exposition de clichés photographiques de Yann Arthus-Bertrand.  Intitulée "60 solutions face au changement climatique", elle sera visible directement dans le hall de l’aéroport de Tahiti.

  • Une étude pour mieux comprendre l'impact du climat sur la vie dans les atolls

    L'Agence Française de Développement (AFD) a organisé le 25 juin la restitution d'une étude visant à mieux comprendre comment les populations des atolls du Pacifique s'adaptent aux effets du changement climatique. "Changements climatiques et atolls du Pacifique" est une étude comparée de la résilience socio-environnementale en situation de risque extrême.

  • Journées Bleues : écotourisme marin et protection des espèces emblématiques

    La Polynésie Française a accueilli, début juin, les Journées Bleues, séminaire régional sur le thème de l’écotourisme bleu dans le Pacifique lié aux espèces emblématiques. Ce séminaire a réuni 14 Pays membres du PROE ainsi qu’une trentaine d’acteurs de l’écotourisme dans le Pacifique. Ce séminaire s’est déroulé en séances plénières et en ateliers, qui ont permis aux petits Pays Océaniens de s’exprimer sur cette thématique.

  • Actualisation souhaitée de la convention cadre État-Pays, en matière d’environnement et de développement durable

    Le ministre polynésien en charge de l'Environnement, Heremoana Maamaatuaiahutapu, a exprimé le souhait d’actualiser la convention État-Pays dans l’objectif de favoriser la mise en œuvre des stratégies du Pays relatives à la préservation de la biodiversité et au développement durable, mais aussi d’adapter et consolider la règlementation dans ces domaines, avec en particulier, la mise en place d’une police verte efficace.

  • La sixième extinction animale de masse est en cours

    La 6ème extinction animale de masse est en cours, selon une étude réalisée par des experts des universités américaines Stanford, Princeton et Berkeley. Les espèces vertébrées disparaissent ainsi 114 fois plus rapidement que par le passé. Un rythme inédit depuis l'extinction des dinosaures. Les causes de la disparition de nombreuses espèces comprennent notamment le changement climatique, la pollution et la déforestation. En grande partie à l'origine de cette extinction, l'homme serait lui-même menacé.

  • Le SPG BioFetia propose un buffet aux saveurs bio, dimanche 28 juin à Papeari

    Le SPG BioFetia organise cette année son buffet annuel au restaurant Gauguin, à Papeari. Ce déjeûner-buffet « saveurs bio et ma’a tahiti » sera également l’occasion d’un moment d’échanges et d’informations.

  • Colloque au Sénat sur les incidences du réchauffement climatique pour le Pacifique

    Un colloque a été organisé le 9 juin par le groupe d'amitié France-Vanuatu-Îles du Pacifique du Sénat en partenariat avec la délégation permanente de la République de Palau auprès de l'Unesco. Étaient abordés deux questions : quel avenir pour les îles du Pacifique face au dérèglement climatique ? Comment concilier croissance et protection des écosystèmes océaniques ? 

  • Moorea Avatar, un projet à la fois scientifique et humain

    “Comprendre aujourd'hui pour mieux construire demain”, est le défi que s’est lancé un groupe de 16 institutions académiques de renommée internationale en proposant le développement d’un outil technologique avant-gardiste connu sous le nom de Moorea Avatar (Moorea en 4D).

  • Revue de presse climat & Cop 21

    Cette semaine dans la revue de presse climat & Cop 21, éclaircies printanières entre injonction pontificale et propositions fortes pour financer la transition vers une économie décarbonée. Une veille informationnelle réalisée par Victor Vauquois, pour ecoloinfo.com.

  • Une délégation d'opposants écologiques à des projets contestés de grands travaux reçue à la Présidence

    (En bref, dernière minute ) Une cinquantaine de manifestants se sont rassemblés, ce mardi 9 juin au matin, devant la Présidence pour être entendus par le Président du Pays. Edouard Fritch a notamment reçu des représentants  du syndicat d'associations Te Aru Tai Mareva hostiles à la construction d'un barrage sur la rivière Vaiiha (côte Est de Tahiti).

     

  • Le 13 juin à Papara, 1er festival 'Ia Ora Taharu'u

    Samedi 13 juin, l' association 'Ia Ora Taharu'u organise son premier festival pour la sauvegarde de la rivière et du spot de surf de Taharu'u, au Pk 38 à Papara. Au programme : sport, ateliers pour les enfants, animation musicale, exposants pour articles de sport, présence d'associations de protection d'environnement... De grands noms du surf sont aussi là pour appuyer cette mobilisation citoyenne.

  • Les associations polynésiennes de protection de l'environnement veulent être entendues

    Une réunion a rassemblé, mercredi 3 juin à la mairie de Punaauia, plusieurs associations de protection de l’environnement. Leur objectif : s'entendre et préciser les termes de leurs inquiétudes et de leurs exigences avant la rencontre prévue le mardi 9 juin avec le président Edouard Fritch et son gouvernement.

  • Deux programmes de sauvegarde d’animaux endémiques en danger

    Des escargots endémiques, quasiment disparus de Tahiti depuis les années 1970, suite à l’introduction d’une espèce étrangère prédatrice, vont être réintroduits dans l’île. Par ailleurs, un programme de conservation de six espèces d’oiseaux menacées aux Tuamotu est mis en place par la S.O.P. Manu. 

  • Séminaire régional d'éco-tourisme : « les Journées bleues »

    La Polynésie française accueille, du 1er au 5 juin, "les Journées bleues", un séminaire régional sur le thème de l'écotourisme bleu dans le Pacifique lié aux espèces marines emblématiques. Cet évènement, initié par le gouvernement de Polynésie française, est organisé en collaboration avec le PROE (Programme Régional Océanien de l'Environnement).

  • Du 3 au 6 juin à Punaauia : 3ème édition des Green Days

    En 2013, la 1ère édition des journées de sensibilisation à l’environnement et au développement durable de la commune de Punaauia, baptisées Green days, avait permis de toucher le grand public mais également près de 440 élèves de cycle 3 des écoles élémentaires de Punaauia. La 2ème édition , en avril 2014, a rassemblé plus de 1200 personnes. La 3ème édition se déroulera du 3 au 6 juin, toujours à la mairie de Punaauia. Alternatiba Tahiti y sera représenté.

  • Demain la Polynésie française, face aux défis de la nature

    Développement durable, transition énergétique, biotechnologies… Avec sa nature terrestre et marine d’une richesse inégalée, la Polynésie française aborde le troisième millénaire avec singularité. Un grand dossier à découvrir dans We Demain n°6.

  • Blue Planet Odyssey : un rallye à la voile écolo autour du monde

    Une douzaine de voiliers sont engagés depuis juillet 2014 dans un tour du monde de deux ans, sponsorisé par l'UNESCO, afin de déposer des sondes de mesure scientifiques et de participer à des projets éducatifs sur le changement climatique… Début mai, ils étaient  en escale à Papeete.

     

  • Réchauffement climatique : le Pacifique se mobilise

    Après l'appel, début mai, lancé par les États et territoires insulaires d'Océanie auprès de l’ensemble des pays pour que s'engage « une révolution internationale », des responsables politiques de Polynésie et de Nouvelle-Calédonie enfoncent le clou auprès du gouvernement français. C'est en effet la France qui organise la réunion internationale sur le climat, à Paris en décembre prochain.

  • Environnement : vers une "politique de résorption des décharges sauvages"

    Le ministère de l’Environnement a présenté au gouvernement une communication concernant les décharges sauvages, qui échappent à la réglementation locale et sont illégales. Elles sont la conséquence de l’insuffisance des moyens de collecte et de traitement des détritus, notamment dans les archipels mais également d’un réel incivisme. 

  • Projet de déménagement des cuves de stockage des hydrocarbures de Fare Ute

    À Fare Ute, la présence de ces dépôts d’hydrocarbures à proximité immédiate de Papeete, dans la zone industrielle et dans l’axe de la piste de Tahiti-Faa’a, pose un problème de sécurité. La vétusté des installations laisse en outre craindre de possibles nuisances sur l’environnement. Un communiqué du Conseil des ministres précise les termes de leur transfert, d’ici 2021, vers l’extrémité Est de la digue de Motu Uta, puis le démantèlement et la dépollution du site. 

  • Projet Moana Nui : valoriser les pirogues polynésiennes et promouvoir les aires marines protégées

    À Paris la semaine dernière, Édouard Fritch  a reçu Christophe Mercier, porteur du projet Moana Nui destiné à valoriser les pirogues polynésiennes au travers d’une expédition qui mènerait les embarcations de l’Asie du Sud-Est à Tahiti. Cette expédition aura un but pédagogique avec, par exemple, la promotion des aires marines protégées. En outre, des forums destinés à valoriser la culture polynésienne seront organisés. 

  • Mahina veut devenir une destination de tourisme durable

    La municipalité de Mahina invite ses acteurs économiques et associatifs  à participer à la mise en place d’une dynamique concrète pour faire de Mahina une véritable destination touristique, dans le cadre d’un schéma de développement durable.

     

  • Makatea : phosphate et/ou protection de la biodiversité ?

    Sur cet atoll soulevé, unique au monde, va peut-être reprendre l'exploitation du phosphate déjà en partie exploité de 1911 à 1966. En janvier 2014, le conseil des ministres de la Polynésie française  a autorisé une enquête publique préalable à l’institution d’un titre minier en faveur d'une société australienne. À l’origine de cette enquête publique, une entreprise australienne Sas Avenir Makatea dont le projet est l’extraction de la roche phosphatée de Makatea. Ce projet ne fait pas l'unanimité des habitants...

  • Vallée de la Vaiha : énergie renouvelable et/ou protection de la biodiversité ?

    Début avril, les représentants à l'assemblée ont adopté à l'unanimité le projet de convention pour financer la première et la seconde tranche du projet d'aménagement hydroélectrique de la rivière Vaiha entre Hitiaa et Faaone. Ce projet, estimé à près de 5 milliards Fcfp devrait renforcer la capacité du Pays à être moins dépendant des énergies fossiles. Mais quid de la préservation de la biodiversité ? Les riverains sont partagés entre "pour" et "contre" le projet.

  • "Action bénévole déchets Polynésie" : l'initiative se poursuit

    En décembre dernier, une étudiante créait une page FB originale : "Action bénévole déchets Polynésie", pour inciter les citoyens  à ramasser les détritus dans leur environnement quotidien.. . Objectif : changer les mentalités et inciter les gens à rendre l’île plus propre par un acte désintéressé. Le principe est simple : il suffit de ramasser des déchets trouvés en chemin (sur la plage, les bordures de routes, ou autres), de les prendre en photo et de les publier sur la page créée par Mareva. Où en est cette action ?

  • Changements climatiques : Création d’un comité local « COP 21 »

    Afin de préparer la 21ème conférence internationale relative à la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques  (COP 21) qui va se dérouler à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015, le Conseil des ministres de Polynésie française a annoncé, le 4 mai, la constitution d'un "comité local" afin de porter l'expression de ses besoins spécifiques.

  • Réchauffement climatique : les États insulaires du Pacifique interpellent la communauté internationale

    Vendredi dernier, les États et territoires insulaires d'Océanie exhortaient l’ensemble des pays à engager « une révolution internationale » à l’occasion de la conférence sur le climat (COP 21) qui se tiendra à Paris fin 2015. Ils réclamaient que « leurs inquiétudes et leurs souffrances » soient entendues. 

  • Mana Cycle Express : Baptiste, coursier à vélo, veut développer un mode de « mobilité douce » à Tahiti

    Baptiste Sureau vient de démarrer un projet professionnel simple et peu coûteux. Depuis le 4 mai, il offre un service de livraison de colis aux entreprises et aux particuliers, avec sa bicyclette comme seul moyen de locomotion. Une idée écologique qui est aussi une alternative économique qui aura la préférence des sociétés ou des individus qui veulent vivre « autrement » à Tahiti, en accord avec un mode d’existence plus respectueux de l’environnement et favorisant les initiatives alternatives au « système ».

  • Depuis le début de l'année, le Costa Rica s'éclaire uniquement aux énergies renouvelables

    La politique énergétique du Costa Rica est souvent désignée comme un exemple à suivre en matière de respect de l’environnement.Depuis le début de l’année, ce petit pays d'Amérique centrale est devenu un paradis pour  ceux qui croient que l'avenir de l'électricité réside dans les sources d'énergie renouvelables.

  • Une éducation au développement durable avec le label "Éco-École"

    Les établissements polynésiens sont chaque année plus nombreux à intégrer l’éducation au Développement Durable dans leur enseignements et à fédérer autour de ce projet tous les acteurs de leur établissement. Programme international d’Education au Développement Durable (EDD), Éco-École est un label décerné aux établissements scolaires qui s’engagent vers un fonctionnement éco-responsable et intègrent l’EDD dans les enseignements. 

  • 60% des batteries seulement recyclées en Polynésie : un nouveau projet de collecte et de retraitement

     Ayant travaillé en Polynésie de 1982 à 1984 en tant que militaire, Bernard Laumonnier y est revenu en 2014. Il s'est aperçu que le problème des batteries abandonnées dans la nature n’avait pas disparu. Ce constat, rapporte La Dépêche de Tahiti  l’amène aujourd’hui à vouloir implanter une société qui exporterait les batteries usagées vers une entreprise métropolitaine spécialisée dans le recyclage.

     

  • 25 et 26 avril, "Mataiea Malama Honua" : un festival du va'a pour la préservation de l'Océan

    Le samedi 25 et 26 avril, se dérouleront à Mataiea dans la baie Outu Tahi’a PK 46,200 les journées Mataiea Malama Honua, festival du va’a et de la préservation de notre océan, nos lagons et nos rivières. Ces journées sont organisées par la mairie de Teva I Uta en collaboration avec Tainui Friends of Hokulea, et avec la participation des pirogues Fa'afaite et Rangi.

  • Consultation de la population des Australes pour la création d'une Aire Marine Protégée

    Un processus participatif a été initié en 2014 dans l'archipel des Australes pour consulter les populations et proposer un projet d’Aire Marine Protégée concerté et représentatif de leurs attentes. Une mission de consultation est en cours, menée par la fondation américaine Pew. Son troisième volet s'est déroulé à Rimatara, Rurutu, Tubuai et Raivavae du 8 au 15 avril 2015.

  • Projet éco-pédagogique pour les enfants : le trajet de six tortues marines dans le Pacifique suivi par satellite

    L’association Te Mana o Te Moana a développé un projet pédagogique dans le cadre de son Observatoire des tortues marines et mammifères marins en Polynésie française. Le projet « Bula Honu, suivons les tortues marines du Pacifique » consiste à faire suivre le trajet de plusieurs tortues marines munies d’émetteurs satellite par des enfants de tout le Pacifique Sud et de France. Une manière de faire découvrir à des classes le voyage des tortues marines de manière collective et interactive.

  • "Tout peut changer" : le nouvel ouvrage de Naomi Klein, auteure de La stratégie du choc

    La «vérité qui dérange» ne tient pas aux gaz à effet de serre, la voici : notre modèle économique est en guerre contre la vie sur Terre. Au-delà de la crise écologique, c’est bien une crise existentielle qui est en jeu – celle d’une humanité défendant à corps perdu un mode de vie qui la mène à sa perte.

  • BEST III : une initiative d'aide européenne aux porteurs de projets concernant la protection de la biodiversité

    Le premier des trois ateliers de consultation polynésienne de l'initiative européenne Best III s'est déroulé le mercredi 8 avril à Papeete. Son objectif : élaborer un profil d'éco-système pour la Polynésie française particulièrement axé sur la protection de la biodiversité. Des aides financières européennes peuvent être apportées aux projets, notamment associatifs, qui vont dans ce sens. Le deuxième atelier est prévu pour le lundi 27 avril.

  • Soutenir un projet d’éco-tourisme « Whale-Watcher » à Tahiti

    Ce projet consiste en une croisière aventure sur l'observation des baleines à bosses à bord du "Jambo" le catamaran du célèbre navigateur Laurent BOURGNON. 8 semaines d’aventure à but éducatif et scientifique sur les baleines à bosses. 8 semaines de rapport complet d'observation des cétacés. 8 semaines de tournage dans l'Océan Pacifique.

  • Formation écoresponsable à Punaauia

    La commune de Punaauia organise une formation impliquant différentes thématiques du développement durable : eau, énergie, déchets et biodiversité. La deuxième session de cette formation de deux jours, fin février, a rassemblé deux groupes de 25 personnes.

  • Lancement, le 30 mars, d'une campagne de sensibilisation, afin de faire évoluer les comportements en matière d’économies d’énergie.

    Face à la dépendance de la Polynésie française aux hydrocarbures (87%), utilisés principalement pour la production d’électricité et les déplacements, il est nécessaire de mettre en œuvre des réflexes simples à adopter quotidiennement afin de maîtriser les effets de sa consommation énergétique. Lancement d'une campagne de sensibilisation le 30 mars.

                                                                                                                                                                                                                                                                     .

  • La Polynésie française : un laboratoire naturel pour l’étude des écosystèmes insulaires océaniens

    L’Unité Mixte de Recherche (UMR) n°241 « Ecosystèmes Insulaires Océaniens » a organisé jeudi 26 mars à l'UPF une matinée de présentation de ses projets scientifiques et de ses premiers résultats.   L'objectif était de porter à la connaissance du public (services de l’Etat et du Pays intervenant ou concernés dans le domaine de l’environnement ou de l’exploitation des ressources naturelles, associations, bureaux d’étude, organismes de recherche, particuliers s’intéressant à ces problématiques) la nature et les enjeux de cette initiative fédérative et de mutualisation de moyens, qui a été mise en place dans le cadre du projet quinquennal 2012-2016. 

  • Le président Fritch assure vouloir diriger l'économie polynésienne vers "une croissance verte"

    Le gouvernement polynésien conscient de la nécessité de "se préparer très rapidement au futur paysage énergétique mondial en plaçant clairement la priorité sur les économies d’énergie et le renforcement du recours aux énergies renouvelables". Un communiqué de la Présidence précise les termes de l'engagement du pouvoir en place à "faire évoluer l'économie polynésienne vers une « croissance verte »".                                                                                                 

  • Revoir "Internet la pollution cachée"

    C'est le premier documentaire à avoir été présenté à l'occasion de "L'Envers du monde", lundi 23 mars à l'ISEPP. Si Internet était un pays, il serait le cinquième consommateur mondial d'électricité. Mais ses besoins, immenses, se heurtent à la diminution des ressources énergétiques… Rattrapage pour ceux qui n'auraient pu assister à la séance.

  • La création de l'agence pour la biodiversité votée à l'Assemblée nationale

    L'Assemblée nationale a voté, mercredi 18 mars, la création de l'Agence française de la biodiversité (AFB). Selon ce texte qui reconnaîtt que 80 % de la biodiversité française se situe outre-mer, cinq sièges supplémentaires ont été attribués à des représentants « de chacun des cinq bassins écosystémiques ultramarins ».

  • Projet de loi pour la création d’une Agence nationale de la biodiversité

    Près de quarante ans après la loi de protection de la nature de 1976, un projet de loi doit notamment permettre la création d'ici la fin 2015 d'une Agence nationale de la biodiversité, promise par François Hollande lors de la première conférence environnementale en 2012.

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