AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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Urbanisation

  • Une démarche durable globale pour une douzaine d'actions en cours

    Dans un monde qui n’a jamais été aussi complexe, la pensée en silo n’aura jamais été aussi dévastatrice qu’elle ne l’est aujourd’hui. Nous la retrouvons dans tous les domaines : la politique, la finance, l’écologie, la santé… Par toutes leurs activités, les humains laissent leur empreinte sur l'environnement : constructions, transports, exploitation des ressources, production de déchets, consommation d'énergie…Il est de ce fait indispensable d'adopter une approche transversale de l'ensemble de ces problématiques pour réduire les impacts sur l'environnement, préserver le patrimoine naturel et contribuer au développement durable du territoire. Cette revue de presse identifie une douzaine d'actions en cours qui illustrent l'éveil de la Polynésie française à une démarche indispensable à sa "durabilité" environnementale économique et sociale.

  • Faciliter la création de carrières pour les extractions d'agrégats

    Les travaux d’extraction de matériaux en rivière sont susceptibles d'endommager les vallées et le littoral. Face à une pénurie d'agrégats et d'enrochements qui freine l'avancée des chantiers, le ministre des Grands Travaux, Jordy Chan,veut faciliter la création de carrières pour les extractions d'agrégats.L'assouplissement des règles d’ouverture de carrières permettrait de sécuriser l’approvisionnement en matériaux minéraux de chantiers et de limiter les extractions sauvages. Son projet de réforme du Code des Mines, approuvé en conseil des ministres, est proposé pour avis au Cesec et pour approbation à l'Assemblée. Un projet en cours qui nécessitera une révision du Code de l'environnement.

  • Hôtel et supermarché à Moorea: des travaux qui inquiètent la population

    La population de Moorea est actuellement confrontée à des projets de travaux immobiliers: un complexe hôtelier à Haapiti (plage de Tiahura) et un supermarché à Maharepa.  Ceux-ci ne sont pas sans soulever d'inquiétudes et des demandes d'explications ont été portées auprès du président Brotherson, notamment par la Fédération Tahei Auti ia Moorea. La dimension juridique complexe qui sous-tend ces deux problématiques, et les réponses apportées, ne manqueront pas de développements ultérieurs dont il faudra suivre le déroulé. Sans qu'il puisse ici en être proposé une synthèse, on trouvera ci-dessous les éléments des problématiques en cause, relayés par la presse locale.

  • Le développement durable du fenua: avancées et questions

    Environnement: la petite fourmi de feu gagne du terrain à Huahine et Taha'a/ les plages de Toahoturégulièrement recouvertes d’un épais tapis d'algues / projet de régénération pour les orangers de la Punaruu / émotion et colère des défenseurs des mammifères marins après l’arrestation de Paul Watson ; Transport: les réflexions se poursuivent concernant la Route du Sud / projet de réseau de pistes cyclables et de voies réservées dans la zone urbaine Agriculture : lancement officiel du projet "SATAAP" pour renforcer la production locale et à améliorer la sécurité alimentaire aux Tuamotu; Assainissement des eaux usées : la commune de Mahina invitée à finaliser « dans les meilleurs délais » l’organisation de sa gestion des eaux usées ;  53e sommet du Forum des îles du Pacifique : les leaders océaniens confrontés à une "Polycrise".

  • Matériaux et agrégats: les acteurs du BTP inquiets

    Le curage de certaines rivières, pourtant nécessaire pour éviter les inondations, voit l’opposition systématique des associations et les autorisations pour l’obtention de carrières sont de plus en plus difficiles. Quelles perspectives pour les professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics en attendant la réactivation de l’Observatoire du BTP ?L’approvisionnement en matériaux compliqué par la pénurie d’agrégats. Mais attention à la "bétonisation" de Tahiti...

  • Constructions en question

    L’intégration des enjeux environnementaux et sociétaux doit être intégrée dans les projets de constructions, d’aménagements, de travaux, d’installations… Trois exemples de chantiers en cours ou en projet qui font ou ont fait – pour le moins - l’objet d’interrogations : projet d’hôtel sur la plage de Temae, à Moorea ; Démontage de la « Tour des juges », à Teahupoo et des installations ayant servi à l’accueil des J.O. pour les épreuves olympiques de surf ; Projet d’hébergement touristique sur le littoral de Toahotu, à Taiarapu-Ouest.

  • Les arbres en ville: bienfaits et problèmes

    Chute d’un maru maru entraînant la mort d’une jeune homme, lundi 29 juillet dans le quartier Paofai (Papeete) ; un pick up accidenté par un autre arbre de la même espèce, le mardi 30 sur l’avenue du Prince Hinoi… Alors qu'une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances exactes et les éventuelles responsabilités, la ville de Papeete et le Pays se sont exprimés sur l'entretien des arbres en milieu urbain. En fragilisant leurs racines, les travaux souterrains (canalisations…) engagés depuis plusieurs décennies pourraient être à l'origine d'accidents et la présence de ces arbres pose une vraie question pour les urbanistes. Ces derniers s’interrogent pour savoir quelle espèce d’arbre conviendrait pour les prochaines décennies.Les maru maru, arbres au feuillage abondant, sont en effet utiles* pour la qualité de vie sanitaire et écologique des citadins.  

  • Eau potable, recyclage des déchets : des leçons à retenir de Singapour ?

    Déplacement du président polynésien à l'international qui a rencontré la ministre du développement durable et de l’Environnement de Singapour: une ville-monde aux "avant-postes" de technologies avancées qui intéressent le Pays.

  • Développement durable : le Pays en chantier

    Gestion de l’eau, énergie renouvelable, projets d’aménagement, traitement des déchets… Ces secteurs qui conditionnent la vie quotidienne doivent être orientés en direction d’un développement durable du Pays et des communes. Avec des travaux à la clé mais aussi une sensibilisation de la population.

  • Vers une gestion durable de l'eau

    Gérer durablement l’eau est indispensable pour permettre un développement économique compatible avec un accès à une eau de qualité pour tous, tout en protégeant les milieux et la biodiversité : Fin du projet « PROTEGE » financé par l’Union européenne avec la tenue d'un Atelier régional sur l'alimentation en eau potable et les risques sanitaires ; Les Journées mondiales de l’eau, Te vai, e vāea, se tiendront les 22 et 23 mars prochain ;Travaux de réhabilitation de la station d’épuration de Tiapa, à Paea ; Projet de construction d'une troisième usine de traitement de l’eau à Moorea.

  • L’économie polynésienne en quête de transition écologique et sociale

    La transition écologique n'est pas seulement une nécessité, mais aussi une opportunité pour les entreprises d'innover et de prospérer dans un monde en évolution.L'Université de la Polynésie française organise ce lundi 26 février un temps d'échange entre l'équipe pédagogique de la licence Sciences de la transition écologique et sociétale (STES)* - qui ouvrira à la rentrée prochaine, dans le cadre du projet Nārua - et des représentants d’entreprises, d’institutions territoriales et du secteur associatif au service des transitions écologiques et sociales. En prélude, cette revue de presse est l’occasion de découvrir plusieurs sujets d’actualité en lien avec cette thématique. Des exemples concrets de la dimension transversale du développement durable couverts par la presse locale pendant la semaine du 19 au 25 février.

  • STPGD et SERD pour bien gérer les déchets

    Une gestion saine des déchets est incontournable pour la préservation de la qualité environnementale et sanitaire d'un pays. Un nouveau Schéma territorial de prévention et de gestion des déchets de la Polynésie française (STPGD doit être mis en place par le gouvernement et être étudié par les communes et différents autres partenaires. Des événements organisés dans le cadre de la Semaine Européenne de la réduction des déchets (SERD) ont contribué à la sensibilisation d'une partie de la population, notamment auprès d'un public lycéen.

  • Développement durable: énergie, agriculture, biomatériaux, aménagements routiers

    Énergie, agriculture, biomatériaux, aménagements routiers... autant de sujets connexes à étudier de front pour un développement plus "durable" du fenua:  Projet de loi relatif au déploiement des infrastructures de recharge de véhicules électriques ;  Valorisation des déchets des matières organiques, notamment animales, pour en faire un fertilisant ; Zooms sur la filière d'agro-transformation pour développer l’autonomie alimentaire du fenua ; L’Université de la Polynésie française (UPF) a organisé récemment un séminaire sur les biomatériaux ; Aménagements routiers: la Route du Sud toujours dans les cartons...

  • Transition écologique et traitement des déchets

    Le 16 septembre est "Journée mondiale du nettoyage de la planète" (World CleanUp Day*). Cet événement n'a pas fait la une des médias en Polynésie française. Des actions sont néanmoins à mentionner pendant la semaine qui entoure cette date : Le 15 septembre, journée d’action contre l’incivisme et la pollution à Moorea ; Lancement du Congrès des maires, à Teahupoo le 19 septembre, sur le thème de la transition écologique: avec, notamment, la restitution programmée au Pays de la compétence du traitement des déchets ; 48 associations ont reçu 13 millions Fcfp à l’occasion de la manifestation des Tortues du cœur : 2 francs pour 1kg de déchets recyclés ; Une étude est en cours pour la la réhabilitation de la décharge communale de Moorea.

  • Préserver la nature: côté mer et côté terre

    6ème édition de l’Appel à projets rāhui de Pew Bertarelli et la FAPE Te Ora Naho : Poursuite de la création d’un réseau d’acteurs du rāhui en Polynésie française avec 10 nouveaux lauréats sélectionnés pour développer des solutions innovantes et impliquer la communauté locale dans la protection de l’océan ; Projet immobilier sur les hauteurs de la Mission, à Papeete : l’association A Ti’a No Te Aru dénonce l’abattage de plusieurs arbres, dans une zone naturelle. Une inquiétude qui se renforce à mesure que les forêts polynésiennes disparaissent sous le poids des constructions et des aménagements entrepris dans le cadre de la promotion immobilière ; L’île de Ua Huka peut de nouveau être déclarée indemne de Citrus tristeza virus (CTV) qui s’attaque à la famille des Rutaceae, dont les agrumes et les kumquats.

  • Environnement et développement durable : un sujet multi-facettes

    La préservation de l'intégrité écologique du fenua, mais aussi de celle des conditions de vie de ses habitants est multiforme :  Protection de l’environnement marin : Te Mana o te moana a déménagé de Moorea à Tahiti ; Lutte contre les espèces végétales envahissantes pour protéger les orangers de  Punaruu ; Ras le bol des agressions/pollutions sonores à la Presqu'île ;  Transformation du système agro-alimentaire afin de procurer à tous, une alimentation saine, abordable et durable ; Gestion des déchets : cette compétence sera-t-elle transférée des communes au Pays ?

  • Déchets, pollutions, dégradations, embouteillages : les news de début juillet 23

    L’association Mama Natura s'investit pour ramasser les déchets lors des festivités du Heiva ; Elle participe aussi à l'opération de mesure de densité des déchets du programme Wildlands Studies, à Papara ; Le président du Pays à Raiatea pour trouver un équilibre dans le traitement des déchets (décharge saturée) ; Extraction de matériaux dans la rivière Taharuu: la Polynésie française condamnée à dédommager des riverains ; Cofinancement par l’État et le Pays de neuf projets communaux touchant aux services publics environnementaux (assainissement des eaux usées, alimentation en eau potable, gestion des déchets…) ; Embouteillages récurrents: quid de la sécurisation de la circulation dans le quartier de Nuuroa (Méridien), à Punaauia ?

  • Énergie renouvelable, mobilités durables, éco-construction : de nouveaux projets

    Énergie renouvelable : Les professionnels du groupement " Synergie Solaire de Polynésie" veulent faire valoir leurs idées sur la manière dont l'énergie solaire peut influer sur la transition énergétique du fenua ; Mobilités durables : une convention de subvention avec l'AFD pour le financement partiel d’une étude sur les mobilités durables sur la plaine littorale de Punaauia ; Éco-construction : convention de financement pour une assistance à maîtrise d’ouvrage "Qualité Environnementale" du nouveau bâtiment "Pôle Entreprises" de la CCISM.

  • Pollutions diverses : trois situations à suivre

    Suite à la fermeture du dépotoir de Tepua, à Raiatea,  accumulation des déchets autour des points d’apport volontaire (PAV) et de lieux servant de dépotoirs sauvages ; Compte-rendu d'audience: risque d'atteinte à la santé, sécurité ou salubrité ou à la protection de l'environnement, le co-gérant du Centre d'enfouissement technique de Hitia’a condamné ;  Une source se tarit à Papeete:  la faute à des travaux ?

  • Examens en cours et procédures engagées pour un fenua plus durable

     * Bilan du 5ème COPIL PROTEGE pour la construction d'un développement durable et résilient des économies de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française, de Wallis et Futuna et de Pitcairn face au changement climatique ; * Le Label Eco Fenua Engagé proposé par le Club des Entreprises polynésiennes éco-responsables (EPER) ; * Le tourisme durable, thème de la conférence annuelle de Tahiti Tourisme ; * Désormais, les habitations situées en zone bleue ou verte doivent obligatoirement être surélevées ; * À Bora Bora, interdiction permanente de l'usage de la lentille d'eau du motu Terurumi en raison d'une pollution fécale ; * À Arue, poursuite de la polémique autour du projet de New Tahara'a du groupe City ; *La loque américaine, cette maladie qui touche les abeilles, est-elle très répandue à Tahiti ? * Évolution de la liste des substances actives de pesticides ; * Mise à jour des points de mouillage afin de respecter la zone de protection des câbles sous-marins et de préserver les massifs coralliens.

  • Environnement menacé : projets immobiliers et infrastructures communales sous observation

    La lentille d'eau polluée d'un motu de Bora Bora est l'objet de recours en justice. Le tribunal administratif a annullé un arrêté de "régularisation" de travaux pris par le gouvernement ; À Paea, une station d'épuration rejette des eaux usées dans le lagon, la commune enjointe par le tribunal administratif d'y mettre fin ; Par contre, Rimatara (Australes) - refusant la solution facile du dépotoir  - évacue ses ordures toxiques (déchets électroniques et électriques) pour qu'elles soient récyclées ; À Bora Bora, la rénovation de hôtel Conrad Bora Bora Nui fait l'objet d'une étude d'impact sur l'environnement.

  • PGA, SAGE, PGEM... : des outils législatifs pour l’aménagement du territoire

    Depuis l’adoption en 2020 du Schéma d’aménagement général de la Polynésie française (SAGE), toute commune de plus de 1 000 habitants doit se doter d’un Plan général d’aménagement (PGA) compatible avec le SAGE. La gestion du foncier et de l’environnement en dépend. Quatre communes sont actuellement concernées, l’une par son élaboration, les autres par sa révision ; Quid de la résorbtion du logement social ? ; À Moorea, la modification du Plan de gestion des espaces maritimes (PGEM) est à l’origine d’une contestation populaire « contre la privatisation de la plage de Temae ».

  • Des projets immobiliers et hôteliers qui causent des remous

    Agrandissement stoppé du Sofitel sur la plage de Temae : le tribunal administratif interdit toute nouvelle construction de bungalows sur pilotis dans le PGEM de Moorea ; Exploitation du phosphate : la SAS Avenir Makatea n’a pas baissé les bras, les associations de l’île parlent d’un risque de « dégâts irréparables » ; Quel est l’impact réel des travaux de la villa Quintessence sur le motu Terurumi, à Bora Bora ; Quid du nouveau projet hôtelier sur la zone très convoitée du Tahara'a ; travaux douteux sur le motu Moea, à Moorea.

  • Environnement et projets immobiliers : deux dossiers devant la Justice

    À Moorea et à Bora, des projets immobiliers contestés par la population ou des riverains sont devant la Justice. Sur l"île-sœur,l’arrêté qui permet les constructions sur pilotis en dérogeant au PGEM est attaqué au tribunal administratif ; Sur un motu de la "Perle du Pacifique", le projet Bora Yes - contesté lui aussi - fait l'objet de rebondissements juridiques. 

  • Économie v/s écologie : projets immobiliers en cours ou… en attente

    Les projets immobiliers, à l’origine d’un potentiel développement économique, et donc d’emplois, peuvent aussi poser des problèmes environnementaux où être mal perçus par la population : Le projet du Village Tahitien refait surface, mais en format réduit ; De nouveaux travaux contestés sur le motu où est installée la villa Bora Yes ; La consultation publique sur l’avenir de la plage de Temae a recueilli plus de 2 800 signatures ;À Moorea, encore, plusieurs projets immobiliers portés à l’attention de la commune ; Quid du projet résidentiel Ocean Park sur l’ancien site du Tahiti Village à Punaauia ?

  • Vers un aménagement « durable » du territoire

    Le développement durable doit être intégré à l’aménagement du territoire, afin de trouver le bon équilibre entre développement urbain et rural : eau et assainissement, projets immobiliers, transport, énergie, pollutions, traitement des déchets… Particulièrement en Polynésie française, il doit être tenu compte de la composante maritime des activités économiques, tourisme compris. Le tout en intégrant les problématiques sociales, environnementales et économiques et de la population qui y vit : Séminaire d’aménagement du territoire, côté terre et « cluster maritime », côté mer ; Eau et assainissement : la Polynésie française bénéficie de financements européens ; La commune de Teva i Uta assume ses choix en matière de distribution d'eau potable.

  • Projets immobiliers à Moorea et Punaauia : pas d’avis favorables des communes

    Les enjeux du développement durable en immobilier sont multiples. Les constructions de nouvelles habitations doivent prendre en considération les enjeux environnementaux actuels. Des projets immobiliers, facteurs de développement économique, ne font pas toujours l’objet d’une perception favorable par la population, mais aussi par les municipalités : avis défavorables des communes pour des projets immobiliers à Moorea et Punaauia. 

  • Transport, énergie, habitat : du nouveau au fenua

    Une application pour rendre plus accessible le réseau de transport en commun à Tahiti ; un Code de l’énergie qui évolue afin, in fine, d’atteindre les objectifs de transition énergétique ; des textes qui permettent la construction d’immeubles de grande hauteur dans l’agglomération de Papeete… L’urbanisation et la modernisation de Tahiti sont à l’œuvre. Pour un développement “durable” du fenua ?

  • Aménagement du territoire et développement durable : des avancées en perspective ?

    La définition communément admise pour le développement durable est : « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». ll s’agit dans les faits de réconcilier les sphères environnementales, économiques et sociales, c’est à dire que le développement durable prône un nouveau mode de développement qui assure à long terme trois objectifs simultanés : la préservation du capital naturel et des écosystèmes, la justice sociale et le développement économique générateur d’activités et d’emplois.

  • Equipement, aménagement, transport, habitat, énergie: projets en cours

    Les grands projets structurants ont vocation à permettre le développement du Pays. Quel sera leur impact écologique ? Vont-ils dans le sens de la transition énergétique qui s’impose désormais aux décideurs ? Certains projets inquiètent aussi la population et mobilisent l'opposition d'associations. Retour sur les dossiers d'aménagement, de transport et d'énergie évoqués en avril dans les médias.

  • Septembre sous le signe des énergies renouvelables

    Les énergies renouvelables, en pleine croissance au niveau mondial joueront, selon tous les experts, un rôle majeur pour limiter le réchauffement climatique. La Polynésie française se fixe comme objectif de produire la moitié de son électricité à partir de telles sources dès 2020 et 75% en 2030. L’énergie hydro-électrique, le SWAC, la mise en place d’infrastructures et d’aménagements techniques doivent y contribuer. 

  • Transports: vers de l’électrique pour les transports en commun ?

    La circulation dans le grand Papeete est un problème récurrent qui n’a toujours pas trouvé de solution satisfaisante. L’importation de bus électriques peut le résoudre en partie, mais cela ne suffira pas. Éco-mobilité, tram aérien, d’autres solutions doivent être examinées.

  • Grande revue de presse (3e trimestre 2017) : eau, énergie, transport

    Ici, c'est la gestion de flux (eau, énergie, transports) qui est concernée. Des solutions durables et écologiques sont elles en voie d'apparition dans nos îles tellement encore dépendantes du pétrole ? De la mi-juin à fin septembre, AvA Infos a scanné les médias locaux en ce qui concerne cette thématique. En voici un petit florilège.

  • Grande revue de presse (3e trimestre 2017) : climat et aménagement du territoire

    Comme la plupart des petits États insulaires du Pacifique, les archipels de la Polynésie française sont confrontés à des défis importants en raison de leur petite taille et de leur situation géographique: économies à dimension réduite, infrastructures limitées et vulnérabilité importante aux catastrophes naturelles telles que les cyclones. Le Pays a nécessité de prendre en compte les conséquences du réchauffement climatique pour organiser un aménagement pérenne de ce territoire de plus de 4 000 km2 qui devrait accueillir une population de 300 000 habitants à l'horizon de 2050.

     

  • Rivières en crue : les inondations pourraient-elles être évitées ?

    L'incivisme, souvent pointé du doigt, devait justement faire l'objet de sanctions avec le « Plan rivières » conçu pour améliorer la gestion des cours d'eaux du fenua. Mais qu’en est-il ? Les associations veulent  être associées à ce Plan.

  • Gestion de l'énergie : vers plus de renouvelable

    Le mois de juillet a vu se développer une discussion dans la sphère politique concernant la gestion de l’énergie à Tahiti. Une discussion qui n’a pas été sans une polémique qui ne sera pas commentée ni analysée ici. Celle-ci est néanmoins l’occasion de rappeler la nécessité d’une transition énergétique vers plus d’énergie renouvelable et, à ce titre aussi, un engagement plus responsable sur le plan de la construction.

  • Le gouvernement lance son plan rivières

     L'aménagement des rivières de Tahiti est un sujet sensible qui a soulevé plusieurs réactions de la part de riverains et d'associations. Le gouvernement a présenté début avril un plan pluriannuel dont le schéma directeur de l’environnement devrait être prêt dans le courant du mois d’avril, et son financement voté lors du prochain collectif budgétaire au mois de juin.

  • La société civile doit être impliquée dans l'aménagement du territoire

    L'organisation du territoire doit prendre en compte les considérations écologiques, sociales et culturelles soutenues par la société civile. Plusieurs domaines concernés : urbanisme, habitat, transports en commun, aménagement des rivière, développement des vallées…

  • Rivières en crue sur la côte est de Tahiti : des dégâts évitables ?

    Le samedi 12 décembre, de fortes pluies se sont abattues sur une partie de la côte est de Tahiti occasionnant de graves dégâts. Plus de 60 maisons détruites, une centaine gravement endommagées, un mort… Ces dégâts étaient-ils évitables ?

  • Proposition de "loi du pays" pour protéger la population en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques

    Une proposition de texte législatif  a été déposée début septembre à l'APF par le représentant Antonio Perez. Celle-ci a pour objet d'obtenir une réglementation locale concernant les antennes relais et fait suite au mécontentement d'associations de riverains, ou de collectifs de quartier après l’installation de pylônes dédiés sur des terrains privés, faisant partie de zones d’habitation. Elle a été déposée "au nom du principe de précaution".

  • Les associations de plus en plus remontées contre les extractions dans les rivières

    Cela fait un moment que les riverains de rivières des Tahiti montent au créneau pour dénoncer des travaux d’extraction de matériaux qui endommagent les vallées et le littoral. Installés depuis plusieurs jours sur un rond-point du front de mer de Papeete, les membres d’un syndicat regroupant plusieurs de ces associations interpellent la population. Le syndicat No Te Aru Tai Mareva monte également le ton à l’égard du gouvernement.

  • Le 13 juin à Papara, 1er festival 'Ia Ora Taharu'u

    Samedi 13 juin, l' association 'Ia Ora Taharu'u organise son premier festival pour la sauvegarde de la rivière et du spot de surf de Taharu'u, au Pk 38 à Papara. Au programme : sport, ateliers pour les enfants, animation musicale, exposants pour articles de sport, présence d'associations de protection d'environnement... De grands noms du surf sont aussi là pour appuyer cette mobilisation citoyenne.

  • Une pétition pour stopper les extractions et retirer les bassins dégraveurs de la Taharuu

    Une pétition est actuellement en cours, portée par l’association Ia Ora Taharuu et adressée au président de la Polynésie française, pour que soit réglementés de façon plus stricte les travaux effectués par une société privée dans le lit de cette rivière, à Papara.

  • Projet de loi pour la création d’une Agence nationale de la biodiversité

    Près de quarante ans après la loi de protection de la nature de 1976, un projet de loi doit notamment permettre la création d'ici la fin 2015 d'une Agence nationale de la biodiversité, promise par François Hollande lors de la première conférence environnementale en 2012.

  • Arrêt technique de l'Aremiti Ferry 2 : Moorea croule sous les déchets

    Depuis l'arrêt technique, le 13 janvier dernier, du Ferry transporteur - de Moorea vers le centre de tri de Motu Uta - ce sont près de 600 m3 de déchets putrescibles qui ont été accumulés dans les bacs et sur deux sites à ciel ouvert, indiquait La Dépêche de Tahiti dans son édition du 24 janvier. Le quotidien revient sur le sujet dans son édition du 5 février, l'île-soeur étant toujours saturée de déchets.

  • Le bambou, champion du développement durable ?

    BambouMaison, tissu, papier, tôle, contre plaqué, parquet, ''éthanol'' . La liste des produits fabriqués à partir du bambou pourrait être longue. On compte au minimum 1500 utilisations du bambou, certains vous diront qu'il en existe 5 000. Pourtant elles sont pratiquement invisibles sous nos tropiques. Resté souvent dans les esprits comme un produit voué à l'artisanat, il est perçu comme éphémère, peu solide et parfois même accusé d'attirer les serpents : dommage !

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