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        actualités, revues de presse

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Démocratie participative

  • Nucléaire: mission État-Pays à Moruroa, en présence d’élus et de représentants d'associations

    Entre 1966 et 1996, la France a procédé à 193 essais nucléaires à Mururoa et Fangataufa (Tuamotu). Le suivi et le contrôle de la surveillance radiologique et géomécanique de ces deux atolls, mais aussi les conséquences sanitaires radio-induites, sont à l'origine d'interrogations qui prennent aussi un tour politique et socio-économique. Samedi 9 mars, une délégation composée d'élus, de membres du gouvernement polynésien, de représentants d'associations et d'anciens travailleurs,a pu visiter l'ancien site d’expérimentation nucléairede Moruroa à l'occasion de la dernière mission annuelle "Turbo" du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) visant à en surveiller l'évolution. 

  • La construction de la tour des juges n'en finit pas de faire des vagues... médiatiques.

    Des dizaines d'articles lui ont été consacrés par la presse locale, depuis la mi-octobre. Le sujet ? L'installation d'une tour des juges en aluminium dans le lagon de Teahupoo, à la Presqu'île de Tahiti, pour y installer le jury des épreuves de surf des JO 2024, en juillet prochain. Des surfeurs - dont certains de renom - et des associations estiment que les travaux de forage des fondations peuvent causer des dégâts écologiques sur le platier corallien du site. L'utilisation de l'ancienne tour en bois étant impossible, pour des raisons de sécurité, les dimensions (hauteur, poids) de cette structure ont été revues à la baisse par le comité organisateur et le Pays. Mais le test de passage d'une barge destinée à assurer les travaux n'a pas été réussi sans casser de corail. Les travaux qui devaient démarrer ce lundi (4 décembre) sont suspendus. Au risque d'annuler la tenue des épreuves JO de surf à Teahupoo ? Le maître d’œuvre continue d’étudier des solutions...

  • Tourisme durable: une étude visant à recueillir l’avis de la population

    La destination "Tahiti Et Ses Îles" s’engage durablement vers un tourisme responsable, respectueux de l’environnement. Cet engagement vise à positionner la Polynésie française comme une destination phare du tourisme inclusif et durable.  Les institutions du Pays dédiées (ministère, service, office) ont lancé une étude visant à recueillir l’avis de la population sur sa perception de l'activité touristique en prenant en compte les impacts économiques, culturels, environnementaux, mais aussi « le bien-être des résidents ». Une perception qui n'est pas toujours forcément vécue comme positive, si l'on en croit l'avis de la fédération Tāhei ‘Auti ia Moorea qui se remobilise contre les grands “projets destructeurs” de l’île-soeur, dont certains projets touristiques immobiliers.

  • Réchauffement climatique : Sit-in de mobilisation à Papeete

    L’association Te Motu a organisé un sit-in, samedi 17 juin place Tarahoi, face à "l'urgence de la situation". Elle souhaite redonner du souffle à la mobilisation pour interpeller la population face au réchauffement climatique et interpelle le nouveau gouvernement. Si elle n'a pas regroupé beaucoup de monde, elle a néanmoins permis de "discuter avec la centaine de personnes présentes de ce qu'on peut faire, les sensibiliser, les informer et s'organiser collectivement pour mettre en place des actions", estime le militant écologiste Jason Man, président de l'association. L'occasion de rappeler que les océans ont connu leur mois de mai le plus chaud jamais enregistré.

  • Urgence écologique : des élections, un livre, une expo et une info

    Avant le premier tour des élections territoriales, la FAPE-Te Ora Naho a envoyé un questionnaire aux partis en lice afin de mieux connaître le positionnement de chacun sur les principaux enjeux environnementaux en Polynésie et les mesures envisagées dans leur programme ; Guide pratique, « Urgence écologique au Fenua », ouvrage collectif, couvre de nombreuses thématiques en lien avec les enjeux environnementaux ; Exposition immersive, à double sens, autour de l’environnement avec une vigtaine d'oeuvres de l'artiste Sarah Viault ; À Teahupoo, escargots d'eau douce endémiques et coraux protégés en prévision des travaux d'aménagement de la zone en vue des Jeux Olympiques de 2024.

  • Territoriales : quelle place pour l'écologie et le climat ?

    La Polynésie française vient de rentrer dans une période électorale au cours de laquelle les partis en lice vont présenter leurs programmes. Économie, société, culture... font l'objet de déclinaisons différentes pour tenter de convaincre les électeurs de leur bien fondé. Les interventions médiatisées des uns et des autres, selon une procédure légale très stricte, ne peuvent être relayées dans le cadre de cette revue de presse. Mais qu'en est-il aussi de leur positionnement sur les questions environnementales ? Afin d'informer la population, la FAPE Te Ora Naho leur a envoyé un questionnaire auquel quatre d'entre eux ont répondu. Ces questions, et leurs réponses, peuvent d'autant plus se poser qu' El Niño, une anomalie chaude présente au large du Chili, pourrait faire un retour remarqué dans l’océan Pacifique.

  • Revue de presse du 13 au 19 mars 2023

     Une semaine riche en motifs de réflexion sur plusieurs thématiques concernant le développement durable du fenua* :Élections territoriales : quid de l’environnement ? ;Adaptations aux effets du changement climatique ; Les baleines dans la protection de l’environnement ; Maltraitance animale ; Plantes médicinales traditionnelles ; Pollution dans le port de Papeete ; Tourisme : « durable » ? ; Divers projets économiques en cours : Implantation du RSMA à Hao ; Lancement de la construction du terminal gazier de Hitiaa ; Swac dans l’économie circulaire ; Déploiement des dispositifs de concentration de poissons (DCP) ; Informations sur l’application de la politique de l’eau dans les atolls.

  • Environnement : élections, régénération, communication

    Les candidats aux prochaines élections territoriales, en avril, ont-ils pris en compte la dimension environnementale dans leur programme ? La Fape Te ora Naho les interpelle. La Fédération des associations de protection de l'environnement a envoyé un questionnaire aux partis politiques en lice. Leurs réponses seront communiquées au public ; Sans doute une première dans le Pacifique, l' initiative polynésienne, ‘Āoa : un programme de reconstitution d’une forêt intelligente avec pour objectif premier de régénérer et reconstituer la biodiversité des forêts natives polynésiennes ; La Zone de Pêche Réglementée  (ZPR) de Moorea validée. Elle fait écho à la révision du Plan de gestion de l’espace maritime (PGEM), adoptée le 10 septembre 2021, et constitue la mise en œuvre de l’orientation “pêche durable et équitable”.

  • Préservation du milieu naturel et protection des oiseaux endémiques

    Les arbres et l’environnement forestier sont des lieux à protéger pour la sauvegarde des oiseaux, notamment les oiseaux endémiques. Arrachage sauvage ou en vue de la construction de lotissements doivent être surveillés et régulés. En août, des problèmes ont été soulevés entre Faa’a et Punauia, du côté du lotissement Miri. Pour ce projet, un registre de doléances est mis à la disposition su public et consultable jusqu'au 27 août. 

  • Pollution : Les matières plastiques, toujours sur la sellette

    La pollution due aux plastiques s’avère de plus en plus en plus comme l’un des grands problèmes environnementaux dans le monde. 18 tonnes de plastique entrent dans l’océan chaque minute ! En juillet, plusieurs événements ont été organisés en Polynésie française afin de lutter contre cette pollution dont beaucoup de personnes ne mesurent pas la gravité.

  • Projet contesté de porcherie industrielle à Taravao

    Les effluents des porcheries industrielles posent un problème environnemental. Ils constituent de bons engrais mais lorsqu ’ ils sont déversés en trop grande quantité sur les surfaces cultivables, ils polluent les cours d ’ eau et les nappes phréatiques. À Taravao, un projet de plus de 1 800 porcs suscite l’opposition…

  • Le projet de la FAPE parmi les 44 lauréats du concours “Mon projet pour la planète”

    La liste officielle des 44  lauréats retenus dans le cadre de la démarche  « Mon projet pour la planète » a été publiée le 31 mai. Parmi eux, huit viennent de l’Outremer dont un de Polynésie française. Le projet proposé par la FAPE, domaine “biodiversité”, s'intéresse à la mangrove polynésienne et vise à déterminer si on assiste ou non à un remplacement des écosystèmes littoraux endémiques.

  • Lutte contre la pollution : des associations se mobilisent

    Le problème de la pollution par l’accumulation de déchets en zone publique, notamment sur le littoral, est récurrent en Polynésie française. Incivilité, manque de réactivité des pouvoirs publics…? Les habitants de certaines communes, fiu des déchets, se mobilisent pour les ramasser, parfois avec l’aide des municipalités. De bonnes initiatives, mais pour mettre fin à ce genre de pollution, la réduction des déchets à la source est une priorité.

  • Élections territoriales : des associations interpellent les candidats

    À l'issue d'un second tour, dimanche, les élections vont permettre le renouvellement de l’Assemblée de la Polynésie française et, en conséquence, celui du gouvernement. La Fédération des associations de protection de l’environnement (FAPE) Te Ora Naho et quelques associations sensibilisées à des problématiques sociétales et environnementales auraient aimé avoir des réponses à leurs questions…

  • 10 priorités pour un fenua plus écologique

    À l’avant-veille d’élections qui vont engager l’avenir du fenua pour cinq ans, les candidats seront-ils en mesure de proposer des solutions pérennes aux défis posés ? Seront-ils en mesure de favoriser et d’accompagner les solutions qui émergent au sein de la société civile ? Les citoyens polynésiens se contentant de moins en moins de se cantonner à un rôle de consommateurs passifs et irresponsables, celle-ci sera-t-elle suffisamment source d’initiatives dont devront tenir compte les pouvoirs publics ?

  • 6e édition de Earth Hour : Énergie, environnement et culture

    La Chambre de commerce, d'industrie, des services et des métiers (CCISM) a organisé une série de conférences, en amont du 24 mars, pour la 6e édition, en Polynésie française, de l’événement Earth Hour. Objectif : encourager les comportements et les modes de vie durables à travers le monde. Lancée en 2007 en Australie, cette action est organisée aujourd’hui dans plus de 188 pays.

  • Ils veulent sensibiliser la population pour un fenua plus écologique

    La protection de l’environnement est l’affaire de tous. Des institutions et des associations se mobilisent pour tenter de sensibiliser la population à un peu plus de civisme écocitoyen. 

  • Aire marine gérée, fonds vert, conventions et initiatives associatives…

    Les problèmes sont bien réels. Mais des solutions existent. Rappel d’actions en cours ou discutées, en janvier, pour une meilleure protection de l’environnement. Les associations représentent une voie incontournable de développement et de performance des dispositifs mis en place par les autorités.

  • Un document de travail en cours : le Livre bleu des Outre-mer

    Durant les trois derniers mois de l’année 2017, durant six semaines de consultations, des animateurs de l’État et du Pays sont allés à la rencontre de la population et ont échangé avec des étudiants, des travailleurs sociaux, des porteurs de projets, des représentants des salariés et des retraités, des associations, des confessions religieuses, des élus... 

  • Deux dossiers sensibles : Hao et Makatea

    Sortis du contexte de présentation thématique des articles précédents, deux dossiers continuent d'attirer des interrogations, voire des contestations. Le projet de ferme aquacole de Hao, aux Tuamotu, pose de nombreuses questions environnementales. Avec ses ambitions de 50 000 tonnes de poissons par an, il nécessiterait la fourniture de 150 000 tonnes d'aliments... la CTC estime que "Le cœur du projet ne paraît pas maitrisé". Quant à l'opposition d'associations au projet de réactivation de l'exploitation du phosphate de Makatea, elle a suscité un contre-projet qui se veut réellement écologique.

  • Un autre regard sur la présidentielle

     

    Le mois de mai a été marqué par la tenue des élections présidentielles. Comme l’a malheureusement montré un sondage IFOP/WWF,  l’environnement a semblé le grand absent des débats publics. L’ONG Green Peace a néanmoins décidé de décrypter et commenter les principales composantes environnementales des différents programmes des candidats.

  • 3e édition d’Alternatiba Tahiti

    Face au réchauffement climatique et à la destruction de l’environnement, il est possible d’adopter des solutions au quotidien pour un monde plus humain, convivial et solidaire. C’est ce qu’ont voulu démontrer, les 10 et 11 mars, les 25 étudiants d’une classe Info-Com de 3e année de l’ISEPP qui ont pris le relai de l’association Colibris Tahiti pour l’organisation de la 3e édition d’Alternatiba Tahiti.

  • Le rahui des Australes encore en pointillés...

     

    Au-delà des bénéfices pour la pêche, la création aux Australes de la plus grande réserve marine du monde permettrait de valoriser le patrimoine naturel et culturel de ces îles et de favoriser le développement de l’écotourisme, à travers une notoriété accrue de l’archipel. La pirogue Faafaite s'y est rendue pour soutenir le projet, mais... legouvernement est toujours "réservé"...

     

  • Makatea, la Pointe Tata’a : deux projets, deux sujets de discorde

    Au mois de novembre, des associations étaient montées au créneau pour contrer des projets qu’elles estiment menaçant l’écologie et la culture polynésienne. C’est le cas du projet de relance de l’exploitation du phosphate, sur l’île de Makatea,  et de celui de résidence sur la Pointe Tata’a, à Faa’a. De nouvelles informations sur ces sujets.

  • Protection de l’océan : quelques actions en cours

    La protection de l’environnement continue de rester une priorité, et particulièrement la sauvegarde de l’environnement marin. L’ONG Pew, qui porte déjà le projet d'aire marine protégée aux Australes, et la fédération des associations de protection de l’environnement de Polynésie française (FAPE) proposent  de financer 10 projets portés par la société civile pour contribuer à la protection des lagons. La commune de Teva i Uta est quant à elle favorable à un rahui

  • Projets industriels et touristiques : les associations veulent avoir leur mot à dire

    Projet de ré-exploitation du phosphate de Makatea ; reprise d’un projet de résidence sur la colline de la Pointe Tata’a, à Faa’a ; extension de l’hôtel The Brando, à Tetiaroa ; projet d’Ecoparc dans la vallée de Papenoo : des associations montent au créneau pour défendre une vision « durable » du développement économique. Petite revue de presse. 

  • Les gravats de Hao déplacés à Rikitea au coeur d'une polémique

    Le déplacement de gravats en provenance de Hao et destinés à la rénovation d'une route à Rikitea, sur l'île de Mangareva aux Gambier, ont été suspectés d'être contaminés au plutonium. L'association 193 est montée au créneau pour s'y opposer. La polémique a été abondamment relayée et commentée en novembre par les médias.

  • Transfert polémique à Rikitea de gravier possiblement contaminé en provenance de Hao

    Le transfert de gravier potentiellement contaminé issu de l’atoll de Hao pour la réhabilitation d’une route à Rikitea est dénoncé par l’association 193. Au-delà d’une possible pollution,  celle-ci dénonce aussi une pression sur la commune des Gambier.

     

  • Tautira, Makatea, les habitants veulent protéger leur environnement

    Les projets de grands travaux (hydroélectricité, extractions, chantier routier) ne vont pas toujours sans poser des problèmes environnementaux… et la réaction des habitants.

     

  • Ecoparc : Haururu rejoint les associations qui disent non au projet

    Ayant jusqu’alors accepté d’assister aux réunions du comité de pilotage  du fait de son insertion ainsi que de celle du village de Fare Hape dans l’organigramme des concepteurs d’Ecoparc, l’association a participé, le 13 août, à la marche organisée par une douzaine d’associations pour dire non à ce projet privé soutenu par le gouvernement.

     

  • Nucléaire : après la commémoration du 2 juillet

     

    Le 2 juillet, près de mille personnes se sont réunies sur le front de mer de Papeete afin de commémorer les 50 ans du premier tir nucléaire aérien, à Moruroa en 1966. « Pas une commémoration, un encouragement à regarder vers l’avenir », pour les organisateurs de cet événement. Et, pour les anciens, l’occasion d’inviter la jeunesse à reprendre le flambeau.

  • Une marche, une conférence et une exposition pour rappeler la première explosion nucléaire

    L’association 193 a organisé à partir du 27 juin une marche autour de l’île de Tahiti. Objectif : commémorer les 50 ans de l’anniversaire du premier essai nucléaire atmosphérique déclenché sur l’atoll de Moruroa, le 2 juillet 1966. L’occasion d’interpeller “les politiques, ainsi que la population, sur l’incohérence entre une reconnaissance de la pollution du plutonium et le soutien de l’État à un projet aquacole”.

  • Promotion de la circulation à bicyclette : 1ère Vélorution à Tahiti

    Un collectif baptisé Vélorution de Tahiti a organisé le dimanche 5 juin, place Toata, un rassemblement pour promouvoir la circulation à bicyclette. Beaucoup reste en effet à accomplir pour améliorer la place du vélo et des déplacements actifs dans la ville de Papeete.

  • Mobilisation citoyenne autour des valeurs du « changement »

     

    Ces dernières semaines, à Tahiti, plusieurs initiatives ont vu le jour. Les rencontres Après « Demain » avec les Colibris-Tahiti, les Green Zone Days et la naissance du mouvement citoyen Tahiti Nui Debout. Le film « Demain » projeté en salle à Papeete pendant plus d’un mois, a été l’occasion d’une prise de conscience pour certains. Pour d’autres, il a été prétexte à se rencontrer afin d’avancer dans la perspective que « nous sommes le changement ».

  • Toujours contesté par la population : le projet d’Ecoparc dans la vallée de Papenoo

    Lancé à la fin de l’année dernière, ce projet est soutenu par le ministre du Tourisme. Mais il est loin d’avoir l’assentiment des associations de la vallée. Le comité de pilotage mis en place peine à trouver un consensus pour le développement de cette initiative privée. Une marche dans la vallée a même été organisée pour affirmer l’opposition de la population.

  • Hao, entre projets mirifiques et risques sanitaires et environnementaux

     

    Il y a un an était posée la première pierre de la ferme aquacole de Hao. Un projet  qui a pour ambition de booster l'économie de l'atoll, et du Pays (1 million de tonnes par an !!!), mais qui suscite de légitimes craintes par rapport à son impact environnemental. Ce complexe financé par un groupe chinois pose de nombreuses questions...

  • Espaces maritimes protégés : Australes et Tuamotu, deux poids deux mesures

     

    Le projet d’Aire Marine protégée dans le périmètre maritime des Îles Australes, soutenu par les maires et la population de l’archipel n’a toujours pas l’assentiment du gouvernement polynésien. À Fakarava, par contre, le projet de classement de 18 espaces maritimes de cette commune des Tuamotu est en bonne voie.

     

  • Ferme aquacole à Hao : 150 milliards d'investissements mais quid de l'environnement ?

    Début avril, se sont tenues à Hao des réunions d'information visant à vulgariser l'étude d'impact environnemental concernant le projet de ferme aquacole. Mais cette étude ne s'intéresse qu'aux installations de l'usine construite à terre. Toute la partie sur l'élevage des poissons dans le lagon n'apparait absolument pas. Le Président Édouard Fritch est  néanmoins parti à Shangaï pour discuter business avec les Chinois…

  • Polémique autour du projet de grande réserve marine aux îles Australes

    Cela faisait  deux ans  que les 6000 habitants des Australes discutaient autour d'un projet important à leurs yeux : créer une grande Aire Marine Protégée (AMP) autour de leurs îles. Début avril, ils ont sollicité une audience auprès du gouvernement d'Édouard Fritch. Qui n'a pas le même avis sur le sujet, préférant la mise en place d'une "d'Aire Marine Gérée" sur toute la ZEE polynésienne.

     

  • Les pollutions, une menace toujours présente...

    La face cachée du paradis... Pesticides, Hao : son plutonium et sa ferme aquacole, la pollutions sonore et celle des rivières, le danger méconnu des pollutions électromagnétiques… La vigilance et la prévention sont plus que jamais de mise…

  • Conséquences des essais nucléaires : le Président de la République interpellé pour « aller plus loin »

     Le dossier des essais nucléaires et de leurs conséquences sanitaires et environnementales en Polynésie française a évolué avec la visite du chef de l'État, en février dernier. Mais les annonces qu'il a faites concernant leur "réparation" ne satisfont pas totalement les associations Moruroa e tatou et 193. 

  • La société civile doit être impliquée dans l'aménagement du territoire

    L'organisation du territoire doit prendre en compte les considérations écologiques, sociales et culturelles soutenues par la société civile. Plusieurs domaines concernés : urbanisme, habitat, transports en commun, aménagement des rivière, développement des vallées…

  • Se former pour transformer la société

    Imaginons et préparons des lieux écologiques et solidaires en Polynésie française. Colibris Tahiti se fait le relai d'une initiative du Mouvement Colibris qui a lancé en février une formation en ligne afin que chacun puisse travailler sur la conception du projet de ses rêves et disposer d'un cadre pour le lancer et participer activement au réseau "Oasis" de Colibris.

  • Un représentant des associations, qui plus est de protection de l'environnement, élu à la tête du CESC

    Actuel président de la Fédération des associations de protection de l'environnement (FAPE), Winiki Sage a été élu président de l'institution qui représente la société civile au sein des institutions  de la Polynésie française : le Conseil Économique, Social et Culturel (CESC). Il entend faire reconnaître le rôle important que jouent celles-ci dans la vie publique.

  • AvA-Infos 2016 : le site participatif du développement durable en Polynésie

    Depuis plus d’un an, AvA-Infos sélectionne dans l’actualité polynésienne les informations liées aux problématiques environnementales et sociétales posées par sa transition vers un développement durable. En tentant aussi de les décrypter. Mais AvA-Infos se veut également un site participatif.

  • Demande de référendum sur la question du nucléaire en Polynésie française

    Le 2 juillet 2016 marquera le 50e anniversaire du premier essai nucléaire réalisé en Polynésie française. En prévision de cette date, le 5 janvier, l'association 193 a lancé une pétition pour demander qu'un référendum sur la question du nucléaire ait lieu en Polynésie française.

  • Cyber action pour la protection de la biodiversité en Polynésie française

    Selon le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN), les deux tiers des plantes endémiques et la moitié des oiseaux des îles et atolls de Polynésie française, dont de nombreuses espèces uniques au monde, sont menacés. Une cyber action est en cours, lancée par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

  • Appel aux dons pour construire le "Village des alternatives"

    L’association Colibris Tahiti est en pleine préparation d’Alternatiba Tahiti, le Village des alternatives du Fenua, seconde édition, qui aura lieu le samedi 14 novembre à la mairie de Punaauia. Elle lance un appel aux dons afin d’assurer le bon déroulement de cet événement qui est, rappelons-le entièrement citoyen et bénévole. Alternatiba Tahiti, c'est plus de 50 stands, des conférences, des ateliers, des concerts, un espace de création artistique, un grand maa participatif... et plein d'autres choses...

  • "Oasis, un nouveau mode de vie"

    Le magazine Kaizen et le Mouvement Colibris présentent 100 "Oasis", 100 lieux de vie construits aux quatre coins de la France par des femmes et des hommes qui ont décidé de placer l’autonomie, le partage et la convivialité au cœur de leur mode de vie. Et pourquoi pas, bientôt, à Tahiti ? Rendez-vous pour en parler le 14 novembre, au "village des alternatives", Alternatiba Tahiti.

  • Le projet Ecoparc de Papenoo au coeur d’un débat de fond

    Les promoteurs du projet privé Ecoparc, dans la vallée de Papenoo, ont pour objectif de réunir des représentants du Pays, de la commune, des acteurs de la vallée et de leur société au sein d’un comité de pilotage. Mais la précipitation avec laquelle ils proposent leur calendrier de réalisation est loin de susciter l’adhésion de la population et des associations. De nombreuses questions se posent.

  • Alternatiba : un mouvement citoyen mondial, bientôt aussi à Tahiti

    Alternatiba, initiative citoyenne née en 2013 au Pays basque, a sillonné l'Europe à vélo pour sensibiliser les populations aux solutions contre le réchauffement climatique. Après quatre mois sur les routes, le Tour Alternatiba a rallié samedi 26 septembre la place de la République, à Paris, où est installé pour l'occasion un village des alternatives, Alternatiba Paris. Près de 50 000 personnes y sont attendues pour le week-end ! À Tahiti, un événement similaire, toute proportion gardée, se prépare pour le 14 novembre. 

  • Nouvelle projection exceptionnelle du film "En Quête de Sens"

    Lors de la soirée du 1er juin, près de 600 personnes ont pu assister à la projection du film "En Quête de Sens". Un succès qui a incité l'association Colibris-Tahiti (ex 2D Attitude) à proposer une nouvelle soirée de projection et de rencontre le 1er octobre.

  • Projet d’ Ecoparc à Papenoo: « c’est non ! » pour le collectif citoyen

    Le 19 août, était présenté au conseil des ministres un projet de développement d’un ensemble touristique au centre de l’île de Tahiti, dans la vallée de Papenoo. Ce projet, estiment les représentants d’un collectif citoyen, « très vague malgré ses prétentions pharaoniques, ne respecte pas le PAD mis en place depuis 2006 ». Selon eux, la population risque de se voir imposé un projet « parachuté » sans avoir été concertée. Une pétition a d’ailleurs été lancée qui rassemble déjà près de 1500 signatures.

     

  • Les associations de plus en plus remontées contre les extractions dans les rivières

    Cela fait un moment que les riverains de rivières des Tahiti montent au créneau pour dénoncer des travaux d’extraction de matériaux qui endommagent les vallées et le littoral. Installés depuis plusieurs jours sur un rond-point du front de mer de Papeete, les membres d’un syndicat regroupant plusieurs de ces associations interpellent la population. Le syndicat No Te Aru Tai Mareva monte également le ton à l’égard du gouvernement.

  • L'OVNI (organisation vivante non identifiée) Colibris et la (R)évolution intérieure

    AvA-Infos a déjà consacré deux articles à la thématique fondamentale  de la (R)évolution intérieure initiée par le mouvement Colibris. À l'occasion des vacances, période où certains auront peut-être (!) l'occasion de mieux réfléchir au sens de leur existence, il est bon de revenir sur les fondamentaux qui peuvent motiver un engagement dans une démarche "alternative".

  • Lancement d’une pétition internationale pour la protection de l’Océan

    Un océan en bonne santé, c’est un climat préservé. La Plateforme Océan et climat, #OceanforClimate, a lancé un appel sous la forme d'une pétition en trois langues (français, anglais et espagnol) qui sera remise en décembre prochain, lors de la COP21, aux États participant aux négociations sur le climat.

  • « Sauver le Climat par le bas », une réflexion sur les alternatives face aux lobbys économiques et politiques

    À quelques mois de la fameuse COP 21, à Paris, le magazine S!lence- écologie, alternatives, non-violence - pose des questions de fond concernant ce rendez-vous international politico-médiatique sur le climat. Est-il  "destiné à amuser la galerie et à chloroformer l’opinion publique" , comme le pensent beaucoup d'écologistes ? En proposant de « Sauver le Climat par le bas », le mensuel donne la parole à celles et ceux engagés sur le sujet.

     

  • Une délégation d'opposants écologiques à des projets contestés de grands travaux reçue à la Présidence

    (En bref, dernière minute ) Une cinquantaine de manifestants se sont rassemblés, ce mardi 9 juin au matin, devant la Présidence pour être entendus par le Président du Pays. Edouard Fritch a notamment reçu des représentants  du syndicat d'associations Te Aru Tai Mareva hostiles à la construction d'un barrage sur la rivière Vaiiha (côte Est de Tahiti).

     

  • « En Quête de Sens », le film a attiré 600 personnes

    La séance gratuite organisée mardi 2 juin en soirée par l'association Colibris-Tahiti, simultanément dans deux salles du Majestic -partenaire de l’opération- a été un franc succès. Plus de 600 personnes avaient réservé d’avance leur place, ce qui semble bien indiquer une sensibilisation de plus en plus importante de la population aux thématiques développées dans ce film.

  • Le 13 juin à Papara, 1er festival 'Ia Ora Taharu'u

    Samedi 13 juin, l' association 'Ia Ora Taharu'u organise son premier festival pour la sauvegarde de la rivière et du spot de surf de Taharu'u, au Pk 38 à Papara. Au programme : sport, ateliers pour les enfants, animation musicale, exposants pour articles de sport, présence d'associations de protection d'environnement... De grands noms du surf sont aussi là pour appuyer cette mobilisation citoyenne.

  • Climat mondial : « des risques élevés, même pour un réchauffement supérieur à 1,5°C »

    Un seuil limite de 2°C s'est imposé depuis 2009, aussi bien chez les responsables politiques que dans le grand public, comme une température moyenne à ne pas dépasser par rapport à la période pré-industrielle. Est-il envisageable ? Et surtout, ne faudrait-il pas le revoir à la baisse ? Le niveau de sécurité garanti par ce seuil est largement sujet à caution si l’on en croit le récent rapport technique de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

     

  • Les associations polynésiennes de protection de l'environnement veulent être entendues

    Une réunion a rassemblé, mercredi 3 juin à la mairie de Punaauia, plusieurs associations de protection de l’environnement. Leur objectif : s'entendre et préciser les termes de leurs inquiétudes et de leurs exigences avant la rencontre prévue le mardi 9 juin avec le président Edouard Fritch et son gouvernement.

  • Une pétition pour stopper les extractions et retirer les bassins dégraveurs de la Taharuu

    Une pétition est actuellement en cours, portée par l’association Ia Ora Taharuu et adressée au président de la Polynésie française, pour que soit réglementés de façon plus stricte les travaux effectués par une société privée dans le lit de cette rivière, à Papara.

  • Environnement : la montée des eaux a commencé

    La Polynésie est en première  ligne face à la montée des eaux. Depuis quelques années certaines associations tirent la sonnette d'alarme et aujourd'hui les premières  conséquences du réchauffement climatique se font peut être déjà sentir aux Tuamotu.

  • Lutter contre le gaspillage alimentaire

    Le 14 avril, le député PS de la Mayenne, Guillaume Garot, a remis à Ségolène Royal et à Stéphane Le Foll son rapport sur la lutte contre le gaspillage alimentaire qu'il défendra la semaine prochaine à l'Assemblée nationale. Celui-ci a été missionné le 15 octobre dernier afin qu’il formule des recommandations au Gouvernement en matière de lutte contre le gaspillage alimentaire.

  • Loi sur le renseignement : un texte liberticide ?

    Le projet de loi sur le renseignement que les députés ont voté dernièrement à l'Assemblée nationale ne laisse pas d'inquiéter.  Demain, n'importe quel gouvernement autoritaire aura-t-il ainsi un outil idéal pour museler toute opposition sous prétexte de garantir la sécurité publique ? Deux députés sur les trois députés polynésiens ont voté pour ce projet de loi. Une menace sur la liberté d'expression ?

    Ce texte qui a été voté par une très grande majorité des députés doit être présenté au Sénat à partir du 20 mai. Quel sera le vote des deux nouveaux sénateurs élus récemment  par les grands électeurs polynésiens ? Les uns et les autres pourront-ils justifier leur vote ?

     

  • onpassealacte.fr : un site d'infos pour faciliter l'émergence d'une nouvelle société

    Onpaasealacte.fr est un site de journalisme constructif ou journal positif sur les initiatives ingénieuses, remarquables et inspirantes réalisées par des citoyens à travers des interviews vidéos. Son objectif : "faire avancer le schmilblick et changer le monde vers plus d'écologie et d'humanisme par la créativité, l'action et l'innovation citoyenne et individuelle".

  • Pour l’interdiction du Roundup : mobilisation citoyenne contre le lobbying d’une multinationale

    Il y a un mois, l’agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonçait avoir classé plusieurs pesticides comme « cancérogènes probables ». Une pétition a été lancée par l’association Agir pour l’Environnement pour interpeller les ministres européens de l'agriculture, de l'environnement et de la santé de l’Europe sur les dangers sur Roundup et interdire son utilisation en France. Une autre est aussi en ligne, lancée sur Avaaz.  

  • "Se transformer pour mieux transformer le monde"

     Depuis un mois, la campagne "une (R)évolution intérieure" bat son plein. Le Mouvement Colibris se réjouit de constater "combien ce thème résonne chez une part grandissante de notre société !", exprime dans La Lettre des Colibris d'avril Marc de La Ménardière, responsable du pôle "Inspirer" de Colibris au niveau national.

  • Mouvement pour une (R)évolution Intérieure

    Le mouvement Colibris a lancé, début mars, une nouvelle campagne citoyenne : une (R)évolution intérieure. Dans la continuité du travail réalisé autour des principaux leviers de transition de la société - économie, agriculture, éducation, démocratie, énergie, Colibris souhaite passer un message fort et montrer que la vraie (R)évolution est celle qui nous amène à nous transformer nous-mêmes pour transformer le monde !

  • Le WARN, rassemblement alternatif des jeunes

    Connaissez-vous le WARN (We Are Ready Now!) ? Ce mouvement a l'ambition de connecter chaque jeune qui veut que ça change aux alternatives qui lui correspondent. Son objectif : faire du WARN le mouvement d’une génération qui compte montrer qu’elle est prête à faire face aux défis actuels (emploi, santé, environnement, alimentation, etc.) avec des réponses concrètes. 

  • Être lucide ! "L'Envers du monde" 2015, à l'ISEPP du 23 au 27 mars

    Pour la quatrième année consécutive, l’ISEPP nous convie à découvrir et débattre de « L’envers du Monde », autour de cinq grandes thématiques mondiales concernant aussi directement la Polynésie française. Chaque thématique sera abordée par la projection d’un documentaire suivie d’un débat citoyen. Un "envers du monde" qui en montre donc plutôt le côté lucide... À ne pas rater !

  • Lancement de l’élaboration du Schéma directeur des transports durables inter-insulaires 2015-2025

    Ce jeudi 13 mars se réunissait après-midi, à la Présidence de la Polynésie française, le premier comité de pilotage chargé de réfléchir sur le schéma directeur de transports interinsulaires. "Sa réussite nécessite une collaboration des forces vives de la Polynésie française".

  • Décès d'un pionnier, le mathématicien/écologiste Alexandre Grothendieck

    Alexandre GROTHENDIECK, considéré par beaucoup comme "le plus grand mathématicien du XXe siècle", est décédé en France ce 14 novembre, à l'âge de 86 ans. Lauréat en 1966 de la Médaille Fields (l'équivalent du Prix Nobel pour les mathématiques), qu'il refusa, ses travaux ont notamment permis une nouvelle approche des catégories d'espace. Mais GROTHENDIECK fut aussi un précurseur de la pensée écologiste, dans les années 1970. Survivre et Vivre, le mouvement de scientifiques critiques rassemblés autour de lui, dénonce la militarisation de la recherche et l’orientation mortifère du développement technoscientifique.

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