AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

AvA-Infos, ouvrons nos regards à la planète

 

        actualités, revues de presse

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Éducation, Formation et Sensibilisation

  • Protection de la biodiversité marine : ZPR, application de suivi des récifs coralliens, AME

    Les zones de pêche réglementée sont des zones délimitées de l’espace maritime où des règles de pêche spécifiques sont instaurées, en plus de celles qui sont déjà en vigueur sur l’ensemble du territoire de la Polynésie française :Création de trois zones de pêche réglementée (ZPR) à Tubuai (Australes) et prolongation de la ZPR de l’atoll de Manihi (Tuamotu) ; Coral Gardeners lance la première application de suivi des récifs coralliens ; inauguration de l'aire marine éducative (AME) de l’atoll de Hao ; Décision "historique", lors de la conférence sur le commerce international des espèces menacées, visant à protéger une cinquantaine d'espèces de requins menacés.

  • Quatre événements éco-culturels à vocation pédagogique

    Quatre événements placés sous le signe de l'alliance de la nature et de la culture se sont déroulées du 17 au 20 novembre : Le 23e Salon du livre, sous le signe des nourritures ; La 21e édition de la Fête de la Science sous le signe du "Réveil climatique" ; La 2e édition de L'Effet Mer : les espèces marines emblématiques du fenua ; Matari’i i ni’a, ou l'alliance traditionnelle nature/culture.

  • Ils agissent pour protéger l'environnement (2)

    Beauté des récifs : L'IRCP organise une expo "photos" ambulante et pédagogique ; l’association Te mana o te moana  sensibilise près de 400 élèves  de Moorea à la problématique des déchets ; l'association Tama no te Tairoto s'intéesse à la ponte des coraux ; la fédération d’associations Tahei ‘auti ia Moorea organise un nouveau rassemblement en faveur d’un développement raisonné de l’île sœur ; Les élèves de l'école de Ua Pou ont participé à une collecte de piles  ; Subvention en faveur de l’association Te mana o te umara, (Te M.O.T.U) pour l’organisation de formations citoyennes au développement durable.    

  • Quelques réponses aux crises en cours

    Quelques réponses face aux crises (économiques, écologiques, sociétales...) : Objectif autonomie alimentaire, autonomie énergétique du fenua et réforme de la fiscalité pour le député Brotherson ; Sensibilisation aux modes de transport alternatifs avec le Challenge “écomobilité” ; La résistance comme mot d'ordre face à l'urgence climatique pour l'association Te Motu ; L’humusation, une pratique funéraire écologique.

  • Développement durable : promotion de démarches concrètes et pédagogiques auprès des populations

    Le développement durable et la protection de l’environnement bénéficient d’aides pour la promotion de démarches concrètes et pédagogiques auprès des populations : Présentation des 10 lauréats de l’appel à projets Rahui 2022 pour la protection des ressources lagonaires, avec Pew Bertarelli et la FAPE – Te Ora Naho ; Appel à candidature pour la participation à un Comité Citoyen pour le Climat ; Formation en électroménager pour favoriser l’émergence d’une économie circulaire au fenua avec l’association Ti’ai fenua ; La fondation de la navigatrice Maud Fontenoy et l’association Te Mana O te Moana s’attachent à sensibiliser et éduquer la jeune génération avec un livret pédagogique sur le lien Terre-mer.

  • Petite revue de presse : diverses actions contribuant à la protection de l'environnement

    Résoudre la problématique des dispositifs de concentration de poissons dérivants en Polynésie française ; La zone biomarine de la DRP reconnue projet de transition écologique ; L’éco-responsabilité s’est invitée au Tahiti Soul Jazz Festival ; Découverte de modes de transports alternatifs lors de la Semaine européenne de la mobilité 2022 ; Une jeune société souhaite valoriser de manière artisanale les coques destinées à être jetées.

  • Énergie, santé, respect de l'environnement : des solutions novatrices

    Lancement du projet agrisolaire Mahana O’Hiupe à la Presqu’île ; Coral Gardeners projette de planter un million de coraux d’ici 2025 ; signature du label “Commune en Santé” pour 14 communes issues des 5 archipels ; Création d'une brigade verte à Rikitea ; Annonce du prochain Tech4islands Summit pour l’émergence de nouveaux modèles insulaires de développement, durables et résilients ; Le glamping : une activité d'hébergement basée sur l'échange.

  • Énième action de ramassage des déchets à l’embouchure de la vallée de Tipaerui

    Malgré des signalements récurrents, la situation n’évolue pas sur ce site comme à d’autres endroits du domaine public. À l’occasion du World Cleanup day et de la Semaine européenne du développement durable, une action de l’association Project Rescue Ocean pour une prise de conscience collective.

  • Protection des animaux et développement durable

    La protection des animaux, qu'ils soient sauvages ou domestiques, est un aspect nécessaire de la réponse aux défis du développement durable : Moorea commune pilote d’une campagne de recensement et de stérilisation d’animaux ; Portrait de Cécile Gaspar, vétérinaire, à l'origine de la création de l’association Te Mana o te moana et de sa clinique des tortues ; Le Stream Event Tahiti récolte des dons au profit de l’association Eimeo Animara ;De nouveaux timbres pour les 20 ans du sanctuaire marin de Polynésie, havre de paix pour les cétacés.

  • Recherche et transmission des connaissances pour mieux appréhender notre environnement

    L’état de tous les écosystèmes de la planète se dégrade à un rythme inquiétant. Une meilleure connaissance de leur résilience et la transmission de ces informations au grand public peut contribuer à en atténuer les effets négatifs :Une mission scientifique s'intéresse à l'évolution du climat en Polynésie française ; 23 nouvelles espèces d'algues y ont été découvertes, treize d'entre elles ont reçu des noms scientifiques issus des langues polynésiennes ; le Fare Natura, premier écomusée du territoire, dresse son premier bilan annuel ; le concours photo de l’IRCP approuvé par la Commission Océanographique de l’UNESCO.

  • Les associations sur le front de l'environnement

    Les associations jouent un rôle non négligeable dans la protection de l'environnement. En Polynésie française, réparties dans les cinq archipels, elles peuvent être lanceuses d'alerte, contribuer à la sensibilisation du public, ou encore engager des actions de terrain... : Le 17 septembre, la Fédération des Associations de Protection de l'Environnement - Te Ora Naho, qui en regroupe une quarantaine, a organisé une soirée-concert pour la 2ème édition des Trophées du fenua durable ; Le collectif "poihere te natura" entretetient le sentier de randonnée menant au sommet du mont Aorai ; L'association La Fresque du climat,propose des ateliers ludiques qui permettent de saisir l'urgence climatique ; Une classe de terminale du lycée Lamennais ramasse des détritus avec l'association Rescue Ocean ;Quatre associations reçoivent des subventions en fonctionnement pour un montant total de 2 213 350 Fcfp

  • Ava-Infos : les revues de presse du fenua durable

    Les différents médias du fenua relaient sur le web des informations concernant le développement durable et la protection de l’environnement qu’ils traitent sur leurs supports respectifs (tv, radio, presse écrite). Mais le flux d’infos étant continu, et ces dernières étant mélangées avec toutes sortes d’autres éclairages (politique, fait divers, culture, etc…), il est important, pour ceux qui s’y intéressent, de pouvoir suivre cette actualité de façon ciblée. Les revues de presse AvA-Infos sont une source d'informations pour les lecteurs exigeants qui ne veulent pas être de simples consommateurs de l'actualité. Elles représentent une base de données établie sur huit années qui peut intéresser les chercheurs et les étudiants qui souhaitent  "creuser" ces sujets.

  • Sauvages ou domestiques : respecter le règne animal

    Menacées par la pollution, la destruction de leur habitat, le réchauffement climatique  ou encore le braconnage, les tortues marines font partie des espèces protégées en Polynésie française et leur pêche est interdite ; L'observation des cétacés et en ce moment des baleines, attraction touristique prisée, est strictement encadrée ; Le projet de rahui de Bora Bora, « en phase de finalisation » devrait aider à régénérer l’écosystème du lagon ; Zoom sur les programmes de restauration corallienne  de Coral Gardeners ; Quand ils vivent sous la dépendance des humains, les animaux doivent  être respectés : pour la première fois au fenua, un portefeuille ministériel chargé de la condition animale / 46 000 signatures pour une pétition contre les combats de coqs.

  • Protéger la biodiversité : nacres sauvages, oiseaux marins, baleines

    Plusieurs actions en cours pour maintenir l’environnement d’espèces en danger : compenser la faiblesse du stock de nacres sauvages à Mangareva ; échouages ou chutes après leur envol des oiseaux marins : la SOP Manu récupère ces oiseaux mal en point pour tenter de les sauver  ; les règles d’approche des cétacés (baleines) doivent être respectées : "Laissez les baleines en paix !".

  • Initiatives pour un tourisme « durable »

    Le tourisme durable est une forme de tourisme qui s’inscrit dans une démarche de préservation et de mise en valeur des ressources naturelles et du patrimoine culturel d’un territoire. Il est vu comme menant à la gestion de toutes les ressources de telle sorte que les besoins économiques, sociaux et esthétiques puissent être satisfaits tout en maintenant l'intégrité culturelle, les processus écologiques essentiels, la diversité biologique, et les systèmes vivants : Le tourisme durable et l’écotourisme dans la stratégie du Pays pour 2022-2027 ;Tere Na Uta pour valoriser le patrimoine culturel et naturel de l’île de Tahiti.

  • UPF/Projet Nārua : répondre aux défis auxquels sera confronté le fenua demain

    Avec son projet Nārua, l'Université de la Polynésie française (UPF) envisage une approche transdisciplinaire de la formation professionnelle : les secteurs clés de l'économie polynésienne sont ciblés, à savoir les métiers de la mer, le tourisme et le développement durable, pour répondre aux défis auxquels sera confronté le fenua demain. l'UPF envisage aussi, avec plusieurs universités partenaires, de créer une sorte d’Erasmus du Pacifique

  • Observer et protéger la faune marine

     

    Les otaries ne font pas partie des espèces recensées en Polynésie. Néanmoins, leur observation est assez fréquente depuis 2012 ; Malgré l'augmentation mondiale de la population des baleines à bosse, l'UICN classe la population du Pacifique Sud, donc celle de la Polynésie française, toujours en danger. L'association Oceania lance la 5éme édition du projet Vigie Sanctuaire afin de mieux comprendre et de limiter au maximum le risque de collision entre les navires et les baleines ; Le programme baptisé Te Moana iti consiste en l’installation d’un écosystème marin au sein des écoles et structures accueillant du jeune public pour les sensibiliser à leur environnement ; Le comité du rahui de Tautira réfléchit à la meilleure stratégie pour préserver les bénéfices acquis après 4 années sans exploitation.

  • Économie durable : agronomie, écotourisme, innovations, gestion des déchets

    Les activités économiques doivent être un moyen au service d’un projet sociétal : Apprendre aux gens à produire de l'engrais de poisson bio et pas cher ; Cacao : son potentiel de développement pourrait faire du chocolat polynésien le nouvel or noir du fenua ; Écotourisme : un futur écolodge à Huahine, à l’emplacement de l’ancien hôtel Hana Iti ; Un nouveau parc paysager à Vaitupa, dans la commune de Fa’a ; La quatrième édition de la Tech4Islands Summit Tahiti va s’articuler autour de trois axes : la transition énergétique, le tourisme durable et la souveraineté alimentaire ;Moorea se débarrasse de ses vieilles carcasses, la même chose aussi à Tahiti ?

  • Océan : la biodiversité, enjeu environnemental

    Connaître pour les protéger les espèces marines et côtières est un enjeu environnemental global : Plus de 30 potentielles nouvelles espèces découvertes au fond de l’océan Pacifique ; La période des baleines commence dans les eaux polynésiennes, comment organiser des sorties d'observation ? ; Des orques observées dans les eaux polynésiennes ; Une delphine gestante retrouvée morte à Rangiroa ; La taille des requins du Pacifique.

  • Culture, éducation et sensibilisation au service du développement durable

    Aucun développement ne peut être durable sans inclure la culture. La transition écologique pose un défi de connaissance et d’ancrage citoyen pour appréhender et s’approprier les enjeux du changement climatique, de la raréfaction des ressources, de la transition énergétique ou de la reconquête de la biodiversité… : Premier portail UNESCO pour la une reconnaissance internationale de notre culture et de notre nature ; Financement d’ateliers jeunesse de sensibilisation à la lecture et aux éco-gestes du quotidien ; Les Outre-mer en première ligne sur les questions relatives au réchauffement climatique.

  • Actualités de l'océan : AMP, économie bleue, perliculture, biodiversité marine, houle destructrice

    La houle océanique a frappé plusieurs littoraux du fenua. Si l’un des poumons de la planète, l’océan, tousse, il est nécessaire d’explorer des façons novatrices d’accroître sa capacité à combattre la crise climatique : Selon l’Institut français des relations internationales (IFRI), les aires marines protégées (AMP) de la zone Pacifique représentent un dispositif privilégié pour la gestion de l’espace maritime et la protection de la biodiversité ; un point sur l'économie bleue avec le président du Cluster maritime ; La problématique des déchets perlicoles est au cœur de la politique menée par le Pays ; Plusieurs dispositifs en place pour leur protection : baleines, corail, poissons... 

  • Ils agissent pour protéger l'environnement

    À remarquer,courant juin, quelques événements dédiés à la protection de l'environnement : actions de dépollutionà Pirae par l'association Project Rescue Ocean Polynésie ;conférences sur le thème du corail et sa protection, à Moorea ; TNTV reçoit le le diplôme de l’écolabel “Tahiti Print Eco Friendly” ; festival Les Mondes anticipésà Polynesian Factory sur le thème « Faut-il sauver le vaisseau Terre ? ».Et lessubventions accordées au profit d'associations environnementales lors des Conseils des ministres du 8 et 15 juin.

  • Éducation et sensibilisation : bien vivre ensemble, au sein d'une nature respectée

    Éducation et sensibilisation peuvent contribuer puissamment à inspirer les conditions d'un bien vivre ensemble, au sein d'une nature respectée : Programme de restauration du littoral ; Sensibilisation à la protection de l'océan ; Projets pédagogiques et éducatifs innovants au sein des Aires marines éducatives ;  Réflexions pour un  tourisme durable en Polynésie française ; Street Art éphémère à Ua Pou avec des oeuvres consacrées à l’univers marin ; Mareva Galanter à l'origine de la mini-série documentaire "Sentinelles de l’océan" ; Riche programme au Village des sciences ; Le label "Écoles en santé" se développe.

  • Blue Climate Summit : mieux protéger l'océan et le climat

    Cet événement mondial qu'est le Blue Climate Summit a été organisé en Polynésie française sur quatre îles (Tahiti, Moorea, Raiatea, Bora Bora) et à bord du navire de croisière Paul Gauguin. Durant la deuxième quinzaine du mois de mai il a réuni environ 250 scientifiques, chercheurs, décideurs, investisseurs, représentants de communautés et écologistes. Mais que pouvons-nous réellement espérer de ce sommet ? Il reviendra aux analystes et aux historiens d’en tirer une synthèse et de décrypter les consensus ou les incompréhensions qui s’y sont exprimés. Dans l’attente d’un tel travail, AvA-Infos propose une revue de presse des nombreux articles qui ont été écrits sur le sujet dans les médias locaux. Des pistes de réflexion (écologie, économie, société, culture...) sont à y découvrir.

  • Économie circulaire et innovation : deux clés du développement durable

    Il ne s'agit plus aujourd'hui de se contenter de concevoir un produit de sa naissance à sa fin de vie, mais de sa naissance à sa renaissance. Il s'agit d'un cycle de vie circulaire qui s'étend de la recherche et du développement jusqu'à la remise en état, et ainsi de suite... Quelques exemples d'économie circulaire au fenua: un composteur par foyer à Arue ; FACE veut redonner une nouvelle vie aux vieux téléphones portables ; collecte et recyclage des balises de pêche échouées. Quant à l'innovation : Resipol, consortium de recherche, soutient des projets innovants en matière d'énergie renouvelable, économie circulaire, résilience face aux changements climatiques, préservation et valorisation des ressources naturelles, alimentation saine et durable et valorisation des ressources humaines ; "L'impact", humain et environnemental est au coeur de la 4e édition de Tahiti Congrès, en juin, pour faire évoluer le modèle traditionnel des entreprises ; Un appel large est aussi lancé aux Polynésiens dans le cadre du programme Polynnov: les projets seront évalués selon leur potentiel impact (économique, social, environnemental, sanitaire) sur le développement de la Polynésie.Enfin, des élèves de Bora Bora découvrent la barge expérimentale Nohu Criobe, laboratoire scientifique ambulant sur lagon pour étudier la vie du corail.

  • Culture et protection de l’environnement

    Avec le festival Ono'u, neuf artistes s'expriment sur le thème de la protection des océans et la biodiversité ; 36 ans après leur premier voyage, les pirogues hawaïennes à voile Hokule’a et Hikianalia sont arrivées en Polynésie françaisei. L'occasion d'une réflexion sur la transmission culturelle, le lien régional, mais aussi la préservation de la planète ; 10 projets sélectionnés à l'occasion du concours Raura’a Ora, portant sur le thème de la biodiversité terrestre ;À Raiatea, associations, élus et habitants de Tumaraa travaillent main dans la main pour la sauvegarde de l’environnement avec, en vue, la mise en place d'un rāhui dans le lagon de "l'Île sacrée" ; 2 600 000 Fcfp de subventions accordées à cinq associations pour la mise en œuvre de projets environnementaux ;  Projet d'aménagement d'un site domanial à Nivee (Hitia'a O Te Ra) destiné à accueillir les manifestations de "car bass" et éviter les nuisances sonores qu'elles peuvent générer.

  • Santé: une démarche éco-responsable et inclusive

    Alors qu’en Polynésie française, une personne sur six est en « longue maladie », un label sera décerné aux 38 établissements scolaires inscrits cette année dans le dispositif "Santé à l’école".Une approche globale, inscrite dans un cadre de développement durable*, donnant aux élèves la possibilité d’acquérir des compétences en matière de santé tout en développant les compétences scolaires attendues à leur niveau de classe. Rangiroa a aussi inauguré) sa première édition Ea’ttitude.

  • Éducation, art, santé... développer les moyens du changement

    Les enjeux liés à l'environnement et au développement durable, en particulier le changement climatique et la préservation de la biodiversité, appellent une mobilisation de l'ensemble de notre société et de profondes évolutions des comportements individuels et collectifs : ateliers sur le tri des déchets, le rahui ou encore la vie des cétacés pour une classe de l'école primaire Farahei Nui à Faa'a ; quatre classes des écoles primaires de Raiatea participent au concours du projet régional océanien des territoires pour la gestion durables des écosystèmes ; l'environnement et le son au coeur d'une exposition artistique à Tahiti et Moorea ; promotion de la non-violence éducative avec l’association Parents autrement à Tahiti ; la Direction de la Santé lance un appel à projets dans le cadre du dispositif "Commune en santé".

  • La transition écologique du fenua en cours : une semaine de news

    La FAPE Te Ora Naho vient de faire paraître le 2ème numéro de son magazine annuel « 50 Solutions pour un fenua durable ». L’occasion de jeter un coup d’œil transversal sur une semaine durant laquelle ont été déployées plusieurs facettes de ce « développement durable » dont beaucoup peinent encore à saisir la nécessité. On y retrouvera, sur une période hebdomadaire, les différentes catégories décrites et illustrées dans le magazine. Problématiques, solutions et acteurs...

  • Le développement durable en marche : une dizaine d'exemples en Polynésie

    Bio expérimental à Rangiroa, permaculture à Faa’a ; protection des zones humides à Moorea ; une convention État/Pays pour accompagner la transition énergétique ; appel à projets pour la création d'un Atlas de la biodiversité communale ; appel à projets pour préserver durablement le patrimoine, la biodiversité et les richesses naturelles de la vallée de la Punaru’u ; végétalisation des murs de l’école Tuterai Tane, à Pirae, pour éviter la climatisation des classes ; à Raiatea, l’association Te miti e te fenua veut concilier économie et écologie ; subvention pour le futur siège « vert » de la Codim ; un univers virtuel, éco-durable baptisé Maohi Games.

  • Environnement et science en cours : recherche et communication

    Le Centre de recherche insulaire et observatoire de l’environnement (Criobe) a fêté ses 50 ans. Une très longue série de recherches, dirigées par des professeurs venus du monde entier. La dernière en date, en cours, concerne un coquillage, le cône textile. Quant au Fare Natura, l'éco-musée de Moorea, il a reçu son son 10 000e visiteur après neuf semaines d'ouverture, l'occasion de faire découvrir l’extraordinaire nature locale sous un angle nouveau, alliant sciences et culture, tradition et modernité.

  • Lutter contre des nuisances de toutes sortes : un challenge toujours d’actualité

    Qu'il s'agisse de nuisances sonores, des signes de dérangement des baleines, d'une décharge sauvage…, différents indices signalent des modes de vie et des actions qui sont perturbants pour les humains, les grands mammifères marins et l’environnement. Mais il est aussi possible d’apprendre à mieux consommer, à mieux produire et à moins jeter ou encore acquérir de connaissances sur la biodiversité d’une île afin de mieux la protéger.

  • Matari'i i ni'a: quand culture rime avec nature

    Le 20 novembre on a célébré Matari'i i ni'a, célébration ancestrale du changement de saison en lien avec le mouvement de la constellation des Pléiades dans le ciel. L'association Haururu a particulièrement contribué depuis une vingtaine d’années à remettre en valeur ce rendez-vous annuel traditionnel accordé au calendrier tropical naturel des îles polynésiennes. Au fil des ans, elle a inspiré d’autres associations culturelles qui le célèbrent aussi à nouveau. À Tahiti, mais aussi à Moorea, Raiatea et Maupiti.

  • Éviter les déchets sauvages : des initiatives à valoriser et développer

    Semaine européenne de la réduction des déchets (SERD) organisée par l'ADEME du 20 au 28 novembre ; mise en service d'un bateau ramasseur de déchets dans le port de Papeete ; un atelier mobile de réparation pour éviter que les appareils finissent à la poubelle ; une Tortie d'Or pour l'école Saint Hilaire de Faa’a récompensée pour ses efforts en matière de tri sélectif ; une opération de collecte de déchets électroniques à Hao ; « marche pour ta santé » avec alliance du sport et du ramassage des déchets à Hao et Ua Pou.

  • Trois initiatives pour un fenua plus durable

    Trois initiatives, en ce début de novembre, pour mieux réconcilier l’homme, la nature et l’économie dans une société qui doit emprunter le chemin de sa transition écologique : promotion du bio, gestion durable d’entreprises, éducation et préservation de la biodiversité. 

  • En bref : “L'émotion de la découverte” pour la Fête de la Science 2021

    La 30e fête de la science a été inaugurée mercredi 10 novembre au parc Paofai et se déroule aussi à Moorea. Cette nouvelle édition est coordonnée par l'association Te mana o te moana, et a pour ambassadrice Laëtitia Hedouin, chargée de recherche au Criobe, le laboratoire d'étude des écosystèmes coralliens. L’occasion d’inviter les Polynésiens à devenir des observateurs des récifs polynésiens. Des interventions pédagogiques sont prévues dans les lycées et collèges de Tahiti et Moorea.

  • Des actions en faveur de l'environnement

    Associations, institutions, particuliers... se mobilisent pour la protection de la nature: l'association Manu poursuit ces actions de dératisation pour la protection des oiseaux ; à Moorea, on se préoccupe de la situation d’envahissement de la petite fourmi de feu ; la Direction de la Biosécurité agit pour empêcher l'infestation des cocotiers par des insectes xylophages ;  Herehia Helme scrute l'état de santé de deux rivières de Tahiti ; Titouan Bernicot, fondateur de Coral Gardeners, a été choisi pour participeraux  "Young activity summit" ; à Nuku Hiva, un mariage éco-responsable pour Hinenao Kimitete et Tehotu Tauraatua; à Moorea, l'écomusée Te Fare Natura flirte avec le thème de Halloween ; à Raiatea, projet d'un nouvel écolodge ; à Moorea, des projets immobiliers contestés.

  • Déchets: des problèmes mais aussi... des solutions

    Le fenua est confronté à des problèmes récurrents de déchets abandonnés, et donc de pollution, dont la gestion n'est pas suffisamment bien traitée. Pour preuve, ces tonnes toujours ramassées régulièrement dans la baie de Vaitupa, à Faa'a, ou encore les fleurs artificielles plus ou moins abandonnées dans les cimetières. La Chambre territoriale des comptes (CTC) a réalisé un tour d’horizon des actions ou inactions dans ces matières. Des solutions émergent cependant, qu'il reste à mettre en place de manière massive...

  • En bref: mieux connaître la nature

    Il y a plusieurs façons de découvrir la nature, ses richesses naturelles et la culture qui s'est développée au fil des générations à son contact. En immersion par la pratique de randonnée, ou en découvrant un site dédié à la connaissance de ses divers aspects, comme l'écomusée Fare Natura à Moorea.

  • L'alimentation en question : privilégier l'autonomie et la qualité

    Notre assiette constitue le socle incontournable du changement que nous souhaitons pour notre santé et celle de la planète. La crise sanitaire actuelle démontre à l'envi que les pathologies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires...) qui affectent une grande partie des Polynésiens ont notamment pour cause une mauvaise alimentation. D'où la nécessité d'établir un diagnostic du système alimentaire du fenua ; l'intérêt aussi de retourner vers une alimentation plus traditionnelle mettant en valeur ses produits ; ce qui implique, pour plus d'autonomie alimentaire, d'accompagner les porteurs de projets agricoles ; de faire connaître la préparation et l’utilisation d’engrais à base de déchets de poisson comme engrais naturel ;sans oublier de développer le sens du goût chez les jeunes...

     

  • Appels à la créativité citoyenne pour un fenua plus résilient

    La société civile peut être consultée ou bénéficier d'aides, qu'il s'agisse de protection de l'environnement, de responsabilité sociale ou de l'émergence d'initiatives citoyennes. Sont bienvenus, en ce début octobre :  deux concours adressés aux élèves sur les thèmes de la biodiversité terrestre ou des milieux naturels terrestres ; la création d'une instance de consultation de la société civile concernant l’aire marine gérée Tainui ātea; des formations gratuites pour les responsables d’associations ; un appel à projets pour l'émergence de projets des citoyen-ne-s d'une commune.

  • Développement durable : des initiatives en cours

    Le développement durable s’invite au cœur d’activités qui ont une importance dans la vie quotidienne : protection de la biodiversité, traitement des déchets, alimentation, tourisme. Il y a encore beaucoup de choses à dynamiser mais des initiatives, pionnières ou plus avancées, indiquent le chemin à suivre.

  • Cinq thématiques du DD au conseil des ministres du 8 septembre

    Cinq sujets liés à des thématiques du développement durable (éducation, environnement, solidarité) ont notamment fait l'objet du conseil des ministres de ce mercredi 8 septembre:  Dépôt de la marque « Aire Marine Éducative » ; Biosécurité à Rimatara; Biosécurité aux Marquises ; approbation du PGEM de Moorea révisé ;Aide à la Fondation Agir Contre l’Exclusion.

  • Culture et environnement : trois projets porteurs d’avenir

    Small Island Big Song : un projet mettant au-devant de la scène des musiciens de 16 nations insulaires des océans Pacifique et Indien, leurs préoccupations et expériences communes concernant la crise climatique ; un stage de découverte de l'environnement permet aux animateurs de randonnées pédestres de mieux comprendre et d'interpréter les paysages, et donc de mieux les sauvegarder ; Philippe Darius est fondateur d’Ekopia Tahiti, une école qui encourage et accompagne ceux qui le souhaitent à transformer leur jardin en fa’a’apu nourricier. Il travaille actuellement avec une équipe à la réalisation d’un ebook qui rassemblera 100 plantes utiles de Tahiti.

  • Pour un environnement mieux préservé: des initiatives à suivre

    Le réchauffement climatique, l'actualité le démontre, ne doit pas faire oublier d'autres problématiques qui lui sont associées dans la vie de tous les jours. La protection de la biodiversité, le tourisme durable dans une perspective de transition écologique, la création dejardins partagés associatifs et communaux, la formation à une agriculture elle aussi “durable”. On n'oubliera pas non plus la sensibilisation par le biais de création expressive (BD, écriture, image...). Le dépôt sauvage de déchets par une population encore inconsciente des conséquences de gestes irréfléchis ou égoïstes nécessite encore, hélas, l'action de bénévoles. Quant aux chiens errants, ils méritent un meilleur sort que celui qui leur est souvent réservé.Aux Marquises, l’association Nuku Hiva Animara est en cours de création pour y remédier.

  • Santé, environnement, économie, métiers d’art : l’alimentation au cœur de l’éducation

    Le dispositif « Ecole en santé » de Polynésie française a pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé accessibles à l’école, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves ; la notion de circuit court est enseignée dès la maternelle, où les tout petits apprennent à manger les légumes qu'ils cultivent ; un projet de loi à l’étude pour imposer une part minimale de produits locaux dans l’élaboration des menus de la restauration scolaire ; au Centre des métiers d’art, le regard d’artistes en formation sur l’environnement, la biodiversité, l’alimentation.

  • Préserver l'océan et apprendre à le connaître

    L'océan constitue une réserve de biodiversité équivalente ou supérieure à celle des forêts tropicales. Si des animaux emblématiques comme les baleines – celles-ci reviennent encore dans nos eaux – on peut s'en réjouir. Moins de voir des tortues blessées car ayant été fléchées ! La DIREN et Mata Tohora rappellent des mesures élémentaires dans l’approche de ces animaux. L’éducation dispensée aux élèves dans le cadre des Aires marines éducatives (AME) peut contribuer à plus de responsabilité dans notre rapport à l’océan.

  • Alimentation durable : petite revue de presse

    Mettre en place un schéma d’alimentation durable, c’est mettre en avant une dimension économique, une dimension environnementale, une dimension sociale. Petite revue de presse de l’actualité récente : marché du terroir ; expérience de manger 100% local pendant un mois ; ressources de la noix de coco ; aquaponie ; projet de mise en terre de plantes endémiques à Moorea.

  • Une semaine dédiée à la protection de l’océan

    Cette année, la Journée mondiale de l’Océan, fêtée le 8 juin, se poursuit pendant plusieurs jours à Tahiti. Nana sac plastique, la FAPE et Pew Bertarelli organisent un événement festif et participatif jusqu’au 19 juin. D’autres acteurs - associations, RSMA, coopérative de pêche, IIME...-  ont aussi organisé des événements pour sensibiliser la population à l’importance d’en protéger l’intégrité.

  • Petite revue d'efforts collectifs pour un fenua durable

    L’émergence d’un développement plus “durable”, au sein d’une nature respectée et protégée, est le fruit d’efforts collectifs. Qu’ils viennent d’associations, parfois avec le soutien d’entreprises, ou d’institutions publiques : ramassage de déchets et sensibilisation locale, préservation d’un biotope en danger, recyclage et conception de produits ménagers naturels, protection de la ressource halieutique, amélioration des services publics environnementaux… C’est la dernière moisson de cette revue de presse.

  • Deux plaies : la pollution sonore et la cruauté envers les animaux

    Deux associations s’impliquent dans un combat autant écologique que sociétal. Lutter contre la pollution sonore est un enjeu politique, écologique et sanitaire majeur. En plus de ses effets néfastes sur notre santé physique et psychologique, elle affecte de façon négative la biodiversité de notre environnement (avec Te Ora Hau). La cruauté envers les animaux dénote aussi une attitude irresponsable à l’égard d’êtres vivants sensibles et devrait pousser à réagir (avec l’ARPAP).

  • Biodiversité : poursuivre la veille et la protection

    La nature est riche de signes qui indiquent les variations de saisons, par exemple. Autant de situations que les enfants doivent apprendre à reconnaître dans le cadre des aires marines éducatives qu’ils apprennent à découvrir dans le cadre de leur enseignement scolaire. Quant aux « bikers », ils ne font pas que manger du bitume. Ils s’investissent pour aider à lutter contre la petite fourmi de feu.

  • Une production saine et locale ? Votez avec votre fourchette

    Lutte contre le gaspillage alimentaire, desserts sans sucre ajouté, composition d’une assiette équilibrée, vaisselle à usage unique en matière écoresponsable, l’agriculture métier d’avenir, valorisation des déchets de poissons, trésors de la noix de coco... De multiples ingrédients composent la recette d'une alimentation saine. Et deux événements à suivre en mai pour mieux consommer local.

  • Ils s'investissent pour protéger l’environnement : petite revue de presse

    Des gestes d’incivisme contribuent toujours à polluer notre environnement, hélas ! Mais des réactions positives et des actions de sensibilisation se font aussi heureusement connaître, à Tahiti et dans les îles. Petit tour de l’actualité dédiée à cette thématique. L’occasion de découvrir les associations, les individus et le institutions qui s’y investissent.

  • FOCUS : devenir « consom’acteurs » de l’actualité de la transition écologique

    Vous souhaitez trouver une information ciblée et sourcée sur la transition écologique en cours en Polynésie française ? Suivre l’actualité de la protection de l’environnement et des initiatives dédiées à son développement durable ? Les news de AvA-Infos proposent chaque semaine une revue de presse des sujets traités par les médias locaux.

  • La culture au service de la protection de l'environnement

    La culture contribue à la durabilité environnementale de différentes façons, grâce aux liens intrinsèques entre diversité culturelle et biodiversité, grâce à l’influence qu’elle exerce sur les modes de consommation, mais aussi à travers les pratiques de gestion de l’environnement liées aux connaissances traditionnelles et locales. Certaines facettes de l’art contemporain peuvent aussi y participer…

  • Protéger la faune sauvage

    Les activités humaines ne sont pas exemptes d'impacts destructeurs sur la faune sauvage. Dans un contexte de biodiversité menacée, à l'échelle mondiale, la Polynésie se devrait d'être exemplaire. Un épisode de l'émission d'aventure télévisée Koh-Lanta ne milite pas dans ce sens. La pollution et les empêtrements provoqués par du matériel de pêche abandonné, non plus. La DIREN rappelle les règles de sécurité à prendre en cas de découverte d’un animal blessé ou mort sur une plage ou le récif. Des associations œuvrent heureusement en organisant différentes actions de conservation.

  • Environnement : Mobilisation citoyenne et actions de sensibilisation

    La cause environnementale doit parfois passer par une mobilisation citoyenne. C’est le cas à Moorea où l’on sait aussi agir dans des actions de nettoyage ou de sensibilisation, notamment auprès des élèves. Mais aussi à Punaauia et à Teva i Uta.

  • Alimentation: vers un développement local durable

    Une approche globale de l'alimentation permet de prendre en compte de nombreux enjeux de développement durable : modes de production agricole, santé et nutrition, aménagement du territoire et foncier, éducation, cohésion sociale et mieux vivre ensemble… 

  • Alimentation: les métiers de la terre revalorisés

    Et si la prochaine crise n'était pas sanitaire mais alimentaire ? Redynamiser le secteur agricole c'est: créer de l'emploi; nourrir les gens avec des produits de qualité pour les garder en bonne santé; favoriser la biodiversité; créer du lien social; repeupler les districts et les îles ; augmenter la résilience du territoire; développer l'Agri-tourisme; limiter nos importations...

  • Solidarité v/s écologie: c'est possible

    Initiative alternative d'uncollectif d'artistes et d'artisans, espace de réparation collaboratif, ateliers ludiques axés sur la biodiversité, activités pédagogiques pour que le public adopte un comportement éco-responsable... Décembre a été propice à la découverte de propositions positives pour un mieux vivre ensemble, solidaire et écologique.

     

  • Développement durable: sensibilisation et actions en cours

     Sensibilisation au tourisme éco-culturel, semaine "santé, développement durable", formation à l'agriculture, valorisation des déchets de poisson, "upcycling", engagement pour la propreté d'un littoral... autant d'initiatives pour un fenua plus "durable" à faire connaître et à soutenir.

  • Conseil des ministres : subventions à des associations

    Des subventions ont été octroyées à des associations engagées dans le développement durable, lors du Conseil des ministres du 25 novembre et du 2 décembre: Solidarité Productive, Espace Info Énergie, PGEM Moorea, Puna Reo Piha’e’ina, Rima Ura. Le foyer socio-éducatif du collège de Taravao a aussi été soutenu.

  • Développement durable : sur le front de la sensibilisation

    Alimentation, solidarité, traitement des déchets, santé, lutte contre la pollution : associations, écoles et institutions… développent des actions diverses et variées, concrètes ou artistiques, pour inciter la population à adopter des comportements plus écologiques et plus solidaires. De beaux exemples de la transversalité nécessaire au développement durable.

  • Biodiversité: associations et écoles se mobilisent pour la protéger

    Réchauffement climatique, pollutions, impacts des activités humaines... la biodiversité est menacée. Mais des initiatives émergent pour tenter de répondre à ce défi. Campagnes de protection ou de sensibilisation, animations pédagogiques, subventions de projets... des solutions émergent. 

  • Nature et culture : une symbiose bienvenue

    Célébration de Matarii i ni'a à Papenoo et à Arue, pour la rentrée dans la saison d'abondance ; découverte des jardins de Vaipahi, à Mataiea,un lieu de détente dans un site autrefois réservé aux rites religieux de purification et départ de randonnées ; dernière étape de la construction en cours, à Moorea, du Fare Natura, premier écomusée de Polynésie française.

  • Protection de l'environnement : des initiatives associatives pour faire avancer la cause

    La protection de l'environnement demande de l'engagement. Des associations - parfois soutenues par les pouvoirs publics ou des institutions internationales -  ou des initiatives particulières permettent la mise en place de programmes d'action ou de sensibilisation pour faire évoluer les mentalités et défendre l'intégrité de nos milieux de vie.

  • Le concept polynésien d’Aire marine éducative (AME) en plein essor

    En octobre, le Pays a déposé à l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) la «marque » Aire marine éducative (AME), concept aujourd’hui adopté dans toute la France. Nées en 2012 aux Marquises, les aires marines éducatives (AME) permettent à des élèves et leur enseignant de gérer de manière participative une zone maritime littorale de petite taille.

  • Evénements: des salons à la mode écodurable

    Il n’existe pas encore en Polynésie française de salons spécifiquement dédiés aux thématiques du développent durable et de la protection de l’environnement. Mais certains événements organisés au fenua laissent augurer d’une (encore timide ) percée. L’occasion d’en relever l’organisation en ce début d’octobre: la Fête de la Science, le Salon Made in Fenua et un premier "Local Market", à Papeete.

  • La protection de l'environnement est une affaire de tous les jours

    Pollutions, gestion des déchets, espèces invasives, sauvegarde des coraux, comportements (ir)respectueux envers la faune marine (baleines)... Il y a ceux qui perturbent inconsciemment (ou par avidité) les écosystèmes et dont les dégâts doivent être réparés. Et il y a aussi ceux qui agissent pour un fenua plus "durable" ! Petite revue de presse.

  • Société, économie, culture, environnement : déployer un regard transversal

    Appréhender la thématique du développement durable, c’est intégrer la notion de “transversalité” entre des domaines apparemment loin les uns des autres… Tout est lié ! : éco-mobilité, alimentation durable, société : éducation et sensibilisation, culture, protection de l’environnement et de la biodiversité. Le mois de septembre est riche en initiatives. Les médias locaux en ont parlé, mais de façon dispersée. Il est opportun de les contextualiser dans cette perspective.

  • Ils sont des gardiens de la nature: zoom sur une douzaine d'initiatives

    Associations, écrivains, scientifiques... se mobilisent pour protéger ou mettre en valeur la nature. Particulièrement la richesse et la fragilité de sa biodiversité. L'actualité de ces dernières semaines a été riche d'événements ou de publications relayés par les médias. Des initiatives à suivre et à encourager !

  • La nature du fenua, un monde à découvrir et... à respecter

    La nature et toutes ses ressources, indispensables au développement de la vie sur Terre, sont aujourd'hui confrontées à de multiples menaces. Des passionnés s’engagent pour les protéger : sommet, grotte (site culturel), plantes médicinales ou tinctoriales, espèces endémiques…

  • Environnement: être plus attentif à la nature pour mieux la protéger

    La protection de l’environnement passe aussi, et d’abord, par une attention plus grande donnée à la nature et à ses composantes : qu’elles soient animales ou végétales. Depuis le début du mois d’août, plusieurs actions en cours.

  • Les déchets : un problème ou une ressource possible ?

    Il y a ceux qui polluent sans vergogne… et il y a ceux qui cherchent (et qui proposent) des solutions. La gestion des déchets n’en finit pas de se poser. Régulièrement, des collectifs de citoyens et des associations se mobilisent pour nettoyer des sites publics pollués par des “cons-ommateurs” irresponsables. Mais est-ce voué à se perpétuer sans fin ?

  • Le développement durable : à la croisée de l'économie, de la société et de l'environnement

    Le développement durable représente un savant mélange de politiques économiques, sociales et environnementales pour aujourd'hui et… pour demain. Ce qui n’est pas toujours facile à marier. Institutions, administrations, associations, acteurs politiques et société civiles peuvent concourir à faire émerger des solutions innovantes, respectueuses de la nature et de l’humain. Quand… tout ce monde s’accorde ! Sans oublier la solidarité envers les plus démunis !

  • Environnement: plusieurs action de protection en cours

    Protéger l'environnement, c'est préserver la survie et l'avenir du fenua.Des actions sont en cours pouréviter la pollution d'un récif des Tuamotu, sauvegarder la faune marine (requins et cétacés) ou des oiseaux endémiques... Petits coups de projecteur sur des acteurs, associatifs ou publics, qui  participent en ce moment à sa protection.

  • Ils s’engagent pour mieux protéger l’environnement : quelques news de juin

    Aires marines éducatives à Moorea, sentiers pédestres à Raiatea, protection des cétacés dans le chenal entre Tahiti et l’île-sœur, ou encore sensibilisation à l’environnement… petit coup de projecteur sur quelques projets qui ont pris leur envol dernièrement.

  • Quel après Covid19 voulons nous voir advenir ?

    La tension médiatique autour de la pandémie Covid19 se relâchant, l'actualité concernant la protection de l'environnement refait surface dans les médias locaux. Le mois de juin va aussi être l'occasion de rendre plus visibles les démarches éco-responsables initiées sur le fenua: sensibilisation au changement climatique, agriculture saine et durable, gestion des déchets...

  • Revue de presse : zoom sur l’actualité de l’environnement

    AvA-Infos poursuit sa veille et scanne les médias locaux à la quête des infos concernant le développement durable et la protection de l’environnement. A lire : deux actus problématiques et cinq propositions pour un développement plus autosuffisant et résilient.

  • La protection de l’environnement, toujours d’actualité !

    La crise sanitaire ne doit pas faire oublier les nécessités de protection de l’environnement. Si les associations ne peuvent plus continuer leurs actions de terrain, elles n’en continuent pas moins leurs activités de sensibilisation. Le gouvernement, de son côté, précise son plan d’actions pour la gestion du navire chinois échoué à Arutua, qui présente, en son état actuel, de nombreux risques écologiques.

  • Le confinement générateur de solidarité et de créativité

    Le confinement annoncé par le gouvernement pour stopper la propagation de l’épidémie de coronavirus est peut-être l’occasion de redécouvrir l’importance de nos liens. C’est le moment de s’intéresser aux personnes les plus fragiles en ces temps difficiles, d’inventer une autre manière de cultiver ses relations, de découvrir des formes de créativité et une manière plus équilibrée de s’alimenter, le moment aussi peut-être de se reconnecter à l’essentiel. De nombreux élans de solidarité se manifestent.

  • Coronavirus - Réflexions pour l’après-Covid-19

    De crise sanitaire localisée, la pandémie du Covid-19 est devenue en un temps record une crise économique et sociale mondiale. Elle montre de façon dramatique l’interdépendance des trois piliers du développement durable : l’environnement, le social et l’économie et la nécessité de changer notre modèle de production et nos modes de vie. Quelques réflexions issues du tissu associatif, local et international.

  • A lire: "Le Plus Grand Défi de l'histoire de l'Humanité"

    « L’écologie est-elle une victime collatérale de l'épidémie ? », interroge un article récent du journal Le Monde. En ce temps de confinement, mettez entre parenthèses toute autre lecture, et lisez cet ouvrage en priorité. Aucun autre sujet ne devrait avoir plus d'importance que celui de la vie que nous détruisons. Ce sujet doit être pris très au sérieux, et partagé au plus grand nombre. Il est temps de se préoccuper (enfin) de ce qui compte réellement dans notre existence.

  • Associations/engagement éco-citoyen: (petite revue de presse du 01 au 10/02/20)

     L’engagement dans la vie de la cité ne se réduit pas aux seules élections, et il y a bien d’autres occasions pour chacun d’investir et de s’investir dans la vie collective. Petite revue de presse dédiée pour la période du 1 au 10 février.

  • Comment la culture peut-elle contribuer à la protection de l'environnement ?

    Espace numérique et audiovisuel, lecture, conférences, préservation des langues polynésiennes,  partage de valeurs traditionnelles… autant de facettes de la culture qui peuvent être abordées avec une conscience écologique.

  • Le diabète, "catastrophe" sanitaire pour le Cesec

    Dans un rapport adopté à l'unanimité, les conseillers de la quatrième institution du Pays, le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), ont interpellé les responsables politiques au sujet de la situation du diabète en Polynésie et recommandent diverses mesures pour faire face à cette "catastrophe" sanitaire. Cette problématique n'est pas que sanitaire, au sens strict. Elle concerne l'évolution de la société polynésienne dans son ensemble. Le modèle actuel est-il "durable" ?

  • À découvrir, six initiatives éco-culturelles pour le fenua

    Selon l'Unesco, "la culture crée un monde riche et varié qui élargit les choix possibles, nourrit les capacités et les valeurs humaines, et est donc un ressort fondamental du développement durable des communautés, des peuples et des nations". Entre tradition et modernité, préservation de la culture et des enjeux environnementaux vont de pair.

  • Vers une mobilité plus douce en ville : un "schéma cyclable" en cours

    L'éco-mobilité est plus simple à mettre en œuvre, donc plus souvent pratiquée, en milieu urbain. Des moyens techniques et des alternatives existent, et des mesures politiques ont montré des effets positifs dans certaines villes ou régions. À Tahiti, dans le grand Papeete, des initiatives commencent à voir le jour avec des dispositifs visant mettre en place un "schéma cyclable”. En mer aussi, on peut envisager une mobilité douce.

  • Mieux connaître et protéger la biodiversité du fenua

     Lorsque la perte de biodiversité se produit, la santé des écosystèmes est affectée. Ils deviennent moins résilients lorsque certaines de leurs composantes sont perdues en raison de l'extinction ou de la disparition. Ils ne peuvent alors plus s'adapter aux changements environnementaux. D'où l'importance de certaines démarches scientifiques pour mieux en comprendre les différents aspects. D'où, aussi, l'importance de communiquer à ce sujet et de respecter les réglementations qui protègent les différents milieux naturels. L'actualité d'octobre.

  • 3e Opération 'Ete: privilégier paniers marché, cabas et sacs recyclables

    La troisième édition de l’opération ‘Ete a été lancée. Le principe reste le même : jusqu’à la fin décembre, les Polynésiens sont incités à remplacer les sacs plastiques pour faire leurs courses, par des paniers marché, cabas et sacs recyclables. Tissus, tressages… l’idée est de montrer que les savoir-faire locaux constituent une véritable alternative au plastique. Pour cette édition 2019, un nouveau concept baptisé « mon ‘Ete et moi » a vu le jour. Il s’agit d’une campagne de promotion qui invite le grand public à créer lui-même, à partir de matières premières locales, un panier personnalisé, qui lui ressemble et qui se veut avant tout pratique, donc réutilisable. Un concours est lancé pour récompenser les plus beaux paniers marché.

  • Protection de l'océan: les Polynésiens estiment qu'il faut mieux faire

    Une conférence était organisée le lundi 14 octobre par l’ONG Pew pour présenter les résultats d’un sondage d’opinion sur la protection de l’océan en Polynésie française. Près de 80% des Polynésiens pensent que l’océan en Polynésie française est en mauvaise santé et insuffisamment protégé. Environ 90% d’entre eux souhaitent la création de rahuidans leur lagon. Les projets de grandes aires marines protégées aux Australes et aux Marquises sont largement plébiscités par une grande majorité de la population de ces archipels.

  • Marches pour le climat: Tahiti et Moorea au diapason de la planète

    Du 20 au 27 septembre, un nombre record de plus de 7.6 millions de personnes sont descendues dans les rues, dans le monde, et ont manifesté pour réclamer une action climatique à leurs gouvernants. Il s’agissait de la plus vaste mobilisation pour le climat de l’Histoire. En France, associations de défense de l’environnement, mouvements sociaux et particuliers ont appellé à marcher pour alerter face au réchauffement climatique et réclamer la fin des énergies fossiles. Le 21 septembre, une mobilisation a eu lieu à Tahiti et Moorea, certes moins impressionnante, mais marquant également une prise de conscience et une volonté de voir la problématique du réchauffement climatique réellement prise en compte par les autorités.

  • L'océan célébré lors de la semaine du patrimoine à Punaauia

    La semaine du patrimoine, qui s'est tenue du 20 au 27 septembre au Fare Oire, a été l'occasion de célébrer la culture polynésienne et les richesses de la ville de Punaauia ! Avec, comme thème "Te Moana", cette deuxième édition offrait aux visiteurs la possibilité de s’immerger dans l'héritage marin de la commune et de se sensibiliser à sa protection et à sa sauvegarde.

  • Justice sociale et justice climatique: même combat ?

    Justices climatique, sociale et fiscale sont liées et il faut que ce soit pris en compte pour pouvoir prendre des mesures cohérentes. Pauvreté, inégalités, violences, suicides, obésité, addictions aux écrans, illetrisme... Autant de pathologies sociales qui empêchent la société polynésienne de se développer harmonieusement et de façon réellement "durable. Des dispositions de rééquilibrage sont engagées par des institutions et des associations.

  • Marches pour le climat: "System change, not climate change"

    Une semaine internationale pour le climat se déroule du 20 au 27 septembre, avec plusieurs moments forts dans de nombreux pays. En Polynésie française, le mouvement Citoyens pour le climat de Tahiti prévoit de se joindre à l'événement mondial de la Marche pour le climat, le samedi 21 septembre.

  • Sensibiliser à la protection des cétacés: une sculpture de dauphin au musée de Tahiti

    Une sculpture en métal représentant un dauphin a été inaugurée le mercredi 28 août dans le jardin du Musée de Tahiti et des Îles – Te Fare Manaha. Il s’agit d'une sculpture à taille réelle afin de marquer les esprits et servir comme support sensoriel de sensibilisation et de communication auprès d’un public résident mais aussi des touristes visitant le musée.

  • En juillet, une vingtaine d'initiatives "éco-durables"

     

    Préservation de l'environnement; agriculture et alimentation plus respectueuses de la nature et de la santé humaine; réduction de la consommation d'énergie, si possible renouvelable; gestion et recyclage des déchets ; traitement de l'eau; activités économiques soucieuses de l'écologie; éducation... Le mois de juillet a été riche en initiatives "éco-durables".

  • Tourisme : vert ou pas vert ?

    L'écotourisme est l'un des secteurs qui connaît le plus fort taux de popularité dans le monde, à l'inverse du tourisme de masse qui dégrade les milieux naturels, en intégrant une dimension éthique et écocitoyenne. Deux exemple de projets polynésiens à découvrir : Makatea et le Mont Aorai ; et un questionnement : à Bora Bora. Quel impact aura la construction d’un nouvel hôtel ? La population invitée à consulter une étude.

  • "Mana Honu", la nouvelle mascotte de Te Mana o te Moana

    À l’occasion de la Journée mondiale de l’océan, l’association Te Mano O Te Moana a présenté la mascotte de son nouveau projet de sensibilisation à la pollution plastique. Avec son slogan « Aita te pehu ! » (« non aux déchets ! » en tahitien), Mana Honu, ou « La tortue sage », est le symbole de l’une de ses activités de protection de la nature.

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