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Activisme, mobilisation et contestation

  • L’économie polynésienne en quête de transition écologique et sociale

    La transition écologique n'est pas seulement une nécessité, mais aussi une opportunité pour les entreprises d'innover et de prospérer dans un monde en évolution.L'Université de la Polynésie française organise ce lundi 26 février un temps d'échange entre l'équipe pédagogique de la licence Sciences de la transition écologique et sociétale (STES)* - qui ouvrira à la rentrée prochaine, dans le cadre du projet Nārua - et des représentants d’entreprises, d’institutions territoriales et du secteur associatif au service des transitions écologiques et sociales. En prélude, cette revue de presse est l’occasion de découvrir plusieurs sujets d’actualité en lien avec cette thématique. Des exemples concrets de la dimension transversale du développement durable couverts par la presse locale pendant la semaine du 19 au 25 février.

  • Le point sur trois mobilisations associatives : Teahupoo, Moorea, Faa'a

    Tour des juges dans le lagon de Teahupo'o: un accord a été trouvé entre les autorités tahitiennes et les associations environnementales. À Paris,le président Brotherson confiant sur la livraison des infrastructures nécessaires aux épreuves de surf des JO ; Le devenir de la plage de Temae, à Moorea, toujours incertain: les associations de riverains militent pour que la plage demeure ouverte à tous ; À Faa'a, la jeune association « La Planète brûle » veut faire fermer la décharge de Mumuvai.

  • Aménagement "durable" ? Exemples et contre-exemples

    À Faaone (Tahiti), deux exemples d'aménagement problématiques :une extraction de 200 000 mètres cubes de “matériaux”suscite l'inquiétude / Suite à des incivilités, un dépotoir sauvage persistant à l’embouchure de la Vai’iha, les propriétaires du terrain ont choisi de fermer l’accès à la plage ; À Faaone toujours, mais cette fois-ci de manière positive, un projet exemplaire d'"agriculture syntropique" ;  à Raiatea, potentiel agro-touristique aménageable d'un domaine public d’environ 85 hectares ; Pour y voir plus clair, le code de l’aménagement est enfin accessible en ligne sur le site Internet Lexpol.

  • Deux occasions de réflexions à l’orée de 2024

    Cette nouvelle année permettra-t-elle l’émergence de prises de conscience et d’actions pour un fenua vraiment « durable » ? Après 5 années de militantisme à Tahiti, Jason – 27 ans - a choisi de porter au niveau national et international la cause environnementale polynésienne, « pour faire entendre notre situation critique et pour essayer d'influencer les principaux responsables des crises écologiques globales ». En France, Mediapart a donné la parole à une jeune activiste écologiste de 25 ans afin de lui permettre d’exprimer ses vœux « intranquilles » : « chaque année nouvelle est potentiellement une immense aventure. Qui peut prendre les traits d’une épopée ou d’un naufrage. Cela dépend en partie de nous ».

  • Construction d’une « tour des juges » à Teahupoo… Aussi un sujet politique ?

    On l’a vu dans plusieurs articles précédents*, ce sujet fait couler beaucoup d’encre. Malgré la polémique et des propositions alternatives, la décision a été prise de poursuivre la mise en place d’une structure en aluminium, mais allégée. Ce qui n’empêche pas de nouvelles passes d’armes qui prennent un tour politique mais dont on ne saisit pas toujours les tenants et aboutissants… entre ancien et nouveau gouvernement polynésien. À noter aussi l’intervention de l’Union internationale pour la Conservation de la nature (UICN) qui appelle à mettre à jour les règles de protection de la nature. Fin du feuilleton ?

  • Tour des juges à Teahupoo: les travaux sont engagés

    Après plusieurs semaines d'hésitations et de contestation, et après un essai malheureux de manipulation d'une barge qui s'est soldé par des bris de coraux... le chantier de construction de la "tour des juges" semble en bonne voie. Et ce, malgré que desopposants au projet continuent de se manifester… mais cette fois en métropole (le collectif Rame pour ta planète et Surfrider Foundation Europe). Malgré les précautions prises, des bris de coraux ont encore été constatés, mais les essais ont toute de même continué pour deux des trois embarcations, les conditions météo s’étant dégradées dans l’après-midi... Toute cette organisation a un coût. Quel est-il ? Un point sur les comptes...

  • JO 2024 : Le casse tête de Teahupoo

    La destruction de coraux - lors de tests pour manœuvrer la barge qui doit être amenée sur site pour l’ancrage et l’édification de la tour des juges a-t-elle été jusqu’à mettre en cause la tenue de l'épreuve de surf à Teahupoo ? En tout cas, toute la semaine du 4 au 10 décembre a été à nouveau l’objet de discussions… Va-t-on enfin vers un épilogue heureux ? Suite à la réunion qui s’est tenue dimanche jusqu’en début de soirée, les travaux sont annoncés pour débuter lundi 11 décembre…

  • La construction de la tour des juges n'en finit pas de faire des vagues... médiatiques.

    Des dizaines d'articles lui ont été consacrés par la presse locale, depuis la mi-octobre. Le sujet ? L'installation d'une tour des juges en aluminium dans le lagon de Teahupoo, à la Presqu'île de Tahiti, pour y installer le jury des épreuves de surf des JO 2024, en juillet prochain. Des surfeurs - dont certains de renom - et des associations estiment que les travaux de forage des fondations peuvent causer des dégâts écologiques sur le platier corallien du site. L'utilisation de l'ancienne tour en bois étant impossible, pour des raisons de sécurité, les dimensions (hauteur, poids) de cette structure ont été revues à la baisse par le comité organisateur et le Pays. Mais le test de passage d'une barge destinée à assurer les travaux n'a pas été réussi sans casser de corail. Les travaux qui devaient démarrer ce lundi (4 décembre) sont suspendus. Au risque d'annuler la tenue des épreuves JO de surf à Teahupoo ? Le maître d’œuvre continue d’étudier des solutions...

  • Tour des juges à Teahupoo : une décision actée mais qui ne fait pas l'unanimité

    La décision a été entérinée par le Pays, Paris 2024 et le haut-commissariat : l'épreuve de surf des JO 2024 se tiendra bien à Teahupoo, la tour des juges objet de polémique sera diminuée en poids et en taille afin de présenter un "impact minimal"sur le platier corallien et les fonds marins du site, compte tenu des délais, incontournables. Le surfeur polynésien Matahi Drollet réitère néanmoins son message dans une seconde vidéo: "Je regrette que les enjeux financiers prennent le dessus sur l'environnement." 

     

  • JO 2024 de surf: vers une solution pour la tour des juges ?

    Va-t-on vers une solution satisfaisante, à la fois pour la sécurité de la structure et pour la préservation de l'environnement corallien du site ? La polémique a fait couler beaucoup d'encre*... Après bien des tergiversations - et suite aux interrogations d'associations et de surfeurs, voire de riverains - le Pays et Paris 2024 se sont mis d'accord pour une solution intermédiaire: exit l'option Papara et la réutilisation après aménagement de l'ancienne tour en bois. C'est finalement la tour en aluminium prévue mais allégée, en poids et en taille, qui sera installée.  Le maire de Taiarapu Ouest regrette pour sa part que la nouvelle structure ne soit pas celle promise et estime que les associations « ont gâché la fête ». Les associations protestataires reconnaissent des efforts mais restent sur leurs gardes.

  • J.O de surf à Teahupoo : le feuilleton continue

    Un sujet local - mais dont l'écho est international - mobilise la sphère médiatique depuis la mi-octobre. Il s'agit en l'occurence de la construction d'une tour des juges dans le lagon de Teahupoo, une structure destinée à accueillir le jury des compétitions de surf comptant pour les Jeux Olympiques 2024. Au-delà de son aspect sportif et socio-économico-politique, il implique une dimension environnementale non négligeable - l'intégrité du plateau corallien et un possible impact sur la vague mythique du spot. S'ajoutant à la vingtaine d'articles consacrés à ce sujet par la presse locale en ligne*, en voici une douzaine d'autres dont on peut deviner qu'ils ne seront pas les derniers, en attendant les décisions (15 ou 20 novembre ?) qui seront prises: la même tour allégée, la reprise consolidée de la tour en bois, une barge amovible type Criobe pour forer ses fondations, un autre spot (à Papara) ? Il sera peut-être alors temps de tirer des conclusions de cet épisode feuilletonnesque à rebondissements... AvA-Infos laisse à la sagacité du lecteur le soin d'en découvrir les multiples arcanes.

  • Surf/JO 2024 à Teahupoo: la "Tour des juges" toujours objet de litiges

    L'ancienne tour en bois ne pouvant plus être utilisée, n'étant pas aux normes, la nouvelle "tour des juges" qui doit être installée sur le site de surf de Teahupoo n'en finit pas de faire polémique. D'un côté on veut faire valoir des règles de sécurité indispensables pour la tenue d'épreuves comptant pour les Jeux olympiques ; de l'autre on s'inquiète pour une possible destruction écologique. Les arguments des uns et des autres continuent d'être relayés par les médias. Le comité organisateur des Jeux assure être à l'écoute et vouloir respecter Teahupoo, mais certaines associations contestatrices ne sont pas convaincues. Elles espèrent se faire entendre et comptent poursuivre leurs actions. Une marche est à nouveau prévue le 10 novembre.

  • Polémique autour de la "tour des juges", à Teahupoo (suite)

    Une marche pacifique, une pétition: la construction de la tour des juges pour les épreuves de surf des JO 2024, dans la passe de Hava'e à Teahupoo, fait polémique !  Samedi 21 octobre, en compagnie de représentants de la société chargée des travaux, le président du Pays s'est rendu sur les lieux à la rencontre des associations inquiètes de la tenue de ces travaux, comme indiqué dans un précédent article*. Une opération destinée à convaincre les riverains du faible impact du projet sur l’environnement.

  • JO à Teahupoo: les riverains ne veulent pas de la tour des juges

    À Teauhupoo (Presqu'île de Tahiti),la future tour en aluminium des juges prévue pour les épreuves de surf des JO-2024 cristallise les inquiétudes des riverains qui craignent les conséquences environnementales négatives de cette construction: qu'elle impacte le récif et modifie la formation de la célèbre vague de Havae. Plusieurs centaines de personnes ont manifesté pacifiquement ce dimanche 15 octobre.

  • L'environnement sous surveillance

    Plusieurs actions visant à mieux faire connaître et présever l'intégrité de l'environnement polynésien : Réunion à la mairie de Mataiea en vue d'une fédération des rahui polynésiens ; Conférence, dans le cadre du projet Bora-Biodiv, pour présenter la mission de la barge Nohu Criobe concernant la cartographie des fonds de l’île ; Observation des baleines : Agnès Benet, de l'association Mata Tohora,  réagit face à une activité de Whale Watching trop peu organisée et contrôlée ; Une exposition sur les récifs coralliens organisée à l’hôpital de Taaone (CHPF), à Pirae.

  • Petite revue de presse: l'actualité du développement durable au fenua

    Le RSMA-Pf offre des formations tournées vers les économies vertes et bleues ; Face aux difficultés des communes, le traitement des déchets pourrait bientôt revenir à la charge du Pays ; L’association Tore Tore sensibilise actuellement les enfants scolarisés à Tahiti et Moorea sur l’importance de préserver les requins au fenua ; Portrait : Tehani Withers, une Polynésienne amoureuse de la nature, s'emploie au sein de la SOP Manu à restaurer les habitats de nos oiseaux endémiques ; La question de la souveraineté alimentaire pour les Outre-mer ; À la presqu'île de Tahiti, un espacecollectif de fa'apu pour pour venir en aide aux familles modestes de façon concrète et durable ; Une 'cooking class' pour mettre en valeur les farines locales (‘uru, taro, manioc ou patate douce) ; Environnement et santé : 57 ans après le premier essai nucléaire réalisé à Moruroa, des conséquences toujours bien présentes.

  • Réchauffement climatique : Sit-in de mobilisation à Papeete

    L’association Te Motu a organisé un sit-in, samedi 17 juin place Tarahoi, face à "l'urgence de la situation". Elle souhaite redonner du souffle à la mobilisation pour interpeller la population face au réchauffement climatique et interpelle le nouveau gouvernement. Si elle n'a pas regroupé beaucoup de monde, elle a néanmoins permis de "discuter avec la centaine de personnes présentes de ce qu'on peut faire, les sensibiliser, les informer et s'organiser collectivement pour mettre en place des actions", estime le militant écologiste Jason Man, président de l'association. L'occasion de rappeler que les océans ont connu leur mois de mai le plus chaud jamais enregistré.

  • Environnement : alerte et sensibilisation

    4ème tour de Tahiti en brouette pour sensibiliser les citoyens polynésiens aux causes du réchauffement climatique ; Annonce par la mairie de Papeete del’ouverture d’un “village écocitoyen” les jeudi 8, vendredi 9 et samedi 10 juin dans les Jardins de Paofai ; Gérant d’une société d’excursion écotouristique, Mathieu Petit partage sur sa chaîne YouTube ses observations de la faune marine et terrestre.

  • Écologie et militantisme : cinq nouvelles initiatives

    L’association Te Mana O Te Umara annonce l'organisation, les 22, 23 et 24 mai prochains, d'un nouveau tour de l’île à pied avec une brouette pour attirer l’attention de la population sur l’urgence du changement climatique ; Avec son projet The Cool Life, Clara Barth veut relier Moorea à Marseille en voilier pour en ramener des solutions écologiquement inspirantes ; La Makatea Vertical Adventure est un rendez-vous sportif et écotouristique, du 19 au 23 juin pour faire découvrir l’île à travers des activités proches de la nature tout en sensibilisant le public à la cause environnementale ; Dive For Pehu est un nouveau mouvement dont l'objectif est de dépolluer le lagon et de sensibiliser le public à la cause environnementale. 

  • Urgence écologique : des élections, un livre, une expo et une info

    Avant le premier tour des élections territoriales, la FAPE-Te Ora Naho a envoyé un questionnaire aux partis en lice afin de mieux connaître le positionnement de chacun sur les principaux enjeux environnementaux en Polynésie et les mesures envisagées dans leur programme ; Guide pratique, « Urgence écologique au Fenua », ouvrage collectif, couvre de nombreuses thématiques en lien avec les enjeux environnementaux ; Exposition immersive, à double sens, autour de l’environnement avec une vigtaine d'oeuvres de l'artiste Sarah Viault ; À Teahupoo, escargots d'eau douce endémiques et coraux protégés en prévision des travaux d'aménagement de la zone en vue des Jeux Olympiques de 2024.

  • Pollutions: hydrocarbures, nanoplastiques, pollution sonore

    Affaire du Corsaire coulé dans le port de Papeete: six mois après avoir coulé, et près d’un mois après une importante fuite d’hydrocarbures, la FAPE a adressé un courrier au Port autonome qui assure que tous les moyens sont mis en œuvre pour retrouver le propriétaire du navire et effectuer des études sur la carcasse encore au fond de l'eau ;  La pollution plastique est un fléau mondial qui a des conséquences désastreuses sur l’environnement et la santé humaine ; Pollution sonore: explication de la réglementation.

  • Revue de presse: l'actualité du développement durable au fenua

    Agriculture, habitat, protection de l'environnement, énergie, biosécurité et vigilance citoyenne sont au programme de cette revue de presse. Plusieurs facettes du "développement durable"  en voie de constitution au fenua  sont à découvrir: Une serre pilote à Taravao ; Des logements sociaux d'un nouveau genre ; De l’exploitation des arbres en forêt jusqu’à la scierie, une filière à suivre ; Face aux aléas climatique, deux projet de restauration du littoral: à Tahiti et Hao ; Première pierre pour la future centrale photovoltaïque de Taravao: coactivité entre production d’énergie et culture bovine ; Un pétrolier à "turbovoiles" bientôt dans le port de Papeete ; Renforcement de la biosécurité contre l’introduction des pestes, des produits végétaux et animaux non autorisés à l’importation ; Première réunion publique du nouveau collectif A ti'a Raiatea, qui lutte pour la sauvegarde de la vallée de Faaroa ; Inquiétude à Arue, le projet immobilier New Taharaa pourrait assécher les nappes phréatiques, et priver les habitants d'eau potable...

  • Protection de l'environnement : les associations lanceuses d'alerte

    Reconnaissance du préjudice écologique dans l'affaire du dégazage du thonier Xin Shi Ji 203 au large de Arue en 2019. Son propriétaire condamné à verser un peu plus de 3,5 millions de francs CFP à la FAPE Te Ora Naho ; Tortues marines victimes des chauffards de la mer :  Te Mana o te moana s’indigne ; Sea Shepherd Tahiti rejoint la coalition « Sea Shepherd Origins » qui entend bien « préserver l’ADN originel » de l’organisation.

  • À Bora Bora, Tahiti (Faaone), Hao, Moorea : sur le front de la protection de la nature

    La situation de la villa "Quintessence" de la société Bora Yes de nouveau évoquée en audience au tribunal administratif ; Plus d’extraction dans la vallée de Mapua’ura, à Faaone, tant que le problème d’indivision ne sera pas réglé ; Fin des hostilités autour de l'AME de Hao. Après les actes de vandalisme, un compromis a été trouvé entre ayants droit et éducation ; La fédération Tāhei 'autī ia Moorea a célébré les un an de sa mobilisation pour la préservation de l'authenticité de l'île soeur, en réaction à des projets immobiliers.

  • Black Friday ou Green Friday ?

    Black Friday, comme Halloween, nous vient des USA. C'est l'un des piliers du consumérisme ambiant qui anime l'économie contemporaine. Ces évènements promotionnels devenus incontournables avant Noël sont sources de pollutions multiples : les livraisons de colis s’emballent, les emballages s’amoncellent et la surconsommation exige une surproduction néfaste de biens... Et, apparemment, les Polynésiens "lykent" ça...! Dur, dur pour la transition écologique ! Et si on passait au Green Friday !?

  • Quelques réponses aux crises en cours

    Quelques réponses face aux crises (économiques, écologiques, sociétales...) : Objectif autonomie alimentaire, autonomie énergétique du fenua et réforme de la fiscalité pour le député Brotherson ; Sensibilisation aux modes de transport alternatifs avec le Challenge “écomobilité” ; La résistance comme mot d'ordre face à l'urgence climatique pour l'association Te Motu ; L’humusation, une pratique funéraire écologique.

  • Environnement menacé : projets immobiliers et infrastructures communales sous observation

    La lentille d'eau polluée d'un motu de Bora Bora est l'objet de recours en justice. Le tribunal administratif a annullé un arrêté de "régularisation" de travaux pris par le gouvernement ; À Paea, une station d'épuration rejette des eaux usées dans le lagon, la commune enjointe par le tribunal administratif d'y mettre fin ; Par contre, Rimatara (Australes) - refusant la solution facile du dépotoir  - évacue ses ordures toxiques (déchets électroniques et électriques) pour qu'elles soient récyclées ; À Bora Bora, la rénovation de hôtel Conrad Bora Bora Nui fait l'objet d'une étude d'impact sur l'environnement.

  • PGA, SAGE, PGEM... : des outils législatifs pour l’aménagement du territoire

    Depuis l’adoption en 2020 du Schéma d’aménagement général de la Polynésie française (SAGE), toute commune de plus de 1 000 habitants doit se doter d’un Plan général d’aménagement (PGA) compatible avec le SAGE. La gestion du foncier et de l’environnement en dépend. Quatre communes sont actuellement concernées, l’une par son élaboration, les autres par sa révision ; Quid de la résorbtion du logement social ? ; À Moorea, la modification du Plan de gestion des espaces maritimes (PGEM) est à l’origine d’une contestation populaire « contre la privatisation de la plage de Temae ».

  • Des projets immobiliers et hôteliers qui causent des remous

    Agrandissement stoppé du Sofitel sur la plage de Temae : le tribunal administratif interdit toute nouvelle construction de bungalows sur pilotis dans le PGEM de Moorea ; Exploitation du phosphate : la SAS Avenir Makatea n’a pas baissé les bras, les associations de l’île parlent d’un risque de « dégâts irréparables » ; Quel est l’impact réel des travaux de la villa Quintessence sur le motu Terurumi, à Bora Bora ; Quid du nouveau projet hôtelier sur la zone très convoitée du Tahara'a ; travaux douteux sur le motu Moea, à Moorea.

  • Environnement et projets immobiliers : deux dossiers devant la Justice

    À Moorea et à Bora, des projets immobiliers contestés par la population ou des riverains sont devant la Justice. Sur l"île-sœur,l’arrêté qui permet les constructions sur pilotis en dérogeant au PGEM est attaqué au tribunal administratif ; Sur un motu de la "Perle du Pacifique", le projet Bora Yes - contesté lui aussi - fait l'objet de rebondissements juridiques. 

  • Économie v/s écologie : projets immobiliers en cours ou… en attente

    Les projets immobiliers, à l’origine d’un potentiel développement économique, et donc d’emplois, peuvent aussi poser des problèmes environnementaux où être mal perçus par la population : Le projet du Village Tahitien refait surface, mais en format réduit ; De nouveaux travaux contestés sur le motu où est installée la villa Bora Yes ; La consultation publique sur l’avenir de la plage de Temae a recueilli plus de 2 800 signatures ;À Moorea, encore, plusieurs projets immobiliers portés à l’attention de la commune ; Quid du projet résidentiel Ocean Park sur l’ancien site du Tahiti Village à Punaauia ?

  • Projets immobiliers à Moorea et Punaauia : pas d’avis favorables des communes

    Les enjeux du développement durable en immobilier sont multiples. Les constructions de nouvelles habitations doivent prendre en considération les enjeux environnementaux actuels. Des projets immobiliers, facteurs de développement économique, ne font pas toujours l’objet d’une perception favorable par la population, mais aussi par les municipalités : avis défavorables des communes pour des projets immobiliers à Moorea et Punaauia. 

  • Le nouveau projet immobilier du Tahara'a contesté

    Après la côte ouest de Tahiti et Moorea, c'est au tour des habitants de la côte est de se mobiliser contre un projet immobilier de grande ampleur. Abandonné depuis un quart de siècle, l'ancien hôtel devrait faire la place à un nouvel établissement hôtelier mais aussi à un très gros complexe immobilier intégrant un centre commercial. Les édiles de la commune d'Arue et un collectif craignent des conséquences environnementales néfastes et la destruction d'un symbole culturel traditionnel. Elless'y opposent et disent non à ce New Tahara’a projeté par le groupe City. Une manifestation pacifique a été organisée sur place le samedi 16 juillet.

  • Réchauffement climatique : une population encore indifférente

     L'inquiétude des jeunes générations à l'égard du réchauffement climatique se manifeste aujourd'hui en plusieurs endroits du monde. À Tahiti aussi où plusieurs marches ont été organisées ces derniers mois. Mais cela ne suffit pas à mobiliser la population, ni sans doute les gouvernants qui ont été interpellés encore une fois ce samedi 25 juin en début d'après-midi. Ils n'étaient qu'une petite centaine à défiler dans une ville de Papeete relativement vide de passants...La presse, qui avait pourtant relayé l'annonce, n'a guère non plus été sur le terrain pour en rendre compte. Iront-ils jusqu'à prôner la désobéissance civile pour se faire entendre, comme en Allemagne ?

  • Facettes du développement durable: dernières news

    La prise de conscience et la mobilisation citoyenne apparaissent prioritaires pour remplir les objectifs de développement durable d'ici à 2030. Produire, valoriser et diffuser les connaissances sur cette thématique très transversale y contribue. Les dernières news à découvrir:  alimentation, transport, énergie, lutte contre le sac plastique à usage unique, casse-tête des épaves de bateaux abandonnées, mobilisation pour une appropriation citoyenne des espaces communs.

  • Des projets de "développement" contestés par la population (suite)

    À Moorea et Bora Bora, certains projets de développement économique peuvent mettre à mal l'environnement ou s'imposer à la population sans concertation. Ce que contestent des associations qui portent l'affaire en justice. À Moorea, elles demandent notamment l’annulation des modifications récentes apportées, illégalement selon elles, au PGEM et au PGA de l'île-soeur. À Bora Bora, renvoi dans l’affaire de la lentille d’eau douce du motu Terurumi suite aux dégâts supposément causés par les travaux d’une villa de luxe.

  • Marche pour le climat à Papeete : "l'inquiétude des jeunes générations"

    L'événement annuel "Earth Hour"*, n'a pas été particulièrement marqué au fenua comme cela a pu l'être certaines années précédentes. Mais le 26 mars a été l’occasion d'une marche "pour le climat" organisée à Tahiti, à l'instar de ce qui s'est passé en métropole et dans plusieurs pays. L'occasion de revenir sur une revendication sensible chez les jeunes générations dont la vie pourra être affectée par le dérèglement climatique mondial en cours. Mais la mobilisation n'a pas été au rendez-vous...

  • En bref: "couacs" dans le déploiement du développement durable

    Les choses n'avancent pas toujours aussi vite qu'il serait souhaitable. Dans l'actualité récente : Le Swac du CHPF pas encore opérationnel; la maltraitance des animaux encore pointée du doigt; à Moorea : des associations se fédèrent contre les projets « dévastateurs; le quotidien Le Monde publie un article sur le projet controversé de ferme aquacole géante de Hao.

  • Une société en quête d'aménagement durable

    Protection de l’environnement, aménagement et développement durable des communes, atténuation et adaptation au changement climatique, production d’énergie renouvelable... ont en commun l'implication de la société citoyenne. Propositions et confrontations font partie d'un quotidien relativement discret mais peuvent aussi émerger de façons plus visibles sur la scène publique, voire judiciaire.

  • Projets immobiliers contestés à Moorea : grosse mobilisation

    La population s'est déplacée en masse, samedi 13 novembre - de nombreuses personnes venant même de Tahiti - pour dénoncer les projets immobiliers sur l'île de Moorea dans une manifestation qui se voulait avant tout culturelle et spirituelle.

  • Quel avenir pour le littoral des îles ?

    La gestion de littoral révèle des conflits d’intérêt qui peuvent opposer protection de l’environnement et développement économique. Dans certains cas, comme à Moorea et à Tahaa, le sujet mobilise des réactions citoyennes contraires. La mise en place de PGEM, de Zone de développement prioritaire (ZDP), de rahui et de zones de pêche règlementée ne font pas toujours bon ménage.    

  • Des actions en faveur de l'environnement

    Associations, institutions, particuliers... se mobilisent pour la protection de la nature: l'association Manu poursuit ces actions de dératisation pour la protection des oiseaux ; à Moorea, on se préoccupe de la situation d’envahissement de la petite fourmi de feu ; la Direction de la Biosécurité agit pour empêcher l'infestation des cocotiers par des insectes xylophages ;  Herehia Helme scrute l'état de santé de deux rivières de Tahiti ; Titouan Bernicot, fondateur de Coral Gardeners, a été choisi pour participeraux  "Young activity summit" ; à Nuku Hiva, un mariage éco-responsable pour Hinenao Kimitete et Tehotu Tauraatua; à Moorea, l'écomusée Te Fare Natura flirte avec le thème de Halloween ; à Raiatea, projet d'un nouvel écolodge ; à Moorea, des projets immobiliers contestés.

  • Des associations sur le front de la contestation

    Projets immobiliers contestés à Moorea, des hordes de chiens abandonnés à Papara, la pollution sonore dénoncée à Faa'a: des associations se mobilisent pour dénoncer des situations qu'elles estiment inadmissibles. Leur objectif: sensibiliser la population et pousser les autorités politiques à prendre des mesures.

  • Risques de fragilisation de l'environnement

     Des pea pea à régler ou des erreurs à éviter : Extractions en rivière à Teahupoo ; difficulté d'accord entre Papara et Teva i Uta pour la poursuite du rahui sur cinq ans ; opposition au projet de nouveau barrage dans la vallée de Papeno’o ; 400 hectares de forêt ravagés par les flammes à Nuku Hiva.

  • Environnement et société - annonces officielles : récompense, espoir et... déception

    Les annonces se suivent et ne ressemblent pas: Bonne nouvelle pour Jean Kape qui vient d'être nommé lauréat des prix du leadership pour l’environnement des îles du Pacifique par le secrétariat du Programme régional pour l’environnement dans le Pacifique; Annonce officielle de l'organisation, à Tahiti en octobre, d'une une table-ronde sur la Transition alimentaire qui doit devenir un axe central et prioritaire de nos politiques publiques ; Déception, en revanche, pour les habitants de Moorea mis devant le fait accompli d'une parution au JOPF de la révision du PGEM de l'île soeur et donc un blanc-seing potentiel pour des projets immobiliers pas toujours bienvenus et contestables sur le plan environnemental et sociétal...

  • Projets immobiliers, PGEM, travaux contestés : les polémiques en cours (suite)

    La révision du PGEM de Moorea inquiète la population ; À Tiarei, un terrain de stockage de déchets suscite le ras-le bol des riverains ; Extraction de matériaux à Faaone  : le blocage d’une des deux voies d’accès à la vallée de la Mapuaura se poursuit ;  Interrogations à Papeno’o: la conclusion du commissaire enquêteur concernant le projet de nouveau barrage dans la valléeserait... favorable, malgré des centaines de refus notifiées par la population et "l'avis réservé" de la commune. 

  • En mer ou à terre, la problématique sauvegarde des « communs »

    Palangriers échoués aux Tuamotu : des opérations de dépollution sont en cours ; pollutions aux micro-plastiques dans les lagons de Ahe, Manihi et Takaroa : un programme de recherche est mené par l’Ifremer ; à Tautira, la montagne Tahuareva finalement dynamitée, malgré l’opposition de collectifs associatifs et culturels.

  • Justice: Chantiers contestés, navires échoués

    L'actualité concernant la protection de la biodiversité, l'environnement ou le développement durable a été peu fournie cette semaine. Crise Covid oblige, sans doute. La presse locale fait néanmoins état de polémiques dont le point commun est d'avoir été portées devant la Justice: projets immobiliers contestés à Moorea ; dynamitage de la montagne de Tahuareva à Tautira ; extractions contestées dans la vallée Mapuaura, à Faaone ; projet de porcherie à Taravao ; navires échoués aux Tuamotu.

  • Pollution marine, projet de porcherie, association contre promoteur immobilier

    Palangrier chinois échoué à Anuanurunga, aux Tuamotu ; projet de porcherie à Taravao ; contentieux fonciers, sociaux et environnementaux à Moorea: AvA-Infos suit régulièrement l'évolution de dossiers sensibles passés par la case "Justice" pour en connaître les tenants et aboutissants.

  • Visite présidentielle : quelques axes de réflexion

    L’actualité de la deuxième quinzaine du mois de juillet a été fortement marquée par la venue en Polynésie française du chef de l’État. Ce qui a sans doute laissé dans l’ombre d’autres sujets suivis habituellement par notre revue de presse AvA-Infos, dédiée à l’actualité de la protection de l’environnement et du développement durable. Pour autant, avec, notamment deux sujets polémiques mis en lumière (les conséquences des essais nucléaires et la crise Covid), elle incite à engager des réflexions de fond.

  • Environnement: inquiétudes à Tautira, Temae, Taravao, Anuanuranga

    Certains projets en cours (équipement routier, immobilier, porcherie) ou accidents récurrents (échouage de navire) sont sources potentielles de pollution ou de destruction de patrimoine commun et/ou culturel. Ils inquiètent une partie de la population: sauvetage de la montagne Tahuareva, à Tautira ; intervention écrite pour que la plage publique de Temae, à Moorea, ne soit pas privatisée au profit d'un hôtel ; demande de suspension de l'autorisation d'installation et d’exploitation d’un élevage industriel de porcs sur le plateau de Taravao ; échouage d'un palangrier chinois à Anuanuranga (Tuamotu).

  • L’environnement menacé : des travaux qui suscitent des contestations

    À Papenoo, avec un projet de nouveau barrage hydro-électrique ; à Faaone, avec un chantier d’extraction de roches ; à Tautira, un projet de dynamitage de rocher ; à l’installation en projet et l’exploitation d’une porcherie géante… Autant de sujets de discorde qui mobilisent riverains et associations, parfois jusqu’au blocage, voire jusqu’au tribunal. Et une bonne nouvelle à Marutea Nord avec le retrait du platier du thônier taiwanais échoué, le Sheng Long Yu 21.

  • Plusieurs chantiers contestés à Tahiti et Moorea

    À Tahiti et Moorea, plusieurs chantiers mobilisent l'incompréhension et l'hostilité de riverains et d'associations qui montent au créneau. Aux motifs de protection de l'environnement se mêlent parfois des considérations culturelles, foncières ou d'urbanisme, dans la crainte d'un développement « frénétique et irraisonné ». Dans tous les cas se pose la question d'un développement "durable" du fenua...

  • Tautira: des travaux de sécurisation qui font polémique

    Des travaux de sécurisation de la route de ceinture menés à Tautira, à la Presqu'île, soulèvent l'opposition d'une partie de la population. La polémique, essentiellement culturelle - le caractère sacré du site - a aussi une dimension environnementale puisque il est question de modifier un pan de montagne. La polémique a pris une tournure importante et a été relayée par les médias. Nous en rappellons ici le feuilleton.

  • Des chantiers et des contestations

    Plusieurs chantiers en cours ou en projet sont sources de polémiques, voire plus : contestation de travaux d'extractions jugés illégaux par les riverains dans la Mapuaura ; chantier de dynamitage contesté à Tautira ; projet lui aussi contesté de nouveau barrage dans la vallée de Papenoo ; regain d'action du collectif contre la porcherie industrielle du plateau de Taravao. Demande de confirmation, en appel, de la condamnation en 1ère instance pour pollution marine (thonier chinois) ; côté positif, le Pays et l'État ont décidé de mettre en place un réseau d'intervention pour lutter contre les pollutions marines.

  • Énergie, habitat, extraction de matériaux : quid de l'environnement ?

    Réalisation de chantiers pour une moindre dépendance aux énergies fossiles, en tout cas moins polluantes ; réglementation énergétique des bâtiments ; extraction de matériaux dans les rivières: autant d’activités au cœur de l’aménagement du territoire qui doivent être abordées avec le souci de l’environnement. Ce qui n’est parfois pas sans poser de problèmes avec des riverains inquiets…

  • Nucléaire: une table ronde qui pose question

    Le ministre des Outre-mer, Sébastien Lecornu, est à Tahiti pour une mission d'une semaine. Parmi les temps forts de sa visite, le fait nucléaire… L’occasion de faire un rappel de l’actualité en ce domaine sensible qui concerne à la fois la santé et l’environnement dans un contexte de débat politique… En jeu, une table ronde à l’invitation d’Emmanuel Macron. Une invitation à laquelle certains acteurs ne répondront pas... 

  • Remblais et extractions: des travaux qui inquiètent

    Les chantiers de remblai ou d'extraction de matériaux sont souvent l'occasion de menaces environnementales. Et, par conséquent de réactions de riverains ou d'associations qui s'inquiètent de conséquences négatives. En ce qui concerne le projet de remblai programmé à Punaauia pour l'aménagement du futur "Village tahitien", une enquête commodo & incommodo a été lancée. À Faaone, des entreprises privées sont accusées de dépasser le quota d'extractions autorisées. À Papenoo, c'est l'implantation d'un nouveau barrage hydraulique qui suscite les réactions.

  • Le réchauffement climatique ne doit pas passer « sous les radars »

    2020 est l’année la plus chaude enregistrée sur la planète, ex aequo avec 2016. Alors que l’alerte au changement climatique résonne depuis déjà plusieurs années, les mesures mises en place ne sont souvent pas à la hauteur de la situation : il faut réagir vite et mieux…

  • Aménagement du territoire: problèmes et études en cours

    Le sujet de l'aménagement du territoire n'est pas un sujet "sexy". Il ne fait aussi pas souvent "le buzz". Il est pourtant important de s'intéresser à la manière dont sont gérés les espaces communs confrontés comme ils le sont souvent à des logiques antagonistes: économiques, écologiques, sociétales... La dernière actualité a été riche de news relatives à cette problématique.

  • Environnement : Mobilisation citoyenne et actions de sensibilisation

    La cause environnementale doit parfois passer par une mobilisation citoyenne. C’est le cas à Moorea où l’on sait aussi agir dans des actions de nettoyage ou de sensibilisation, notamment auprès des élèves. Mais aussi à Punaauia et à Teva i Uta.

  • Environnement: mieux le connaître et le protéger

    Observation scientifique, mobilisation militante, approche artistique ou encore relation empathique envers des animaux représentatifs de la biodiversité en danger... Autant de manière d'apprendre à devenir responsables vis à vis de l'environnement dont, en fait, nous faisons partie intégrante.

  • Pollution ou destruction de l'environnement: des points sensibles

     "Grands projets" comme la ferme aquacole de Hao ou la Route du Sud, extraction illégale d'agrégats, DCP dérivants... un peu trop, impacts des particules de plastique liées à la perliculture, espèces envahissantes, littoraux en danger... la vigilance doit toujours être de mise.

  • Pollution électromagnétique: des habitants de Rangiroa inquiets

    La pollution n'est pas toujours visible. Les ondes électromagnétiques émises par les installations de télécommunication doivent être soumises à des normes rigoureuses. À rangiroa des habitants de Tiputa, inquiets pour leur santé, s'opposent à l'installation d'une antenne-relais.

  • Des infrastructures polémiques : Route du sud, nuisances sonores autour de l’aéroport de Tahiti/Faa’a

    Il est des dossiers qui fédèrent et d'autres qui fâchent. Reporté début juin après les élections municipales, l'examen du Schéma d’aménagement général (SAGE) est finalement revenu sur le bureau des représentants à l’APF… qui l’ont adopté, malgré une opposition vive. Les nuisances sonores dues à l’activité de l’aéroport de Tahiti/Faa’a suscitent aussi une réaction et… une pétition.

  • Le scandale du mois ! Du gazon synthétique sur le front de mer à Papeete

    AUE HO'I E ! Te Ora Naho, la FAPE (fédération des associations de protection de l’environnement) a décidé de remettre un prix mensuel des actions honteuses pour l'environnement et le développement durable en Polynésie française. Le gazon synthétique installé sur front de mer de Papeete est la première action du genre à être épinglée… Une pétition a par ailleurs été lancée par un collectif citoyen sur le réseau social Facebook.

  • Revue de presse : zoom sur l’actualité de l’environnement

    AvA-Infos poursuit sa veille et scanne les médias locaux à la quête des infos concernant le développement durable et la protection de l’environnement. A lire : deux actus problématiques et cinq propositions pour un développement plus autosuffisant et résilient.

  • L’environnement dans tous ses états

    La crise sanitaire liée à la Covid19 a largement éclipsé les problématiques environnementales. Pour autant, l'activité économique reprenant doucement sur le fenua après une stricte période de confinement, la récession est susceptible d’inciter le gouvernement local, comme l’ensemble des Etats, à mener une relance de l’activité en utilisant les moyens classiques du soutien aux entreprises et à la consommation. Le tout au détriment de l’environnement, un thème jugé secondaire par rapport à la croissance ? La vigilance doit rester de mise… aussi pour la population, qui doit s'impliquer dans plus d'écocitoyenneté.

     

  • Appel commun à la reconstruction : interpellons les décideurs pour une reconstruction écologique, sociale et sanitaire

    Une pétition lancée en Polynésie française interpelle le gouvernement pour qu'il déclare l'état d'urgence climatique. Au niveau national,plus de 70 associations, dont le Comité 21, ont lancé un appel commun à une reconstruction écologique, sociale et sanitaire. Une interpellation de la société civile, ouverte à la signature de tous, fondée sur des propositions concrètes...

  • Préparer “autrement” l'après-Covid19 et éviter une crise à venir

    Alors que le spectre du Covid19 semble s’en éloigner, la Polynésie s’est engagée depuis la fin du mois d’avril dans un processus de “déconfinement ” à l’issue duquel il est espéré une reprise de l’activité économique. Pour autant, avant la crise, la situation était-elle « normale » ? Des voix s’élèvent, sur le fenuacomme à l’international, pour préparer “autrement” l'après-coronavirus et éviter une crise à venir autrement plus importante.

  • L’ « après-confinement » : demain sera-t-il comme hier ?

    La Polynésie française sort du confinement imposé par les autorités afin de juguler une épidémie qui affecte le sort de millions de personnes dans le monde. Son économie en est fortement touchée… Mais peut on continuer comme avant à entretenir des pratiques consuméristes irréfléchies ?

  • Bateau de pêche chinois échoué à Aratua : risque de pollution et violation du Code de l'environnement

    A la mi-mars, un navire de pêche chinois s’est échoué sur le récif d’un atoll des Tuamotu, Arutua. Au risque de pollution, s’est ajoutée la constatation d’une infraction caractérisée des conditions imposées dans la ZEE de Polynésie française, sanctuaire protégé de requins. En avril, bien que les autorités du Pays et de l’Etat estiment qu’il n’y aurait pas eu pêche illégale à l’intérieur des eaux polynésiennes, la FAPE porte plainte pour détention d’espèces protégées dans ses cales, en violation de l’article LP 2211-3 du Code de l’environnement.

  • Le suivi du nucléaire menacé: les associations indignées

    Depuis des décennies, les victimes des essais nucléaires se battent pour connaître la vérité sur leurs conséquences sanitaires et environnementales. Par souci d'économies, le gouvernement (France) a décidé de supprimer de nombreuses commissions et autres organismes jugés inutiles grâce à son projet de loi de simplification de l'action publique. Parmi elles, la commission de suivi des conséquences des essais nucléaires. En Polynésie, les associations sont indignées.

  • Route du Sud: il y a des alternatives possibles

    Avec près de 650 expropriations potentielles, 500 hectares bitumés et des conséquences environnementales non négligeables, sans compter un investissement considérable, le projet de Route du Sud mobilise de la contestation, notamment à Paea… À l'approche des municipales, l’association Mata Atea invite à soutenir “toute liste électorale qui intégrera officiellement et sincèrement le rejet du projet” de Route du Sud.

  • Pollutions: encore et toujours... se battre !

     Des pehu encore abandonnés n'importe où, heureusement  des bénévoles et le mouvement citoyen pour le climat continuent leur lutte contre les déchets abandonnés sur les lieux publics ; un lâcher de ballons en plastique heureusement stoppé ; une pollution du lagon suite à un rejet d'eaux usées non contrôlé ; des car-bass encore accusés de pollution sonore ; 9 pesticides sur la sellette et de l'eau boueuse régulièrement déversée dans un lagon... À noter aussi, la découverte d'importants stocks de matériel électronique de communication, laissés sur place dans la montagne de Moorea.  

  • Actualité politique: le réchauffement climatique et la protection de l’environnement ne pourront être occultés

    Venue prochaine d'Emmanuel Macron en Polynésie française, élections municipales en cours… le réchauffement climatique et la protection de l’environnement ne pourront être occultés. C’est ce que veulent faire savoir de jeunes citoyens polynésiens qui ont entamé un tour de Tahiti à pied avec une brouette, suivi d’une incursion à Moorea pour sensibiliser la population mais aussi… les candidats. Seront-ils entendus ?

  • Climat: ça urge ! Au bord d’un point de rupture ?

    Le président de la République française, Emmanuel Macron, doit se rendre en Polynésie française en avril, pour y organiser notamment un "One Planet Summit” océanien sur le climat. Ce n’est pas un luxe ainsi que l’ont révélé les incendies récents survenus en Australie. Faut-il appeler à un "effort de guerre" pour répondre au défi du dérèglement climatique, comme l'a évoqué récemment Nicolas Hulot ?

  • Climat : "la maison brûle" et nous regardons ailleurs ?

    La 25e conférence pour le climat (COP 25), qui s'est tenue à Madrid et s’est achevée le 14 décembre dernier avait pour objet de tenter de trouver une réponse à la hauteur de la crise climatique. Elle a pourtant eu des résultats décevants, alors que l'Australie brûle comme jamais, que l'année 2019 a aussi été marquée par bon nombre de catastrophes naturelles ainsi qu'une forte mobilisation de la jeunesse. Cette COP 25 avait une valeur symbolique : il fallait aller plus loin que les accords de Paris sur le climat. Au lieu d'avancer, on a constaté une reculade et les rapports de force se sont durcis. L'outre-mer et la Polynésie ne seront pas épargnés... Mais la population semblait plus préoccupée par la préparation des fêtes de fin d'année !

  • On peut fêter Noël "autrement" !

    Noël n’a pas toujours été synonyme de surconsommation ! Comment fêter Noël autrement, en retrouvant le sens profond de cette fête du solstice d’hiver (dans l'hémisphère Nord) et célébrant le retour de la lumière ? Certaines initiatives ont proposé des alternatives pour rendre plus acceptable ce qui est finalement devenu une fête... de la consommation. D’autres ont été plus radicales, notamment les actions non violentes d’Extinction Rébellion pour dire « non à la surconsommation ! »

  • Consommation: un mois de novembre « green » ou « black » ?

    À un mois des fêtes de fin d'années, propices à la consommation, on a eu droit à une petite avant-première avec le battage commercial du Black Friday, prétexte à des soldes. De quoi relayer à l'arrière plan quelques initiatives - comme celle de la mairie de Punaauia avec ses 7e “Green Days” - visant à promouvoir des alternatives à nos habitudes en la matière. Un embryon de réaction à ce Black Friday a néanmoins  vu le jour à Tahiti, en relai des nombreuses manifestations qui se sont déroulées  dans le monde à cette occasion sous la désignation de “Block Friday”.

  • Marches pour le climat: Tahiti et Moorea au diapason de la planète

    Du 20 au 27 septembre, un nombre record de plus de 7.6 millions de personnes sont descendues dans les rues, dans le monde, et ont manifesté pour réclamer une action climatique à leurs gouvernants. Il s’agissait de la plus vaste mobilisation pour le climat de l’Histoire. En France, associations de défense de l’environnement, mouvements sociaux et particuliers ont appellé à marcher pour alerter face au réchauffement climatique et réclamer la fin des énergies fossiles. Le 21 septembre, une mobilisation a eu lieu à Tahiti et Moorea, certes moins impressionnante, mais marquant également une prise de conscience et une volonté de voir la problématique du réchauffement climatique réellement prise en compte par les autorités.

  • Transport : Peut-on trouver des alternatives au "tout bagnole" ?

    La problématique des transports est récurrente à Tahiti: embouteillages, pollution, accidents... Ce n'est pas l'augmentation des ventes de véhicules dont témoigne le succès du salon de l'auto qui risque d'apporter des solutions. Un Forum de l'écomobilité a été organisé à l'Assemblée de la Polynésie française. Arrivera-t-il à faire émerger des alternatives au tout bagnole ? La solution d'une voie rapide sur la côte ouest ne suscite pas en tout cas l'adhésion des habitants de Paea. 

  • Marches pour le climat: "System change, not climate change"

    Une semaine internationale pour le climat se déroule du 20 au 27 septembre, avec plusieurs moments forts dans de nombreux pays. En Polynésie française, le mouvement Citoyens pour le climat de Tahiti prévoit de se joindre à l'événement mondial de la Marche pour le climat, le samedi 21 septembre.

  • Chantiers à suivre…

    Certains projets aquacoles, industriels, touristiques ou immobiliers peuvent présenter des risques de dégradation de l’environnement. Ils mobilisent la réaction de riverains.

  • Le casse-tête de la pollution et de la gestion des déchets

    On ne peut pas parler de développement durable sans évoquer la question complexe de la gestion des déchets ni celle de la diminution des pollutions. Deux thématiques qui sont liées et qui impliquent la responsabilité des autorités mais aussi celle des entreprises et des habitants, même les plus jeunes.

  • Aménagement de rivières et concassage : les riverains sur la défensive

    Réunion houleuse, le 7 février, à la mairie de Papara à propos de l’aménagement et la sécurisation des berges de la Taharu’u. Les extractions dans cette rivière de Punaauia font l’objet depuis longtemps d’une opposition de la population. À Papeari, c’est l’installation d’une concasseuse qui fait débat.

  • Marches pour le climat : mobilisation de la société civile

    Le dimanche 27 janvier dans plusieurs villes de France, des dizaines de milliers de personnes ont "marché pour le climat", en appelant à lutter contre l’urgence climatique et l’urgence sociale. En Polynésie, une poignée de militants écologistes ont organisé deux tours de l'île afin de sensibiliser les Polynésiens à l'urgence d'agir. 

  • Sujets sensibles : ferme aquacole de Hao, CET, aménagements de rivière, déchèterie

    Ferme aquacole de Hao, projet de CET de Raiatea, travaux sur la rivière Taharu’u, projet de déchetterie à Punaauia, autant de sujets de questionnements.

  • Taiarapu-Est donne un avis défavorable au projet de porcherie industrielle

    Le projet de porcherie industrielle à Taravao suscite des inquiétudes depuis quelques mois. Un collectif s’est élevé contre ce projet en organisant notamment une marche à laquelle s’étaient joints plusieurs élus de Taiarapu-Ouest.

  • Opposition éco-citoyenne : marina, poissons en cage, porcherie industrielle

    Certains sujets environnementaux mobilisent la population. Ils font un temps l’objet de l’attention des médias puis disparaissent du fil de l’actu. Ils réapparaissent au fur et à mesure de leur développement. C’est le cas, notamment, d’un projet de marina à Raiatea et du sort des poissons installés dans des parcs en bordure du quai de la marina du front de mer à Papeete. Le projet de porcherie industrielle sur le plateau de Taravao soulève aussi une grosse opposition de la part des habitants de la Presqu’île.

  • Comment le réchauffement climatique impactera-t-il le fenua ?

    Le dernier rapport du Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC ou IPCC en anglais), constitué au sein des Nations Unies, tire à nouveau la sonnette d'alarme. Des marches en Europe et un sit -in de mobilisation à Tahiti ont été organisés pour attirer l'attention. Que faut il craindre le plus pour la Polynésie si les températures moyennes de la planète augmentaient de 1,5 voire de 2 degrés en 2040 ? 

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