AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

AvA-Infos, ouvrons nos regards à la planète

 

        actualités, revues de presse

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Consommation

  • Vers une consommation plus "durable"

    Dix fermes de Tahiti, Raiatea et Tahaa participent aux "Journées portes ouvertes des faaapu bio" organisées par l'association SPG Biofetia ; L’association Fa’a’apu rau no Rangiroa s’est donnée pour mission de promouvoir l’autonomie alimentaire sur l’atoll en valorisant les déchets verts et en produisant du compost local et de l’engrais de poissons ; La présidente de la coopérative Teruamo’o participe à l'approvisionnement en produits locauxdes cantines scolaires de Teva i Uta et de la prison de Tatutu ;Inauguration de trois ateliers d'agro transformation à Mataiea: du papier d’emballage ou des objets fabriqués grâce aux déchets du secteur agricole ; "Panier fûté" : enfin une application gratuite qui va permettre de comparer les prix sur les produits du territoire, et donc de faire des économie ; La labellisation du poisson devrait faire partie des discussions pour la mise en place d’un statut de marin pêcheur.

  • Bienfaits du recyclage: à grande et à plus petite échelle

     À l'occasion de son opération annuelle des "Tortues du cœur", le syndicat du tri Fenua Ma a remis un peu plus de 12 millions Fcfp à des associations œuvrant pour les enfants ou la protection de l'environnement. Ce qui leur permet de financer une partie de leurs activités ; Durant les quatre samedis de ce mois de septembre, le public est invité à déposer les appareils électroniques périmés et les produits toxiques dangereux à Motu Uta ; Artisane de Papara adepte de l’upcycling, Tahiri s’est lancée dans la confection de parures à base de capsules de café en aluminium.

  • Cinq facettes de la transition économique en cours

    Deux fermes photovoltaïques de la société locale du groupe Engie désormais raccordées au réseau ; Le tribunal administratif a enjoint la commune de Faa’a de procéder à la régularisation de la décharge municipale de Mumuvai ; Le projet de loi du Pays visant à réduire le gaspillage alimentaire a été examiné par le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) ; L’économie sociale et solidaire (ESS) était le thème de la troisième journée de prospective économique organisée par l’Agence de développement économique (ADE) ; Troisième étape du Congrès du Secteur primaire organisée à Uturoa le 27 juin.

  • Développement durable : de la mer à la terre

    Un actif cosmétique découvert dans le rori, concombre de mer : un procédé qui devrait aussi permettre de préserver ces espèces menacées par la surpêche ; Aux Marquises, les agriculteurs, les éleveurs, les pêcheurs lagonaires, les aquaculteurs et les exploitants forestiers consultés pour la feuille de route du développement du secteur primaire ;La fondation Agir contre l'exclusion (Face) va lancer, d'ici septembre, la première banque alimentaire du Fenua ; L’opération ‘ETE perpétuée cette annéeencore à l'occasion de la 13e édition des Floralies, du 2 au 12 mai à la mairie de Punaauia autour du thème : « De la terre à l’océan;Marché du terroir dans les jardins de la mairie de Punaauia pour inciter à consommer local ; Les savoirs ancestraux comme alternative aux répercussions du dérèglement climatique ? La série "De la Mère à la Terre en Outre-mer.

  • Vers la fin du plastique et de l'aluminium à usage unique...

    Face au recours massif du plastique à usage unique, des mesures sont nécessaires pour réduire drastiquement les quantités produites et consommées. Le Conseil économique, social, environnemental et culturel (CESEC) de la Polynésie française a examiné, jeudi 11 avril, le nouveau projet de loi du Pays relatif à la réduction de l'utilisation du plastique et de l'aluminium à usage unique ; À suivre, aussi : un projet de réseau de ressourceries en Polynésie française bientôt envisageable ?

  • Faire passer l'économie "au vert"

    La Convention des entreprises pour le climat (CEC) débarque dans le Pacifique / Interrogation sur « l’acceptabilité sociale », l’impact environnemental et le chiffrage des ambitions touristiques du gouvernement ; Lancement du tout premier “Diag Décarbon'Action” au sein de l’établissement hôtelier Manava Beach Resort & Spa de Moorea ; L’opération “Les cantines à l’unisson”, mise en place en Nouvelle-Calédonie depuis 2018, peut-être bientôt au fenua ; Enquête de la Direction des transports terrestres pour connaître les enjeux des embouteillages entre les zones rurales de l'île de Tahiti et l'agglomération.

  • Vers une gestion durable de l'eau

    Gérer durablement l’eau est indispensable pour permettre un développement économique compatible avec un accès à une eau de qualité pour tous, tout en protégeant les milieux et la biodiversité : Fin du projet « PROTEGE » financé par l’Union européenne avec la tenue d'un Atelier régional sur l'alimentation en eau potable et les risques sanitaires ; Les Journées mondiales de l’eau, Te vai, e vāea, se tiendront les 22 et 23 mars prochain ;Travaux de réhabilitation de la station d’épuration de Tiapa, à Paea ; Projet de construction d'une troisième usine de traitement de l’eau à Moorea.

  • Déchets: l'éternel combat

    Incivilités : Les dépôts sauvages de plus en plus nombreux en Polynésie ; 15e opération de dépollution par l’association Mama Natura, cette fois-ci à l’entrée de la vallée de Tipaerui ; Les eco-warriors de la Brigade Verte Tahiti attelés à nettoyer le littoral des déchets sur la plage de Hitimahana, à Mahina ; Interdiction du plastique à unsage unique: évolution de la loi ; L'expédition Plastic Odyssey à Mangareva pour montrer à des entrepreneurs la façon dont le plastique peut être revalorisé ; "Bac marron": Fenua Ma s’apprête à sélectionner deux communes pour expérimenter un bac dédié aux biodéchets ; Un point sur le centre d’enfouissement technique de Paihoro.

  • Pollution et gestion des déchets : une problématique multiforme

    Opération de dépollution sous-marine à la Marina de Taina ; Ne ne pas mettre un vélo électrique et ses batteries dans les déchets encombrants ! ; 147 000 tonnes de déchets produits par an en Polynésie française : quels sont les enjeux de leur tri ? ; L’eau : un enjeu considérable pour Huahine, notamment la gestion des eaux usées.

  • 3 piliers du développement durable : transport, logement, gestion des déchets

    Avec sa turbo voile et ses deux moteurs électriques un navire plus gros et moins polluant pour les Australes d’ici 2026 ; Pour aider les personnes victimes de sinistres (cf. l'incendie récent de tout un immeuble, à Faa'a), la ministre des Solidarité et du logement a relancé l’idée de construire des fare d’urgence, types “tiny houses” ;Les ménages polynésiens ont produit moins de déchets en 2023, mais des efforts doivent encore être faits.

  • Alimentation: souveraineté et hygiène alimentaires

    Le principe de la souveraineté alimentaire est « dans les tuyaux » de la gouvernance du Fenua. Ce challenge n’est pas sans causer des problématiques parfois paradoxales : ainsi, la surproduction de carottes à Tubuai (Australes), entraînant la destruction de dizaine de tonnes de ces légumes (35 ou 60 tonnes ?, selon le média…) ; Le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) s’interroge aussi sur le projet de loi du Pays relatif aux financements publics, aux accès et à l'aménagement des terres agricoles privées ; Importance, par ailleurs, de la formation sur la conduite de l'inspection sanitaire des établissements alimentaires et des denrées sous l’égide du Centre de santé environnementale (CSE).

  • Surveillance et préservation de l’environnement et de la santé

    Incivisme des riverains, manque de poubelles... L'association Mama Natura a ramassé plus de 22 tonnes de déchets l'an dernier... ; L'après Covid, la crise économique avec la guerre en Ukraine et l'inflation... en sont-ils la cause ?En 2023, une baisse de 8% des déchets collectés s’est fait ressentir comparée aux années précédentes ;  En pleine saison des pluies, la population locale est invitée à redoubler de vigilance face à la leptospirose, cette maladie infectieuse pouvant entraîner de graves complication ;  Curer les cours d’eau pour prévenir le risque d’inondation, une "fausse bonne idée" ? Écologues et hydrologues doivent en tout cas être impliqués dans tout projet d’aménagement.

  • Noël: business et solidarité... mais quid de l'écologie ?

    Quand arrivent les fêtes de Noël, nous sommes obnubilés par toutes les stimulations apportées par notre société de consommation. Les illuminations, les décorations chaleureuses des vitrines des magasins, les maisons qui se décorent, les cadeaux bien présentés dans les étals... Cependant, tous n'en bénéficient pas de la même manière. Et, depuis quelques temps, après les étoiles dans les yeux, un goût amer se fait sentir...*. L'occasion d'une réflexion ?

  • Séminaire sur la durabilité des systèmes alimentaires du Pacifique

    Les effets du réchauffement climatique et de l’inflation générale menacent la sécurité alimentaire et les systèmes alimentaires du Pacifique.Les questions d’alimentation sont aujourd’hui « à la croisée des chemins », puisqu’elles ont des effets sur la santé et l’environnement, mais aussi sur le malaise social en renchérissant le coût de la vie. Améliorer la qualité des produits alimentaires consommés, réduire la dépendance aux importations doivent aussi faire l'objet d'une nécessaire "transition alimentaire" pour les pays du Pacifique réunis à Tahiti pendant une semaine dans le cadre du projet PROTEGE financé par le 11eFonds européen de développement (FED) régional.

  • Quid du mix énergétique ?

    Un nouveau pic d'énergie renouvelable (hydro et solaire) a été atteint en début octobre, laissant à penser qu'avec la mise en service de fermes solaires, le mix énergétique deviendra une réalité en 2024. Néanmoins, le dernier rapport de la Chambre territoriale des comptes sur la politique de l’énergie de la Polynésie française  indique que les ambitions du Pays, 75 % d’énergies renouvelables à horizon 2030, seront difficilement atteignables.

  • Foire agricole : promouvoir un modèle résilient et durable de l'agriculture

    La crise sanitaire, en particulier, a mis en exergue la vulnérabilité de notre consommation alimentaire, presque entièrement dépendante des importations. Enfin, elle nous a montré que les modèles agricoles diversifiés, autonomes et locaux sont plus résilients. Promouvoir la production et la consommation des produits locaux, afin d'esquisser l'idée d'une souveraineté alimentaire, tel est le maître mot de la 37ème Foire agricole, du 27 septembre au 7 octobre. Les objectifs : sensibiliser la population à la réorientation et à la relocalisation de l'agriculture polynésienne vers un modèle résilient et durable. La sensibiliser aussi à rééduquer son goût pour sortir de l'addiction aux produits gras, sucrés et transformés... Et, à découvrir, un nouvel ouvrage de la CAPL  sur l'alimentation: le Manuel du manger local « tama’a maitai ».

  • Des pistes pour une économie plus durable

    Protection de la biodiversité et souveraineté alimentaire : pose de la première pierre du futur centre technique des plants et semences de Ua Huka ; L’UPF lance un nouveau diplôme universitaire « Management et Transformation par l’Innovation », notamment dans les domaines de l’intelligence collective et de la conduite du changement ; L’association Raiatea Sitting veut remettre au goût du jour le concept du troc ; Concept « Do It Yourself, ou Fais-le-Toi-Même » : le Brico-Lab vient d’ouvrir ses portes dans le centre-ville de Papeete ;  Embouteillages, transport collectif : préparation de la « Semaine de la mobilité » ; Polémique autour de l'application de covoiturage NiuCar.

  • Mise en oeuvre de stratégies de développement durable

    Afin d'assurer un progrès économique, équitable sur le plan social, tout en préservant la base de ressources et l'environnement pour les générations futures... des stratégies sont à mettre en place au niveau du Pays, des communes, des entreprises et à l'échelle internationale, particulièrement au niveau du Pacifique :  Invité dernièrement par l'Assemblée de la Polynésie française, Günter Pauli, un industriel belge, s’inspire de la nature pour développer une économie durable fondée sur le concept d'"Économie bleue" ; La thématique retenue pour la 32ème édition du Congrès des communes n’est autre que la transition écologique ; Innovation et problématiques insulaires d’espace, écologiques, de population... , la communauté French Tech du fenua a signé un accord avec les communautés French tech de Nouvelle-Calédonie, d’Australie et de Nouvelle-Zélande… ; L’Union européenne poursuit la mise en œuvre de son portefeuille de 156 projets, d’une valeur de 663 millions d’euros (env. 79,560 milliards Fcfp), structuré autour des axes de l’alliance bleue-verte avec le Pacifique, qui fixe le cadre de son engagement financier dans la région pour 2021-2027.

  • Le gouvernement souhaite le développement de l'agro-écologie

    Dans un contexte où le secteur agricole et alimentaire affronte de plein fouet les aléas climatiques et les tensions internationales, la nécessité s’impose de mieux maîtriser la production agricole pour garantir l’indépendance alimentaire du Pays. Avec un vecteur de développement durable : l’agro-écologie. L’objectif est d’amplifier la production tout en diminuant les pressions sur l’environnement et en préservant les ressources naturelles et leurs capacités de renouvellement.

  • Agriculture et alimentation en route vers un modèle résilient et durable

    Quatre exemples en cours de la transition vers des systèmes alimentaires et agricoles plus durables : Un 3e bâtiment prévu pour l'Agropol, le centre de recherche, d’innovation et de valorisation en agriculture de Papara. Objectif: la sécurité alimentaire et le maintien de la biodiversité ;  Les JO 2024 à Teahupo’o, prétexte pour développer l'autonomie alimentaire du fenua et la mise en valeur de notre alimentation traditionnelle polynésienne et de ses produits locaux ; Un cacao polynésien d’exception, qui produit ses arômes grâce à un terroir singulier, primé par le Club des croqueurs de chocolat, une confrérie basée dans l’Hexagone qui regroupe 150 spécialistes du cacao ; Petit portrait d'un éleveur de poules pondeuses bio sur le plateau de Taravao.

  • Gestion des déchets: 18e Tortues d'or mais des soucis à Raiatea

    FENUA MA présente chaque année une cérémonie des Tortues d’Or, basée sur les résultats du tri sélectif de l’année précédente. Elles ont été décernées pour la 18ème année consécutive. En revanche, difficile problématique de la gestion des déchets à Raiatea: annulation d’une décision de la communauté de communes Hava’i prévoyant l’ouverture d’un nouveau dépotoir suite une décision de justice saisie par la FAPE.

  • Alimentation : deux initiatives "vertes" à découvrir

    Valorisation d'une plante locale : une famille se lance dans la fabrication de "jus 100 % vi tahiti"Le Cesec a installé une structure hydroponique lui permettant de récolter salades, concombres et autres légumes. L'installation est alimentée en énergie solaire par quatre panneaux solaires.

  • Poules, pucerons et chiens... font aussi l'actualité de l'environnement

    Pour les sauver de l’abattoir, une seconde vie offerte à un maximum de poules pondeuses ; Recrudescence d’attaques des cycas (Cycas revoluta, ou “Sagou du Japon”) par des pucerons nommés “cochenilles” ; Arrivée à Tahiti de trois chiens spécialisés pour renforcer le contrôle de la biosécurité.

  • Énergie, eau, alimentation : dernières news

     ÉNERGIE - L’Observatoire polynésien de l’énergie (OPE) a annoncé la publication du bilan énergétique de la Polynésie française 2021. Le taux de dépendance énergétique reste élevé à 93.9% avec une baisse de 2,3 points du taux de pénétration des énergies renouvelables sur un an, et... 9,5 tonnes d’équivalent carbone par habitant ;  EAU - Convention de financement du « Programme européen d’appui à la gestion durable de l’eau en Polynésie française » et interrogations sur l'eau potable ;  ALIMENTATION - Le marché Matete Natura est de retour : une grande variété de produits locaux, durables, bio et équitables, ainsi qu’une sélection d’artisans et de producteurs locaux

  • Des solutions pour nos déchets ?

    Les déchets ne sont pas uniquement un problème environnemental mais représentent aussi une perte économique. Leur traitement fait toujours l'actualité : Disparition programmée des points d’apport volontaire à Raiatea: en cause, la prolifération des dépotoirs sauvages à proximité de ces structures mais aussi un tri sélectif qui laisse souvent à désirer ; Que deviennent les batteries une fois usagées ?Quid des bateaux abandonnés ?les membres de l'association Maha4ena Car audio aiment les basses, mais ils respectent aussi la nature.

  • Le plan de transition alimentaire 2024-2034 en chantier

    Améliorer la santé de la population et assurer la sécurité et l’autonomie alimentaire, faire de l’alimentation un chantier prioritaire : c'est le programme du Plan de transition alimentaire (PtrA-PF) de la Polynésie française 2024 – 2034. Sa feuille de route liste six objectifs principaux visant à transformer notre système agro-alimentaire afin de procurer à tous une alimentation saine, abordable et durable, utilisant davantage de produits locaux.

  • Alimenter la population de façon saine, équitable et durable

    Agriculture, biosécurité, solidarité, commerce, quatre piliers du développement de la filière agricole : Deux ans après l’adoption du Schéma directeur de l’agriculture, bilan pour les membres du Comité d’orientation stratégique et de développement agricole ; Mise en place d’un plan de lutte contre le virus de la Tristeza qui attaque les agrumes à Rurutu ;  La Chambre de l’agriculture et de la pêche lagonaire  a offert un kit de potager solidaire à 7 familles de la commune d'Arue ;  La CAPL a organisé  son premier marché du terroir de l’année.

  • Black Friday ou Green Friday ?

    Black Friday, comme Halloween, nous vient des USA. C'est l'un des piliers du consumérisme ambiant qui anime l'économie contemporaine. Ces évènements promotionnels devenus incontournables avant Noël sont sources de pollutions multiples : les livraisons de colis s’emballent, les emballages s’amoncellent et la surconsommation exige une surproduction néfaste de biens... Et, apparemment, les Polynésiens "lykent" ça...! Dur, dur pour la transition écologique ! Et si on passait au Green Friday !?

  • Construction du plan de transition alimentaire

    Deux initiatives sont engagées pour réduire l’empreinte environnementale de l’agriculture, et rendre accessible une alimentation saine et durable. L'une est institutionnelle : la DAG organise des atelier pour finaliser la construction du plan de transition alimentaire, pour une alimentation accessible financièrement, saine et respectueuse des principes diététiques et enfin durable ; L'autre est le fruit de l'entreprise Ninamu Solutions qui propose un kit pédagogique à destination des établissements scolaires afin de sensibiliser petits et grands à la pratique du compostage, mais aussi à l'auto-suffisance alimentaire.

  • Bio ou pesticides : la transition en cours

    À Kauehi, dans l'archipel des Tuamotu, l'exemple d'un potager sans engrais ni pesticides a fait l'étonnement des autorités en déplacement pour inaugurer l'abri anti-cyclonique de l'atoll. Son créateur produit jusqu’à 500 kilos de tomates chaque mois... ; Le glyphosate, herbicide puissant mais classé comme cancérigène probable par l'OMS, est désormais interdit à la vente pour les particuliers. Ainsi en a décidé leconseil des ministres du 19 octobre. Mais...les agriculteurs professionnels peuvent encore l'utiliser,  en limitant toutefois la concentration du produit à 36% au lieu de 72% par litre d’eau. 

  • 36e Foire agricole : sur le thème « Du fa’a’apu à l’assiette »

    Le “fa'a'apu dans l'assiette”, c'est le thème de la 36e édition de la foire agricole. Un événement “100% local” cette année, puisque toute commercialisation de produits importés a été interdite. Officiellement ouverte depuis jeudi matin (29/09), elle se tient jusqu'au 9 octobre prochain sur le site d'exposition de Outumaoro à Punaauia. Valorisation des produits locaux, une agriculture responsable et de qualité… La Chambre d’agriculture et de la pêche lagonaire (CAPL) organise cette édition avec l’ambition d’accompagner la transition alimentaire du Pays : produire de manière responsable et de qualité, manger mieux et autrement et soutenir le développement des filières de production traditionnelle.

  • Développement durable : le secteur économique à la croisée des chemins

    La Banque de Tahiti a annoncé la sortie de cartes bancaires réalisées à 75% à partir de plastique recyclé des océans ;  La Direction des ressources marines (DRM)  a invité plusieurs institutions et porteurs de projets à découvrir le centre aquacole de VairaoUne autorisation internationale contestée de nodules polymétalliques dans la zone de fracture Clarion-Clipperton de l’océan Pacifique ; La qualité de l'eau de consommation n'est pas homogène partout en Polynésie: la carte des eaux potables à Tahiti et dans les îles ; Le président du Medef évoque la mise en place d’un dispositif de soutien direct à la maîtrise de l’énergie dans les entreprises...

  • Pistes pour l'autonomie alimentaire du Fenua

    L'autonomie alimentaire du Fenua passe par la mise en place de nouvelles activités et initiatives : À Arutua, un projet d'agroforesterie unique en Polynésie ; À Moorea, la société civile agricole Hotu Fenua s'est lancée dans la culture de canne à sucre bio ; Les agriculteurs de Tubuai redoublent de vigilance face aux ravages occasionnés par la mouche des fruits ; Des kits de semences maraîchères et fruitières remis aux maires lors du 31ème congrès des communes ; le 'uru intéresse les participants à la 12ème Conférence des dirigeants des îles du Pacifique.

  • Ava-Infos : les revues de presse du fenua durable

    Les différents médias du fenua relaient sur le web des informations concernant le développement durable et la protection de l’environnement qu’ils traitent sur leurs supports respectifs (tv, radio, presse écrite). Mais le flux d’infos étant continu, et ces dernières étant mélangées avec toutes sortes d’autres éclairages (politique, fait divers, culture, etc…), il est important, pour ceux qui s’y intéressent, de pouvoir suivre cette actualité de façon ciblée. Les revues de presse AvA-Infos sont une source d'informations pour les lecteurs exigeants qui ne veulent pas être de simples consommateurs de l'actualité. Elles représentent une base de données établie sur huit années qui peut intéresser les chercheurs et les étudiants qui souhaitent  "creuser" ces sujets.

  • Foire agricole, cantines scolaires, bois de construction : promouvoir la production locale

     Pour son alimentation, le fenua doit tendre vers une plus grande autonomie de production. Idem pour son bois de construction : La 36e Foire agricole ouvrira ses portes fin septembre. Des produits locaux y seront exclusivement proposés afin de favoriser la résilience alimentaire du Pays ; Un marché 100% local à Tubuai ; Promotion des produits locaux dans les cantines scolaires ; Protection agronomique : et si la musique aidait à soigner les plantes ? / danger pour les abeilles: suspicion de loque américaine à Mahina et Moorea ; Implantation d'une scierie à Nuku Hiva qui ambitionne de produire 50% du bois de construction utilisé au fenua.

  • Autonomie alimentaire, pratique agro-écologique et réinsertion sociale

    L’autonomie alimentaire du pays passe aussi par l’agro-transformation. Trois ateliers spécifiques sont en construction à Raiatea. Des sources d’approvisionnement bienvenues, notamment pour les cantines scolaires ; à Raiatea toujours, afin de leur permettre de concrétiser un projet de réinsertion, l’administration pénitentiaire permet aux détenus présents dans le centre de participer à des ateliers, dont un qui porte sur la permaculture. Une manière pour eux de découvrir une nouvelle conception de la nature à travers une pratique agro-écologique.

  • Manger local pour soutenir le développement durable

    En Polynésie française, près de 80% de l’alimentation est importé. La démarche de consommer local s’inscrit dans une dynamique de développement durable qui commence petit à petit à prendre ses marques. Producteurs, distributeurs et consommateurs sont invités à s’y engager et à mieux apprécier des variétés végétales comestibles souvent méconnues, à l’instar duremuet des Rutiacées.

  • Pollution : Les matières plastiques, toujours sur la sellette

    La pollution due aux plastiques s’avère de plus en plus en plus comme l’un des grands problèmes environnementaux dans le monde. 18 tonnes de plastique entrent dans l’océan chaque minute ! En juillet, plusieurs événements ont été organisés en Polynésie française afin de lutter contre cette pollution dont beaucoup de personnes ne mesurent pas la gravité.

  • Le tabac tue les fumeurs et… la planète

    Chaque année, depuis 1988, est organisée le 31 mai la Journée mondiale sans tabac, sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Elle a pour but de générer une prise de conscience globale sur les dangers du tabac pour la santé des consommateurs, comme de leur entourage. Un véritable défi pour la population polynésienne qui compte… 41% de fumeurs. De plus, fumer n'est pas vraiment écologique... le tabac est "le cancer du poumon de la planète".

  • Des pistes pour une économie polynésienne plus solidaire et “durable”

    Situation économique difficile pour une grande partie de la population, et pourtant gaspillage alimentaire… Gabegie d’emballages, production alimentaire locale insuffisante… Sommes-nous prêts aujourd’hui à relever ces défis ? Des solutions émergent pour faire face à ces aberrations et contribuer à l’édification d’une économie résiliente. 

  • Un leitmotiv pour l’alimentation : “local et sain”

    Manger local et de saison, c’est reprendre contact avec celles et ceux qui nous nourrissent, retrouver la fraîcheur des aliments et les saveurs du terroir. C’est aussi encourager la production alimentaire près de chez soi et, par la même occasion, l’autonomie alimentaire et un partage plus juste des ressources nourricières avec le reste du monde. C’est aussi choisir d’acheter des fruits et légumes cultivés sur des exploitations de taille réduite qui pratiquent une agriculture écologique et favorisent les variétés locales.

  • Les produits agricoles vendus comme "bio" doivent être garantis ou certifiés

    Une conférence de presse a été organisée, le 25 avril à la Direction de l’agriculture, afin de rappeler au public, via les médias, la réglementation concernant l’affichage du “bio” en Polynésie française. Ce terme, qui est l’expression d’un label, y est en effet encadré de manière précise et aucun producteur ne peut l’employer sans avoir fait l’objet d’une garantie ou d’une certification.

  • Produire local et plus sain

    La teneur en pesticides des produits agricoles locaux, en 2005, avait suscité l’inquiétude des consommateurs. Aujourd’hui, la politique agricole du Pays étant tournée vers le “produire et consommer local”, semble aller de pair avec le développement de pratiques plus respectueuses de l’environnement et de la santé.

  • Le ‘uru et la banane à l’honneur

    Le Festival du ‘Uru et de la Banane s’est déroulé du 15 au 17 mars, à la Maison de la culture, à Papeete. L’occasion de découvrir en un même lieu les produits dérivés de l’arbre à pain. Mais aussi, de valoriser l’ensemble du patrimoine végétal et culinaire traditionnel polynésien. 

  • Trois initiatives éco-citoyennes originales

     

    Les meilleures idées ne viennent pas toujours des laboratoires. Des entreprises et des citoyens innovent en proposant des solutions ingénieuses pour conserver un environnement vivable. Trois exemples en Polynésie: recyclage et création de mode, une appli pour signaler les problèmes, une charte pour supprimer les sacs plastique à usage unique.

  • Inquiétudes face à un projet de flotte industrielle de thoniers aux Marquises

    Un projet de pêche industrielle aux Marquises a été initié par la communauté de communes (Codim). Ce qui ne manque pas de soulever inquiétudes et interrogations. Malgré la possible création d’emplois que pourrait générer cette activité, l’inquiétude quant à la gestion et surtout, la pérennité de la ressource en thons obèses et autres espèces, est quasi générale.

  • 1ere édition du Village de l’Alimentation et de l’Innovation

    Une dizaine d’exposants y étaient présents pour faire découvrir leurs ateliers culinaires et sensoriels afin de promouvoir des comportements alimentaires sains et durables. L’événement était aussi l’occasion de conférences et d’ateliers en partenariat avec le lycée hôtelier de Punaauia. 

     

  • Petite revue de presse dédiée aux énergies

    Le bras de fer économico-politique pour le contrôle de la distribution d’énergie solaire se poursuit. Des solutions alternatives voient aussi le jour : pour l’eau potable, pour l’éclairage et… pour produire du courant.

  • Économie : des alternatives, encore timides, se dessinent

    Le secteur de l’économie doit aussi se diriger vers des alternatives. En voici plusieurs exemples : projet de supermarché coopératif, mise en place d’une auberge de jeunesse à Papeete. La baisse des droits de douane favorise aussi la vente de vélos.  Une obligation verte émise par la France, une"green bond", devrait permettre de financer des investissements écologiques.

  • Petite revue de presse centrée autour de l’agriculture et de l’alimentation

    Agriculture : Sortie d’un guide pratique d’agriculture naturelle, portraits d’agriculteurs bio, lutte biologique pour protéger les légumes. Alimentation : portrait de Hereiti qui partage ses recettes « vegan » en photo et vidéo sur Facebook et Instagram ; un concours de recettes autour de produits du fenua.

     

  • Fêtes de fin d’année : des initiatives éco-responsables

     

    Comme chaque année, les «fêtes» de fin d’année donnent lieu à des réjouissances festives. Malgré le climat d’euphorie imposé, il est important de mettre en perspective l’impact massif de l’exploitation animale et de la surconsommation lors de cette période. Et de proposer des solutions alternatives.

  • Primes pour l’achat de véhicules neufs moins polluants

    Coup de pouce du gouvernement aux concessionnaires automobiles pour la mise en place d’une prime pour l’achat d’un véhicule moins polluant. Une initiative écologique et économique. Mais n’y aurait-il pas une réflexion de fond à mener sur la nécessité d’une diminution du parc automobile conjointe à une augmentation d’un service de transport en commun, efficace et propre ?

  • Tortues d’Or : un concours pour récompenser le meilleur tri sélectif

    Les trophées décernés par Fenua Ma – anciennement la SEP (Société environnement polynésien) - récompensent les efforts consentis en matière de tri sélectif. Un espoir ? Une enquête réalisée par ce syndicat mixte auprès de 900 personnes démontre que  98 % des personnes interrogées estiment que trier les déchets est incontournable pour la protection de notre environnement. 

  • Alimentation : des pistes pour sortir de la dépendance aux importations

     Plus de 80% des produits agro-alimentaires sont importés en Polynésie française, sans véritable traçabilité. Des alternatives sont possibles : l'autosubsistance alimentaire, via les jardins partagés, les circuits cours ou encore la promotion de produits locaux...

  • Évolution du secteur de l'énergie : prix de l'électricité, solaire, swac pour l'hôpital

    L’électricité, en Polynésie française, est certainement l’une des plus chères du monde…Suite à des négociations avec le Pays, EDT acte de nouveaux tarifs – en principe revus à la baisse – depuis le mois de mars. Un nouveau syndicat des professionnels du solaire. Le swac du CHPF en phase d’essai.  

  • Inflation à la baisse mais coût de l'alimentation en hausse. Et si les fruits et légumes passaient en PPN ?

     

    Les chiffres de l'inflation de décembre 2015 publiés début janvier par l'ISPF indiquent que les prix sont à la baisse, sauf pour l'alimentation. Ce qui entraîne naturellement les populations les plus modestes à consommer majoritairement les produits dits de première nécessité (PPN). Cela a-t-il des conséquences pour la santé ?

  • Pas assez de prévention : la « malbouffe » à l’origine du diabète et de nombreuses maladies

    Depuis trente ans, l'alimentation a changé à notre insu. Les conséquences nocives de chaque coup de fourchette sont aujourd’hui visibles : diabète, obésité, maladies cardio-vasculaires... En Polynésie française, plusieurs activités ont été organisées à la mi-novembre, à l'occasion de la Journée mondiale du diabète afin de promouvoir les efforts de prévention.

  • Les "Jardins partagés" ont le vent en poupe

    La commune de Pirae a lancé à la mi-octobre ses premiers "jardins partagés" avec une formation à l'agriculture en faveur d'habitants du quartier prioritaire de Tenaho, site pilote désigné pour la réalisation des premiers jardins partagés de la commune. à Arue, c'est en 2012 qu'a été lancée une telle initiative. Aujourd'hui, des habitants en recueillent les fruits. À Punaauia, ce sont les habitants de Punavai qui sont concernés.

  • Lancement d'un site internet de location d'objets entre particuliers à Tahiti et en Polynésie

    Le site LocFute.com a été mis en ligne à la fin du mois d'août. Il s'agit, selon ses concepteurs, d'un nouvel outil lancé pour permettre de consommer mieux, ou tout du moins de dépenser moins. Le principe, permettre de louer occasionnellement ce dont on aurait peut l'utilité dans l'année plutôt que de l'acheter. Et, réciproquement, de proposer à la location un outil que l'on possède mais dont l'on n'a pas besoin de disposer en permanence. Le tout, entre particuliers.

  • Projet de "Ressourcerie" à Tahiti : un endroit de collecte et de réparation pour éviter le gaspillage

    Colibris-Tahiti projette la mise en place d'un endroit où l'on pourrait laisser des objets usagés et où ceux-ci seraient recyclés. Une façon de leur donner une seconde vie, d'éviter qu'ils ne contribuent à augmenter la pollution et enfin de participer à une économie circulaire et solidaire. L'occasion également de créer un lieu de rencontre et d'éducation à l'environnement.

  • Des sacs réutilisables pour fruits et légumes

    Après les sacs de courses réutilisables voici venus les sacs pour fruits et légumes réutilisables. Sandrine Li, de Green ID, a lancé récemment cette initiative désormais opérationnelle dans au moins dix magasins de Tahiti. Une façon de lutter contre une forme de pollution qui affecte 88% de la surface des océans dont 1/3 dans le Pacifique.

  • eShipp, nouvel exemple d'économie collaborative à Tahiti

    eShipp, est une plateforme de mise en relation entre voyageurs et acheteurs. Le principe est simple : les acheteurs qui habitent en France ou à Tahiti et qui ont besoin de se faire ramener un produit de France ou de Tahiti envoient une requête sur eShipp en décrivant leur demande pour qu'un voyageur disponible leur ramène le produit demandé. 

  • Solidarité et partage pour une société plus équitable

    Des fruits et des légumes frais pour les plus démunis, la considération des handicapés et des malades, ou encore des vacances pour les enfants défavorisés. 

    Donner aux plus démunis des fruits et légumes frais. L'idée n'est pas neuve mais la concrétiser reste compliqué. Une convention a été signée le 8 juillet entre le ministère de l’Agriculture et la Croix-Rouge pour permettre aux épiceries solidaires de bénéficier des fruits et légumes habituellement jetés par le Service du développement rural.

     

  • Opération "Plastic Free" en juillet

    En juillet, pour la 2e édition de cette opération "Plastic Free July Tahiti", Fenua Ma et l'ADEME proposent à la population de participer à leur défi. Leurs partenaires et le grand public sont invités à essayer de ne pas utiliser les plastiques à usage unique durant le mois de juillet.

  • Nouveau à Tahiti : la voiture électrique et son garage solaire

    Un SUV tout électrique, la e6 de la société chinoise BYD, est désormais importé en Polynésie française. Il a notamment comme particularité d'être rechargeable sur un équipement solaire autonome, également fourni en option par l’importateur.

  • Pour une vie sans tabac

    Le 31 mai était la Journée mondiale sans tabac, une date occultée par la traditionnelle Fête des Mère. Le ministère de la Santé a toutefois rappellé à cette occasion les possibilités que la direction de la Santé, qui s’est fixée deux objectifs pour 2015, met en place pour aider les fumeurs à sortir de cette addiction. Une bonne occasion aussi de ne plus participer, involontairement, à une économie mortifère et mensongère organisée par des multinationales sans scrupules.

  • Projet de déménagement des cuves de stockage des hydrocarbures de Fare Ute

    À Fare Ute, la présence de ces dépôts d’hydrocarbures à proximité immédiate de Papeete, dans la zone industrielle et dans l’axe de la piste de Tahiti-Faa’a, pose un problème de sécurité. La vétusté des installations laisse en outre craindre de possibles nuisances sur l’environnement. Un communiqué du Conseil des ministres précise les termes de leur transfert, d’ici 2021, vers l’extrémité Est de la digue de Motu Uta, puis le démantèlement et la dépollution du site. 

  • Marches contre les OGM dans le monde et à Tahiti

    Le collectif citoyen Gaya Origin a organisé samedi une randonnée découverte de la vallée de Tipaerui, à Papeete. L'occasion de découvrir les richesses naturelles de l'amont d'une vallée très industrialisée dans sa partie basse. Et de participer au mouvement mondial engagé contre la multinationale de la chimie des pesticides ainsi que des OGM, Monsanto.

  • Lutter contre le gaspillage alimentaire

    Le 14 avril, le député PS de la Mayenne, Guillaume Garot, a remis à Ségolène Royal et à Stéphane Le Foll son rapport sur la lutte contre le gaspillage alimentaire qu'il défendra la semaine prochaine à l'Assemblée nationale. Celui-ci a été missionné le 15 octobre dernier afin qu’il formule des recommandations au Gouvernement en matière de lutte contre le gaspillage alimentaire.

  • L'avenir des véhicules électriques semble se dégager à Tahiti

    Radio1 a organisé récemment un tour d’horizon des nouveautés du marché polynésien, après les exonérations fiscales, sur les voitures électriques. "Si les voitures hybrides à prix abordable sont désormais une réalité au fenua, l’électrique est également en passe de le devenir", estime le média.

  • Bienfaits du ‘uru et des tubercules traditionnels

    Le 'uru, le taro et les autres cultures vivrières de Polynésie française ont été à l'honneur pendant quatre jours, lors du festival qui leur était consacré la semaine dernière à la Maison de la culture. L’occasion de découvrir les mille et une facettes d’aliments issus d’une tradition ancestrale d’horticulture. Et une excellente alternative sanitaire aux produits importés, issus de l’agriculture industrielle...

  • Le Salon de l'agriculture de Paris s'ouvre (enfin) à l'agro-écologie

    Le Salon International de l’Agriculture, qui ouvre ses portes le samedi 21 février Porte de Versailles, a été placé sous le signe de l’agroécologie. Le temps est-il venu d'affirmer que production économiquement viable et responsabilité environnementale et sociale doivent marcher de pair ? Nos choix alimentaires ont une incidence sur la santé, bien sûr, mais aussi sur l'environnement et l'économie.

  • "Ne plus manger les yeux fermés !" : bientôt, une ‘Ruche qui dit oui !’ à Papeete

    "Ne plus manger les yeux fermés!". C'est en résumé le slogan de cette entreprise, "La Ruche qui dit oui !", qui prend pied en Polynésie et qui propose de se rassembler pour acheter les meilleurs produits aux agriculteurs et aux artisans de la région.

  • Papeete accueille le premier marché des produits de terroir

    Une centaine d’exposants du secteur agricole, de la pêche lagonaire et des activités artisanales seront réunis, ce samedi 20 décembre, sur le parking de l’ancien hôpital Mama’o. Cet événement, Te Matete Hotu Rau, devrait désormais avoir lieu chaque dernier samedi du mois. 

Ce marché des produits de terroir, va offrir une vitrine publique à une centaine de petits producteurs.

  • Décembre : fêtes, cadeaux et… hyperconsommation

    Le mois de décembre est traditionnellement (?) une période de consommation importante. Achat de cadeaux, réveillons, vacances de fin d’année… Oh, les jolies guirlandes, oh les beaux sapins de Noël… et tous ces jouets en plastique qui vont finir dans la décharge ou… dans le lagon ! Sans être rabat-joie, on peut s’interroger sur la pertinence de tous ces achats, en période de crise économique et de réchauffement climatique…

  • Poly SEL, système d’échange local polynésien : offres et demandes en ligne

    S.E.L. veut dire « Système d’Échange Local ». Il y en a 300 en France et des milliers dans le monde. En Polynésie, c’est « Poly SEL », qui n’est pas une association mais un réseau d’entraide : un groupe de personnes inscrites sur le site poly.communityforge.net pour se donner des coups de mains, comme on le fait naturellement en famille ou entre amis, sauf que là, on le fait avec des gens qu’on ne connaît pas forcément au départ.

  • La question de l'usage de l'énergie en Polynésie : que faire ?

    La Polynésie Française est très largement dépendante des importations pour sa consommation en énergie. Or les prix, qui sont imposés par le marché international, augmentent régulièrement depuis plusieurs années (90 $US/baril sur lespremiers mois de 2013, soit 3 fois plus qu’il y a 10 ans). En conséquence, malgré la crise, la facture du Pays augmente : +4,5 milliards de francs entre 2010 et 2011, ce qui annule la plupart des efforts réalisés sur les autres postes de dépense (biens d’équipement, biens de consommation, etc.).

  • Le plastique, pas si fantastique

    PlastiquesL’impact du plastique sur l’environnement a fait l’objet de nombreux articles, campagnes, documentaires :

    • impact sur les ressources épuisables : la production des matières plastiques utilise du pétrole ainsi que des métaux : plomb, cadmium, mercure
    • impact sur le climat : la production des matières plastiques est très polluante (C02)
    • impact sur la biodiversité : les sacs en plastique, les bouchons et débris divers en plastique sont responsables de la mort d’animaux (dauphins, tortues, oiseaux marins). D’après le Programme Environnemental des Nations Unies, les débris de plastique causent la mort de plus d’un million d’oiseaux marins chaque année, ainsi que celle de plus de 100 000 mammifères marins.
    • impact sur les éco systèmes : dans la nature, les matières plastiques se dégradent peu et mal (100 ans pour une bouteille en plastique) ; polluant ainsi les milieux naturels. 
  • Disparition programmée du thon rouge en Méditerranée. Et en Polynésie ?

    Bluefin Tuna Les stocks de thons rouges méditerranéens (Thunnus thynnus)sont en chute libre. En 2007, la population de géniteurs ne représentait déjà plus qu'un quart de celle présente 50 ans plus tôt. Aujourd'hui, le WWF est clair : au stade actuel de prélèvement, l'espèce aura disparu de la zone en 2012...
     
    Et en Polynésie, quelle est la situation ?

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