AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

AvA-Infos, ouvrons nos regards à la planète

 

        actualités, revues de presse

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Reduire / Reutiliser / Recycler

  • Développement durable : le Pays en chantier

    Gestion de l’eau, énergie renouvelable, projets d’aménagement, traitement des déchets… Ces secteurs qui conditionnent la vie quotidienne doivent être orientés en direction d’un développement durable du Pays et des communes. Avec des travaux à la clé mais aussi une sensibilisation de la population.

  • Déchets: l'éternel combat

    Incivilités : Les dépôts sauvages de plus en plus nombreux en Polynésie ; 15e opération de dépollution par l’association Mama Natura, cette fois-ci à l’entrée de la vallée de Tipaerui ; Les eco-warriors de la Brigade Verte Tahiti attelés à nettoyer le littoral des déchets sur la plage de Hitimahana, à Mahina ; Interdiction du plastique à unsage unique: évolution de la loi ; L'expédition Plastic Odyssey à Mangareva pour montrer à des entrepreneurs la façon dont le plastique peut être revalorisé ; "Bac marron": Fenua Ma s’apprête à sélectionner deux communes pour expérimenter un bac dédié aux biodéchets ; Un point sur le centre d’enfouissement technique de Paihoro.

  • Pollutions et gestion des déchets : répression et prévention

    Des incivilités, qu’elles soient le fait de particuliers ou d’entreprises, sont encore et toujours à l’origine de pollutions de toutes sortes. Une dizaine de fûts d’hydrocarbures ont été retrouvés dans l’épave du Corsair, dans le port de Papeete, à la suite d’une perquisition à 30 mètres de fond ; Du 10 au 18 février, l’opération « Place nette » a été mise en place sur l’ensemble du territoire pour lutter contre la délinquance environnementale, mais aussi faire de la prévention avec des interventions auprès des scolaires ; De manière positive, la cérémonie de remise des Tortues d'Or organisée par le syndicat Fenua Ma a permis de mettre une nouvelle fois en lumière les efforts des communes polynésiennes en matière de tri des déchets ainsi que les initiatives des entreprises dans cette démarche écologique.

  • Déchets : toujours un défi écologique

    La gestion des déchets reste toujours un défi écologique : À Punaauia, intervention bénévole du personnel d'un hôtel dans une opération de ramassage des déchets sur une partie du littoral ;  À Papeete, plan d’action pour retirer de l’eau un maximum de navires abandonnés ou en fin de vie. Mais... l'épave du Corsaire est toujours immergée dans le port, à Motu Uta ; Pour valoriser ces déchets de l’industrie du pneumatique, le syndicat Fenua Ma a mis en place une nouvelle filière de revalorisation des pneus usagés qui sont transformés en chips ; L’occasion, ici, de rappeler la règle des 5R : Refuser, Réduire, Réutiliser, Rendre à la Terre, Recycler.

  • Initiatives pour un fenua plus durable

    La protection du fenua est l'affaire d'"acteurs" engagés (institution, fondation, association, particulier...) à l'origine de "solutions" ou d'études qui méritent d'être remarquées. À noter, en cette fin d'année 2023 : Prolongation du rahui de Ua Huka jusqu'en 2025 ;  État des lieux de la faune et de la flore d'îlots des Australes ; Lancement d’un projet d’aquaponie au sein du bassin de la Présidence ; 60 millions de francs CFP en faveur de dix associations de protection animale de Polynésie française ;  Bilan de quatre ans d'activités de l’association Raiatea Animara pour venir en aide aux animaux domestiques mais aussi aux familles ; Bilan de la surveillance de la radioactivité par l'IRSN : une radioactivité "très basse" ; Une seconde vie pour les jouets inutilisés avec le collectif Tata'i et "réparer au lieu de jeter" avec Rawena Temahahe, la réparatrice de Vairao qui ramène à la vie machines à laver et autres appareils électroménagers...; Une baleine à bec de cuvier, échouée dans la baie de Vaiare à Moorea, a pu regagner le large avec l'aide de nageurs, bénévoles et associations ; La plage de Taunoa, à l'embouchure de la Fautaua, croule sous les déchets. Face à une population locale qui excelle dans l'incivilité... ce sont aux associations (en l'occurence Mama Natura) de pallier ce manque de responsabilité !

  • STPGD et SERD pour bien gérer les déchets

    Une gestion saine des déchets est incontournable pour la préservation de la qualité environnementale et sanitaire d'un pays. Un nouveau Schéma territorial de prévention et de gestion des déchets de la Polynésie française (STPGD doit être mis en place par le gouvernement et être étudié par les communes et différents autres partenaires. Des événements organisés dans le cadre de la Semaine Européenne de la réduction des déchets (SERD) ont contribué à la sensibilisation d'une partie de la population, notamment auprès d'un public lycéen.

  • À terre et en mer : le kaléidoscope de la transition écologique

    L'évolution vers un modèle économique et social qui apporte une solution globale et pérenne aux enjeux environnementaux implique la mise en place d'un modèle de développement résilient et durable qui repense nos façons de consommer, de produire, de travailler et de vivre ensemble. Cela nécessite une transition écologique qui recouvre plusieurs secteurs. Or, ce qu'on appelle la "pensée en silo" consiste à considérer les éléments indépendamment du tout, ce qui entretient  l’aveuglement aux phénomènes systémiques. Cette rationalité à œillères s’exprime par exemple dans la recherche de solutions "individualistes",  "technologiques" ou "par secteur". Cette revue de presse propose de découvrir un kaléidoscope d'actualités où cohabitent plusieurs sujets recouvrant la même problématique de "durabilité": alimentation, économie bleue, condition animale ou encore gestion des déchets, transport v/s énergie, pollution sonore v/s sports mécaniques...

  • Économie circulaire : trois alternatives pour moins de pollution et de gaspillage

    Valorisation des cheveux pour fabriquer des filtres anti-polluant, valorisation des déchets alimentaires pour produire de la farine animale, ou encore valorisation des huiles végétales usées et valorisation des bouteilles en verre avec l’association « A ti’aturi » ; Lutter contre le gaspillage et la pollution, c'est l'objectif du Biovator, un composteur cylindrique ; La doctorante Margaux Crusot a présenté sa thèse de doctorat : "Perliculture et déchets plastiques : de l'analyse des pratiques à la proposition de solutions plus durables".

  • Économie circulaire : béton de coquillages et broyage de pneus

    L’économie circulaire consiste à produire des biens et des services de manière durable en limitant la consommation et le gaspillage des ressources et la production des déchets. Il s’agit de passer d’une société du tout jetable à un modèle économique plus circulaire. Que faire des coquilles de nacre issues de l’activité perlicole et devenues impropres à la commercialisation, parce que abimées, “piquées”, ou en morceaux. David Grégoire, professeur à l’université de Pau, travaille à une formule à partir des nacres du fenua pour en faire du béton ; Que faire des pneus crevés ou laminés, inutilisables pour la conduite sur route ? Enviropol, qui exploite un broyeur à pneus sur le site de Paihoro en tire un broyat de caoutchouc, de ferraille et de tissu qui peut être utilisé en remplacement du gravier pour plusieurs utilisations.

  • Transition écologique et gestion des déchets au menu du 32ème Congrès des communes

    Le 32ème Congrès des communes s'est tenu à Teahupoo (Presqu'île de Tahiti), du 19 au 22 septembre. Le défi de transition écologique a été le principal thème de cette session qui a réuni les élus des communes de Polynésie française confrontées à de multiples problématiques. Parmi celles-ci, la gestion des déchets n'est pas la moindre. À l'exemple de Rapa, aux Australes... Cet événement, et les conclusions qu'on peut en tirer, demanderaient un article de synthèse. Mais on retrouvera ici les différents éclairages apportés par les médias locaux qui ont couvert l'événement.

  • Transition écologique et traitement des déchets

    Le 16 septembre est "Journée mondiale du nettoyage de la planète" (World CleanUp Day*). Cet événement n'a pas fait la une des médias en Polynésie française. Des actions sont néanmoins à mentionner pendant la semaine qui entoure cette date : Le 15 septembre, journée d’action contre l’incivisme et la pollution à Moorea ; Lancement du Congrès des maires, à Teahupoo le 19 septembre, sur le thème de la transition écologique: avec, notamment, la restitution programmée au Pays de la compétence du traitement des déchets ; 48 associations ont reçu 13 millions Fcfp à l’occasion de la manifestation des Tortues du cœur : 2 francs pour 1kg de déchets recyclés ; Une étude est en cours pour la la réhabilitation de la décharge communale de Moorea.

  • Biodiversité, gestion des emballages : deux défis environnementaux

    Préservation de la biodiversité et meilleure gestion des déchets sont au coeur de la protection de l'environnement : La SOP Manu a mené une campagne de dératisation high tech à Ua Pou (Marquises) pour mieux protéger plusieurs espèces d'oiseaux menacées ; L’association Mata Tohora souhaite que le Pays fasse évoluer le Code de l’environnement pour une meilleure préservation des cétacés ; L’association Tama no te Tairoto, qui veut mieux connaître la biodiversité de nos récifs, a réalisé un inventaire du récif frangeant à Arue ; Surconsommation d'emballages divers et gestion de ces déchets : l'ADEME prépare la semaine européenne de la réduction des déchets (Serd) du 18 au 26 novembre prochains.

  • Environnement : actions, sensibilisations et recherches en cours

    La vice-présidente, et notamment ministre en charge de l'Environnement, encourage les actions menées par la la fédération des associations de protection de l'environnement (FAPE) Te Ora Naho ; À Hao, mission de sensibilisation sur la protection de l'environnement ; L’association Oceania, qui mène le programme Vigie Sanctuaire, lance un appel aux dons ; Le centre de soins des tortues marines de Te mana o te moana a inauguré ses nouveaux locaux au sein de l’hôtel InterContinental de Faa’a ; Préparation de la Semaine Européenne de Réduction des Déchets (SERD), coordonnée par l'ADEME ; Le navire de recherche pluridisciplinaire Antea est au fenua depuis le 18 août et jusqu’au 18 septembre pour étudier le lien possible entre le changement climatique et la connectivité des populations de poissons récifaux.

  • Des politiques agricoles à forts enjeux : autonomie alimentaire, santé, environnement :

    Autonomie alimentaire, objectifs de santé, développement économique, ancrage des populations et environnement sont au programme du recensement général agricole lancé ce 16 août.  Avec un volet sur l’agroécologie, une innovation au niveau mondial ; La Polynésie française  accueillera un atelier régional sur la durabilité des systèmes alimentaires du Pacifique du 2 au 6 octobre ; Les JO 2024 à Teahupoo dans la ligne de mire des instances de l'agriculture du fenua : des plants vivriers et des graines maraîchères afin que les athlètes, le staff et les spectateurs puissent manger local pendant l'événement ; Une jeune société locale, Go Green Tahiti, commercialise des méthaniseurs domestiques qui permettent de répondre à une problématique environnementale et énergétique. Pouvant fabriquer du gaz et de l’engrais à partir de déchets organique, elle espère trouver un écho auprès des autorités organisatrices des Jeux olympiques, notamment pour traiter les biodéchets produits lors de la préparation des repas des athlètes.

  • Déchets et pollution: des réponses pour une meilleure maîtrise

    Le collectif Nana sac plastique et l’association Ti’ai Fenua présentent au gouvernement leur projet de mise en place d’un réseau de ressourcerie dédié à la réparation d’équipements électriques et électroniques afin de limiter la quantité de déchets générée ; Vaste opération de retrait des épaves dans les zones relevant de l'autorité portuaire ; À Punaauia, discussion Pays/commune : Gestion des déchets et assainissement des eaux usées, réhabilitation de la décharge de la Punaru’u ; Incivilités nocturnes à répétition sur la plage de Mitirapa, à Toahotu : aménagements de la commune pour répondre à la pollution sonore ; Les océans sont "dégoutants": en séjour à Tahiti sur son voilier Voice of the oceans, cette Brésilienne tente d’éveiller les consciences.

  • Déchets, pollutions, dégradations, embouteillages : les news de début juillet 23

    L’association Mama Natura s'investit pour ramasser les déchets lors des festivités du Heiva ; Elle participe aussi à l'opération de mesure de densité des déchets du programme Wildlands Studies, à Papara ; Le président du Pays à Raiatea pour trouver un équilibre dans le traitement des déchets (décharge saturée) ; Extraction de matériaux dans la rivière Taharuu: la Polynésie française condamnée à dédommager des riverains ; Cofinancement par l’État et le Pays de neuf projets communaux touchant aux services publics environnementaux (assainissement des eaux usées, alimentation en eau potable, gestion des déchets…) ; Embouteillages récurrents: quid de la sécurisation de la circulation dans le quartier de Nuuroa (Méridien), à Punaauia ?

  • Contrôles sanitaires et environnementaux : eaux, pesticides, déchets électroniques, pollution en mer, dératisation…

    Résultats de l’étude de la qualité de l'eau destinée à la consommation humaine à Tahiti et dans les îles en 2022 ; Révision de la liste des substances actives de pesticides en vue de retirer des molécules obsolètes ou dangereuses pour l’homme et l’environnement ; Opération spéciale collecte des déchets électroniques sans fils, fusées de détresse et pots de peinture au centre de recyclage de Motu Uta /casse-tête environnemental des batteries au lithium ; Comment réagir face à une pollution en mer ? Formation des agents de la commune de Hao et des militaires du RSMA par la cellule anti-pollution de la Base navale de Papeete ; Drones pour la lutte contre la Petite fourmi de feu, mais aussi opérations de dératisation.

  • Noël : occasion d'une prise de conscience ?

    Les fêtes de Noël et du Nouvel-An sont l’occasion de réjouissances familiales et amicales qu’il serait dommage de bouder. Mais, comme Black Friday fin novembre, ces moments de convivialité sont aussi à l’origine de pratiques consommatrices qui ne font que renforcer un modèle économique prédateur de la nature et dont les crises structurelles actuelles montrent qu’à terme il n’est pas viable, écologiquement mais aussi économiquement et socialement. Quid des sapins de Noël importés en plastique...!? Cette revue de presse rappelle la dimension transversale de thématiques que l’on devrait mieux connaître et prendre en compte alors qu’elles concernent notre quotidien.

  • Six initiatives pour valoriser le patrimoine naturel et la biodiversité polynésienne

    Ateliers collaboratifs Tata’i pour donner une seconde vie à des jouets redistribués aux enfants des quartiers démunis de Mahina ; Biobase étudie la production d’emballages et papiers à base de ressources renouvelables, notamment la fibre de bananier ; Le Fare Natura de Moorea accueille trois expositions de photos mettant à l'honneur certaines richesses sous-marines et terrestres du fenua ; Partenariat Criobe/SOP Manu pour une conférence sur les  ‘’Oiseaux terrestres et marins de Polynésie’' ; Une semaine organisée dans le cadre du programme PROTEGE pour une apiculture conciliant la diversification de la production et le respect de l’environnement ; Une compétition pour recenser les diverses espèces de noix de coco présentes sur le territoire polynésien.

  • Démarche développement durable : des institutions aux écoles

    Institutions et organismes de recherche souhaitent renforcer le potentiel de développement durable : innovation, pêche artisanale,  tourisme ;Une fondation oeuvre à faire connaitre au grand public les projets de plusieurs associations qui vont dans ce sens ; des écoles se lancent dans le recyclable solidaire ; relance de la filière du café en Polynésie ; Un joailler veut utiliser ses pierres précieuses pour aider à protéger les récifs du Pacifique ; Publication d'un livre pour tenter de changer certaines perspectives et susciter un élan vers une société plus agile et durable

  • Économie circulaire et... solidaire

    Limiter la consommation et le gaspillage des ressources et la production des déchets sont les objectifs de l'économie circulaire. Une quarantaine de boites solidaires  où l'on peut déposer vini et tablettes numériques hors d'usage mises à la disposition de la population ; Le recyclage des déchets perlicoles est une nécessité pour protéger l’environnement: la Direction des ressources marines (DRM) cherche une solution pour valoriser 6 000 bouées récoltées lors d’une campagne de collecte des déchets perlicoles.

  • Polluer est facile. Dépolluer l'est moins... mieux vaut éviter la première option

    Echoué il y a deux ans à Arutua, le navire chinois Shen Gang Shun 1 a été démantelé. L'opération vient de s'achever. 700 tonnes d’acier découpés, un chantier qui au départ devait durer cinq semaines et qui s’est étalé sur six mois pour un coût de 362 millions… sans compter la remise en état du site d’échouement avec notamment nettoyage du site et des traces éventuelles d’hydrocarbures ; À Tahiti, la Brigade verte a lancé une action de dépollution sur le littoral de Faa'a: 1/2 tonnes de déchets ramassés... Elle organise aussi plusieurs actions grand public afin de sensibiliser le jeunesse à la protection de l’environnement ; Les fonds marins de Faa’a nettoyés en grande partie grâce aux 70 bénévoles qui ont participé au Tefana water day: 4,6 tonnes de déchets récupérés (!) ; L'association Hoturea Nui propose plusieurs exemples de récupération et de recyclage des déchets.

  • Petite revue de presse : diverses actions contribuant à la protection de l'environnement

    Résoudre la problématique des dispositifs de concentration de poissons dérivants en Polynésie française ; La zone biomarine de la DRP reconnue projet de transition écologique ; L’éco-responsabilité s’est invitée au Tahiti Soul Jazz Festival ; Découverte de modes de transports alternatifs lors de la Semaine européenne de la mobilité 2022 ; Une jeune société souhaite valoriser de manière artisanale les coques destinées à être jetées.

  • L'environnement sous surveillance

    À Paea, pollution due à l’émissaire endommagé d’une station d’épuration ; Un article universitaire confirme la sous-estimation par l’enquête « Toxique » de l’impact radiologique des retombées radioactives des essais nucléaires atmosphériques en Polynésie française ; Lancement de l’étude d’impact sur l'environnement du projet de centre d'enfouissement technique (CET) de Raiatea ; À Pirae, les travaux de sécurisation du lit et des berges de la rivière de Nahoata inquiètent les riverains.

  • Économie circulaire : traitement des déchets, recyclage, réparation…

    Préservation des ressources, de notre environnement, de notre santé, permettre le développement économique et industriel des territoires, réduire les déchets et le gaspillage : l’économie circulaire est un modèle économique qui vise à répondre à ces enjeux*. Dans l'actualité du fenua : Travaux de démantèlement des cuves de stockage d'hydrocarbures à Fare Ute ; Quid de l’huile de friture comme carburant, en remplacement du pétrole ? ; L’association Ti’ai Fenua poursuit ses ateliers « Tata’i » de réparation des objets usuels : à Mahina et Rangiroa ; La commune de Rangiroa a décidé d'en finir avec son tristement célèbre dépotoir sauvage du “lac” de Avatoru, aujourd'hui saturé.

  • Quatre initiatives à découvrir : pour un développement harmonieux et durable

    Zoom sur E’lien, une plateforme qui met en relation les producteurs et les consommateurs du territoire : pour une consommation qui respecte l’homme et son milieu ; Les entreprises innovantes du fenua sont invitées à poser leur candidature pour le Tech4Islands Summit Tahiti: pour un développement harmonieux et durable de nos sociétés insulaires ; Découvrir le projet "Recycle ton surf", qui mêle artisanat et recyclage ; Montée en puissance de l’ancrage de l’école dans le numérique avec un objectif : réduire la fracture numérique. Attention, néanmoins à l'environnement et à la santé. 

  • L’Humanité a consommé l’ensemble des ressources que la Terre peut reconstituer en une année

    Cette année, le jour du dépassement de la Terre est intervenu le 28 juillet, dans un contexte marqué par des phénomènes climatiques extrêmes (sécheresses, canicules, feux de forêts) ; Au niveau mondial : Inégalités dans la responsabilité de la dégradation de l’environnement ; Inégalités dans le partage des ressources – et au niveau local ? : 300 personnes vivant dans la rue dans la zone urbaine de Tahiti.

  • Économie circulaire et innovation : deux clés du développement durable

    Il ne s'agit plus aujourd'hui de se contenter de concevoir un produit de sa naissance à sa fin de vie, mais de sa naissance à sa renaissance. Il s'agit d'un cycle de vie circulaire qui s'étend de la recherche et du développement jusqu'à la remise en état, et ainsi de suite... Quelques exemples d'économie circulaire au fenua: un composteur par foyer à Arue ; FACE veut redonner une nouvelle vie aux vieux téléphones portables ; collecte et recyclage des balises de pêche échouées. Quant à l'innovation : Resipol, consortium de recherche, soutient des projets innovants en matière d'énergie renouvelable, économie circulaire, résilience face aux changements climatiques, préservation et valorisation des ressources naturelles, alimentation saine et durable et valorisation des ressources humaines ; "L'impact", humain et environnemental est au coeur de la 4e édition de Tahiti Congrès, en juin, pour faire évoluer le modèle traditionnel des entreprises ; Un appel large est aussi lancé aux Polynésiens dans le cadre du programme Polynnov: les projets seront évalués selon leur potentiel impact (économique, social, environnemental, sanitaire) sur le développement de la Polynésie.Enfin, des élèves de Bora Bora découvrent la barge expérimentale Nohu Criobe, laboratoire scientifique ambulant sur lagon pour étudier la vie du corail.

  • Cinq initiatives en faveur du développement durable du fenua

    Cession de terres domaniales aux îles Australes afin de favoriser leur autonomie alimentaire et dynamiser leurs activités agricoles et artisanales. Sans oublier le traitement de leurs déchets ; ils seraient plus de 150 agriculteurs "bio" en Polynésie française : portrait de l'un d'eux à Mataiea ; à Tahiti, une société se spécialise dans les emballages réalisés à partir de fibres de bananiers, une réelle alternative aux emballages importés ; latelier Tata'i, qui lutte contre l’obsolescence programmée se déploie à Rangiroa ; ouverture d'un camping écolo à Bora Bora, sur le motu Taufāri’i.

  • Pollutions : approfondir la réflexion afin de régler le problème

    Les pollutions revêtent des formes multiples mais ne sont pas inéluctables. Plusieurs exemples de réflexion et d'actions en cours :études pour trouver des solutions viables et durablesà la déchèterie à ciel ouvert de Rangiroa ; opérations de démantèlement des navires échoués aux Tuamotu ; campagne de sensibilisation et de réflexion autourde l'épuisement de la ressource "sable" ;collecte de piles à Ua Pou pour éviter la pollution due auxsubstances dangereuses pour l’environnement et la santé qu'elles contiennent.

  • Recyclage : plusieurs modes d’emplois

    Il est important de penser à économiser les ressources car la raréfaction des matières premières faisant ravage, on doit assurer une production constante mais écologique. Le recyclage et le développement durable vont donc de pair. Cela peut se décliner de plusieurs manières. Trois exemples nous en sont donnés dans l’actualité : un trimaran entièrement recyclé de passage à Tahiti ; le premier biovateur, ou biocomposteur, inauguré à Papeari, permettant de produire un engrais bio ; la mouche “soldat noir” comme activateur de recyclage organique de déchets fait l'objet d'une thèse de doctorat.

  • La transition écologique du fenua en cours : une semaine de news

    La FAPE Te Ora Naho vient de faire paraître le 2ème numéro de son magazine annuel « 50 Solutions pour un fenua durable ». L’occasion de jeter un coup d’œil transversal sur une semaine durant laquelle ont été déployées plusieurs facettes de ce « développement durable » dont beaucoup peinent encore à saisir la nécessité. On y retrouvera, sur une période hebdomadaire, les différentes catégories décrites et illustrées dans le magazine. Problématiques, solutions et acteurs...

  • Développement durable : agriculture, recyclage, cinq projets en cours

    Cette revue de presse vous invite à découvrir cinq projets en cours orientés vers un développement durable du fenua. Leur traitement éditorial est différent selon les médias. L'occasion d'en préciser les différentes facettes, selon l'angle retenu : Agriculture = Faire fructifier les terres de Maupiti et développer son autonomie alimentaire ; bel essor du pitaya, ou fruit du dragon, à Hao - Recyclage = appel à financement pour un projet de Upcycling, à Faa’a ; une solution pour traiter et recycler les pneus usagés qui s’accumulent à Paihoro ; valorisation des coquilles d'huîtres perlières à Fakarava. En bonus, une démarche calédonienne d'écomobilité qui pourrait inspirer la Polynésie française.

  • Les news de la première semaine de la nouvelle année

      Environnement et développement durable : l’actualité récente a été relativement modeste en ce qui concerne ces thématiques. L’occasion, à travers ces quelques news, de se rappeler que le développement durable demande une approche transversale. Il s’inscrit dans une démarche globale, mais nécessite de prendre en considération les enjeux sociaux, économiques et environnementaux des sujets traités, et… de les débattre dans un cadre de démocratie participative.

  • Up-cycling et échange plutôt que vente: deux tendances qui "montent"

    L'objectif de l’upcyclingest de valoriser les produits usagés en leur donnant une nouvelle vie plus qualitative.Devenue une des tendances fortes de l’économie circulaire, elle apparaît doucement en Polynésie française : Une opérationsoutenue par la fondation Anavai a permis la réalisation de 217 articles réalisés avec des uniformes réformés d’ATN et des bâches publicitaires ; À l'occasion des fêtes de fin d'année, la tendance est à la déco récup' ; Faire le choix de textile seconde main, c’est réduire son empreinte carbone et la production de déchets. Ce qui est possible en pratiquant  l'échange de vêtements, proposition de la boutique "Échange Tendance" ;

  • "L'économie bleue" ou circulaire, un concept à développer

    II est possible de révolutionner notre consommation et nos moyens de productiontout en protégeant la nature. C'est la base du concept d'"économie bleue", ou économie circulaire qu'est venu promouvoir l'auteur et industriel belge Günter Pauli, invité par la CCISM. Des idées en partie appliquées aux Gambier où l'on projette de désaliniser l’eau de mer grâce à l’énergie du soleil... Un concept qu'il serait bien de reprendre pour le Schéma d’aménagement général (Sage) du Pays. L’agence 'Ōpua d’aménagement et de développement durable des territoires était l'invitée d'un séminaire pour favoriser le rassemblement des institutions du Pays, des communes et leurs groupements, de l’Etat, ses établissements publics et financiers.

  • Lutter contre des nuisances de toutes sortes : un challenge toujours d’actualité

    Qu'il s'agisse de nuisances sonores, des signes de dérangement des baleines, d'une décharge sauvage…, différents indices signalent des modes de vie et des actions qui sont perturbants pour les humains, les grands mammifères marins et l’environnement. Mais il est aussi possible d’apprendre à mieux consommer, à mieux produire et à moins jeter ou encore acquérir de connaissances sur la biodiversité d’une île afin de mieux la protéger.

  • Garder la terre propre: sans pollution plastique, les déchets triés et l'eau assainie

    Garder la terre propre, c'est aussi la garder sûre pour que les humains, les animaux et d'autres micro-organismes survivent en toute sécurité. Se passer de plastique à usage unique ;sensibiliser au tri des déchets ; gérer correctement l'assainissement des eaux usées… autant de sujets qui n’attirent pas forcément l’intérêt des foules mais qui n’en sont pas moins nécessaires et représentent des alternative sérieuses en matière de préservation de l'environnement, en particulier en zone urbaine.

  • Ils agissent pour un développement plus durable du fenua

    Une plateforme incitant les commerçants à proposer leurs invendus alimentaires et permettant aux particuliers d’acheter à petits prix ; le portrait d’un militant écologiste qui, pendant un mois, a composé ses repas à partir de produits exclusivement locaux ; un projet de ferme agri-solaire à Huahine ; Tata’i, des ateliers collaboratifs de réparation, une idée géniale qui permet de redonner vie à des appareils qui ne fonctionnent plus ; une entreprise qui récupère les cartouches d’imprimante et les intégre dans un circuit d’économie circulaire ; un moment collaboratif sous forme de “cartopartie” pour améliorer l'accessibilité des lieux aux personnes à mobilité réduite.

  • Petite revue d'efforts collectifs pour un fenua durable

    L’émergence d’un développement plus “durable”, au sein d’une nature respectée et protégée, est le fruit d’efforts collectifs. Qu’ils viennent d’associations, parfois avec le soutien d’entreprises, ou d’institutions publiques : ramassage de déchets et sensibilisation locale, préservation d’un biotope en danger, recyclage et conception de produits ménagers naturels, protection de la ressource halieutique, amélioration des services publics environnementaux… C’est la dernière moisson de cette revue de presse.

  • La gestion des déchets: toujours d'actualité...

     Des bénévoles doivent encore être sur le terrain pour tenter de nettoyer des déchets abandonnés par laxisme, indifférence ou "j'menfoutisme"... Il existe pourtant un organisme en Polynésie française à même de les traiter... s'ils sont correctement déposés là où il le faut. Certains industriels s'engagent aussi à fabriquer des objets de consommation moins polluants: exit les pailles en plastique ! Il est aussi possible d'apprendre à utiliser une alternative économique et écologique aux produits industriels pour lutter contre le virus.

  • Ils font bouger le fenua

    Ils sont entrepreneurs, sociétés, porteurs de projets, développeurs de programmes... et ils proposent des initiatives qui vont dans le sens d'une économie plus équitable et/ou plus respectueuse de l'environnement.

  • Réparer pour éviter le gaspillage et réduire les déchets

    La presse locale en a parlé ! Les revues de presse proposées par AvA-Infos permettent de comparer et compléter les informations publiées sur un sujet.En voici un exemple récent.Donner une seconde vie aux objets, éviter le gaspillage et réduire les déchets, c'est possible grâce à l'éco-lieu de Faa'a : un atelier qui montre l'exemple. Plus qu'un simple atelier, c'est aussi un moment convivial, de partage autour, par exemple, d'un repas végétarien préparé uniquement à base de produits locaux. 

  • Économie & environnement: conciliables ?

    Exploitation du phosphate à Makatea, filière des véhicules hybrides et électriques, entreprises engagées dans des actions concrètes de développement durable, traitement des déchets par une communauté de commune des Raromatai... l'environnement concerne aussi l'économie.

  • Développement durable: sensibilisation et actions en cours

     Sensibilisation au tourisme éco-culturel, semaine "santé, développement durable", formation à l'agriculture, valorisation des déchets de poisson, "upcycling", engagement pour la propreté d'un littoral... autant d'initiatives pour un fenua plus "durable" à faire connaître et à soutenir.

  • Développement durable : sur le front de la sensibilisation

    Alimentation, solidarité, traitement des déchets, santé, lutte contre la pollution : associations, écoles et institutions… développent des actions diverses et variées, concrètes ou artistiques, pour inciter la population à adopter des comportements plus écologiques et plus solidaires. De beaux exemples de la transversalité nécessaire au développement durable.

  • Initiatives économiques éco-durables en développement

    Des entreprises polynésiennes proposent des produits et services plus respectueux de l’environnement et certaines s’engagent dans des actions concrètes de développement durable. Quelques exemples en développement dont les médias ont récemment parlé.

  • Déchets : une problématique toujours d"actualité

    Les opérations régulières de ramassage de déchets « sauvages » par des bénévoles - le long des plages et des routes, ou même dans le lagon – le démontrent suffisamment. Il y a nécessité pour nos îles de réduire la quantité de déchets générée quotidiennement.

  • Économie, société et environnement : des pistes pour un développement plus “durable”

    Sur la route d'un développement plus “durable”, il y a les plus et les moins. Le fenua, pour se diriger vers plus de résilience face au réchauffement climatique et pour mieux répondre aux défis sociétaux et environnementaux, doit se frayer un chemin entre écueils et propositions positives.

  • Le développement durable : à la croisée de l'économie, de la société et de l'environnement

    Le développement durable représente un savant mélange de politiques économiques, sociales et environnementales pour aujourd'hui et… pour demain. Ce qui n’est pas toujours facile à marier. Institutions, administrations, associations, acteurs politiques et société civiles peuvent concourir à faire émerger des solutions innovantes, respectueuses de la nature et de l’humain. Quand… tout ce monde s’accorde ! Sans oublier la solidarité envers les plus démunis !

  • Moins de déchets, plus de mobilisation éco-citoyenne

    La crise liée au coronavirus a fortement perturbé de nombreux aspects de la vie quotidienne, y compris au niveau de la gestion des déchets. Produire moins de déchets s’avère encore plus une nécessité. Plusieurs solutions ont été mises en avant au fenua.

  • En bref : 3R, Comment réduire, réutiliser et recycler

    "3R", ces simples petits mots (pour "Réduire, Réutiliser, Recycler") représentent en réalité une nouvelle façon de concevoir la production de produits. Ils sont les fondements de la gérance environnementale. Quelques exemples à découvrir...

  • On peut fêter Noël "autrement" !

    Noël n’a pas toujours été synonyme de surconsommation ! Comment fêter Noël autrement, en retrouvant le sens profond de cette fête du solstice d’hiver (dans l'hémisphère Nord) et célébrant le retour de la lumière ? Certaines initiatives ont proposé des alternatives pour rendre plus acceptable ce qui est finalement devenu une fête... de la consommation. D’autres ont été plus radicales, notamment les actions non violentes d’Extinction Rébellion pour dire « non à la surconsommation ! »

  • Des initiatives d’économie circulaire et moins consumériste

    La consommation responsable, c’est un mode de consommation qui prend en compte les critères du développement durable, c’est-à-dire une consommation qui soit à la fois respectueuse de l’environnement, bénéfique pour l’économie (notamment locale), bonne pour la santé, mais aussi positive pour la société. Encore faut-il que des entreprises, elles aussi responsables, produisent des biens et des services qui aillent dans ce sens. Quelques exemples relayés par la presse en novembre.

  • "Le meilleur des déchets est celui que l'on ne produit pas"

    L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) a organisé jusqu'au 24 novembre la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets. C’était la neuvième édition polynésienne du genre. L'objectif de cette semaine est clairement d’encourager et de sensibiliser la population sur la réduction des déchets, car il existe des solutions, parfois toutes simples. Plusieurs actions à découvrir… Saviez-vous que 2/3 des déchets que nous jetons dans le bac gris pourraient être compostés ?

  • Développement durable : éducation et applications

    Le développement durable, parfois traduit par développement soutenable, est une conception de la croissance économique qui s'inscrit dans une perspective de long terme et qui intègre les contraintes liées à l'environnement et au fonctionnement de la société. L'objectif est de sensibiliser et de mettre en pratique des schémas économiques viables qui concilient les trois aspects écologique, social et économique des activités humaines. Quelques exemples développés en octobre à Tahiti.

  • 3e Opération 'Ete: privilégier paniers marché, cabas et sacs recyclables

    La troisième édition de l’opération ‘Ete a été lancée. Le principe reste le même : jusqu’à la fin décembre, les Polynésiens sont incités à remplacer les sacs plastiques pour faire leurs courses, par des paniers marché, cabas et sacs recyclables. Tissus, tressages… l’idée est de montrer que les savoir-faire locaux constituent une véritable alternative au plastique. Pour cette édition 2019, un nouveau concept baptisé « mon ‘Ete et moi » a vu le jour. Il s’agit d’une campagne de promotion qui invite le grand public à créer lui-même, à partir de matières premières locales, un panier personnalisé, qui lui ressemble et qui se veut avant tout pratique, donc réutilisable. Un concours est lancé pour récompenser les plus beaux paniers marché.

  • Déchets : mieux les gérer et, surtout, les réduire

    Un Polynésien produit en moyenne 280 kg de déchets/an. Si on impute les déchets des entreprises au nombre d’habitants, on en est à 365 kg/hab/an. Nos modes de consommation doivent encore changer car sur un territoire insulaire, leur gestion reste une problématique pour de nombreuses communes.

  • En juillet, une vingtaine d'initiatives "éco-durables"

     

    Préservation de l'environnement; agriculture et alimentation plus respectueuses de la nature et de la santé humaine; réduction de la consommation d'énergie, si possible renouvelable; gestion et recyclage des déchets ; traitement de l'eau; activités économiques soucieuses de l'écologie; éducation... Le mois de juillet a été riche en initiatives "éco-durables".

  • Campagnes de collecte et traitement de déchets d’équipements électroniques

    À l’occasion de la Semaine européenne du développement durable, le ministère de la Culture et de l’environnement, en charge de l’artisanat, a lancé deux campagnes de collecte et traitement de déchets d’équipements électroniques de juin à décembre 2019. Il faut néanmoins savoir qu'en dehors de ces campagnes, ces matériels hors d’usage mais polluants ne doivent pas être jetés dans le bac gris. Ils peuvent être déposés gratuitement au siège de Fenua Ma, le syndicat mixte ouvert (SMO) pour la gestion, la collecte, le traitement et la valorisation des déchets en Polynésie française. 

  • Appel à projets : « Investir dans la performance énergétique »

    La Polynésie française, à travers son “Plan climat énergie” et son “Plan de transition énergétique”, s’est fixée des objectifs de maîtrise de la demande en énergie et de développement des énergies renouvelables dans un contexte global de lutte contre le changement climatique.

  • Une consommation plus éthique et plus écologique

    La Polynésie française est délibérément engagée dans le type de société de consommation mondiale qui caractérise notre époque. Au risque de défavoriser une production économique locale, de ne pas se soucier des plus démunis et de créer une pollution non gérable. Certaines initiatives plus éthiques et plus écologiques voient le jour. On peut les encourager.

  • Le casse-tête de la pollution et de la gestion des déchets

    On ne peut pas parler de développement durable sans évoquer la question complexe de la gestion des déchets ni celle de la diminution des pollutions. Deux thématiques qui sont liées et qui impliquent la responsabilité des autorités mais aussi celle des entreprises et des habitants, même les plus jeunes.

  • Un autre regard sur notre environnement quotidien

    L’embellissement du cadre de vie urbain et péri-urbain est aussi une façon de contribuer à l’amélioration du cadre de vie. Le concours “J’embellis ma commune” a démarré le 15 février. Sur le port de Papeete, 16 bennes à déchets du port de Papeete ont été confiées à cinq artistes.

  • Opération ‘Ete : remplacer les sacs en plastique par des sacs à base végétale

    L’opération ‘Ete s’est déroulée les 22, 23 et 24 novembre au centre Vaima, à Papeete. C’était la deuxième édition de cette initiative de promotion des sacs de course locaux, en remplacement des sacs plastique à usage unique. Pendant ces trois jours, des paniers en pandanus, mais aussi des sacs en tissu et des cabas en matériaux recyclés fabriqués par des artisans locaux y ont été proposés.

  • En bref: Les sacs plastiques à usage unique interdits en 2019 en Polynésie ?

    Le gouvernement a annoncé par voie de communiqué que les sacs plastiques et sacs oxo-dégradables vont devenir interdits en 2019. A Tahiti, les autorités se sont réunis avec les professionnels (producteurs, distributeurs et importateurs) pour discuter de ce projet. 

  • 1 900 tonnes de pneus usagés se retrouvent tous les ans dans la nature

    Les pneus usagés, bien que classés non dangereux, représentent un danger pour l’environnement et la santé publique. Entre 200 et 400 tonnes, soit au mieux 25 % des pneus des seuls véhicules de tourisme, sont récupérés chaque année. Il reste au moins 1 900 tonnes de pneus usagés qui se retrouvent dans la nature, selon l’enquête réalisée par le quotidien La Dépêche de Tahiti. 

  • L’économie circulaire en progression sur le fenua

    L’économie circulaire concerne l’utilisation des sous–produits, le recyclage, la réparation, la récupération,… mais aussi plus généralement les activités dont le processus de production se nourrit des principes du développement durable. Des événements en parlent et des projets, comme celui de "ressourcerie" de Colibris Tahiti, se montent.  

  • Recyclage encore problématique des lampes à basse consommation

    Tubes fluorescents, lampes fluocompactes et lampes à décharge sont des déchets spéciaux ! En fin de vie, ils doivent être récupérés et recyclés dans la filière de traitement spécifique, et surtout ne pas être brisés avant d’y arriver ! Elles contiennent notamment une faible quantité de mercure qui impose de les réintégrer, après usage, dans un circuit de recyclage adapté.Ce n’est pas encore très évident de procéder à ce recyclage à Tahiti…

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