AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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Pollution des lagons et océans

  • Préservation de l'environnement et santé environnementale

    Grand ramassage de déchets dans le lagon de Punaauia ; La CAPL engagée dans lavalorisation des déchets verts du fenua ; Inquiétude environnementale: la station d’épuration de la prison de Tatutu déborde et menace le lagon ; À Vairao, les huîtres sont débarrassées de vers parasites selon un protocole expérimenté pour développer la filière locale d'huîtres de bouche ; Virus, parasites, produits mal étiquetés : les contrôles à l'importation s’accentuent et les interdictions s’appliquent.

  • Déchets et pollutions: protéger l’environnement mais aussi la santé

    À Arutua, opération de nettoyage de grande envergure sur le motu de Tuaiva pour le débarrasser des innombrables déchets perlicoles ; Nouvelle loi sur les emballages et les couverts à usage unique: les restaurateurs de Papeete sensibilisés par “Nana sac plastique” ; Surveillance de la radioactivité dans plusieurs îles de Polynésie française: l’IRSN observe une diminution progressive des niveaux dans l’environnement ; Ne pas polluer son propre corps : proposition de loi visant à instaurer un étiquetage particulier sur les emballages de produits jugés trop sucrés, trop salés, trop gras ou trop caloriques ; Beauté toxique ? L’application de produits de coiffure dits « lissages brésiliens » à l’origine d’insuffisance rénale aiguë ; “On pollue énormément au moment de la mort”…Inhumation ou crémation ?

  • Atteintes possibles à l’environnement : la vigilance toujours de vigueur

    Un incendie, survenu le 2 septembre dans la vallée de Tipaerui, à Papeete, a complètement détruit un entrepôt de stockage de produits toxiques. Une enquête a été ouverte pour déterminer si si le ruissellement des eaux des lances à incendie des pompiers avait pu polluer la rivière adjacente ; Les voiliers doivent s'accrocher à des corps-morts bien précis dans le lagon de Faa’a. Mais des mouillages sauvages avec ancres et chaînes seraient responsables de la disparition progressive de certaines espèces marines ; La soirée concert pour la libération de Paul Watson, défenseur des baleines, a attiré du monde ; À Teahupo’o, la tour des juges pour l'épreuve de surf des JO-2024 est enfin démontée, un an après la polémique environnementale liée à sa construction.

  • Lutte contre les pollutions: quatre dossiers à suivre

    Point d’étape sur l’effort de retrait des épaves des lagons et ports du fenua ; Une association a saisi le tribunal administratif pour obtenir la fermeture de la décharge « illégale » de Mumuvai, à Faa’a ; Te Ma Tairoto: projet de nettoyage de la pollution plastique des lagons ; Une tache marron nauséabonde dans la baie d'Opunohu à Moorea : déversement d'eaux usées ou fuite accidentelle en provenance d'un yacht ?

  • Nucléaire: mission État-Pays à Moruroa, en présence d’élus et de représentants d'associations

    Entre 1966 et 1996, la France a procédé à 193 essais nucléaires à Mururoa et Fangataufa (Tuamotu). Le suivi et le contrôle de la surveillance radiologique et géomécanique de ces deux atolls, mais aussi les conséquences sanitaires radio-induites, sont à l'origine d'interrogations qui prennent aussi un tour politique et socio-économique. Samedi 9 mars, une délégation composée d'élus, de membres du gouvernement polynésien, de représentants d'associations et d'anciens travailleurs,a pu visiter l'ancien site d’expérimentation nucléairede Moruroa à l'occasion de la dernière mission annuelle "Turbo" du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) visant à en surveiller l'évolution. 

  • Les news de l'environnement

    Plus de 320 millions Fcfp pour protéger cinq espèces d’oiseaux endémiques gravement menacées d’extinction ; Opération de nettoyage des plages sur 12 atolls aux Tuamotu ;  Un prix international pour des travaux polynésiens de recherche sur les algues nuisibles ; Quid du rahui de Taiarapu-Ouest ? ; Des eaux usées se déversent en pleine nature à Punaauia (Punavai nui) ; Plusieurs dizaines de DCP dérivants à bord d'un thonier samoan dans le port de Papeete: des instruments au centre d’un intense débat en Polynésie et dans toute la région ; 600 000 touristes à l'horizon 2033 ? : le Cesec s'interroge à propos "des incidences tant en matière d'acceptation par la population qu'en matière de gestion des déchets” ;Préconisations de l’étude d’impact environnemental pour la future zone industrielle de Faratea.

  • Construction d’une « tour des juges » à Teahupoo… Aussi un sujet politique ?

    On l’a vu dans plusieurs articles précédents*, ce sujet fait couler beaucoup d’encre. Malgré la polémique et des propositions alternatives, la décision a été prise de poursuivre la mise en place d’une structure en aluminium, mais allégée. Ce qui n’empêche pas de nouvelles passes d’armes qui prennent un tour politique mais dont on ne saisit pas toujours les tenants et aboutissants… entre ancien et nouveau gouvernement polynésien. À noter aussi l’intervention de l’Union internationale pour la Conservation de la nature (UICN) qui appelle à mettre à jour les règles de protection de la nature. Fin du feuilleton ?

  • Tour des juges à Teahupoo: les travaux sont engagés

    Après plusieurs semaines d'hésitations et de contestation, et après un essai malheureux de manipulation d'une barge qui s'est soldé par des bris de coraux... le chantier de construction de la "tour des juges" semble en bonne voie. Et ce, malgré que desopposants au projet continuent de se manifester… mais cette fois en métropole (le collectif Rame pour ta planète et Surfrider Foundation Europe). Malgré les précautions prises, des bris de coraux ont encore été constatés, mais les essais ont toute de même continué pour deux des trois embarcations, les conditions météo s’étant dégradées dans l’après-midi... Toute cette organisation a un coût. Quel est-il ? Un point sur les comptes...

  • JO 2024 : Le casse tête de Teahupoo

    La destruction de coraux - lors de tests pour manœuvrer la barge qui doit être amenée sur site pour l’ancrage et l’édification de la tour des juges a-t-elle été jusqu’à mettre en cause la tenue de l'épreuve de surf à Teahupoo ? En tout cas, toute la semaine du 4 au 10 décembre a été à nouveau l’objet de discussions… Va-t-on enfin vers un épilogue heureux ? Suite à la réunion qui s’est tenue dimanche jusqu’en début de soirée, les travaux sont annoncés pour débuter lundi 11 décembre…

  • La construction de la tour des juges n'en finit pas de faire des vagues... médiatiques.

    Des dizaines d'articles lui ont été consacrés par la presse locale, depuis la mi-octobre. Le sujet ? L'installation d'une tour des juges en aluminium dans le lagon de Teahupoo, à la Presqu'île de Tahiti, pour y installer le jury des épreuves de surf des JO 2024, en juillet prochain. Des surfeurs - dont certains de renom - et des associations estiment que les travaux de forage des fondations peuvent causer des dégâts écologiques sur le platier corallien du site. L'utilisation de l'ancienne tour en bois étant impossible, pour des raisons de sécurité, les dimensions (hauteur, poids) de cette structure ont été revues à la baisse par le comité organisateur et le Pays. Mais le test de passage d'une barge destinée à assurer les travaux n'a pas été réussi sans casser de corail. Les travaux qui devaient démarrer ce lundi (4 décembre) sont suspendus. Au risque d'annuler la tenue des épreuves JO de surf à Teahupoo ? Le maître d’œuvre continue d’étudier des solutions...

  • Tour des juges à Teahupoo : une décision actée mais qui ne fait pas l'unanimité

    La décision a été entérinée par le Pays, Paris 2024 et le haut-commissariat : l'épreuve de surf des JO 2024 se tiendra bien à Teahupoo, la tour des juges objet de polémique sera diminuée en poids et en taille afin de présenter un "impact minimal"sur le platier corallien et les fonds marins du site, compte tenu des délais, incontournables. Le surfeur polynésien Matahi Drollet réitère néanmoins son message dans une seconde vidéo: "Je regrette que les enjeux financiers prennent le dessus sur l'environnement." 

     

  • JO 2024 de surf: vers une solution pour la tour des juges ?

    Va-t-on vers une solution satisfaisante, à la fois pour la sécurité de la structure et pour la préservation de l'environnement corallien du site ? La polémique a fait couler beaucoup d'encre*... Après bien des tergiversations - et suite aux interrogations d'associations et de surfeurs, voire de riverains - le Pays et Paris 2024 se sont mis d'accord pour une solution intermédiaire: exit l'option Papara et la réutilisation après aménagement de l'ancienne tour en bois. C'est finalement la tour en aluminium prévue mais allégée, en poids et en taille, qui sera installée.  Le maire de Taiarapu Ouest regrette pour sa part que la nouvelle structure ne soit pas celle promise et estime que les associations « ont gâché la fête ». Les associations protestataires reconnaissent des efforts mais restent sur leurs gardes.

  • Conséquences des essais nuclaires: préjudices et risques ?

    C'est un autre "feuilleton", plus ancien mais aussi aux conséquences potentiellement plus graves, qu'a évoqué la presse locale: les conséquences des essais nucléaires du CEP. Selon un jugement en date du 10 novembre du tribunal administratif de Strasbourg, les proches des victimes directes ne peuvent obtenir l’indemnisation de leurs préjudices propres pour motif... de prescription. Les experts mandatés par l’État au sein de la commission d’information auprès des anciens sites d’expérimentations nucléaires du Pacifique estiment, quant à eux, que le risque reste « extrêmement faible » tant concernant les données radiologiques que géomécaniques.

  • J.O de surf à Teahupoo : le feuilleton continue

    Un sujet local - mais dont l'écho est international - mobilise la sphère médiatique depuis la mi-octobre. Il s'agit en l'occurence de la construction d'une tour des juges dans le lagon de Teahupoo, une structure destinée à accueillir le jury des compétitions de surf comptant pour les Jeux Olympiques 2024. Au-delà de son aspect sportif et socio-économico-politique, il implique une dimension environnementale non négligeable - l'intégrité du plateau corallien et un possible impact sur la vague mythique du spot. S'ajoutant à la vingtaine d'articles consacrés à ce sujet par la presse locale en ligne*, en voici une douzaine d'autres dont on peut deviner qu'ils ne seront pas les derniers, en attendant les décisions (15 ou 20 novembre ?) qui seront prises: la même tour allégée, la reprise consolidée de la tour en bois, une barge amovible type Criobe pour forer ses fondations, un autre spot (à Papara) ? Il sera peut-être alors temps de tirer des conclusions de cet épisode feuilletonnesque à rebondissements... AvA-Infos laisse à la sagacité du lecteur le soin d'en découvrir les multiples arcanes.

  • Surf/JO 2024 à Teahupoo: la "Tour des juges" toujours objet de litiges

    L'ancienne tour en bois ne pouvant plus être utilisée, n'étant pas aux normes, la nouvelle "tour des juges" qui doit être installée sur le site de surf de Teahupoo n'en finit pas de faire polémique. D'un côté on veut faire valoir des règles de sécurité indispensables pour la tenue d'épreuves comptant pour les Jeux olympiques ; de l'autre on s'inquiète pour une possible destruction écologique. Les arguments des uns et des autres continuent d'être relayés par les médias. Le comité organisateur des Jeux assure être à l'écoute et vouloir respecter Teahupoo, mais certaines associations contestatrices ne sont pas convaincues. Elles espèrent se faire entendre et comptent poursuivre leurs actions. Une marche est à nouveau prévue le 10 novembre.

  • JO à Teahupoo: les riverains ne veulent pas de la tour des juges

    À Teauhupoo (Presqu'île de Tahiti),la future tour en aluminium des juges prévue pour les épreuves de surf des JO-2024 cristallise les inquiétudes des riverains qui craignent les conséquences environnementales négatives de cette construction: qu'elle impacte le récif et modifie la formation de la célèbre vague de Havae. Plusieurs centaines de personnes ont manifesté pacifiquement ce dimanche 15 octobre.

  • Recherche scientifique : lutter contre la pollution et conserver le patrimoine naturel

    La filière perlicole est maheureusement à l'origine de déchets plastiquespolluants. Margaux Crusot a présenté sa thèse de doctorat en écologie soutenue à l’Université de la Polynésie française. Ses recherches portent sur la réduction de ces déchets qui affectent la culture des huîtres perlières. Elle a élaboré un nouveau biomatériau biodégradable, capable de résister les douze mois de collectage de perle ; Dans une pépinière, à Paea, l’Institut Louis Malardé (ILM) cultive une quarantaine de variétés de plantes médicinales. L'objectif : confronter les données de la science avec nos données empiriques utilisées dans la médecine traditionnelle et conserver ce riche patrimoine naturel de la pharmacopée ancestrale

  • Les dernières news de l'environnement

    Les dernières news de l'environnement, en vrac : Projet AOA, dans la vallée de Mo’aora, à Mataiea: restaurer 250 hectares de canopée avec des plantes indigènes et endémiques ; Opération nettoyage et embellissement à la source Vaima, à Mataiea ; Exposition au CHPF des photos primées de la dernière édition du concours « Millimages des récifs » ;Quatre braconniers de tortues condamnés à payer cinq millions au titre du préjudice écologique ; Du 2 au 6 octobre, l’Adie accompagnera les entreprises qui veulent agir pour la transition écologique; Mise en œuvre du Fonds de transition énergétique (FTE), doté de 7 milliards de Fcfp ; Protection et  gestion durable des récifs coralliens et des écosystèmes associés :l’Ifrecor- Initiative française pour les récifs coralliens - lance un appel à projets à Tahiti ; Casse sur un émissaire de rejet d'eau usée àPunaauia : la baignade est à nouveau autorisée.

  • Pollution: mieux vaut prévenir que guérir

    À Moorea, 500 volontaires mobilisés dans le cadre de l’opération “Moorea sans déchets” initiée par la municipalité ; À Huahine, eaux usées non traitées dans le lagon à la suite du dysfonctionnement de la station d’épuration d'un hôtel : condamnation de la gérante ; Rejet d’eaux souillées dans le lagon de Punaauia, suite à une canalisation endommagée de la station d’épuration de la commune de Punaauia: sa réparation est en cours ; En amont de sa restauration, lancement des travaux de désamiantage du Fort de Taravao  ;  La nocivité des crèmes solaires sur l'environnement marin confirmée par une étude de l'Anses.

  • Trois menaces environnementales sur le Pacifique

     Réchauffement climatique : le Groupe des Parlements des îles du Pacifique (GPIP) estime que le temps de la résilience et des discussions était révolu et qu’il convenait désormais de passer à l’action urgemment ; Réchauffement climatique et montée des eaux aux Tuamotu : Gérald Darmanin s’est rendu à Kaukura  pour  inaugurer l’abri de survie ; Australie : réchauffement saisonnier des températures océaniques et crainte d'un un nouveau blanchissement massif des coraux cette année ; Évacuation dans l'océan Pacifique de plus d'un million de litres d'eau issue de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima Daiichi : réction du groupe Tapura à l'APF, interrogations de la FAPE.

  • 7 actions de sensibilisation à la préservation de l'environnement

    Communication, sensibilisation, étude et protection des récifs coralliens du fenua: l’Ifrecor lance un appel à projets ; Adeline Yvon, à l'origine de l’association Mama Natura, met en place des actions concrètes pour la préservation de l’environnement ; L’association Te Miti e Te Fenua propose des ateliers de sensibilisation sur le thème de l’environnement marin ; Vacances écoresponsables: des centres de loisirs proposent aux enfants des ateliers organisés autour de l'écologie ; Lutte contre les rats noirs : quatre associations de protection de la perruche endémique ‘ura tentent de donner les moyens aux pouvoirs publics de lutter contre ces nuisibles ; L'expédition The Voice Of The Oceans, soutenue par le Programme des Nations unies pour l'environnement, est de passage au fenua. Relevant tout un tas de données scientifiques sur l'impact de la pollution plastique dans les océans, elle produit aussi des documentaires ;  La street artiste installée au fenua,Sarah Viault, co-réalise à Paris une fresque géante  mêlant style futuriste et teintes polynésiennes sur la thématique de l’urgence climatique.

  • Biodiversité, pollutions: les dernières news d'avril

     Portrait de Caroline Blanvillain, l’une des sept salariés de la SOP Manu en charge, notamment, de la sauvegarde du Monarque de Tahiti ; Le centre de soins des tortues marines de l’association Te Mana o te Moana quitte en juin ses locaux de Moorea, pour s’installer à l’InterContinental Tahiti de Faa’a ; Pollution de rivière à Teahupo’o ; Nuisances sonores à à Hitiaa O Te Ra ; "Corsaire" coulé dans le port de Papeete: du nouveau sur la responsabilité de l’épave à renflouer ; Creusement de lagune: rejet de la requête de résidents du motu Terurumi à Bora Bora.

  • Pollutions: hydrocarbures, nanoplastiques, pollution sonore

    Affaire du Corsaire coulé dans le port de Papeete: six mois après avoir coulé, et près d’un mois après une importante fuite d’hydrocarbures, la FAPE a adressé un courrier au Port autonome qui assure que tous les moyens sont mis en œuvre pour retrouver le propriétaire du navire et effectuer des études sur la carcasse encore au fond de l'eau ;  La pollution plastique est un fléau mondial qui a des conséquences désastreuses sur l’environnement et la santé humaine ; Pollution sonore: explication de la réglementation.

  • Revue de presse du 13 au 19 mars 2023

     Une semaine riche en motifs de réflexion sur plusieurs thématiques concernant le développement durable du fenua* :Élections territoriales : quid de l’environnement ? ;Adaptations aux effets du changement climatique ; Les baleines dans la protection de l’environnement ; Maltraitance animale ; Plantes médicinales traditionnelles ; Pollution dans le port de Papeete ; Tourisme : « durable » ? ; Divers projets économiques en cours : Implantation du RSMA à Hao ; Lancement de la construction du terminal gazier de Hitiaa ; Swac dans l’économie circulaire ; Déploiement des dispositifs de concentration de poissons (DCP) ; Informations sur l’application de la politique de l’eau dans les atolls.

  • Quatre défis écologiques mondiaux

    Accord crucial à l'ONU pour le premier traité international de protection de la haute mer qui régira, entre autres, la création d’aires marines protégées ou le partage des ressources génétiques marines ; Le gros potentiel des territoires ultramarins : si on augmentait de 0,4% par an la quantité de carbone dans les sols, on compenserait une bonne partie des émissions de CO2 dans l'atmosphère ; Un record de fonte pour la banquise de l'Antarctique ; La pollution plastique dans les océans du monde au cours des quinze dernières années a atteint des niveaux sans précédent.

  • Halte aux DCP dérivants !

    Les dispositifs de concentration de poissons dérivants (DCP) constituent une véritable pollution et représentent un véritable fléau environnemental. Le ministre polynésien de l’Environnement et de la direction des Ressources marines souhaite mobiliser les pays du Pacifique et faire pression sur les instances internationales pour modifier la réglementation.  La Polynésie française prend les devants concernant la protection des aires marines protégées dans la Pacifique et notamment la surutilisation de DCP dérivants.

  • Examens en cours et procédures engagées pour un fenua plus durable

     * Bilan du 5ème COPIL PROTEGE pour la construction d'un développement durable et résilient des économies de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française, de Wallis et Futuna et de Pitcairn face au changement climatique ; * Le Label Eco Fenua Engagé proposé par le Club des Entreprises polynésiennes éco-responsables (EPER) ; * Le tourisme durable, thème de la conférence annuelle de Tahiti Tourisme ; * Désormais, les habitations situées en zone bleue ou verte doivent obligatoirement être surélevées ; * À Bora Bora, interdiction permanente de l'usage de la lentille d'eau du motu Terurumi en raison d'une pollution fécale ; * À Arue, poursuite de la polémique autour du projet de New Tahara'a du groupe City ; *La loque américaine, cette maladie qui touche les abeilles, est-elle très répandue à Tahiti ? * Évolution de la liste des substances actives de pesticides ; * Mise à jour des points de mouillage afin de respecter la zone de protection des câbles sous-marins et de préserver les massifs coralliens.

  • L' Assemblée vote pour le moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins

    Déjà évoqué au Cesec en septembre*, le moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins a été voté à l'Assemblée par 46 voix pour et 11 voix contre. Le groupe Tavini et l'élu A here ia Porinetia Geffry Salmon ont voté contre, estimant que cette délibération ne servait à rien. Une polémique médiatisée s'en est aussi suivie : Oscar Temaru a accusé le ministre de l’Environnement Heremoana Maamaatuaiahutapu de diffamation en énonçant qu'il aurait signé un contrat avec la Chine pour exploiter les fonds marins quand il était président du Pays, en 2012.   Les Îles Cook, quant à elles, ont chargé trois compagnies internationales d'explorer leurs fonds marins, avec la perspective d'une exploitation dans cinq ans... (article actualisé les 13 et 16/12)

  • Pollution : encore un bateau de pêche chinois échoué aux Tuamotu

    Un navire de pêche s’est échoué sur le récif de Tikehau dans la nuit du 5 au 6 novembre. Une pollution a été malheureusement été constatée autour de ce palangrier : une nappe de plusieurs centaines de mètres de carburant léger... Il est à espérer que l'opération de dépollution ne soit pas aussi compliquée qu'à Aratua !

  • Répression et prévention face aux préjudices écologiques et sanitaires

    Côté répression: une affaire de pollution qui traîne depuis trois ans : L'affaire du dégazage du thonier chinois Xin Shi Ji 203, au large de Pirae en mai 2019, devant la cour d'appel de Papeete pour réexaminer la demande d'un “préjudice écologique” ; Côté prévention : un projet de ‘’loi du pays’’ sur la protection des personnes et de l’environnement contre les risques liés à l’exposition aux rayonnements ionisants.

  • Polluer est facile. Dépolluer l'est moins... mieux vaut éviter la première option

    Echoué il y a deux ans à Arutua, le navire chinois Shen Gang Shun 1 a été démantelé. L'opération vient de s'achever. 700 tonnes d’acier découpés, un chantier qui au départ devait durer cinq semaines et qui s’est étalé sur six mois pour un coût de 362 millions… sans compter la remise en état du site d’échouement avec notamment nettoyage du site et des traces éventuelles d’hydrocarbures ; À Tahiti, la Brigade verte a lancé une action de dépollution sur le littoral de Faa'a: 1/2 tonnes de déchets ramassés... Elle organise aussi plusieurs actions grand public afin de sensibiliser le jeunesse à la protection de l’environnement ; Les fonds marins de Faa’a nettoyés en grande partie grâce aux 70 bénévoles qui ont participé au Tefana water day: 4,6 tonnes de déchets récupérés (!) ; L'association Hoturea Nui propose plusieurs exemples de récupération et de recyclage des déchets.

  • Énième action de ramassage des déchets à l’embouchure de la vallée de Tipaerui

    Malgré des signalements récurrents, la situation n’évolue pas sur ce site comme à d’autres endroits du domaine public. À l’occasion du World Cleanup day et de la Semaine européenne du développement durable, une action de l’association Project Rescue Ocean pour une prise de conscience collective.

  • Demande de moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins

    Le 27 juin dernier, parallèlement à la Conférence des Nations Unies sur les océans, était annoncée la création d’une alliance mondiale pour s’opposer à l’exploitation minière des fonds marins. 57 représentants de 33 pays ont répondu à cet appel et demandaient un moratoire sur l’exploitation minière des fonds marins. Suite à une saisine du gouvernement polynésien qui veut porter cette question auprès de l'Assemblée (APF), le CESEC a examiné le 2 septembre un projet d’avis sur le projet de délibération relatif à un moratoire sur l’exploitation minière des grands fonds marins.

  • Plastique, nuisances sonores : des pollutions insidieuses

    Ce sont des pollutions peu visibles mais non moins dangereuses. Aux Tuamotu/Gambier, du fait de l’abandon des installations ou de leur dégradation, la culture de la perle est responsable d’une pollution plastique importante. Témoignage de Jason, la vigie “En 1ère ligne” de la Polynésie française ; Le bruit est un phénomène acoustique produisant une sensation auditive considérée comme désagréable ou gênante. L’excès de bruit a des effets sur les organes de l’audition (dimension physiologique), mais peut aussi perturber l’organisme en général, notamment le sommeil ou le comportement (dimension psychologique). L’association Te Ora Hau lutte contre les nuisances sonores.

  • Pollutions : un problème toujours d'actualité

    De multiples formes de pollution se rappellent régulièrement à notre attention. En voici quelques exemples récemment rapportés par les médias locaux : Que faire des voiliers abandonnés, véritables poubelles flottantes, pour lesquels il n'existe pas de filière de recyclage ? ; La ville d'Uturoa, à Raiatea, n'a plus de dépotoir depuis le 29 juin. Quid du projet decentre d'enfouissement technique (CET), qui a pris du retard ? ; Les services de la jeunesse de la commune de Arue ont organisé une opération de nettoyage d'un quartier prioritaire. Mais l’incivisme des uns ne peut-il être compensé que par la mobilisation des autres ? ; Idem à Vairao où des bénévoles ont nettoyé le lagon pour le Tairapu-Ouest Horue Festival :près d’une tonne de déchets ont dû être retirés de l’Océan ; La possibilité d'une autre pollution, invisible celle-là car elle est électromagnétique, inquiète aussi des riverains de pylones GSM. 

  • Gestion des déchets : de mauvais, mais aussi... de bons points

    La gestion des déchets a son lot de mauvais résultats, mais aussi des avancées : (Les -) Augmentation de dépôts sauvages d’ordures à Uturoa (Raiatea) ; l'absence de CET et l'enfouissement des déchets dans des dépotoirs non autorisés dans les ISLV "conduit progressivement à un désastre écologique"; Plastique, ferraille, polystyrène… Que faire de ces déchets inertes ?; (Les +) Session de formation et d’entraînement à la mise en œuvre de matériel de lutte antipollution dispensée par la Marine Nationale à Rangiroa ; La Tortue d'or de Fenua Ma distribuée pour la 17ème fois : Arue décroche le titre pour la 14ème fois -  le tri augmente et l’écart entre les communes diminue.

  • Pollutions : entre tentatives de solutions et procès

    Les pollutions (plus ou moins importantes) sont toujours un problème récurrent, en Polynésie française. On peut noter des tentatives positives pour les résoudre ou les atténuer : le bateau taïwanais échoué à Arutua depuis plus de deux ans devrait bientôt être dégagé du récif ; Le RSMA, la Brigade verte et d'autres volontaires bénévoles s'emploient à nettoyer la vallée de Tipaerui ; La Marine Nationale procède à un exercice de mise en place d'un barrage flottant antipollution ; la commune de Moorea-Maiao et le syndicat mixte Fenua Ma installent une presse pour se débarrasser des carcasses de voitures -/- En revanche,  certaines affaires justifient l'action de lanceurs d'alerte, comme à Punaauia où le déversement de fluides noirs nauséabonds inquiète les riverains ; et d'autres méritent de passer par la case "Justice" pour être traitées : l'affaire de la décharge de Faa'a, et son impact environnemental ; des travaux menés sur le motu Terurumi à Bora Bora ; ou encore l'affaire dite des “bonbonnes toxiques” suite à l'immersion d'un caboteur, en janvier 2019, entre Tahiti et Moorea.

  • Pollution et risques de pollution: les affaires en cours

    Petite revue de presse d'affaires en cours : Les commerces qui continuent d’écouler leurs stocks de sacs en plastique s’exposent à des sanctions ; travaux de désamiantage et de dépollution du terrain de l’ancien Comsup à Pirae: 190 tonnes de matériaux doivent être traités ; de fortes concentrations de polonium 210 décelées dans les bénitiers ; affaire du dégazage du thonier chinois Xin Shi Ji 203 au large de Pirae : une manche juridique de gagnée pour la Fape-Te Ora Naho ; enquête de commodo et incommodo ouvertepour le projet de future sphère de gaz géante sur le site de stockage de Fare Ute.

  • Contenir les pollutions

    Contestation de chantiers en procès (creusement de lagune à Bora, extraction sauvage à Faaone) ; installation crainte d'antennes relais à Teahupoo ; encore trop de déchets dans la vallée de Tipaerui ; les nuisances sonores sur la sellette;  frigos, congélateurs, siège de bureau dans la rivière Fautaua. La vigilance est toujours de mise...

  • En mer ou à terre, la problématique sauvegarde des « communs »

    Palangriers échoués aux Tuamotu : des opérations de dépollution sont en cours ; pollutions aux micro-plastiques dans les lagons de Ahe, Manihi et Takaroa : un programme de recherche est mené par l’Ifremer ; à Tautira, la montagne Tahuareva finalement dynamitée, malgré l’opposition de collectifs associatifs et culturels.

  • Pollution marine, projet de porcherie, association contre promoteur immobilier

    Palangrier chinois échoué à Anuanurunga, aux Tuamotu ; projet de porcherie à Taravao ; contentieux fonciers, sociaux et environnementaux à Moorea: AvA-Infos suit régulièrement l'évolution de dossiers sensibles passés par la case "Justice" pour en connaître les tenants et aboutissants.

  • L’environnement menacé : des travaux qui suscitent des contestations

    À Papenoo, avec un projet de nouveau barrage hydro-électrique ; à Faaone, avec un chantier d’extraction de roches ; à Tautira, un projet de dynamitage de rocher ; à l’installation en projet et l’exploitation d’une porcherie géante… Autant de sujets de discorde qui mobilisent riverains et associations, parfois jusqu’au blocage, voire jusqu’au tribunal. Et une bonne nouvelle à Marutea Nord avec le retrait du platier du thônier taiwanais échoué, le Sheng Long Yu 21.

  • Des chantiers et des contestations

    Plusieurs chantiers en cours ou en projet sont sources de polémiques, voire plus : contestation de travaux d'extractions jugés illégaux par les riverains dans la Mapuaura ; chantier de dynamitage contesté à Tautira ; projet lui aussi contesté de nouveau barrage dans la vallée de Papenoo ; regain d'action du collectif contre la porcherie industrielle du plateau de Taravao. Demande de confirmation, en appel, de la condamnation en 1ère instance pour pollution marine (thonier chinois) ; côté positif, le Pays et l'État ont décidé de mettre en place un réseau d'intervention pour lutter contre les pollutions marines.

  • Navires en perdition et autres pollutions potentielles

    Abandonnés, des voiliers peuvent être une source de pollution. Un recensement est en cours des "voiliers-poubelles" qui représentent une menace pour nos lagons. C'est cependant une pollution autrement plus importante que fait craindre l'échouage de navires de pêche, depuis plusieurs mois. La carcasse d’un cachalot échoué est aussi une réalité qui, bien que naturelle, doit être traitée de façon adéquate. Une bonne nouvelle cependant: le net progrès sur le traitement des déchets remarqué par Fenua Ma.

  • Le plastique ne fait pas bon ménage avec les tortues marines

    Les tortues marines, déjà menacées d’extinction pour diverses raisons (braconnage, réchauffement des océans…) subissent aussi la pollution de leur espace de vie. Le plastique serait-il en train de modifier l'écosystème marin sans que l'on en mesure encore toutes les conséquences ?

  • Des équilibres à maintenir

    Des activités humaines irresponsablessont à l'origine de pollutions qui altèrent le cadre de vie et l'environnement. Juste retour des choses, des insectes "nuisibles" (fourmis, moustiques) peuvent aussi contribuer à rendre l'existence désagréable, voire représenter un danger sanitaire. Dans les deux cas, des actions concertées doivent être menées pour rétablir un équilibre vivable... pour tous.

  • Des travaux inquiétants dans l'aire marine éducative de Anaa

    Tuamotu- L'aire marine éducative de Anaa, « est en proie à des travaux non autorisés dans le domaine maritime territorial ». La zone où se déroulent actuellement ces travaux est un espace maritime ancestral où la pêche est régulière pour toute la population. (…)

     

  • Pollutions, négligences, atteinte à la biodiversité: "pas dormir !"

    La crise sanitaire ne doit pas empêcher de rester vigilant quant aux pollutions diverses, aux implications sociales et écologiques de certaines négligences et aux atteintes à la biodiversité. Petit bilan des dernières semaines concernant ces thématiques.

  • La protection de l'environnement est une affaire de tous les jours

    Pollutions, gestion des déchets, espèces invasives, sauvegarde des coraux, comportements (ir)respectueux envers la faune marine (baleines)... Il y a ceux qui perturbent inconsciemment (ou par avidité) les écosystèmes et dont les dégâts doivent être réparés. Et il y a aussi ceux qui agissent pour un fenua plus "durable" ! Petite revue de presse.

  • Îles, déchets et pollution : un bilan, des problèmes et des actions

    Les îles éloignées de Tahiti, notamment les Tuamotu et les Gambier, sont aussi concernées par les problèmes de pollution et de traitement des déchets. Quelques exemples relevés dans la presse locale dans la première dizaine de juillet. En ce qui concerne le plastique, le Vanuatu pourrait en tout cas inspirer la Polynésie française...

  • Arurutua : lancement de l’opération de dépollution et de démantèlement du thonier chinois

    Le propriétaire du thonier chinois échoué à Arutua a présenté au gouvernement polynésien son plan d'action, soit tout de même plus d’un mois après l’échouement du navire survenu le 21 mars. Les opérations de dépollution et de démantèlement de ce navire ont été lancées.

  • Arutua : l'armateur du navire échoué sommé de le dépolluer et de l’enlever, sous astreinte de 500 000 Fcfp par jour de retard

    Le 30 avril, le tribunal administratif a condamné en référé l'armateur du navire Sheng Gang Shun 1, échoué à Arutua (Tuamotu) a dépolluer et enlever le navire, sous astreinte de 500 000 Fcfp par jour de retard.

  • Des mesures contre le risque de pollution du lagon de Arutua

    Pandémie et confinement n’empêchent pas l’obligation de réagir face à une extension du risque de pollution du lagon de Arutua à cause de l’échouement, en mars, d’un navire chinois. Le gouvernement a lancé la première étape d’un plan d’intervention avec l’envoi d’une équipe de spécialistes embarqués à bord d’un catamaran.

  • La protection de l’environnement, toujours d’actualité !

    La crise sanitaire ne doit pas faire oublier les nécessités de protection de l’environnement. Si les associations ne peuvent plus continuer leurs actions de terrain, elles n’en continuent pas moins leurs activités de sensibilisation. Le gouvernement, de son côté, précise son plan d’actions pour la gestion du navire chinois échoué à Arutua, qui présente, en son état actuel, de nombreux risques écologiques.

  • Bateau de pêche chinois échoué à Aratua : risque de pollution et violation du Code de l'environnement

    A la mi-mars, un navire de pêche chinois s’est échoué sur le récif d’un atoll des Tuamotu, Arutua. Au risque de pollution, s’est ajoutée la constatation d’une infraction caractérisée des conditions imposées dans la ZEE de Polynésie française, sanctuaire protégé de requins. En avril, bien que les autorités du Pays et de l’Etat estiment qu’il n’y aurait pas eu pêche illégale à l’intérieur des eaux polynésiennes, la FAPE porte plainte pour détention d’espèces protégées dans ses cales, en violation de l’article LP 2211-3 du Code de l’environnement.

  • Pollutions: encore et toujours... se battre !

     Des pehu encore abandonnés n'importe où, heureusement  des bénévoles et le mouvement citoyen pour le climat continuent leur lutte contre les déchets abandonnés sur les lieux publics ; un lâcher de ballons en plastique heureusement stoppé ; une pollution du lagon suite à un rejet d'eaux usées non contrôlé ; des car-bass encore accusés de pollution sonore ; 9 pesticides sur la sellette et de l'eau boueuse régulièrement déversée dans un lagon... À noter aussi, la découverte d'importants stocks de matériel électronique de communication, laissés sur place dans la montagne de Moorea.  

  • Pollution/Gestion des déchets (du 01 au 10/02/20)

    Petite revue de presse dédiée au suivi des événements liés à la pollution et/ou à la gestion des déchets relatés par la presse locale dans la période du 1 au 10 février: carcasses de voitures, extraction d'agrégats en rivière, plastique...

  • Pollution : des lendemains qui ne chantent pas toujours…

    Premier mois de l’année 2020. Aux grandes fêtes de la consommation, Noël et Nouvel An, a succédé le ballet des poubelles… quand elles sont ramassées (!). Trop nombreuses sont encore en effet les décharges sauvages. Et ce, malgré l’intervention de volontaires pour débarrasser la nature de ces déchets polluants. Il y a aussi les décharges qui brûlent, les thoniers pollueurs, un récif abîmé par une drague… Sans oublier le projet d’une nouvelle unité de concassage dans la vallée de Papeno'o, qui soulève des oppositions. Ou encore une étude d'impact environnemental bâclée, à Raiatea....

  • Pollutions : la revue de presse du mois de juillet

    La pollution n’a pas de vacances… Plastique, pollution quotidienne, pollution lumineuse nocturne, conséquences des essais nucléaires, pollution de l'océan… les médias en ont parlé durant ce mois de juillet. Retour sur des sujets qui fâchent mais que l’on préfère souvent « balayer sous le tapis » pour ne pas avoir mauvaise conscience…

  • Revue de presse "retro" pollutions : quelques news du mois de juin

     L’écologie au quotidien comme dirait M. de la Palisse, cela concerne par définition la vie de tous les jours. Et ce, dans tous les secteurs. Mais il y a ceux qui polluent et ceux qui essaient de faire quelque chose pour conserver un environnement plus sain. La presse en a parlé...

  • Pollution, en mer et à terre : il y a les pollueurs et ceux qui se mobilisent

    La pollution par les plastiques a été multipliée par dix depuis 1980 ; environ 300-400 millions de tonnes de métaux lourds, solvants, boues toxiques et autres déchets issus des sites industriels sont déversés chaque année dans les eaux du monde, et les engrais qui arrivent dans les écosystèmes côtiers ont produit plus de 400 “zones mortes”.La Polynésie et ses habitants, à moindre échelle certes, ne sont pas exempts d’irresponsabilité.

  • Déchets et pollution : l’urgence d’une réelle prise de conscience

    Il est encore trop souvent fait, hélas, ce constat amer : « les gens considèrent notre fenua comme un dépotoir ». La prise de conscience ne s’est pas encore faite, pour de nombreux esprits, des conséquences à long terme de gestes irresponsables. Notamment en ce qui concerne les déchets de plastique. Le tri sélectif en vue d’un traitement approprié, récompensé par les Tortues d’Or, pourrait être une solution s’il était vraiment appliqué.

  • Pollution: des bonbonnes bien embarrassantes pour l'administration

    Des bonbonnes de bromure de méthyle flottant à la surface de l’eau avaient été récupérées en janvier par le Aito Nui. Elles provenaient du Kura Ora 2, immergé dans la première semaine de janvier au large de Papeete. En mars, l’affaire remonte à la surface...

  • Fin des crèmes solaires sur les plages touristiques. Et fin de la pollution des plages ?

    Les crèmes solaires mettent en danger les massifs coralliens. À la mi-février, la ministre du Tourisme, Nicole Bouteau, a annoncé l’interdiction prochaine des crèmes solaires sur certains sites touristiques. À quand une réglementation pour conserver des plages propres et sans déchets abandonnés ?

  • (janvier 2019) Petite revue de presse : pollutions

    Des bonbonnes de bromure de méthyle en mer, des centaines de sacs plastique dérivant au large, une nappe de gasoil dans le lagon de Arue, des risques d’inondation… et de pollution à Hitia’a… Le “paradis” en prend un coup dans le nez ! Un point positif, le ministère en charge de l'Environnement a décidé de renouveler l'opération de nettoyage des plages de 20 îles des Tuamotu-Gambier.

  • Hao : Fin 2018, où en est le projet de ferme aquacole ?

    L’absence d’étude sur l’impact environnemental de l’élevage dans le lagon est déjà une question en soi. Malgré la pose de la première pierre, il y a déjà plusieurs mois, le projet ne semble toujours pas avancer. On peut aussi s’interroger sur les motivations de la Chine derrière ce projet. Un point sur le sujet.

  • Les paquebots à quai : une pollution méconnue ?

    Les paquebots de croisière participent-ils, plus qu'on ne l'imagine, au réchauffement climatique ? S’ils représentent un apport annuel de 12 milliards et demi de francs CFP en Polynésie, ils n'en seraient pas moins polluants... Polynésie la 1ère s’est penché sur le sujet.

  • La pollution, encore et toujours d’actualité…

    Question traitement des déchets, le « paradis » sur terre qu’est Tahiti et ses îles souffre de bien des maux. À Tahiti, Moorea, Rangiroa et Raivavae… il y a encore du travail en perspective. Des associations se mobilisent mais l’incivilité des habitants est pointée du doigt. L’insuffisance des infrastructures – notamment aux Tuamotu - doit aussi être relevée…

  • Protection des océans : des avancées mais aussi des menaces

    La protection des océans est une urgence quand l’on sait à quel point leur santé est importante pour l’ensemble de la vie sur la planète. Les océans nourrissent l’Humanité et celle-ci les traite avec mépris. Des initiatives sont heureusement engagées, mais elles doivent être renforcées…

  • Journée mondiale de l’Océan

    Le 8 juin, était célébrée la Journée mondiale de l’Océan. Véritables poumons de notre planète, les océans fournissent une très grande part de l'oxygène que nous respirons. Ils constituent aussi une source importante de nourriture et de médicaments, et sont un élément essentiel de la biosphère. Il est donc important de sensibiliser le public sur la place fondamentale qu’ils occupent dans notre écosystème, et sur l'impact négatif que les activités humaines ont sur ceux-ci. Plusieurs événements ont été consacrés à cette sensibilisation.

  • Aquaculture : un nouveau projet et toujours des questions concernant Hao

    Une sociétéspécialisée dans l’élevage d’animaux à intérêt commercial,le groupe français Grimaud, envisagerait de produire des post-larves (vraisemblablement de crevettes), en Polynésie française. Par ailleurs, le groupe chinois TNOF envisage de faire de Hao une base “de classe mondiale”. Les associations restent vigilantes. 

  • L'environnement et la ferme aquacole de Hao : La vigilance reste de mise…

    Les défenseurs de l’environnement ne peuvent que se réjouir des déclarations d’intention qui ont accompagné l’inauguration des travaux du projet sino-polynésien. Il n’en reste pas moins que la vigilance doit être de mise et que les promesses doivent être appuyées par des actes concrets, en conformité avec les législations qui devront être respectées. Des questions restent encore sans réponse…

  • L'environnement et la ferme aquacole de Hao : Des promesses ont été faites…

    La Fédération des associations de protection de l'environnement (FAPE) s'était interrogée, en mars, sur les conséquences environnementales de l'élevage de poissons du futur complexe aquacole. De nombreuses questions se posent en effet. Fin mai, l’investisseur chinois a été “royalement“ accueilli par le gouvernement polynésien et le représentant de l'État pour l’ouverture officielle des travaux. Des promesses ont été faites… 

  • Ferme aquacole de Hao : inquiétude persistante des associations

    Présenté comme un chantier qui doit créer des emplois, le projet de ferme industrielle aquacole de Hao ne laisse pas d’inquiéter les associations de protection de l’environnement. Ce projet, qui n'a pas encore fourni toutes les études des impacts que vont entrainer l’installation de milliers de cages d'élevage dans le lagon, a déjà obtenu un agrément au dispositif d’incitations fiscales… La fédération des associations de protection de l'environnement -FAPE Te Ora Naho - interpelle le gouvernement.

  • Océans : la biodiversité menacée

    Les activités humaines portent atteinte à la biodiversité marine. Des exemples nous en ont encore été présentés en mars, à l’exemple du « continent » de plastique du Pacifique. Il devient urgent de mettre en place des mesures afin de limiter leur impact écologique, et de préserver les ressources marines.

  • Revue de presse décembre 2017

    Cette revue de presse renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

  • Pollutions : toujours d'actualité

    Malgré sa réputation de « paradis » la Polynésie est loin d’en présenter tous les avantages. Petit tour d’horizon des pollutions de toutes sortes relevées en mai en Polynésie.

  • Pollution dans les vallées = pollution des plages

     

    L’incivisme des entreprises situées dans la zone industrielle de la Punaruu, à Punaauia, et aussi l’irresponsabilité des riverains qui y déchargent leurs déchets, ont des conséquences pour le littoral. Des jeunes de la commune ont décidé de nettoyer la plage de Muriavai mais espèrent plus de respect envers la nature

  • La pollution n'est pas une fatalité

     

    La pollution a encore de beaux jours devant elle en Polynésie. C'est hélas le revers de la carte postale ! Pour autant, la vigilance et des actions concrètes peuvent contribuer à la rendre moins virulente. Zoom sur quelques exemples relevés en mars.

     

  • La pollution hélas toujours tristement d’actualité

    La lutte contre la pollution est l’affaire de tous. Particuliers et communes doivent s’y engager alors que la situation est toujours loin de donner satisfaction

  • Après Hao, d’autres fermes aquacoles dans les Tuamotu ?

    Le projet de ferme aquacole de l’ancienne base logistique du CEP avance à son rythme – malgré des chiffres revus à la baisse. Le ministre de la relance économique évoque déjà d’autres projets dans d’autres atolls. Mais quid de l’environnement ?

     

  • Pollution au plastique : une menace pour les océans

    Outre la pêche excessive, la pollution au plastique des océans est l’un des grands enjeux écologiques du XXIe siècle.

  • La biodiversité marine doit être protégée

     

    La protection de la biodiversité est un enjeu capital pour l’avenir. Encore faut-il qu’il y ait une volonté politique au niveau des instances dirigeantes. Pour la protection de Te Moana, l’océan, la vigilance reste de mise. 

     

  • Le changement climatique toujours d’actualité

    Le système climatique de la Terre est indifférent aux selfies que continuent de s’auto-administrer béatement une grande majorité d’humains préoccupés par leurs seuls confort et bien être, à court terme. La nôtre, d'« indifférence », nous protège-t-elle ?

  • Hao, entre projets mirifiques et risques sanitaires et environnementaux

     

    Il y a un an était posée la première pierre de la ferme aquacole de Hao. Un projet  qui a pour ambition de booster l'économie de l'atoll, et du Pays (1 million de tonnes par an !!!), mais qui suscite de légitimes craintes par rapport à son impact environnemental. Ce complexe financé par un groupe chinois pose de nombreuses questions...

  • Ferme aquacole à Hao : 150 milliards d'investissements mais quid de l'environnement ?

    Début avril, se sont tenues à Hao des réunions d'information visant à vulgariser l'étude d'impact environnemental concernant le projet de ferme aquacole. Mais cette étude ne s'intéresse qu'aux installations de l'usine construite à terre. Toute la partie sur l'élevage des poissons dans le lagon n'apparait absolument pas. Le Président Édouard Fritch est  néanmoins parti à Shangaï pour discuter business avec les Chinois…

  • Les pollutions, une menace toujours présente...

    La face cachée du paradis... Pesticides, Hao : son plutonium et sa ferme aquacole, la pollutions sonore et celle des rivières, le danger méconnu des pollutions électromagnétiques… La vigilance et la prévention sont plus que jamais de mise…

  • Maintenir la biodiversité est un défi auquel sont confrontées les sociétés d'aujourd'hui. En Polynésie aussi

    Depuis le Sommet de la Terre, à Rio de Janeiro en 1992,  la préservation de la biodiversité est considérée comme un des enjeux essentiels du développement durable. Des lois peuvent la renforcer. De nombreuses pratiques irresponsables peuvent au contraire la faire diminuer. Petit point sur la situation en ce début d'année. 

  • Demande de référendum sur la question du nucléaire en Polynésie française

    Le 2 juillet 2016 marquera le 50e anniversaire du premier essai nucléaire réalisé en Polynésie française. En prévision de cette date, le 5 janvier, l'association 193 a lancé une pétition pour demander qu'un référendum sur la question du nucléaire ait lieu en Polynésie française.

  • Projet de ferme aquacole à Hao : vous avez dit développement durable ?

    Sans rentrer ici dans le détail de la viabilité économique de ce projet, on s’interrogera sur sa durabilité en ce qui concerne la dimension écologique. Dans ce projet, en effet, rien n’est anodin. Ni le site de Hao, ni l’impact que l’on peut craindre sur l’écosystème de cet atoll.

     

  • Polémique autour du projet de ferme aquacole de Hao

    Le Sénat a publié le 18 août un rapport dans lequel le projet de ferme aquacole à Hao, aux Tuamotu, est critiqué. Une critique qui, selon les sénateurs polynésiens, "ne reflète pas la réalité". Il n'empêche que se pose le problème des pollutions, notamment dues à la nourriture et aux traitements donnés aux poissons en cage, que peut entraîner ce genre d'industrie.

  • "Touchez pas à la mer" : il faut aussi trouver des solutions pour la protéger

    On connaît la chanson d'Antoine écrite il y a déjà près de 30 ans. Aujourd'hui, les recommandations du chanteur de "moins faire les idiots", ont elles été entendues ? Des "continents de plastique", envahissent les océans. N'y a-t-il pas moyen de réagir ? Un jeune Néerlendais a inventé un système qui semble révolutionnaire et qui devrait bientôt être mis en application dans le Pacifique. 

  • Surveillance géomécanique de l'atoll de Moruroa : des propos rassurants mais...

    Les travaux de rénovation du dispositif de surveillance géomécanique de l'atoll de Moruroa, sous l'appellation  Telsite, débutent en ce mois de juin, 30 ans après la mise en place d'un premier dispositif. Ce chantier va conduire plus d'une centaine de travailleurs, notamment polynésiens, à y intervenir jusqu'à 2018. Prix du chantier : 12 milliards Fcfp. Les propos, rassurants, du délégué à la sûreté nucléaire ne convainquent pas forcément tout le monde...  

  • Ferme aquacole de Hao : de nombreuses questions

    La ferme aquacole de Hao, dans les Tuamotu, a été inaugurée le 5 mai. Il s'agit pour le gouvernement polynésien qui appuie ce projet d'un objectif stratégique de reconversion de  cet atoll qui doit devenir un pôle de développement pour les Tuamotu-Est et les Gambier. L'impact environnemental de cette activité n'est cependant pas sans inquiéter. 35 hectares sont mis à disposition pour 30 ans par le Pays sous la forme d 'une concession renouvelable deux fois pour un total de 90 ans maximum.

     

  • Pourquoi il est important de recycler les bouteilles en plastique

    Une bouteille en plastique met plusieurs siècles pour se dégrader et si elle est à l'abri de la lumière, ce temps peut-être encore plus long. Différents "continents" de plastique ont aussi été identifiés au milieu des océans, dont le Pacifique Sud. Ces objets de notre consommation quotidienne doivent être impérativement recyclés. Soit par des filières industrielles, soit de manière plus ludique…

  • Pa'e Pa'e no te Ora se mobilise contre les algues tueuses de corail

    L'association Pa'e Pa'e no te Ora est connue pour entretenir le sentier sous-marin du PK 17,5 à Punaauia, sur la côte Ouest de Tahiti. Elle organise le 25 avril une opération d'arrachage d'algues Turbinaria. L'opération, qui débute à 9h,  est ouverte aux adhérents comme aux volontaires.

  • 19% des récifs coralliens ont définitivement disparu

    CorailTous les 4 ans, l'Initiative internationale pour les récifs coralliens (ICRI) publie le bilan mondial des récifs coralliens. Dans ce dernier rapport, rendu public aujourd'hui, le monde a définitivement perdu 19 % de ses récifs, 15 % risquent de disparaître dans les dix ou vingt prochaines années, et 20 % supplémentaires sont menacés de disparition dans les vingt à quarante ans si rien ne change. Et ceci sans même tenir compte des effets du réchauffement climatique, qui constitue une menace majeure pour ces écosystèmes.

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