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Zones protégées

  • Des activités humaines à l’origine du décès d’animaux marins emblématiques de la Polynésie

    Les baleines à bosse en particulier, parāoa tuapu'u, viennent chaque année dans les eaux polynésiennes, pour se reproduire, mettre bas et se reposer. Une jeune baleine blessée par un “gros bateau” au large de Faa’a, puis décédée, illustre les dommages susceptibles d’être causés aux baleines par les activités humaines. Demandée par des associations, une enquête est en cours et une plainte a été déposée ; Face à la multiplication des offres touristiques ayant entraîné une augmentation des interactions entre l’homme et les baleines, les autorités ont aussi décidé de renforcer la réglementation existante ; Une tortue verte a été retrouvée à Moorea, morte d’une ingestion de plastique.

  • Initiatives pour une gestion durable du lagon et un whale watching plus responsable

    7ème appel à projets Rahui porté par l'ONG Pew-Bertarelli et la FAPE: dix nouveaux projets de protection de la faune et la flore locales financés à hauteur de 500 000 Fcfp chacun ; Modification du code de l'environnement concernant l'approche et l'observation des baleines pour la saison 2025 pour un whale watching plus responsable. Mata Tohora, l'association de protection des mammifères marins, regrette que ses recommandations n'aient pas été écoutées.

  • Terre et mer : pour une gestion durable des éco-systèmes

    Côté terre : l’entreprise sociale et solidaire Food & CookLab de Moorea soutenue par le projet PROTEGE pour d’expérimenter deux initiatives visant à renforcer la durabilité sociale et environnementale de notre système alimentaire ; Une petite équipe de chercheurs locaux et internationaux dans les archipels pour la création d'une indication géographique protégée pour le rhum pur jus de cannes polynésien. Côté mer : la fondation Pew-Bertarelli lance son 7ᵉ appel à projets pour la promotion du rahui.

  • Terre et lagon, un leitmotiv : préserver la biodiversité

    Dans le lagon de Bora Bora Bora, la prolifération des algues sur les récifs coralliens n'est pas sans lien avec la pollution sonore ; Échanges avec le Conservatoire botanique national de Brest (CBN) pour des travaux de sauvegarde de notre célèbre tiare ‘apetahi ; Les cannes à sucre de Polynésie, les différentes variétés du fenua, sont un patrimoine à protéger ; Importance de l'environnement dans le futur PGA de Punaauia: les habitants veulent préserver leurs trésors naturels, comme ceux de la vallée de la Punaruu.

  • Préservation des écosystèmes marins et littoraux : agir et mieux connaître

    La conservation de la bonne santé des écosystèmes marins et littoraux - en particulier pour maintenir leur biodiversité - exige des actions de protection et de réhabilitation. Mais il est aussi souvent nécessaire, en amont, d'acquérir des connaissances adaptées notamment aux problématiques de l'élévation du niveau de la mer et de la décarbonation.  Sept initiatives (en Polynésie française et dans le Pacifique)à découvrir dans cette revue de presse.

  • Séminaire dédié et création d'une fédération des rāhui

    Les rāhui ont désormais leur propre fédération, nommée « Marae Mo’a » . Celle-ci a été créée lundi 23 octobre à Papeari à l'initiative de la Fédération des associations de protection de l’environnement (Fape) Te Ora Naho qui organisait son séminaire sur les rāhuide Tahiti . Celui-ci faisait suite à un atelier sur les ZPR organisé il y a un an dans le cadre du programme PROTEGE en collaboration avec la Direction des ressources marines (DRM). Marae Mo’a a reçu l’appui de la fondation Pew Bertarelli, qui lui a fait don de 5 millions de Fcfp pour mettre en place ses actions.

  • Environnement: les news de début juillet 23

    Respect de l’environnement mais aussi résolution des conflits d’usage: un même comité de gestion accompagnera et évaluera désormais les deux zones de pêche réglementée (ZRP) de Mahina ; Nettoyage et  restauration écologique du "Jardin de corail", à Tahaa ; Projet “To'a Nu'uroa” : les associations Tamari'i Pointe des pêcheurs, Tamari'i no te moana et Mata avei'a engagent une action pluridisciplinaire et pluriannuelle centrée sur la protection et l'amélioration de la couverture corallienne des récifs de Puna'auia ; Taux de mortalité anormal des larves de crevettes bleues : un espoir pour la filière de crevetticulture ? ;Pesticide le plus utilisé au monde et classé par l’OMS comme cancérogène “probable”, quid de l'interdiction du glyphosate en Polynésie française ?  Les habitants de la vallée Onohea à Tiarei n’en peuvent plus des petites fourmis de feu.

  • Préserver l'environnement : initiatives locales et internationales

    Remise de 300.000 Fcfp à l'association Puna Roa Piha’e’ina et à l'association 'A Nui Taputapuatea ; Appel d'offres de la DIREN pour une nouvelle opération de nettoyage des plages de 12 atolls des Tuamotu ; À Moorea, le sentier des guetteurs de Opunohu a ouvert ses portes au public ; À Hao, sur le site de l’AME, les élèves de l'atoll apprennent à pratiquer le bouturage de coraux ; Le 2 février,  c'était la Journée internationale des zones humides : l’occasion de faire un point sur ces écosystèmes en Polynésie ; Comment passer de 8% d’aires marines protégées à 30% en moins de 10 ans ? Le ministre de l’Environnement représente la Polynésie française au 5e congrès des aires marines protégées, au Canada.

  • Protection de l'environnement marin: ZPR, Aire marine protégée et Pavillon bleu

    Plusieurs communes s'engagent ou poursuivent une démarche de protection de leur environnement marin:Ouverture de la pêche repoussée dans la ZPR de Tautira ; La commune de Hitia’a O Te Ra demande la création d'une nouvelle zone de pêche réglementée (ZPR) ; Aux Australes, l’association Rahui Nui no Tuhaa Pae mène actuellement une consultation générale de la population pour la mise en place d’une aire marine protégée ; 10 ans de Pavillon bleu pour la marina Taina de Punaauia  ; Aux îles Cook, l'ONG « Marae Moana », veut impliquer toute la population dans la préservation de son patrimoine océanique quifait face à deux grands défis : la pêche intensive, et l’exploitation des ressources minières.

  • Protection de la biodiversité marine : ZPR, application de suivi des récifs coralliens, AME

    Les zones de pêche réglementée sont des zones délimitées de l’espace maritime où des règles de pêche spécifiques sont instaurées, en plus de celles qui sont déjà en vigueur sur l’ensemble du territoire de la Polynésie française :Création de trois zones de pêche réglementée (ZPR) à Tubuai (Australes) et prolongation de la ZPR de l’atoll de Manihi (Tuamotu) ; Coral Gardeners lance la première application de suivi des récifs coralliens ; inauguration de l'aire marine éducative (AME) de l’atoll de Hao ; Décision "historique", lors de la conférence sur le commerce international des espèces menacées, visant à protéger une cinquantaine d'espèces de requins menacés.

  • Environnement, ressources marines : le Pacifique, enjeu international

    Après le sommet "États-Unis et îles du Pacifique" auquel a participé la Polynésie française, est envisagée la tenue à Tahiti par la France d'un second “One planet summit pour les îles”, dans le courant du second semestre 2023 ; Réunion "technique"  du Groupe des Parlements des îles du Pacifique (GPIP) à l'Assemblée de la Polynésie française, à Papeete, pour une “réunion technique” en préalable à la conférence du groupe en 2023 ; La situation internationale dans le Pacifique est aussi marquée par un antagonisme USA/Chine qui concerne non seulement les dimensions géostratégiques et économiques mais aussi le contexte environnemental et la protection des ressources marines ; À ce dernier titre, par ailleurs, l'association environnementale Bloom attaque devant le Conseil d'État un décret sur les aires maritimes protégées, accusant le gouvernement français d'"imposture écologique". 

  • Demande de moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins

    Le 27 juin dernier, parallèlement à la Conférence des Nations Unies sur les océans, était annoncée la création d’une alliance mondiale pour s’opposer à l’exploitation minière des fonds marins. 57 représentants de 33 pays ont répondu à cet appel et demandaient un moratoire sur l’exploitation minière des fonds marins. Suite à une saisine du gouvernement polynésien qui veut porter cette question auprès de l'Assemblée (APF), le CESEC a examiné le 2 septembre un projet d’avis sur le projet de délibération relatif à un moratoire sur l’exploitation minière des grands fonds marins.

  • Observer et protéger la faune marine

     

    Les otaries ne font pas partie des espèces recensées en Polynésie. Néanmoins, leur observation est assez fréquente depuis 2012 ; Malgré l'augmentation mondiale de la population des baleines à bosse, l'UICN classe la population du Pacifique Sud, donc celle de la Polynésie française, toujours en danger. L'association Oceania lance la 5éme édition du projet Vigie Sanctuaire afin de mieux comprendre et de limiter au maximum le risque de collision entre les navires et les baleines ; Le programme baptisé Te Moana iti consiste en l’installation d’un écosystème marin au sein des écoles et structures accueillant du jeune public pour les sensibiliser à leur environnement ; Le comité du rahui de Tautira réfléchit à la meilleure stratégie pour préserver les bénéfices acquis après 4 années sans exploitation.

  • Préservation du milieu naturel et protection des oiseaux endémiques

    Les arbres et l’environnement forestier sont des lieux à protéger pour la sauvegarde des oiseaux, notamment les oiseaux endémiques. Arrachage sauvage ou en vue de la construction de lotissements doivent être surveillés et régulés. En août, des problèmes ont été soulevés entre Faa’a et Punauia, du côté du lotissement Miri. Pour ce projet, un registre de doléances est mis à la disposition su public et consultable jusqu'au 27 août. 

  • Menaces sur la biodiversité et réactions

    Le 21 juin, le ministre national de la Transition écologique, Nicolas Hulot, a annoncé la mise en place d’un « plan biodiversité » pour la protection de la faune et de la flore, en métropole comme dans les territoires ultra-marins. Des mesures pour tenter d'enrayer le déclin des espaces naturels et des espèces, marqué par une accélération sans précédent. L’occasion de faire un point sur la situation en Polynésie française et de rappeler quelques actualités récentes en la matière.

  • Le rahui des Australes encore en pointillés...

     

    Au-delà des bénéfices pour la pêche, la création aux Australes de la plus grande réserve marine du monde permettrait de valoriser le patrimoine naturel et culturel de ces îles et de favoriser le développement de l’écotourisme, à travers une notoriété accrue de l’archipel. La pirogue Faafaite s'y est rendue pour soutenir le projet, mais... legouvernement est toujours "réservé"...

     

  • Makatea, la Pointe Tata’a : deux projets, deux sujets de discorde

    Au mois de novembre, des associations étaient montées au créneau pour contrer des projets qu’elles estiment menaçant l’écologie et la culture polynésienne. C’est le cas du projet de relance de l’exploitation du phosphate, sur l’île de Makatea,  et de celui de résidence sur la Pointe Tata’a, à Faa’a. De nouvelles informations sur ces sujets.

  • Protection de l’océan : quelques actions en cours

    La protection de l’environnement continue de rester une priorité, et particulièrement la sauvegarde de l’environnement marin. L’ONG Pew, qui porte déjà le projet d'aire marine protégée aux Australes, et la fédération des associations de protection de l’environnement de Polynésie française (FAPE) proposent  de financer 10 projets portés par la société civile pour contribuer à la protection des lagons. La commune de Teva i Uta est quant à elle favorable à un rahui

  • Toujours contesté par la population : le projet d’Ecoparc dans la vallée de Papenoo

    Lancé à la fin de l’année dernière, ce projet est soutenu par le ministre du Tourisme. Mais il est loin d’avoir l’assentiment des associations de la vallée. Le comité de pilotage mis en place peine à trouver un consensus pour le développement de cette initiative privée. Une marche dans la vallée a même été organisée pour affirmer l’opposition de la population.

  • Espaces maritimes protégés : Australes et Tuamotu, deux poids deux mesures

     

    Le projet d’Aire Marine protégée dans le périmètre maritime des Îles Australes, soutenu par les maires et la population de l’archipel n’a toujours pas l’assentiment du gouvernement polynésien. À Fakarava, par contre, le projet de classement de 18 espaces maritimes de cette commune des Tuamotu est en bonne voie.

     

  • Les atteintes à l'environnement seront de plus en plus réprimées

    La gestion des déchets est un casse-tête en Polynésie française depuis de nombreuses années, souvent faute de prise de conscience responsable de la part des individus. Depuis le 5 janvier, une avancée législative permet de simplifier la procédure pénale actuelle et l’abandon de déchets en zone classée est puni de contraventions qui peuvent être directement appliquées par les agents assermentés du Pays. Idem pour les nuisances sonores et l'entrave à la circulation.

  • Punaauia veut veiller sur sa faune aquatique

    Le conseil municipal de Punaauia a récemment  validé la mise en place d’un comité de surveillance des espèces animales marines et d’eau douce. Parallèlement, la commune a  finalisé son projet de zones de pêche réglementées (ZPR) et attend sa validation par le Pays.

  • Création de deux grandes réserves marines dans le Pacifique

    Les réserves marines sont l'équivalent en mer des parcs nationaux. Il s'agit de protéger tout un écosystème de l'exploitation humaine. L'objectif est de préserver des écosystèmes marins bien malmenés sur la planète. La sur-pêche, la pollution, le réchauffement des océans sont en effet à l’origine de la destruction d’écosystèmes fragiles. Afin d’y pallier, le Chili, autour de l’Île de Pâques, et la Nouvelle-Zélande viennent de créer des sanctuaires marins. 

  • Rahui et aires marines éducatives : deux concepts polynésiens qui font école

    Le sommet international “Our oceans” s’est tenu les 5 et 6 octobre à Valparaiso au Chili. L’occasion pour le maire de cette île des Australes, invité, de présenter le rahui de Rapa. Lors du 3e colloque national des Aires marines protégées (AMP), à Brest du 6 au 8 octobre, on a aussi parlé des Aires marines éducatives (AME), un concept né de l'imagination d'enfants des Marquises. 

  • Barrages hydrauliques et aménagements de rivières : les riverains pas toujours d'accord

    Les rivières sont des  sources potentielles d'énergie renouvelable ou de matériaux de remblai et de matériaux de construction. Mais à quel prix ? De nombreuses erreurs ont été commises dans le passé, mutilant de nombreux lieux naturels. Les riverains ne sont pas toujours d'accord avec des projets qui sont souvent mal expliqués ou imposés en force.

  • Les populations des Australes toujours très mobilisées derrière le projet d’Aire Marine Protégée

    L’association Pew a été invitée par le gouvernement polynésien à mener des consultations pour proposer une stratégie de conservation de l’environnement marin de l’archipel concertée. Lors de plusieurs réunions publiques tenues à Tubuai et Rurutu la semaine dernière, la population locale a confirmé son intérêt marqué pour le projet de grande Aire Marine Protégée (AMP) dans les eaux des Australes.

  • 2ème Comité de pilotage de l’Aire marine Protégée des Marquises

    Le 2ème comité de pilotage "Aire Marine Protégée des Marquises" s’est tenu ce vendredi 19 juin à la Présidence. L’enjeu principal pour cette surface de plus de 700 000 km² est de concilier un développement économique durable et la protection des patrimoines naturels et culturels.

  • Publication d’un ouvrage sur l’environnement marin des îles Australes

    En préparation depuis un an, cet ouvrage a été officiellement présenté au public la semaine dernière à la Maison de la culture. Édité par le CRIOBE-IRCP, avec le concours de Pew, il dresse un état des lieux des connaissances disponibles sur la biodiversité marine exceptionnelle des Australes, les cultures associées et les aspects socio-économiques liés. 

  • L’école autrement avec les Aires Marines Éducatives

    Lundi, Journée mondiale des Océans, a été l’occasion d’une présentation à la presse du bilan d’un an d’Aires Marines Éducatives aux Marquises. Un concept né de l’imagination d’enfants de Henua Enana et, depuis, devenu un label international « made in french Polynesia ».

  • Deux programmes de sauvegarde d’animaux endémiques en danger

    Des escargots endémiques, quasiment disparus de Tahiti depuis les années 1970, suite à l’introduction d’une espèce étrangère prédatrice, vont être réintroduits dans l’île. Par ailleurs, un programme de conservation de six espèces d’oiseaux menacées aux Tuamotu est mis en place par la S.O.P. Manu. 

  • Une pétition pour stopper les extractions et retirer les bassins dégraveurs de la Taharuu

    Une pétition est actuellement en cours, portée par l’association Ia Ora Taharuu et adressée au président de la Polynésie française, pour que soit réglementés de façon plus stricte les travaux effectués par une société privée dans le lit de cette rivière, à Papara.

  • Pa'e Pa'e no te Ora se mobilise contre les algues tueuses de corail

    L'association Pa'e Pa'e no te Ora est connue pour entretenir le sentier sous-marin du PK 17,5 à Punaauia, sur la côte Ouest de Tahiti. Elle organise le 25 avril une opération d'arrachage d'algues Turbinaria. L'opération, qui débute à 9h,  est ouverte aux adhérents comme aux volontaires.

  • Mise en place, à Mahina, de la première aire marine éducative de Tahiti

    La création d’une aire marine protégée à vocation éducative a pour objectif la protection du récif du lagon de la Pointe Vénus. Le projet de classement, qui datait de fin 2012, a commencé à être officiellement concrétisé par  la publication au JOPF, début avril, d’un arrêté ministériel qui pose les limites d'une zone de pêche réglementée (ZPR) de 50 ha sur la moitié droite du lagon de Mahina.

  • Création d'une grande réserve marine à Pitcairn

    Le gouvernement britannique a présenté, ce mercredi 18 mars, le projet de créer la plus grande réserve marine hautement protégée au monde dans les eaux des îles de Pitcairn, un territoire d'outre-mer anglais situé dans le Pacifique sud, à 2 200 km à l'est de Tahiti.

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