AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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        actualités, revues de presse

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Éducation, Formation et Sensibilisation

  • Trois initiatives pour un fenua plus durable

    Trois initiatives, en ce début de novembre, pour mieux réconcilier l’homme, la nature et l’économie dans une société qui doit emprunter le chemin de sa transition écologique : promotion du bio, gestion durable d’entreprises, éducation et préservation de la biodiversité. 

  • En bref : “L'émotion de la découverte” pour la Fête de la Science 2021

    La 30e fête de la science a été inaugurée mercredi 10 novembre au parc Paofai et se déroule aussi à Moorea. Cette nouvelle édition est coordonnée par l'association Te mana o te moana, et a pour ambassadrice Laëtitia Hedouin, chargée de recherche au Criobe, le laboratoire d'étude des écosystèmes coralliens. L’occasion d’inviter les Polynésiens à devenir des observateurs des récifs polynésiens. Des interventions pédagogiques sont prévues dans les lycées et collèges de Tahiti et Moorea.

  • Des actions en faveur de l'environnement

    Associations, institutions, particuliers... se mobilisent pour la protection de la nature: l'association Manu poursuit ces actions de dératisation pour la protection des oiseaux ; à Moorea, on se préoccupe de la situation d’envahissement de la petite fourmi de feu ; la Direction de la Biosécurité agit pour empêcher l'infestation des cocotiers par des insectes xylophages ;  Herehia Helme scrute l'état de santé de deux rivières de Tahiti ; Titouan Bernicot, fondateur de Coral Gardeners, a été choisi pour participeraux  "Young activity summit" ; à Nuku Hiva, un mariage éco-responsable pour Hinenao Kimitete et Tehotu Tauraatua; à Moorea, l'écomusée Te Fare Natura flirte avec le thème de Halloween ; à Raiatea, projet d'un nouvel écolodge ; à Moorea, des projets immobiliers contestés.

  • Déchets: des problèmes mais aussi... des solutions

    Le fenua est confronté à des problèmes récurrents de déchets abandonnés, et donc de pollution, dont la gestion n'est pas suffisamment bien traitée. Pour preuve, ces tonnes toujours ramassées régulièrement dans la baie de Vaitupa, à Faa'a, ou encore les fleurs artificielles plus ou moins abandonnées dans les cimetières. La Chambre territoriale des comptes (CTC) a réalisé un tour d’horizon des actions ou inactions dans ces matières. Des solutions émergent cependant, qu'il reste à mettre en place de manière massive...

  • En bref: mieux connaître la nature

    Il y a plusieurs façons de découvrir la nature, ses richesses naturelles et la culture qui s'est développée au fil des générations à son contact. En immersion par la pratique de randonnée, ou en découvrant un site dédié à la connaissance de ses divers aspects, comme l'écomusée Fare Natura à Moorea.

  • L'alimentation en question : privilégier l'autonomie et la qualité

    Notre assiette constitue le socle incontournable du changement que nous souhaitons pour notre santé et celle de la planète. La crise sanitaire actuelle démontre à l'envi que les pathologies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires...) qui affectent une grande partie des Polynésiens ont notamment pour cause une mauvaise alimentation. D'où la nécessité d'établir un diagnostic du système alimentaire du fenua ; l'intérêt aussi de retourner vers une alimentation plus traditionnelle mettant en valeur ses produits ; ce qui implique, pour plus d'autonomie alimentaire, d'accompagner les porteurs de projets agricoles ; de faire connaître la préparation et l’utilisation d’engrais à base de déchets de poisson comme engrais naturel ;sans oublier de développer le sens du goût chez les jeunes...

     

  • Appels à la créativité citoyenne pour un fenua plus résilient

    La société civile peut être consultée ou bénéficier d'aides, qu'il s'agisse de protection de l'environnement, de responsabilité sociale ou de l'émergence d'initiatives citoyennes. Sont bienvenus, en ce début octobre :  deux concours adressés aux élèves sur les thèmes de la biodiversité terrestre ou des milieux naturels terrestres ; la création d'une instance de consultation de la société civile concernant l’aire marine gérée Tainui ātea; des formations gratuites pour les responsables d’associations ; un appel à projets pour l'émergence de projets des citoyen-ne-s d'une commune.

  • Développement durable : des initiatives en cours

    Le développement durable s’invite au cœur d’activités qui ont une importance dans la vie quotidienne : protection de la biodiversité, traitement des déchets, alimentation, tourisme. Il y a encore beaucoup de choses à dynamiser mais des initiatives, pionnières ou plus avancées, indiquent le chemin à suivre.

  • Cinq thématiques du DD au conseil des ministres du 8 septembre

    Cinq sujets liés à des thématiques du développement durable (éducation, environnement, solidarité) ont notamment fait l'objet du conseil des ministres de ce mercredi 8 septembre:  Dépôt de la marque « Aire Marine Éducative » ; Biosécurité à Rimatara; Biosécurité aux Marquises ; approbation du PGEM de Moorea révisé ;Aide à la Fondation Agir Contre l’Exclusion.

  • Culture et environnement : trois projets porteurs d’avenir

    Small Island Big Song : un projet mettant au-devant de la scène des musiciens de 16 nations insulaires des océans Pacifique et Indien, leurs préoccupations et expériences communes concernant la crise climatique ; un stage de découverte de l'environnement permet aux animateurs de randonnées pédestres de mieux comprendre et d'interpréter les paysages, et donc de mieux les sauvegarder ; Philippe Darius est fondateur d’Ekopia Tahiti, une école qui encourage et accompagne ceux qui le souhaitent à transformer leur jardin en fa’a’apu nourricier. Il travaille actuellement avec une équipe à la réalisation d’un ebook qui rassemblera 100 plantes utiles de Tahiti.

  • Pour un environnement mieux préservé: des initiatives à suivre

    Le réchauffement climatique, l'actualité le démontre, ne doit pas faire oublier d'autres problématiques qui lui sont associées dans la vie de tous les jours. La protection de la biodiversité, le tourisme durable dans une perspective de transition écologique, la création dejardins partagés associatifs et communaux, la formation à une agriculture elle aussi “durable”. On n'oubliera pas non plus la sensibilisation par le biais de création expressive (BD, écriture, image...). Le dépôt sauvage de déchets par une population encore inconsciente des conséquences de gestes irréfléchis ou égoïstes nécessite encore, hélas, l'action de bénévoles. Quant aux chiens errants, ils méritent un meilleur sort que celui qui leur est souvent réservé.Aux Marquises, l’association Nuku Hiva Animara est en cours de création pour y remédier.

  • Santé, environnement, économie, métiers d’art : l’alimentation au cœur de l’éducation

    Le dispositif « Ecole en santé » de Polynésie française a pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé accessibles à l’école, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves ; la notion de circuit court est enseignée dès la maternelle, où les tout petits apprennent à manger les légumes qu'ils cultivent ; un projet de loi à l’étude pour imposer une part minimale de produits locaux dans l’élaboration des menus de la restauration scolaire ; au Centre des métiers d’art, le regard d’artistes en formation sur l’environnement, la biodiversité, l’alimentation.

  • Préserver l'océan et apprendre à le connaître

    L'océan constitue une réserve de biodiversité équivalente ou supérieure à celle des forêts tropicales. Si des animaux emblématiques comme les baleines – celles-ci reviennent encore dans nos eaux – on peut s'en réjouir. Moins de voir des tortues blessées car ayant été fléchées ! La DIREN et Mata Tohora rappellent des mesures élémentaires dans l’approche de ces animaux. L’éducation dispensée aux élèves dans le cadre des Aires marines éducatives (AME) peut contribuer à plus de responsabilité dans notre rapport à l’océan.

  • Alimentation durable : petite revue de presse

    Mettre en place un schéma d’alimentation durable, c’est mettre en avant une dimension économique, une dimension environnementale, une dimension sociale. Petite revue de presse de l’actualité récente : marché du terroir ; expérience de manger 100% local pendant un mois ; ressources de la noix de coco ; aquaponie ; projet de mise en terre de plantes endémiques à Moorea.

  • Une semaine dédiée à la protection de l’océan

    Cette année, la Journée mondiale de l’Océan, fêtée le 8 juin, se poursuit pendant plusieurs jours à Tahiti. Nana sac plastique, la FAPE et Pew Bertarelli organisent un événement festif et participatif jusqu’au 19 juin. D’autres acteurs - associations, RSMA, coopérative de pêche, IIME...-  ont aussi organisé des événements pour sensibiliser la population à l’importance d’en protéger l’intégrité.

  • Petite revue d'efforts collectifs pour un fenua durable

    L’émergence d’un développement plus “durable”, au sein d’une nature respectée et protégée, est le fruit d’efforts collectifs. Qu’ils viennent d’associations, parfois avec le soutien d’entreprises, ou d’institutions publiques : ramassage de déchets et sensibilisation locale, préservation d’un biotope en danger, recyclage et conception de produits ménagers naturels, protection de la ressource halieutique, amélioration des services publics environnementaux… C’est la dernière moisson de cette revue de presse.

  • Deux plaies : la pollution sonore et la cruauté envers les animaux

    Deux associations s’impliquent dans un combat autant écologique que sociétal. Lutter contre la pollution sonore est un enjeu politique, écologique et sanitaire majeur. En plus de ses effets néfastes sur notre santé physique et psychologique, elle affecte de façon négative la biodiversité de notre environnement (avec Te Ora Hau). La cruauté envers les animaux dénote aussi une attitude irresponsable à l’égard d’êtres vivants sensibles et devrait pousser à réagir (avec l’ARPAP).

  • Biodiversité : poursuivre la veille et la protection

    La nature est riche de signes qui indiquent les variations de saisons, par exemple. Autant de situations que les enfants doivent apprendre à reconnaître dans le cadre des aires marines éducatives qu’ils apprennent à découvrir dans le cadre de leur enseignement scolaire. Quant aux « bikers », ils ne font pas que manger du bitume. Ils s’investissent pour aider à lutter contre la petite fourmi de feu.

  • Une production saine et locale ? Votez avec votre fourchette

    Lutte contre le gaspillage alimentaire, desserts sans sucre ajouté, composition d’une assiette équilibrée, vaisselle à usage unique en matière écoresponsable, l’agriculture métier d’avenir, valorisation des déchets de poissons, trésors de la noix de coco... De multiples ingrédients composent la recette d'une alimentation saine. Et deux événements à suivre en mai pour mieux consommer local.

  • Ils s'investissent pour protéger l’environnement : petite revue de presse

    Des gestes d’incivisme contribuent toujours à polluer notre environnement, hélas ! Mais des réactions positives et des actions de sensibilisation se font aussi heureusement connaître, à Tahiti et dans les îles. Petit tour de l’actualité dédiée à cette thématique. L’occasion de découvrir les associations, les individus et le institutions qui s’y investissent.

  • FOCUS : devenir « consom’acteurs » de l’actualité de la transition écologique

    Vous souhaitez trouver une information ciblée et sourcée sur la transition écologique en cours en Polynésie française ? Suivre l’actualité de la protection de l’environnement et des initiatives dédiées à son développement durable ? Les news de AvA-Infos proposent chaque semaine une revue de presse des sujets traités par les médias locaux.

  • La culture au service de la protection de l'environnement

    La culture contribue à la durabilité environnementale de différentes façons, grâce aux liens intrinsèques entre diversité culturelle et biodiversité, grâce à l’influence qu’elle exerce sur les modes de consommation, mais aussi à travers les pratiques de gestion de l’environnement liées aux connaissances traditionnelles et locales. Certaines facettes de l’art contemporain peuvent aussi y participer…

  • Protéger la faune sauvage

    Les activités humaines ne sont pas exemptes d'impacts destructeurs sur la faune sauvage. Dans un contexte de biodiversité menacée, à l'échelle mondiale, la Polynésie se devrait d'être exemplaire. Un épisode de l'émission d'aventure télévisée Koh-Lanta ne milite pas dans ce sens. La pollution et les empêtrements provoqués par du matériel de pêche abandonné, non plus. La DIREN rappelle les règles de sécurité à prendre en cas de découverte d’un animal blessé ou mort sur une plage ou le récif. Des associations œuvrent heureusement en organisant différentes actions de conservation.

  • Environnement : Mobilisation citoyenne et actions de sensibilisation

    La cause environnementale doit parfois passer par une mobilisation citoyenne. C’est le cas à Moorea où l’on sait aussi agir dans des actions de nettoyage ou de sensibilisation, notamment auprès des élèves. Mais aussi à Punaauia et à Teva i Uta.

  • Alimentation: vers un développement local durable

    Une approche globale de l'alimentation permet de prendre en compte de nombreux enjeux de développement durable : modes de production agricole, santé et nutrition, aménagement du territoire et foncier, éducation, cohésion sociale et mieux vivre ensemble… 

  • Alimentation: les métiers de la terre revalorisés

    Et si la prochaine crise n'était pas sanitaire mais alimentaire ? Redynamiser le secteur agricole c'est: créer de l'emploi; nourrir les gens avec des produits de qualité pour les garder en bonne santé; favoriser la biodiversité; créer du lien social; repeupler les districts et les îles ; augmenter la résilience du territoire; développer l'Agri-tourisme; limiter nos importations...

  • Solidarité v/s écologie: c'est possible

    Initiative alternative d'uncollectif d'artistes et d'artisans, espace de réparation collaboratif, ateliers ludiques axés sur la biodiversité, activités pédagogiques pour que le public adopte un comportement éco-responsable... Décembre a été propice à la découverte de propositions positives pour un mieux vivre ensemble, solidaire et écologique.

     

  • Développement durable: sensibilisation et actions en cours

     Sensibilisation au tourisme éco-culturel, semaine "santé, développement durable", formation à l'agriculture, valorisation des déchets de poisson, "upcycling", engagement pour la propreté d'un littoral... autant d'initiatives pour un fenua plus "durable" à faire connaître et à soutenir.

  • Conseil des ministres : subventions à des associations

    Des subventions ont été octroyées à des associations engagées dans le développement durable, lors du Conseil des ministres du 25 novembre et du 2 décembre: Solidarité Productive, Espace Info Énergie, PGEM Moorea, Puna Reo Piha’e’ina, Rima Ura. Le foyer socio-éducatif du collège de Taravao a aussi été soutenu.

  • Développement durable : sur le front de la sensibilisation

    Alimentation, solidarité, traitement des déchets, santé, lutte contre la pollution : associations, écoles et institutions… développent des actions diverses et variées, concrètes ou artistiques, pour inciter la population à adopter des comportements plus écologiques et plus solidaires. De beaux exemples de la transversalité nécessaire au développement durable.

  • Biodiversité: associations et écoles se mobilisent pour la protéger

    Réchauffement climatique, pollutions, impacts des activités humaines... la biodiversité est menacée. Mais des initiatives émergent pour tenter de répondre à ce défi. Campagnes de protection ou de sensibilisation, animations pédagogiques, subventions de projets... des solutions émergent. 

  • Nature et culture : une symbiose bienvenue

    Célébration de Matarii i ni'a à Papenoo et à Arue, pour la rentrée dans la saison d'abondance ; découverte des jardins de Vaipahi, à Mataiea,un lieu de détente dans un site autrefois réservé aux rites religieux de purification et départ de randonnées ; dernière étape de la construction en cours, à Moorea, du Fare Natura, premier écomusée de Polynésie française.

  • Protection de l'environnement : des initiatives associatives pour faire avancer la cause

    La protection de l'environnement demande de l'engagement. Des associations - parfois soutenues par les pouvoirs publics ou des institutions internationales -  ou des initiatives particulières permettent la mise en place de programmes d'action ou de sensibilisation pour faire évoluer les mentalités et défendre l'intégrité de nos milieux de vie.

  • Le concept polynésien d’Aire marine éducative (AME) en plein essor

    En octobre, le Pays a déposé à l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) la «marque » Aire marine éducative (AME), concept aujourd’hui adopté dans toute la France. Nées en 2012 aux Marquises, les aires marines éducatives (AME) permettent à des élèves et leur enseignant de gérer de manière participative une zone maritime littorale de petite taille.

  • Evénements: des salons à la mode écodurable

    Il n’existe pas encore en Polynésie française de salons spécifiquement dédiés aux thématiques du développent durable et de la protection de l’environnement. Mais certains événements organisés au fenua laissent augurer d’une (encore timide ) percée. L’occasion d’en relever l’organisation en ce début d’octobre: la Fête de la Science, le Salon Made in Fenua et un premier "Local Market", à Papeete.

  • La protection de l'environnement est une affaire de tous les jours

    Pollutions, gestion des déchets, espèces invasives, sauvegarde des coraux, comportements (ir)respectueux envers la faune marine (baleines)... Il y a ceux qui perturbent inconsciemment (ou par avidité) les écosystèmes et dont les dégâts doivent être réparés. Et il y a aussi ceux qui agissent pour un fenua plus "durable" ! Petite revue de presse.

  • Société, économie, culture, environnement : déployer un regard transversal

    Appréhender la thématique du développement durable, c’est intégrer la notion de “transversalité” entre des domaines apparemment loin les uns des autres… Tout est lié ! : éco-mobilité, alimentation durable, société : éducation et sensibilisation, culture, protection de l’environnement et de la biodiversité. Le mois de septembre est riche en initiatives. Les médias locaux en ont parlé, mais de façon dispersée. Il est opportun de les contextualiser dans cette perspective.

  • Ils sont des gardiens de la nature: zoom sur une douzaine d'initiatives

    Associations, écrivains, scientifiques... se mobilisent pour protéger ou mettre en valeur la nature. Particulièrement la richesse et la fragilité de sa biodiversité. L'actualité de ces dernières semaines a été riche d'événements ou de publications relayés par les médias. Des initiatives à suivre et à encourager !

  • La nature du fenua, un monde à découvrir et... à respecter

    La nature et toutes ses ressources, indispensables au développement de la vie sur Terre, sont aujourd'hui confrontées à de multiples menaces. Des passionnés s’engagent pour les protéger : sommet, grotte (site culturel), plantes médicinales ou tinctoriales, espèces endémiques…

  • Environnement: être plus attentif à la nature pour mieux la protéger

    La protection de l’environnement passe aussi, et d’abord, par une attention plus grande donnée à la nature et à ses composantes : qu’elles soient animales ou végétales. Depuis le début du mois d’août, plusieurs actions en cours.

  • Les déchets : un problème ou une ressource possible ?

    Il y a ceux qui polluent sans vergogne… et il y a ceux qui cherchent (et qui proposent) des solutions. La gestion des déchets n’en finit pas de se poser. Régulièrement, des collectifs de citoyens et des associations se mobilisent pour nettoyer des sites publics pollués par des “cons-ommateurs” irresponsables. Mais est-ce voué à se perpétuer sans fin ?

  • Le développement durable : à la croisée de l'économie, de la société et de l'environnement

    Le développement durable représente un savant mélange de politiques économiques, sociales et environnementales pour aujourd'hui et… pour demain. Ce qui n’est pas toujours facile à marier. Institutions, administrations, associations, acteurs politiques et société civiles peuvent concourir à faire émerger des solutions innovantes, respectueuses de la nature et de l’humain. Quand… tout ce monde s’accorde ! Sans oublier la solidarité envers les plus démunis !

  • Environnement: plusieurs action de protection en cours

    Protéger l'environnement, c'est préserver la survie et l'avenir du fenua.Des actions sont en cours pouréviter la pollution d'un récif des Tuamotu, sauvegarder la faune marine (requins et cétacés) ou des oiseaux endémiques... Petits coups de projecteur sur des acteurs, associatifs ou publics, qui  participent en ce moment à sa protection.

  • Ils s’engagent pour mieux protéger l’environnement : quelques news de juin

    Aires marines éducatives à Moorea, sentiers pédestres à Raiatea, protection des cétacés dans le chenal entre Tahiti et l’île-sœur, ou encore sensibilisation à l’environnement… petit coup de projecteur sur quelques projets qui ont pris leur envol dernièrement.

  • Quel après Covid19 voulons nous voir advenir ?

    La tension médiatique autour de la pandémie Covid19 se relâchant, l'actualité concernant la protection de l'environnement refait surface dans les médias locaux. Le mois de juin va aussi être l'occasion de rendre plus visibles les démarches éco-responsables initiées sur le fenua: sensibilisation au changement climatique, agriculture saine et durable, gestion des déchets...

  • Revue de presse : zoom sur l’actualité de l’environnement

    AvA-Infos poursuit sa veille et scanne les médias locaux à la quête des infos concernant le développement durable et la protection de l’environnement. A lire : deux actus problématiques et cinq propositions pour un développement plus autosuffisant et résilient.

  • La protection de l’environnement, toujours d’actualité !

    La crise sanitaire ne doit pas faire oublier les nécessités de protection de l’environnement. Si les associations ne peuvent plus continuer leurs actions de terrain, elles n’en continuent pas moins leurs activités de sensibilisation. Le gouvernement, de son côté, précise son plan d’actions pour la gestion du navire chinois échoué à Arutua, qui présente, en son état actuel, de nombreux risques écologiques.

  • Le confinement générateur de solidarité et de créativité

    Le confinement annoncé par le gouvernement pour stopper la propagation de l’épidémie de coronavirus est peut-être l’occasion de redécouvrir l’importance de nos liens. C’est le moment de s’intéresser aux personnes les plus fragiles en ces temps difficiles, d’inventer une autre manière de cultiver ses relations, de découvrir des formes de créativité et une manière plus équilibrée de s’alimenter, le moment aussi peut-être de se reconnecter à l’essentiel. De nombreux élans de solidarité se manifestent.

  • Coronavirus - Réflexions pour l’après-Covid-19

    De crise sanitaire localisée, la pandémie du Covid-19 est devenue en un temps record une crise économique et sociale mondiale. Elle montre de façon dramatique l’interdépendance des trois piliers du développement durable : l’environnement, le social et l’économie et la nécessité de changer notre modèle de production et nos modes de vie. Quelques réflexions issues du tissu associatif, local et international.

  • A lire: "Le Plus Grand Défi de l'histoire de l'Humanité"

    « L’écologie est-elle une victime collatérale de l'épidémie ? », interroge un article récent du journal Le Monde. En ce temps de confinement, mettez entre parenthèses toute autre lecture, et lisez cet ouvrage en priorité. Aucun autre sujet ne devrait avoir plus d'importance que celui de la vie que nous détruisons. Ce sujet doit être pris très au sérieux, et partagé au plus grand nombre. Il est temps de se préoccuper (enfin) de ce qui compte réellement dans notre existence.

  • Associations/engagement éco-citoyen: (petite revue de presse du 01 au 10/02/20)

     L’engagement dans la vie de la cité ne se réduit pas aux seules élections, et il y a bien d’autres occasions pour chacun d’investir et de s’investir dans la vie collective. Petite revue de presse dédiée pour la période du 1 au 10 février.

  • Comment la culture peut-elle contribuer à la protection de l'environnement ?

    Espace numérique et audiovisuel, lecture, conférences, préservation des langues polynésiennes,  partage de valeurs traditionnelles… autant de facettes de la culture qui peuvent être abordées avec une conscience écologique.

  • Le diabète, "catastrophe" sanitaire pour le Cesec

    Dans un rapport adopté à l'unanimité, les conseillers de la quatrième institution du Pays, le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), ont interpellé les responsables politiques au sujet de la situation du diabète en Polynésie et recommandent diverses mesures pour faire face à cette "catastrophe" sanitaire. Cette problématique n'est pas que sanitaire, au sens strict. Elle concerne l'évolution de la société polynésienne dans son ensemble. Le modèle actuel est-il "durable" ?

  • À découvrir, six initiatives éco-culturelles pour le fenua

    Selon l'Unesco, "la culture crée un monde riche et varié qui élargit les choix possibles, nourrit les capacités et les valeurs humaines, et est donc un ressort fondamental du développement durable des communautés, des peuples et des nations". Entre tradition et modernité, préservation de la culture et des enjeux environnementaux vont de pair.

  • Vers une mobilité plus douce en ville : un "schéma cyclable" en cours

    L'éco-mobilité est plus simple à mettre en œuvre, donc plus souvent pratiquée, en milieu urbain. Des moyens techniques et des alternatives existent, et des mesures politiques ont montré des effets positifs dans certaines villes ou régions. À Tahiti, dans le grand Papeete, des initiatives commencent à voir le jour avec des dispositifs visant mettre en place un "schéma cyclable”. En mer aussi, on peut envisager une mobilité douce.

  • Mieux connaître et protéger la biodiversité du fenua

     Lorsque la perte de biodiversité se produit, la santé des écosystèmes est affectée. Ils deviennent moins résilients lorsque certaines de leurs composantes sont perdues en raison de l'extinction ou de la disparition. Ils ne peuvent alors plus s'adapter aux changements environnementaux. D'où l'importance de certaines démarches scientifiques pour mieux en comprendre les différents aspects. D'où, aussi, l'importance de communiquer à ce sujet et de respecter les réglementations qui protègent les différents milieux naturels. L'actualité d'octobre.

  • 3e Opération 'Ete: privilégier paniers marché, cabas et sacs recyclables

    La troisième édition de l’opération ‘Ete a été lancée. Le principe reste le même : jusqu’à la fin décembre, les Polynésiens sont incités à remplacer les sacs plastiques pour faire leurs courses, par des paniers marché, cabas et sacs recyclables. Tissus, tressages… l’idée est de montrer que les savoir-faire locaux constituent une véritable alternative au plastique. Pour cette édition 2019, un nouveau concept baptisé « mon ‘Ete et moi » a vu le jour. Il s’agit d’une campagne de promotion qui invite le grand public à créer lui-même, à partir de matières premières locales, un panier personnalisé, qui lui ressemble et qui se veut avant tout pratique, donc réutilisable. Un concours est lancé pour récompenser les plus beaux paniers marché.

  • Protection de l'océan: les Polynésiens estiment qu'il faut mieux faire

    Une conférence était organisée le lundi 14 octobre par l’ONG Pew pour présenter les résultats d’un sondage d’opinion sur la protection de l’océan en Polynésie française. Près de 80% des Polynésiens pensent que l’océan en Polynésie française est en mauvaise santé et insuffisamment protégé. Environ 90% d’entre eux souhaitent la création de rahuidans leur lagon. Les projets de grandes aires marines protégées aux Australes et aux Marquises sont largement plébiscités par une grande majorité de la population de ces archipels.

  • Marches pour le climat: Tahiti et Moorea au diapason de la planète

    Du 20 au 27 septembre, un nombre record de plus de 7.6 millions de personnes sont descendues dans les rues, dans le monde, et ont manifesté pour réclamer une action climatique à leurs gouvernants. Il s’agissait de la plus vaste mobilisation pour le climat de l’Histoire. En France, associations de défense de l’environnement, mouvements sociaux et particuliers ont appellé à marcher pour alerter face au réchauffement climatique et réclamer la fin des énergies fossiles. Le 21 septembre, une mobilisation a eu lieu à Tahiti et Moorea, certes moins impressionnante, mais marquant également une prise de conscience et une volonté de voir la problématique du réchauffement climatique réellement prise en compte par les autorités.

  • L'océan célébré lors de la semaine du patrimoine à Punaauia

    La semaine du patrimoine, qui s'est tenue du 20 au 27 septembre au Fare Oire, a été l'occasion de célébrer la culture polynésienne et les richesses de la ville de Punaauia ! Avec, comme thème "Te Moana", cette deuxième édition offrait aux visiteurs la possibilité de s’immerger dans l'héritage marin de la commune et de se sensibiliser à sa protection et à sa sauvegarde.

  • Justice sociale et justice climatique: même combat ?

    Justices climatique, sociale et fiscale sont liées et il faut que ce soit pris en compte pour pouvoir prendre des mesures cohérentes. Pauvreté, inégalités, violences, suicides, obésité, addictions aux écrans, illetrisme... Autant de pathologies sociales qui empêchent la société polynésienne de se développer harmonieusement et de façon réellement "durable. Des dispositions de rééquilibrage sont engagées par des institutions et des associations.

  • Marches pour le climat: "System change, not climate change"

    Une semaine internationale pour le climat se déroule du 20 au 27 septembre, avec plusieurs moments forts dans de nombreux pays. En Polynésie française, le mouvement Citoyens pour le climat de Tahiti prévoit de se joindre à l'événement mondial de la Marche pour le climat, le samedi 21 septembre.

  • Sensibiliser à la protection des cétacés: une sculpture de dauphin au musée de Tahiti

    Une sculpture en métal représentant un dauphin a été inaugurée le mercredi 28 août dans le jardin du Musée de Tahiti et des Îles – Te Fare Manaha. Il s’agit d'une sculpture à taille réelle afin de marquer les esprits et servir comme support sensoriel de sensibilisation et de communication auprès d’un public résident mais aussi des touristes visitant le musée.

  • En juillet, une vingtaine d'initiatives "éco-durables"

     

    Préservation de l'environnement; agriculture et alimentation plus respectueuses de la nature et de la santé humaine; réduction de la consommation d'énergie, si possible renouvelable; gestion et recyclage des déchets ; traitement de l'eau; activités économiques soucieuses de l'écologie; éducation... Le mois de juillet a été riche en initiatives "éco-durables".

  • Tourisme : vert ou pas vert ?

    L'écotourisme est l'un des secteurs qui connaît le plus fort taux de popularité dans le monde, à l'inverse du tourisme de masse qui dégrade les milieux naturels, en intégrant une dimension éthique et écocitoyenne. Deux exemple de projets polynésiens à découvrir : Makatea et le Mont Aorai ; et un questionnement : à Bora Bora. Quel impact aura la construction d’un nouvel hôtel ? La population invitée à consulter une étude.

  • "Mana Honu", la nouvelle mascotte de Te Mana o te Moana

    À l’occasion de la Journée mondiale de l’océan, l’association Te Mano O Te Moana a présenté la mascotte de son nouveau projet de sensibilisation à la pollution plastique. Avec son slogan « Aita te pehu ! » (« non aux déchets ! » en tahitien), Mana Honu, ou « La tortue sage », est le symbole de l’une de ses activités de protection de la nature.

  • Des écoles impliquées dans la protection de l’environnement

    En Polynésie française, les établissements scolaires sont de plus en plus nombreux à s'impliquer et à sensibiliser leurs élèves au développement durable. En juin, l'actualité a fait état de  l'activité de certains d'entre eux. Que ce soit au sein du programme d'Aires Marines Éducatives (Tubuai et Tahiti), et d'Éco-lycées (Nuku Hiva) , ou encore avec la construction de la première école bioclimatique (Moorea).

  • Journée mondiale de l’Océan: la jeunesse concernée

    La cause environnementale est un enjeu de société. Les "marches pour le climat" organisées en mars dernier ont montré une mobilisation de nombreux jeunes pour cette cause qui touche, plus que toutes les autres, leur génération. Cet investissement s’est ressenti à nouveau dans l’organisation de plusieurs événements à l’occasion de la Journée mondiale de l’Océan.

  • Initiatives citoyennes de protection de l’environnement

    Que ce soit par l’intermédiaire d’associations ou d’écoles, la société civile polynésienne peut intervenir pour protéger l’environnement. Sauvegarde des tortues marines, ramassage de déchets lors de compétitions sportives, gestion participative d’une zone littorale, prélèvement de matériaux en rivière… autant d’exemples à (re)découvrir.

  • Culture: des nourritures pour le corps… et pour l’esprit

    S’il est nécessaire de dénoncer et d’alerter face à des situations critiques…il est aussi bon d'informer et de sensibiliser. De nombreuses actions étaient à relever, en avril: concert, festivals, conférences, pièce de théâtre, BD... Elles touchent à plusieurs domaines du "développement durable" dont les problématiques sont, par essence, transversales.

  • Un autre regard sur notre environnement quotidien

    L’embellissement du cadre de vie urbain et péri-urbain est aussi une façon de contribuer à l’amélioration du cadre de vie. Le concours “J’embellis ma commune” a démarré le 15 février. Sur le port de Papeete, 16 bennes à déchets du port de Papeete ont été confiées à cinq artistes.

  • Petite revue de presse : Alimentation (février 2019)

    Les fruits et les légumes n’arrivent pas par miracle dans nos assiettes. Le temps, les insectes… et donc l’environnement y ont leur part. Regard sur quelques initiatives pour une plus grande autonomie alimentaire et zoom sur la promotion d’une agriculture de qualité.

  • Marches pour le climat : mobilisation de la société civile

    Le dimanche 27 janvier dans plusieurs villes de France, des dizaines de milliers de personnes ont "marché pour le climat", en appelant à lutter contre l’urgence climatique et l’urgence sociale. En Polynésie, une poignée de militants écologistes ont organisé deux tours de l'île afin de sensibiliser les Polynésiens à l'urgence d'agir. 

  • 25 projets de rahui et de protection des lagons

    Les fondations Pew Charitable Trust et Bertarelli ont mis une brochure en ligne présentant les 25 initiatives écolo qui œuvrent pour la protection de nos côtes et nos lagons, dans les différents archipels de Polynésie française.

  • Petite revue de presse : décembre 2018 en bref

    AvA-Infos s’efforce de donner un fil conducteur à ses revues de presse en identifiant la thématique des articles mentionnés. Nous vous proposons ici, en vrac, un tifaifai de sujets variés qui ont tous un lien avec le développement durable et la protection de l’environnement. L’occasion de comprendre que ces problématiques sont transversales et concernent la société dans sa globalité.

  • Alcool, tabac, obésité, diabète… un combat toujours d'actualité

    Donner les moyens de vivre une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tous les âges est essentiel pour le développement durable. La santé des populations et de son écosystème " terre " ne peuvent qu'aller de pair. Les problèmes sont récurrents en Polynésie française : alcool, tabac, obésité, diabète…, il y a encore des progrès à faire. Mais des initiatives positives sont engagées

  • Pollution : encore des progrès à faire en matière d’éco-civisme

    Il est à craindre que les problèmes de pollution soient encore longtemps un sujet d’actualité. Même si l’incivisme ou l’irrespect des règles sont en partie compensés par l’engagement citoyen. Communes et sociétés ne sont pas exemptées de se conformer à la législation…

  • Des fêtes de fin d’année « écolo » ? C’est possible !

    Les fêtes de fin d’année représentent un moment fort, entre tradition et consommation effrénée. Halloween, Black Friday, maintenant Noël et bientôt le Nouvel An… tout est prétexte à oublier que l’on n’a qu’une planète. Le réchauffement climatique ? Oublié ! La pollution par les emballages plastique ? Oubliée ! L’obsolescence programmée des objets ? Oubliée ! Et si l’on pensait “autrement” cette période de convivialité…

  • Dérèglement climatique : La COP24 part mal. Il est urgent de réagir

    La vingt-quatrième session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP24) se tient du 2 au 14 décembre en Pologne. L’une des tâches les plus importantes de la COP24 consistera à élaborer et adopter un ensemble de décisions garantissant la pleine application de l’Accord de Paris, conformément aux décisions adoptées à Paris (COP21) et à Marrakech (CMA1.1). En outre, elle inclura le «dialogue de facilitation» destiné à soutenir la mise en œuvre des engagements nationaux pris à Paris en 2015.

  • Protéger l’océan : réglementer, surveiller, réprimer mais aussi sensibiliser

    Qu’il s’agisse de la ressource halieutique en haute mer ou de la « nurserie » que représentent les récifs coralliens, les humains dépendent en grande partie de l’océan. Très égoïstement, nous avons tout intérêt à en protéger l’intégrité.

  • Des clés pour une agriculture et une alimentation « durables »

    Beaucoup d’habitants de Tahiti sont déconnectés de la réalité agricole. La nourriture n’arrive pourtant pas toute seule dans leurs assiettes. Production locale, circuits courts, suivi de la qualité… autant de considérations qui doivent interpeller les consommateurs s’ils veulent participer à l’élaboration d’une économie vraiment « durable ». 

  • La culture détermine aussi la façon de vivre des êtres humains

    "En tant que dépositaire du savoir, des significations et des valeurs qui imprègnent tous les aspects de notre vie, la culture détermine aussi la façon de vivre des êtres humains. Elle est, dans toutes ses dimensions, une composante essentielle du développement durable" *. Petit florilège de films, animations, périple en mer ayant contribué, en novembre, à une meilleure visibilité de cette thématique. 

  • Célébration de Matarii i ni’a: la culture pour mieux protéger l’environnement

    Comme tous les ans depuis une vingtaine d’années, autour du 20 novembre, l’association Haururu commémore Matarii i ni’a, qui marque le retour dans la période d’abondance. Des festivités étaient autrefois organisées à l’occasion de cette date importante du calendrier traditionnel polynésien que cette association éco-culturelle a remise en valeur. On a aussi célébré cette date à Faa’a et à Moorea.

  • Opération ‘Ete : remplacer les sacs en plastique par des sacs à base végétale

    L’opération ‘Ete s’est déroulée les 22, 23 et 24 novembre au centre Vaima, à Papeete. C’était la deuxième édition de cette initiative de promotion des sacs de course locaux, en remplacement des sacs plastique à usage unique. Pendant ces trois jours, des paniers en pandanus, mais aussi des sacs en tissu et des cabas en matériaux recyclés fabriqués par des artisans locaux y ont été proposés.

  • En Polynésie française, une personne sur cinq est diabétique

    "Dans le cadre du développement durable, la santé est un objectif, mais également un préalable indispensable. Il s’agit de procurer aux populations un bien-être physique et moral satisfaisant, ainsi que de leur garantir des conditions sanitaires qui leur permettent de contribuer aux activités productives et au développement de leur société"*. Le taux important d'obèses et de diabétiques en Polynésie française ne laisse pas d'être inquiétant ! Une réaction salutaire s'impose...
  • Un fléau quotidien, le bruit : l’association Te Ora Hau sur le front

    Notons l’organisation de l’assemblée générale, le 17 novembre à la mairie de Punaauia, de l’association Te Ora Hau (Vivre en Paixpour la lutte contre les nuisances sonores en Polynésie française. L’occasion d’écouter, d’informer et de rassembler ceux qui souffrent du bruit au quotidien et qui n'en peuvent plus.

  • La solidarité est intrinsèque au développement durable

    “La solidarité doit s’appliquer envers tous les autres, les populations défavorisées, les exclus, les plus faibles, les plus démunis, les plus pauvres… Cette solidarité s’exprime à différentes échelles de territoire, du local au mondial. Être solidaire avec les générations futures, c’est inscrire les actions et les décisions dans une perspective de long terme…” * Plusieurs 'journées' ou 'semaines' leur ont été consacrées en novembre.

  • Oiseaux endémiques et coraux : préservation de la biodiversité

    Il y a 70 Monarques de Tahiti connus, et ce sont les derniers survivants au monde de leur espèce. Ils vivent dans trois vallées de la côte est de Tahiti : Maruapo, Papehue et Hopa. Depuis 2015, les communes de Punaauia et Paea, qui hébergent cette rare espèce, se sont mobilisées pour sa protection. Les communes de Punaauia et Paea, quant à elles, se sont unies pour réaliser un sentier sous-marin à vocation écotouristique respectueux du corail.

  • Déchets : les réduire, les recycler, ne pas les abandonner dans la nature

    Du 17 au 25 novembre s’est tenue la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets (SERD), un temps fort pour essayer de diminuer nos déchets et de consommer mieux ! L’objectif de la SERD est de sensibiliser tout un chacun à la nécessité de réduire la quantité de déchets générée et donner des clés pour agir au quotidien aussi bien à la maison, au bureau ou à l’école, en faisant ses achats ou même en bricolant. L'occasion de découvrir des initiatives qui vont déjà dans ce sens.

  • Près de 800 scolaires sensibilisés aux sucres cachés

    777 élèves issus de 16 établissements scolaires de Tahiti (5 écoles, 5 collèges, 6 lycées) impliqués dans la pédagogie Eco Ecole (éducation au développement durable) se sont retrouvés le jeudi 25 octobre au matin pour une projection gratuite du film Sugarland. Ce documentaire primé  était projeté grâce à un partenariat entre Fédéscol (association Manu Iti Fa’a Ora, ex Colibris-Tahiti), le cinéma Majestic et le producteur. 

  • Le développement durable au programme de l’Éducation

    Deux séminaires ont été organisés durant la semaine du 15 au 19 octobre par la Direction générale de l'éducation et des enseignements (DGEE) Polynésie. Ils portaient notamment, conjointement et de manière complémentaire, sur l’éducation au développement durable (EDD) dans les établissements scolaires. 

  • S’inspirer des traditions pour la protection de l'environnement

    La protection de l’environnement est aussi affaire de culture. Certaines des traditions ancestrales sont porteuses d’une sagesse qui manifeste un accord avec les rythmes cosmiques. Le respect de la nature, en particulier en la gardant propre, pourrait s’en inspirer. L’association Haururu a souhaité rappeler un marqueur de temps lié au calendrier traditionnel avec la remise à l’honneur d’une cérémonie oubliée,vaereä marae, qui se situe au moment de l’équinoxe, autour du 20 septembre. 

  • Des actions pour une société plus écologique et plus solidaire

    Appels à projets, actions collectives et participatives, carrefours coopératifs, programmes de réinsertion, actions d’échange et de solidarité… le mois de septembre a été riche de propositions qui contribuent à promouvoir un développement  soutenable, sur les plans de l’écologie et de la solidarité.

  • Environnement: sensibilisation à la complexité de la vie

    Une part de l’éducation devrait avoir pour but d’amener les individus et les collectivités à saisir la complexité de l’environnement tant naturel que créé par l’homme, complexité due à l’interactivité de ses aspects biologiques, physiques, sociaux, économiques et culturels. Outre l’éducation à l’école, des conférences et des formations y participent.

  • Déchets sauvages (2) : l’incivisme toujours d’actualité mais un bénévolat participatif actif

    La gestion des déchets et la protection de l’environnement vont de pair. Malheureusement, la prise de conscience n’est pas encore généralisée. Dans la première quinzaine de septembre, associations, communes et institutions ont néanmoins relevé le défi et l’on a pu constater de fortes mobilisations dans la population. Un jour viendra peut-être où il n’y aura plus nécessité de déployer de telles opérations parce que la population aura compris.

  • Mata Tohora vous présente les nouvelles des cétacés du mois d'août

     

    Basée à Tahiti, Mata Tohora est une association polynésienne à buts scientifique et pédagogique. L’esprit de Mata Tohora est de fédérer les passionnés de mammifères marins, amateurs ou professionnels. Cette association publie régulièrement une newsletter qu’AvA-Infos relaie ici pour le mois d'août.

  • Environnement: les uns polluent, les autres préservent...

    Les îles de la Polynésie offrent des attraits enviés par le monde entier. Encore ne faudrait-il pas contribuer à détruire les merveilles offertes par la nature. Face à l’inconscience de certains, il y a heureusement des initiatives bénéfiques. Quelques exemples relevés en août.

  • Des "savanturiers" au service de l’environnement

    Les dégâts causés par  les êtres humains (surpêche, braconnage, déchets balancés dans les océans...) sont innombrables. Il y a pourtant aujourd’hui des centaines de solutions pour protéger l’environnement de manière économiquement rentable. Des scientifiques-explorateurs-entrepreneurs, de passage en Polynésie, en donnent l’exemple. 

  • Les baleines à bosse sont dans nos eaux

    Présentes de juillet à fin octobre dans les eaux polynésiennes, les baleines à bosse sont assurément une occasion de spectacle. Il reste, néanmoins, que leur approche doit se faire en respectant des règles précises. Et peut-être d’envisager un autre rapport à ces mammifères magnifiques…

  • Une aire marine éducative inaugurée à Anaa (Tuamotu)

    Une aire marine éducative (AME) a été inaugurée le 10 août sur l’île de Anaa, dans l’archipel des Tuamotu. Baptisée « Te Kura Moana O Tagihia » l’espace est également labellisé. Il s’étend sur deux kilomètres sur une partie récifale et lagonaire entre le motu du village Tukuhora et Temarie l’ancien chef-lieu de Anaa.

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