AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

AvA-Infos, ouvrons nos regards à la planète

 

        actualités, revues de presse

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Pêche & Aquaculture

  • Climat et développement durable : la nécessité d’une démarche transversale

     Tous les ministères ont des thématiques qui sont liées au climat ou au développement durable. Un nouveau portefeuille de délégué interministériel a été créé au sein du gouvernement: entretien avec Léopold Temoana Biardeau ; Le ministre Taivini Teai a réaffirmé le soutien du Pays au secteur de la pêche et ses objectifs de tendre vers la souveraineté alimentaire du fenua ; L’association Pacific Cosmetic Valley se lance le défi de structurer et favoriser l'industrie cosmétique locale dans le respect de la biodiversité et des savoir-faire traditionnels ; Première pierre de la tranche 2 de l’opération Elzea, au Pic Rouge : ce projet d’habitat social « intègre des solutions respectueuses de l’environnement.

  • Les marins-pêcheurs inquiets du projet de réforme de leur statut

    La Polynésie française – avec sa large zone économique exclusive – possède un réel potentiel halieutique qui concourt à son autosuffisance en produits de la pêche mais représente aussi un potentiel d’exportations non négligeable. La réforme du statut qui encadre la profession inquiète les marins-pêcheurs - côtiers comme hauturiers - qui se sont manifestés en nombre dans la rade de Papeete. Pour la Présidence, la réforme du statut des marins pêcheurs permettra de leur accorder « plus de droits et d’avantages ». Le ministre Taivini Teai s'est "engagé à retravailler" ce fameux statut "d'ici six mois".

  • Pêche durable ? La question des réglementations à Moorea et aux Marquises

    Les activités de pêche, pour être "durables", doivent être réglementées. À Moorea, une signalétique a été mise en place à Temae pour informer la population des nouvelles règles de pêche et assurer leur respect ; Aux Marquises, l’implantation d’une zone de pêche dédiée à la pêche artisanale autour des îles est soutenue par les Hakaiki depuis plus d’une décennie. Le Pays soutient cette initiative tout en prenant en considération les revendications des professionnels de la pêche côtière et de la pêche hauturière... Quid des conditions réglementaires de cette dernière alors que le Pays affiche toujours l’ambition de tripler les prises ? ; Et alors que la société Tahiti Nui pêche a inauguré en août son dernier thonier, le Rava’ai Nui VIII ?  

  • Protéger l'environnement, sur terre et en mer

    À la mi-juillet, 17 associations de protection de l'environnement ont bénéficié d'une subvention pour mener à bien leurs activités ; L’association Rima ‘ura de Rimatara a quant à elle reçu un nouveau chien spécialisé pour protéger les deux oiseaux endémiques de l’île du rat noir, principal prédateur du lori de khul (‘ura) et de la rousserolle (oroma’o), deux espèces menacées d’extinction ; Les Marquisiens veulent maintenir les 30 nautiques qui couvrent l’ensemble de leur archipel pour protéger la ressource et l'activité des petits pêcheurs.

  • Zoom sur les rāhui de Papara, Mataiva, Faa’a et Vairao

    La surpêche peut provoquer des dégâts. Le rāhui, une pratique ancestrale de jachère adaptée au contexte contemporain, pourrait s’avérer judicieuse pour la préservation des ressources halieutiques et de la biodiversité, aussi bien en lagon qu’à terre. Zoom sur les rāhui lagonaires de Papara, Mataiva, Faa’a et Vairao.

  • Les news de l'environnement

    Plus de 320 millions Fcfp pour protéger cinq espèces d’oiseaux endémiques gravement menacées d’extinction ; Opération de nettoyage des plages sur 12 atolls aux Tuamotu ;  Un prix international pour des travaux polynésiens de recherche sur les algues nuisibles ; Quid du rahui de Taiarapu-Ouest ? ; Des eaux usées se déversent en pleine nature à Punaauia (Punavai nui) ; Plusieurs dizaines de DCP dérivants à bord d'un thonier samoan dans le port de Papeete: des instruments au centre d’un intense débat en Polynésie et dans toute la région ; 600 000 touristes à l'horizon 2033 ? : le Cesec s'interroge à propos "des incidences tant en matière d'acceptation par la population qu'en matière de gestion des déchets” ;Préconisations de l’étude d’impact environnemental pour la future zone industrielle de Faratea.

  • Initiatives pour un fenua plus durable

    La protection du fenua est l'affaire d'"acteurs" engagés (institution, fondation, association, particulier...) à l'origine de "solutions" ou d'études qui méritent d'être remarquées. À noter, en cette fin d'année 2023 : Prolongation du rahui de Ua Huka jusqu'en 2025 ;  État des lieux de la faune et de la flore d'îlots des Australes ; Lancement d’un projet d’aquaponie au sein du bassin de la Présidence ; 60 millions de francs CFP en faveur de dix associations de protection animale de Polynésie française ;  Bilan de quatre ans d'activités de l’association Raiatea Animara pour venir en aide aux animaux domestiques mais aussi aux familles ; Bilan de la surveillance de la radioactivité par l'IRSN : une radioactivité "très basse" ; Une seconde vie pour les jouets inutilisés avec le collectif Tata'i et "réparer au lieu de jeter" avec Rawena Temahahe, la réparatrice de Vairao qui ramène à la vie machines à laver et autres appareils électroménagers...; Une baleine à bec de cuvier, échouée dans la baie de Vaiare à Moorea, a pu regagner le large avec l'aide de nageurs, bénévoles et associations ; La plage de Taunoa, à l'embouchure de la Fautaua, croule sous les déchets. Face à une population locale qui excelle dans l'incivilité... ce sont aux associations (en l'occurence Mama Natura) de pallier ce manque de responsabilité !

  • À terre et en mer : le kaléidoscope de la transition écologique

    L'évolution vers un modèle économique et social qui apporte une solution globale et pérenne aux enjeux environnementaux implique la mise en place d'un modèle de développement résilient et durable qui repense nos façons de consommer, de produire, de travailler et de vivre ensemble. Cela nécessite une transition écologique qui recouvre plusieurs secteurs. Or, ce qu'on appelle la "pensée en silo" consiste à considérer les éléments indépendamment du tout, ce qui entretient  l’aveuglement aux phénomènes systémiques. Cette rationalité à œillères s’exprime par exemple dans la recherche de solutions "individualistes",  "technologiques" ou "par secteur". Cette revue de presse propose de découvrir un kaléidoscope d'actualités où cohabitent plusieurs sujets recouvrant la même problématique de "durabilité": alimentation, économie bleue, condition animale ou encore gestion des déchets, transport v/s énergie, pollution sonore v/s sports mécaniques...

  • Des enjeux régionaux communs aux îles du Pacifique

    La 52e réunion du Forum des îles du Pacifique s'est tenue cette année aux îles Cook. Réunissant neuf États et territoires de la sous-région Polynésie, elle était cette année présidée par Moetai Brotherson. À l’ordre du jour, notamment: les Océans, l’héritage nucléaire, le changement climatique et la préservation de l’environnement (...)  ; Le Secrétaire d’État chargé de la mer, Hervé Berville, a quant à lui visité le fenua pour une mission d’inspection. À son programme, notamment, la lutte contre la pêche illégale dans la ZEE: un enjeu de "souveraineté", de "biodiversité" mais aussi économique. Il y a aussi été question de tourisme écoresponsable et de préservation de la biodiversité. Le Secrétaire d’État a réaffirmé la volonté ferme de la France de ne pas exploiter les fonds marins en Polynésie française.

  • Séminaire dédié et création d'une fédération des rāhui

    Les rāhui ont désormais leur propre fédération, nommée « Marae Mo’a » . Celle-ci a été créée lundi 23 octobre à Papeari à l'initiative de la Fédération des associations de protection de l’environnement (Fape) Te Ora Naho qui organisait son séminaire sur les rāhuide Tahiti . Celui-ci faisait suite à un atelier sur les ZPR organisé il y a un an dans le cadre du programme PROTEGE en collaboration avec la Direction des ressources marines (DRM). Marae Mo’a a reçu l’appui de la fondation Pew Bertarelli, qui lui a fait don de 5 millions de Fcfp pour mettre en place ses actions.

  • Développement durable: des pistes à suivre

    Formations d’initiation à la permaculture à Tahiti et à Moorea afin de promouvoir cette forme d’agriculture respectueuse de l’environnement ; Anthony Tchekemian, maître de conférences en géographie et urbanisme à l'UPF, s'intéresse aux jardins urbains collectifs en tant que réponse aux problèmes d’approvisionnement en produits frais, tant du point de vue économique que sanitaire ; Organisation à l'APF de la première édition du Forum des métiers du primaire et de l’artisanat traditionnel ; Le Centre des métiers d’art fabrique du papier 100% local grâce à des végétaux du fenua ;  Les algues rouges (remu ‘ura en tahitien) objets d'une nouvelle production en aquaculture à Vairao ; Des pistes de réflexion pour sauver la ressource halieutique de Bora Bora.

  • Séminaire sur la durabilité des systèmes alimentaires du Pacifique

    Les effets du réchauffement climatique et de l’inflation générale menacent la sécurité alimentaire et les systèmes alimentaires du Pacifique.Les questions d’alimentation sont aujourd’hui « à la croisée des chemins », puisqu’elles ont des effets sur la santé et l’environnement, mais aussi sur le malaise social en renchérissant le coût de la vie. Améliorer la qualité des produits alimentaires consommés, réduire la dépendance aux importations doivent aussi faire l'objet d'une nécessaire "transition alimentaire" pour les pays du Pacifique réunis à Tahiti pendant une semaine dans le cadre du projet PROTEGE financé par le 11eFonds européen de développement (FED) régional.

  • Environnement: les news de début juillet 23

    Respect de l’environnement mais aussi résolution des conflits d’usage: un même comité de gestion accompagnera et évaluera désormais les deux zones de pêche réglementée (ZRP) de Mahina ; Nettoyage et  restauration écologique du "Jardin de corail", à Tahaa ; Projet “To'a Nu'uroa” : les associations Tamari'i Pointe des pêcheurs, Tamari'i no te moana et Mata avei'a engagent une action pluridisciplinaire et pluriannuelle centrée sur la protection et l'amélioration de la couverture corallienne des récifs de Puna'auia ; Taux de mortalité anormal des larves de crevettes bleues : un espoir pour la filière de crevetticulture ? ;Pesticide le plus utilisé au monde et classé par l’OMS comme cancérogène “probable”, quid de l'interdiction du glyphosate en Polynésie française ?  Les habitants de la vallée Onohea à Tiarei n’en peuvent plus des petites fourmis de feu.

  • Pistes pour un développement durable de la Polynésie

    La protection de la ZEE de Polynésie française et de son Aire marine gérée : sauvegarde des espèces ciblées par la pêche hauturière, protection des écosystèmes profonds préservation des espèces marines emblématiques ; Quelles conditions pour un tourisme durable  ? ; Aéroport et transport aérien : vers un ciel "vert"  ; Un concours sur les variétés de cocotiers ouvert aux professionnels et aux particuliers de la filière coco.

  • Économie et environnement sont liés

    Surmortalité mystérieuse des larves de crevettes bleues : soutien du Pays mais la filière demeure dans l’expectative ; L'objectif est de permettre le renouvellement des espèces marines et la préservation de leur environnement  mais le rāhui mis en place depuis décembre dernier à Hitia'a n'est pas bien respecté ;L’un des piliers de la stratégie de développement, c’est le tourisme durable, respectueux de la population, de la culture et de l’environnement ; Pêche, changement climatique…mais aussi sécurité :18 États et territoires de la région participent au 1er sommet des nations insulaires du Pacifique, dont la Polynésie.

  • Revue de presse du 13 au 19 mars 2023

     Une semaine riche en motifs de réflexion sur plusieurs thématiques concernant le développement durable du fenua* :Élections territoriales : quid de l’environnement ? ;Adaptations aux effets du changement climatique ; Les baleines dans la protection de l’environnement ; Maltraitance animale ; Plantes médicinales traditionnelles ; Pollution dans le port de Papeete ; Tourisme : « durable » ? ; Divers projets économiques en cours : Implantation du RSMA à Hao ; Lancement de la construction du terminal gazier de Hitiaa ; Swac dans l’économie circulaire ; Déploiement des dispositifs de concentration de poissons (DCP) ; Informations sur l’application de la politique de l’eau dans les atolls.

  • Environnement : élections, régénération, communication

    Les candidats aux prochaines élections territoriales, en avril, ont-ils pris en compte la dimension environnementale dans leur programme ? La Fape Te ora Naho les interpelle. La Fédération des associations de protection de l'environnement a envoyé un questionnaire aux partis politiques en lice. Leurs réponses seront communiquées au public ; Sans doute une première dans le Pacifique, l' initiative polynésienne, ‘Āoa : un programme de reconstitution d’une forêt intelligente avec pour objectif premier de régénérer et reconstituer la biodiversité des forêts natives polynésiennes ; La Zone de Pêche Réglementée  (ZPR) de Moorea validée. Elle fait écho à la révision du Plan de gestion de l’espace maritime (PGEM), adoptée le 10 septembre 2021, et constitue la mise en œuvre de l’orientation “pêche durable et équitable”.

  • Des fonds pour développer des projets « durables »

    Fonds de transition énergétique :7,1 milliards de Fcfp sur 4 ans ; Plan stratégie-innovation :120 millions de Fcfp pour la mise en place du projet Nāhiti qui vise à structurer l'écosystème de l'innovation à l'échelle de la Polynésie ;70 millions d’investissements pour le soutien du monde agricole ;3,7 milliards de francs CFP sur la période 2023-2027 pour financer la politique de l’eau du Pays ; Validation du plan de gestion consolidé de la grande AMG Tainui Ātea ; Une enveloppe de 25 millions prévue pour financer l’activité des structures associatives du fenua.

  • Centrale agri-voltaïque à Mataiea et zone biomarine à la Presqu’île

    Économie et écologie ne font pas forcément mauvais ménage : Panneaux solaires et productions agricoles au-dessous : pose de la première pierre d'un projet de centrale agri-voltaïque, à Mataiea ; Pose de la première pierre de la zone biomarine de Faratea, à la presqu’île.

  • "Touchez pas à la mer !" Sauf si c'est avec respect

    "Touchez pas à la mer !", dit une chanson d'Antoine... C'est peut-être ce qu'ont voulu dire les députés de la représentation nationale. La Proposition de Résolution créant un moratoire sur l'exploitation minière des fonds marins adoptée par l'Assemblée Nationale ; On peut peut-être néanmoins y toucher si... c'est avec respect : Restaurer le milieu aquatique est aujourd’hui possible. Grâce à des « biohut », des nurseries artificielles. Son but : repeupler de poissons les ports et marinas du fenua tout en compensant la destruction des habitats naturels ; Valoriser les déchets de la coprahculture et préserver nos lagons. C’est possible et c’est l’objectif du projet Cocorig : des cordages en bourre de coco ; Mais... précise un rapport de la Communauté du Pacifique, les aires marines protégées ne seraient  pas la solution à tous les maux. Même si la protection des écosystèmes des récifs coralliens et de leurs espèces résidentes y est particulièrement efficace, les espèces nomades n’y sont pas à l’abri.

  • Noël : occasion d'une prise de conscience ?

    Les fêtes de Noël et du Nouvel-An sont l’occasion de réjouissances familiales et amicales qu’il serait dommage de bouder. Mais, comme Black Friday fin novembre, ces moments de convivialité sont aussi à l’origine de pratiques consommatrices qui ne font que renforcer un modèle économique prédateur de la nature et dont les crises structurelles actuelles montrent qu’à terme il n’est pas viable, écologiquement mais aussi économiquement et socialement. Quid des sapins de Noël importés en plastique...!? Cette revue de presse rappelle la dimension transversale de thématiques que l’on devrait mieux connaître et prendre en compte alors qu’elles concernent notre quotidien.

  • Démarche développement durable : des institutions aux écoles

    Institutions et organismes de recherche souhaitent renforcer le potentiel de développement durable : innovation, pêche artisanale,  tourisme ;Une fondation oeuvre à faire connaitre au grand public les projets de plusieurs associations qui vont dans ce sens ; des écoles se lancent dans le recyclable solidaire ; relance de la filière du café en Polynésie ; Un joailler veut utiliser ses pierres précieuses pour aider à protéger les récifs du Pacifique ; Publication d'un livre pour tenter de changer certaines perspectives et susciter un élan vers une société plus agile et durable

  • Agrumes et chevrettes malades : la biosécurité doit être renforcée

    Les virus chez les plantes  (ou phytoviru), et surtout chez les plantes cultivées, sont responsables de  maladies, que l'on nomme « viroses ».Le virus de la Tristeza des agrumes, jusqu'ici présent uniquement dans l'archipel de la Société, a été détecté à Nuku Hiva et Ua Huka. Il a été apporté, par les airs ou par la mer, par un habitant qui n’a pas respecté l’interdiction d’importer des végétaux en provenance des îles du Vent et des îles Sous-le-VentLa maladie des queues blanches a été détectée sur des prélèvements de chevrettes sauvages d'eau douce à Tahiti. La réglementation du transport de chevrettes au départ de Tahiti modifiée vers toute autre île de la Polynésie française.

  • Protection de la biodiversité marine : ZPR, application de suivi des récifs coralliens, AME

    Les zones de pêche réglementée sont des zones délimitées de l’espace maritime où des règles de pêche spécifiques sont instaurées, en plus de celles qui sont déjà en vigueur sur l’ensemble du territoire de la Polynésie française :Création de trois zones de pêche réglementée (ZPR) à Tubuai (Australes) et prolongation de la ZPR de l’atoll de Manihi (Tuamotu) ; Coral Gardeners lance la première application de suivi des récifs coralliens ; inauguration de l'aire marine éducative (AME) de l’atoll de Hao ; Décision "historique", lors de la conférence sur le commerce international des espèces menacées, visant à protéger une cinquantaine d'espèces de requins menacés.

  • 7e forum de l’Économie bleue : entre préservation, productivité et résilience

    Le 7e forum de l’Économie bleue de Polynésie française s'est déroulé les 19 et 20 octobre à la présidence. Une centaine d’acteurs publics et privés du domaine maritime étaient attendus à ce rendez-vous. ayant pour ambition de trouver les bons arbitrages dans la recherche d’équilibre entre la productivité, la préservation à long terme des milieux marins et la résilience au changement climatique. Un point au niveau local en amont des Assises de l’Économie de la Mer qui réunira deux mille décideurs de l’économie bleue en métropole début novembre.

  • Développement durable : promotion de démarches concrètes et pédagogiques auprès des populations

    Le développement durable et la protection de l’environnement bénéficient d’aides pour la promotion de démarches concrètes et pédagogiques auprès des populations : Présentation des 10 lauréats de l’appel à projets Rahui 2022 pour la protection des ressources lagonaires, avec Pew Bertarelli et la FAPE – Te Ora Naho ; Appel à candidature pour la participation à un Comité Citoyen pour le Climat ; Formation en électroménager pour favoriser l’émergence d’une économie circulaire au fenua avec l’association Ti’ai fenua ; La fondation de la navigatrice Maud Fontenoy et l’association Te Mana O te Moana s’attachent à sensibiliser et éduquer la jeune génération avec un livret pédagogique sur le lien Terre-mer.

  • Environnement, ressources marines : le Pacifique, enjeu international

    Après le sommet "États-Unis et îles du Pacifique" auquel a participé la Polynésie française, est envisagée la tenue à Tahiti par la France d'un second “One planet summit pour les îles”, dans le courant du second semestre 2023 ; Réunion "technique"  du Groupe des Parlements des îles du Pacifique (GPIP) à l'Assemblée de la Polynésie française, à Papeete, pour une “réunion technique” en préalable à la conférence du groupe en 2023 ; La situation internationale dans le Pacifique est aussi marquée par un antagonisme USA/Chine qui concerne non seulement les dimensions géostratégiques et économiques mais aussi le contexte environnemental et la protection des ressources marines ; À ce dernier titre, par ailleurs, l'association environnementale Bloom attaque devant le Conseil d'État un décret sur les aires maritimes protégées, accusant le gouvernement français d'"imposture écologique". 

  • La recherche comme moteur de développement durable

    L'actualité a remarqué trois instituts de recherche spécialisés dans des domaines d’activités stratégiques que sont l’économie bleue, la résilience terre-mer, la production d’excellence, la bioéconomie, la valorisation biotechnologique et le tourisme éco-culturel, l’importance de l’océan et de ses ressources pour le développement durable et inclusif de la Polynésie française : le centre Ifremer de Vairao ; le projet Biomarine de Faratea ;le Criobe de Moorea.

  • Petite revue de presse : diverses actions contribuant à la protection de l'environnement

    Résoudre la problématique des dispositifs de concentration de poissons dérivants en Polynésie française ; La zone biomarine de la DRP reconnue projet de transition écologique ; L’éco-responsabilité s’est invitée au Tahiti Soul Jazz Festival ; Découverte de modes de transports alternatifs lors de la Semaine européenne de la mobilité 2022 ; Une jeune société souhaite valoriser de manière artisanale les coques destinées à être jetées.

  • Développement durable : le secteur économique à la croisée des chemins

    La Banque de Tahiti a annoncé la sortie de cartes bancaires réalisées à 75% à partir de plastique recyclé des océans ;  La Direction des ressources marines (DRM)  a invité plusieurs institutions et porteurs de projets à découvrir le centre aquacole de VairaoUne autorisation internationale contestée de nodules polymétalliques dans la zone de fracture Clarion-Clipperton de l’océan Pacifique ; La qualité de l'eau de consommation n'est pas homogène partout en Polynésie: la carte des eaux potables à Tahiti et dans les îles ; Le président du Medef évoque la mise en place d’un dispositif de soutien direct à la maîtrise de l’énergie dans les entreprises...

  • Braconnage de tortues, pollution sonore : la loi doit être respectée

     Protégées depuis 1971 en Polynésie française, les cinq espèces de tortues marines présentes au fenua sont toutes inscrites sur la liste rouge de l’UICN comme espèces « vulnérables », « menacées d’extinction » ou « gravement menacées d’extinction ». Les peines deviennent de plus en fortes pour les braconniers. Les auteurs de nuisances sonores dont aussi dans le collimateur de la Justice.

  • Ava-Infos : les revues de presse du fenua durable

    Les différents médias du fenua relaient sur le web des informations concernant le développement durable et la protection de l’environnement qu’ils traitent sur leurs supports respectifs (tv, radio, presse écrite). Mais le flux d’infos étant continu, et ces dernières étant mélangées avec toutes sortes d’autres éclairages (politique, fait divers, culture, etc…), il est important, pour ceux qui s’y intéressent, de pouvoir suivre cette actualité de façon ciblée. Les revues de presse AvA-Infos sont une source d'informations pour les lecteurs exigeants qui ne veulent pas être de simples consommateurs de l'actualité. Elles représentent une base de données établie sur huit années qui peut intéresser les chercheurs et les étudiants qui souhaitent  "creuser" ces sujets.

  • Observer et protéger la faune marine

     

    Les otaries ne font pas partie des espèces recensées en Polynésie. Néanmoins, leur observation est assez fréquente depuis 2012 ; Malgré l'augmentation mondiale de la population des baleines à bosse, l'UICN classe la population du Pacifique Sud, donc celle de la Polynésie française, toujours en danger. L'association Oceania lance la 5éme édition du projet Vigie Sanctuaire afin de mieux comprendre et de limiter au maximum le risque de collision entre les navires et les baleines ; Le programme baptisé Te Moana iti consiste en l’installation d’un écosystème marin au sein des écoles et structures accueillant du jeune public pour les sensibiliser à leur environnement ; Le comité du rahui de Tautira réfléchit à la meilleure stratégie pour préserver les bénéfices acquis après 4 années sans exploitation.

  • Protection des océans : des avancées mais aussi des menaces

    La protection des océans est une urgence quand l’on sait à quel point leur santé est importante pour l’ensemble de la vie sur la planète. Les océans nourrissent l’Humanité et celle-ci les traite avec mépris. Des initiatives sont heureusement engagées, mais elles doivent être renforcées…

  • Aquaculture : un nouveau projet et toujours des questions concernant Hao

    Une sociétéspécialisée dans l’élevage d’animaux à intérêt commercial,le groupe français Grimaud, envisagerait de produire des post-larves (vraisemblablement de crevettes), en Polynésie française. Par ailleurs, le groupe chinois TNOF envisage de faire de Hao une base “de classe mondiale”. Les associations restent vigilantes. 

  • L'environnement et la ferme aquacole de Hao : La vigilance reste de mise…

    Les défenseurs de l’environnement ne peuvent que se réjouir des déclarations d’intention qui ont accompagné l’inauguration des travaux du projet sino-polynésien. Il n’en reste pas moins que la vigilance doit être de mise et que les promesses doivent être appuyées par des actes concrets, en conformité avec les législations qui devront être respectées. Des questions restent encore sans réponse…

  • L'environnement et la ferme aquacole de Hao : Des promesses ont été faites…

    La Fédération des associations de protection de l'environnement (FAPE) s'était interrogée, en mars, sur les conséquences environnementales de l'élevage de poissons du futur complexe aquacole. De nombreuses questions se posent en effet. Fin mai, l’investisseur chinois a été “royalement“ accueilli par le gouvernement polynésien et le représentant de l'État pour l’ouverture officielle des travaux. Des promesses ont été faites… 

  • Ferme aquacole de Hao : inquiétude persistante des associations

    Présenté comme un chantier qui doit créer des emplois, le projet de ferme industrielle aquacole de Hao ne laisse pas d’inquiéter les associations de protection de l’environnement. Ce projet, qui n'a pas encore fourni toutes les études des impacts que vont entrainer l’installation de milliers de cages d'élevage dans le lagon, a déjà obtenu un agrément au dispositif d’incitations fiscales… La fédération des associations de protection de l'environnement -FAPE Te Ora Naho - interpelle le gouvernement.

  • Deux dossiers sensibles : Hao et Makatea

    Sortis du contexte de présentation thématique des articles précédents, deux dossiers continuent d'attirer des interrogations, voire des contestations. Le projet de ferme aquacole de Hao, aux Tuamotu, pose de nombreuses questions environnementales. Avec ses ambitions de 50 000 tonnes de poissons par an, il nécessiterait la fourniture de 150 000 tonnes d'aliments... la CTC estime que "Le cœur du projet ne paraît pas maitrisé". Quant à l'opposition d'associations au projet de réactivation de l'exploitation du phosphate de Makatea, elle a suscité un contre-projet qui se veut réellement écologique.

  • Inquiétudes face à un projet de flotte industrielle de thoniers aux Marquises

    Un projet de pêche industrielle aux Marquises a été initié par la communauté de communes (Codim). Ce qui ne manque pas de soulever inquiétudes et interrogations. Malgré la possible création d’emplois que pourrait générer cette activité, l’inquiétude quant à la gestion et surtout, la pérennité de la ressource en thons obèses et autres espèces, est quasi générale.

  • L’alimentation, clé d’une meilleure santé au sein d’un environnement sain

     

    En octobre, 31 projets ont été retenus dans le cadre de la lutte contre l'obésité. Un atelier pour bien et mieux manger a vu le jour. On nous a aussi annoncé l’organisation d’un « village de l’alimentation et de l’innovation », à la Maison de la culture en avril 2017. Enfin, la Semaine de l’allaitement a été l’occasion de promouvoir les bienfaits de l’allaitement maternel.

  • Polémique autour du projet de grande réserve marine aux îles Australes

    Cela faisait  deux ans  que les 6000 habitants des Australes discutaient autour d'un projet important à leurs yeux : créer une grande Aire Marine Protégée (AMP) autour de leurs îles. Début avril, ils ont sollicité une audience auprès du gouvernement d'Édouard Fritch. Qui n'a pas le même avis sur le sujet, préférant la mise en place d'une "d'Aire Marine Gérée" sur toute la ZEE polynésienne.

     

  • Projet de ferme aquacole à Hao : vous avez dit développement durable ?

    Sans rentrer ici dans le détail de la viabilité économique de ce projet, on s’interrogera sur sa durabilité en ce qui concerne la dimension écologique. Dans ce projet, en effet, rien n’est anodin. Ni le site de Hao, ni l’impact que l’on peut craindre sur l’écosystème de cet atoll.

     

  • Polémique autour du projet de ferme aquacole de Hao

    Le Sénat a publié le 18 août un rapport dans lequel le projet de ferme aquacole à Hao, aux Tuamotu, est critiqué. Une critique qui, selon les sénateurs polynésiens, "ne reflète pas la réalité". Il n'empêche que se pose le problème des pollutions, notamment dues à la nourriture et aux traitements donnés aux poissons en cage, que peut entraîner ce genre d'industrie.

  • Ferme aquacole de Hao : de nombreuses questions

    La ferme aquacole de Hao, dans les Tuamotu, a été inaugurée le 5 mai. Il s'agit pour le gouvernement polynésien qui appuie ce projet d'un objectif stratégique de reconversion de  cet atoll qui doit devenir un pôle de développement pour les Tuamotu-Est et les Gambier. L'impact environnemental de cette activité n'est cependant pas sans inquiéter. 35 hectares sont mis à disposition pour 30 ans par le Pays sous la forme d 'une concession renouvelable deux fois pour un total de 90 ans maximum.

     

  • Disparition programmée du thon rouge en Méditerranée. Et en Polynésie ?

    Bluefin Tuna Les stocks de thons rouges méditerranéens (Thunnus thynnus)sont en chute libre. En 2007, la population de géniteurs ne représentait déjà plus qu'un quart de celle présente 50 ans plus tôt. Aujourd'hui, le WWF est clair : au stade actuel de prélèvement, l'espèce aura disparu de la zone en 2012...
     
    Et en Polynésie, quelle est la situation ?

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