AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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Agriculture & Élevage

  • L’économie polynésienne en quête de transition écologique et sociale

    La transition écologique n'est pas seulement une nécessité, mais aussi une opportunité pour les entreprises d'innover et de prospérer dans un monde en évolution.L'Université de la Polynésie française organise ce lundi 26 février un temps d'échange entre l'équipe pédagogique de la licence Sciences de la transition écologique et sociétale (STES)* - qui ouvrira à la rentrée prochaine, dans le cadre du projet Nārua - et des représentants d’entreprises, d’institutions territoriales et du secteur associatif au service des transitions écologiques et sociales. En prélude, cette revue de presse est l’occasion de découvrir plusieurs sujets d’actualité en lien avec cette thématique. Des exemples concrets de la dimension transversale du développement durable couverts par la presse locale pendant la semaine du 19 au 25 février.

  • Environnement : quatre actions en cours

    Dans l'archipel des Tuamotu, le "Fonds vert" finance le projet “Tamataroa” pour la mise en place de mesures de gestion durables adaptées à la conservation du Grand requin marteau et de ses habitats ; L'UPF lance sa nouvelle licence à la prochaine rentrée universitaire : Sciences de la Transition Écologique et Sociétale (STES) ; Portrait de Françoise Henry, agricultrice "bio" à Taravao,membre du réseau de fermes de démonstration en agroécologie PROTEGE, présidente du SPG Biofetia ; Les ruptures de stock d'agrégats préoccupent les professionnels de la construction. Le ministre des Grands travaux Jordy Chan propose notamment une refonte du code des mines afin de favoriser le développement de carrières par le secteur privé. Les riverains et les associations de protection de l'environnement refusent le curage des rivières dans les vallées...

  • Alimentation: souveraineté et hygiène alimentaires

    Le principe de la souveraineté alimentaire est « dans les tuyaux » de la gouvernance du Fenua. Ce challenge n’est pas sans causer des problématiques parfois paradoxales : ainsi, la surproduction de carottes à Tubuai (Australes), entraînant la destruction de dizaine de tonnes de ces légumes (35 ou 60 tonnes ?, selon le média…) ; Le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) s’interroge aussi sur le projet de loi du Pays relatif aux financements publics, aux accès et à l'aménagement des terres agricoles privées ; Importance, par ailleurs, de la formation sur la conduite de l'inspection sanitaire des établissements alimentaires et des denrées sous l’égide du Centre de santé environnementale (CSE).

  • Aménagement "durable" ? Exemples et contre-exemples

    À Faaone (Tahiti), deux exemples d'aménagement problématiques :une extraction de 200 000 mètres cubes de “matériaux”suscite l'inquiétude / Suite à des incivilités, un dépotoir sauvage persistant à l’embouchure de la Vai’iha, les propriétaires du terrain ont choisi de fermer l’accès à la plage ; À Faaone toujours, mais cette fois-ci de manière positive, un projet exemplaire d'"agriculture syntropique" ;  à Raiatea, potentiel agro-touristique aménageable d'un domaine public d’environ 85 hectares ; Pour y voir plus clair, le code de l’aménagement est enfin accessible en ligne sur le site Internet Lexpol.

  • Développement durable : zoom sur l'actualité en cours

    Transport, énergie, gestion des déchets, économie responsable, lutte contre les pollutions : Objectif zéro carbone pour l'aéroport de Tahiti-Faa'a  à l'horizon 2050 ; Après le black out électrique des 24 et 25 novembre, quid du développement de sources d'énergie complémentaires ? ;Une filière spécifique pour les déchets d’activités de soins à risques infectieux ;  L’épave du Tamari’i Tuamotu échouée à Takaroa sepuis 25 ans va être démantelée ; Annonce des trois lauréats de l’appel à candidatures lancé en mars dernier pour l’exploitation des ateliers d’agrotransformation de Mataiea ; Le ministre de l'Économie primaire exprime l’ambition de porter la part de l'agriculture bio de 5 à 25 % d’ici à 2030 ; Lutte contre les agressions sonores et notamment les rassemblements de type “car bass”.

  • À terre et en mer : le kaléidoscope de la transition écologique

    L'évolution vers un modèle économique et social qui apporte une solution globale et pérenne aux enjeux environnementaux implique la mise en place d'un modèle de développement résilient et durable qui repense nos façons de consommer, de produire, de travailler et de vivre ensemble. Cela nécessite une transition écologique qui recouvre plusieurs secteurs. Or, ce qu'on appelle la "pensée en silo" consiste à considérer les éléments indépendamment du tout, ce qui entretient  l’aveuglement aux phénomènes systémiques. Cette rationalité à œillères s’exprime par exemple dans la recherche de solutions "individualistes",  "technologiques" ou "par secteur". Cette revue de presse propose de découvrir un kaléidoscope d'actualités où cohabitent plusieurs sujets recouvrant la même problématique de "durabilité": alimentation, économie bleue, condition animale ou encore gestion des déchets, transport v/s énergie, pollution sonore v/s sports mécaniques...

  • Développement durable: énergie, agriculture, biomatériaux, aménagements routiers

    Énergie, agriculture, biomatériaux, aménagements routiers... autant de sujets connexes à étudier de front pour un développement plus "durable" du fenua:  Projet de loi relatif au déploiement des infrastructures de recharge de véhicules électriques ;  Valorisation des déchets des matières organiques, notamment animales, pour en faire un fertilisant ; Zooms sur la filière d'agro-transformation pour développer l’autonomie alimentaire du fenua ; L’Université de la Polynésie française (UPF) a organisé récemment un séminaire sur les biomatériaux ; Aménagements routiers: la Route du Sud toujours dans les cartons...

  • Développement durable: des pistes à suivre

    Formations d’initiation à la permaculture à Tahiti et à Moorea afin de promouvoir cette forme d’agriculture respectueuse de l’environnement ; Anthony Tchekemian, maître de conférences en géographie et urbanisme à l'UPF, s'intéresse aux jardins urbains collectifs en tant que réponse aux problèmes d’approvisionnement en produits frais, tant du point de vue économique que sanitaire ; Organisation à l'APF de la première édition du Forum des métiers du primaire et de l’artisanat traditionnel ; Le Centre des métiers d’art fabrique du papier 100% local grâce à des végétaux du fenua ;  Les algues rouges (remu ‘ura en tahitien) objets d'une nouvelle production en aquaculture à Vairao ; Des pistes de réflexion pour sauver la ressource halieutique de Bora Bora.

  • Séminaire sur la durabilité des systèmes alimentaires du Pacifique

    Les effets du réchauffement climatique et de l’inflation générale menacent la sécurité alimentaire et les systèmes alimentaires du Pacifique.Les questions d’alimentation sont aujourd’hui « à la croisée des chemins », puisqu’elles ont des effets sur la santé et l’environnement, mais aussi sur le malaise social en renchérissant le coût de la vie. Améliorer la qualité des produits alimentaires consommés, réduire la dépendance aux importations doivent aussi faire l'objet d'une nécessaire "transition alimentaire" pour les pays du Pacifique réunis à Tahiti pendant une semaine dans le cadre du projet PROTEGE financé par le 11eFonds européen de développement (FED) régional.

  • Foire agricole : promouvoir un modèle résilient et durable de l'agriculture

    La crise sanitaire, en particulier, a mis en exergue la vulnérabilité de notre consommation alimentaire, presque entièrement dépendante des importations. Enfin, elle nous a montré que les modèles agricoles diversifiés, autonomes et locaux sont plus résilients. Promouvoir la production et la consommation des produits locaux, afin d'esquisser l'idée d'une souveraineté alimentaire, tel est le maître mot de la 37ème Foire agricole, du 27 septembre au 7 octobre. Les objectifs : sensibiliser la population à la réorientation et à la relocalisation de l'agriculture polynésienne vers un modèle résilient et durable. La sensibiliser aussi à rééduquer son goût pour sortir de l'addiction aux produits gras, sucrés et transformés... Et, à découvrir, un nouvel ouvrage de la CAPL  sur l'alimentation: le Manuel du manger local « tama’a maitai ».

  • 37e Foire agricole : "Cultivons une alimentation de subsistance"

    La Foire agricole 2023 se déroulera du 28 septembre au 8 octobre prochain. Avec pour thème “Cultivons une alimentation de subsistance” – l'événement veut mettre l'accent sur le plan de transition alimentaire en cours : procurer aux Polynésiens une alimentation accessible financièrement, saine et respectueuse des principes diététiques et enfin durable. C’est-à-dire qui repose sur une agriculture qui met en œuvre les principes de l’agroécologie. Un stand "bio" sera présent. L'opération ‘etey sera aussi renouvelée, proposant des contenants éco-responsables en lieu et place des sacs en plastique. Priorité au frais ou au  transformé à partir de produits cultivés localement.

  • Agriculture bio, hydroponie et plantes médicinales

    Les plantes sont d'une importance vitale pour les humains. Comme composants fondamentaux des écosystèmes environnementaux mais aussi pour leur nutrition et leur santé : 3ème édition "Portes ouvertes des fa’a’apu bio" organisée par l'association SPG Biofetia ; L'hydroponie, une technique qui séduit de plus en plus de familles au Fenua. Un mode de production bien spécifique qui présente des avantages mais à ne pas confondre néanmoins avec le bio ; Herboristerie (ra‘au’ tahiti), nutrition et hydrolat... au salon des médecines traditionnelles, Hotu Ora, à Paea.

  • Préserver la nature: côté mer et côté terre

    6ème édition de l’Appel à projets rāhui de Pew Bertarelli et la FAPE Te Ora Naho : Poursuite de la création d’un réseau d’acteurs du rāhui en Polynésie française avec 10 nouveaux lauréats sélectionnés pour développer des solutions innovantes et impliquer la communauté locale dans la protection de l’océan ; Projet immobilier sur les hauteurs de la Mission, à Papeete : l’association A Ti’a No Te Aru dénonce l’abattage de plusieurs arbres, dans une zone naturelle. Une inquiétude qui se renforce à mesure que les forêts polynésiennes disparaissent sous le poids des constructions et des aménagements entrepris dans le cadre de la promotion immobilière ; L’île de Ua Huka peut de nouveau être déclarée indemne de Citrus tristeza virus (CTV) qui s’attaque à la famille des Rutaceae, dont les agrumes et les kumquats.

  • Le gouvernement souhaite le développement de l'agro-écologie

    Dans un contexte où le secteur agricole et alimentaire affronte de plein fouet les aléas climatiques et les tensions internationales, la nécessité s’impose de mieux maîtriser la production agricole pour garantir l’indépendance alimentaire du Pays. Avec un vecteur de développement durable : l’agro-écologie. L’objectif est d’amplifier la production tout en diminuant les pressions sur l’environnement et en préservant les ressources naturelles et leurs capacités de renouvellement.

  • Des politiques agricoles à forts enjeux : autonomie alimentaire, santé, environnement :

    Autonomie alimentaire, objectifs de santé, développement économique, ancrage des populations et environnement sont au programme du recensement général agricole lancé ce 16 août.  Avec un volet sur l’agroécologie, une innovation au niveau mondial ; La Polynésie française  accueillera un atelier régional sur la durabilité des systèmes alimentaires du Pacifique du 2 au 6 octobre ; Les JO 2024 à Teahupoo dans la ligne de mire des instances de l'agriculture du fenua : des plants vivriers et des graines maraîchères afin que les athlètes, le staff et les spectateurs puissent manger local pendant l'événement ; Une jeune société locale, Go Green Tahiti, commercialise des méthaniseurs domestiques qui permettent de répondre à une problématique environnementale et énergétique. Pouvant fabriquer du gaz et de l’engrais à partir de déchets organique, elle espère trouver un écho auprès des autorités organisatrices des Jeux olympiques, notamment pour traiter les biodéchets produits lors de la préparation des repas des athlètes.

  • Agriculture et alimentation en route vers un modèle résilient et durable

    Quatre exemples en cours de la transition vers des systèmes alimentaires et agricoles plus durables : Un 3e bâtiment prévu pour l'Agropol, le centre de recherche, d’innovation et de valorisation en agriculture de Papara. Objectif: la sécurité alimentaire et le maintien de la biodiversité ;  Les JO 2024 à Teahupo’o, prétexte pour développer l'autonomie alimentaire du fenua et la mise en valeur de notre alimentation traditionnelle polynésienne et de ses produits locaux ; Un cacao polynésien d’exception, qui produit ses arômes grâce à un terroir singulier, primé par le Club des croqueurs de chocolat, une confrérie basée dans l’Hexagone qui regroupe 150 spécialistes du cacao ; Petit portrait d'un éleveur de poules pondeuses bio sur le plateau de Taravao.

  • De nouvelles solutions pour plus d'autonomie alimentaire

    Une activité rare et insolite : la production et la commercialisation de fleurs comestibles ;  Le remu vine, une algue comestible, alternative intéressante aux poissons et autres ressources animales marines  ;  Pour encourager les initiatives allant dans le sens d'une plus grande autonomie alimentaire du fenua, un appel à projets a été lancé le 18 juillet dernier par la Communauté du Pacifique sud (CPS), la Chambre de l’agriculture et de la pêche lagonaire (CAPL) et Food & Cook Lab.

  • Environnement et développement durable : un sujet multi-facettes

    La préservation de l'intégrité écologique du fenua, mais aussi de celle des conditions de vie de ses habitants est multiforme :  Protection de l’environnement marin : Te Mana o te moana a déménagé de Moorea à Tahiti ; Lutte contre les espèces végétales envahissantes pour protéger les orangers de  Punaruu ; Ras le bol des agressions/pollutions sonores à la Presqu'île ;  Transformation du système agro-alimentaire afin de procurer à tous, une alimentation saine, abordable et durable ; Gestion des déchets : cette compétence sera-t-elle transférée des communes au Pays ?

  • Petite revue de presse: l'actualité du développement durable au fenua

    Le RSMA-Pf offre des formations tournées vers les économies vertes et bleues ; Face aux difficultés des communes, le traitement des déchets pourrait bientôt revenir à la charge du Pays ; L’association Tore Tore sensibilise actuellement les enfants scolarisés à Tahiti et Moorea sur l’importance de préserver les requins au fenua ; Portrait : Tehani Withers, une Polynésienne amoureuse de la nature, s'emploie au sein de la SOP Manu à restaurer les habitats de nos oiseaux endémiques ; La question de la souveraineté alimentaire pour les Outre-mer ; À la presqu'île de Tahiti, un espacecollectif de fa'apu pour pour venir en aide aux familles modestes de façon concrète et durable ; Une 'cooking class' pour mettre en valeur les farines locales (‘uru, taro, manioc ou patate douce) ; Environnement et santé : 57 ans après le premier essai nucléaire réalisé à Moruroa, des conséquences toujours bien présentes.

  • Pistes pour un développement durable de la Polynésie

    La protection de la ZEE de Polynésie française et de son Aire marine gérée : sauvegarde des espèces ciblées par la pêche hauturière, protection des écosystèmes profonds préservation des espèces marines emblématiques ; Quelles conditions pour un tourisme durable  ? ; Aéroport et transport aérien : vers un ciel "vert"  ; Un concours sur les variétés de cocotiers ouvert aux professionnels et aux particuliers de la filière coco.

  • Alimentation : deux initiatives "vertes" à découvrir

    Valorisation d'une plante locale : une famille se lance dans la fabrication de "jus 100 % vi tahiti"Le Cesec a installé une structure hydroponique lui permettant de récolter salades, concombres et autres légumes. L'installation est alimentée en énergie solaire par quatre panneaux solaires.

  • Écologie, économie et santé sont liés

    Exploiter le potentiel économique d'une algue envahissante ; Mortalité mystérieuse descrevettes du fenua ; La filière bio locale affiche des pertes ; Une promesse d'avenir pour limiter la transmission des maladies transmises par les moustiques ; L’appel à la concurrence pour réaliser les travaux de la future déchetterie de Tahiti a été lancé; Inondation catastrophique à Teahupoo: nécessité de curer les rivières pour éviter les drames.

  • Développement durable: les dernières news d'avril

    Tourisme: l'arrivée, dans le port de Papeete, de“super-paquebots” source de réactions de la population ; Agriculture: sessions d’information et de formation sur le thème des engrais verts et des auxiliaires de culture dans le cadre du programme PROTEGE ; Consommation: annonce, à partir du 6 mai prochain, de la 6ème édition de l’opération ‘Ete (alternatives artisanales au plastique) ; Transport aérien : un taux minimum de carburants « verts » sera imposé pour les avions au départ du continent européen ; Géopolitique et mondialisation: quid de la biodiversité et des terres rares des fonds marins du Pacifique ?

  • Poules, pucerons et chiens... font aussi l'actualité de l'environnement

    Pour les sauver de l’abattoir, une seconde vie offerte à un maximum de poules pondeuses ; Recrudescence d’attaques des cycas (Cycas revoluta, ou “Sagou du Japon”) par des pucerons nommés “cochenilles” ; Arrivée à Tahiti de trois chiens spécialisés pour renforcer le contrôle de la biosécurité.

  • Énergie, eau, alimentation : dernières news

     ÉNERGIE - L’Observatoire polynésien de l’énergie (OPE) a annoncé la publication du bilan énergétique de la Polynésie française 2021. Le taux de dépendance énergétique reste élevé à 93.9% avec une baisse de 2,3 points du taux de pénétration des énergies renouvelables sur un an, et... 9,5 tonnes d’équivalent carbone par habitant ;  EAU - Convention de financement du « Programme européen d’appui à la gestion durable de l’eau en Polynésie française » et interrogations sur l'eau potable ;  ALIMENTATION - Le marché Matete Natura est de retour : une grande variété de produits locaux, durables, bio et équitables, ainsi qu’une sélection d’artisans et de producteurs locaux

  • Le plan de transition alimentaire 2024-2034 en chantier

    Améliorer la santé de la population et assurer la sécurité et l’autonomie alimentaire, faire de l’alimentation un chantier prioritaire : c'est le programme du Plan de transition alimentaire (PtrA-PF) de la Polynésie française 2024 – 2034. Sa feuille de route liste six objectifs principaux visant à transformer notre système agro-alimentaire afin de procurer à tous une alimentation saine, abordable et durable, utilisant davantage de produits locaux.

  • Des fonds pour développer des projets « durables »

    Fonds de transition énergétique :7,1 milliards de Fcfp sur 4 ans ; Plan stratégie-innovation :120 millions de Fcfp pour la mise en place du projet Nāhiti qui vise à structurer l'écosystème de l'innovation à l'échelle de la Polynésie ;70 millions d’investissements pour le soutien du monde agricole ;3,7 milliards de francs CFP sur la période 2023-2027 pour financer la politique de l’eau du Pays ; Validation du plan de gestion consolidé de la grande AMG Tainui Ātea ; Une enveloppe de 25 millions prévue pour financer l’activité des structures associatives du fenua.

  • Alimenter la population de façon saine, équitable et durable

    Agriculture, biosécurité, solidarité, commerce, quatre piliers du développement de la filière agricole : Deux ans après l’adoption du Schéma directeur de l’agriculture, bilan pour les membres du Comité d’orientation stratégique et de développement agricole ; Mise en place d’un plan de lutte contre le virus de la Tristeza qui attaque les agrumes à Rurutu ;  La Chambre de l’agriculture et de la pêche lagonaire  a offert un kit de potager solidaire à 7 familles de la commune d'Arue ;  La CAPL a organisé  son premier marché du terroir de l’année.

  • Examens en cours et procédures engagées pour un fenua plus durable

     * Bilan du 5ème COPIL PROTEGE pour la construction d'un développement durable et résilient des économies de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française, de Wallis et Futuna et de Pitcairn face au changement climatique ; * Le Label Eco Fenua Engagé proposé par le Club des Entreprises polynésiennes éco-responsables (EPER) ; * Le tourisme durable, thème de la conférence annuelle de Tahiti Tourisme ; * Désormais, les habitations situées en zone bleue ou verte doivent obligatoirement être surélevées ; * À Bora Bora, interdiction permanente de l'usage de la lentille d'eau du motu Terurumi en raison d'une pollution fécale ; * À Arue, poursuite de la polémique autour du projet de New Tahara'a du groupe City ; *La loque américaine, cette maladie qui touche les abeilles, est-elle très répandue à Tahiti ? * Évolution de la liste des substances actives de pesticides ; * Mise à jour des points de mouillage afin de respecter la zone de protection des câbles sous-marins et de préserver les massifs coralliens.

  • Biosécurité, protection animale, déchets, autonomie alimentaire… : des défis à relever

    La Direction de la biosécurité en Polynésie va bientôt recevoir trois chiens détecteurs pour inspecter les marchandises réglementées d’origine végétale et animale ; Suspicion de foyer de loque américaine sur la commune de Arue ; Un arrêté du gouvernement fixe le programme de lutte officielle contre le virus de la Tristeza des agrumes ; Fin de la campagne de stérilisation pour les chiens et chats à Moorea ;+ 50 % de déchets en cette période de fêtes de fin d'année ; Planter des 'uru pour commencer à préparer l’autonomie alimentaire.

  • Noël : occasion d'une prise de conscience ?

    Les fêtes de Noël et du Nouvel-An sont l’occasion de réjouissances familiales et amicales qu’il serait dommage de bouder. Mais, comme Black Friday fin novembre, ces moments de convivialité sont aussi à l’origine de pratiques consommatrices qui ne font que renforcer un modèle économique prédateur de la nature et dont les crises structurelles actuelles montrent qu’à terme il n’est pas viable, écologiquement mais aussi économiquement et socialement. Quid des sapins de Noël importés en plastique...!? Cette revue de presse rappelle la dimension transversale de thématiques que l’on devrait mieux connaître et prendre en compte alors qu’elles concernent notre quotidien.

  • Démarche développement durable : des institutions aux écoles

    Institutions et organismes de recherche souhaitent renforcer le potentiel de développement durable : innovation, pêche artisanale,  tourisme ;Une fondation oeuvre à faire connaitre au grand public les projets de plusieurs associations qui vont dans ce sens ; des écoles se lancent dans le recyclable solidaire ; relance de la filière du café en Polynésie ; Un joailler veut utiliser ses pierres précieuses pour aider à protéger les récifs du Pacifique ; Publication d'un livre pour tenter de changer certaines perspectives et susciter un élan vers une société plus agile et durable

  • Agrumes et chevrettes malades : la biosécurité doit être renforcée

    Les virus chez les plantes  (ou phytoviru), et surtout chez les plantes cultivées, sont responsables de  maladies, que l'on nomme « viroses ».Le virus de la Tristeza des agrumes, jusqu'ici présent uniquement dans l'archipel de la Société, a été détecté à Nuku Hiva et Ua Huka. Il a été apporté, par les airs ou par la mer, par un habitant qui n’a pas respecté l’interdiction d’importer des végétaux en provenance des îles du Vent et des îles Sous-le-VentLa maladie des queues blanches a été détectée sur des prélèvements de chevrettes sauvages d'eau douce à Tahiti. La réglementation du transport de chevrettes au départ de Tahiti modifiée vers toute autre île de la Polynésie française.

  • Construction du plan de transition alimentaire

    Deux initiatives sont engagées pour réduire l’empreinte environnementale de l’agriculture, et rendre accessible une alimentation saine et durable. L'une est institutionnelle : la DAG organise des atelier pour finaliser la construction du plan de transition alimentaire, pour une alimentation accessible financièrement, saine et respectueuse des principes diététiques et enfin durable ; L'autre est le fruit de l'entreprise Ninamu Solutions qui propose un kit pédagogique à destination des établissements scolaires afin de sensibiliser petits et grands à la pratique du compostage, mais aussi à l'auto-suffisance alimentaire.

  • Développement durable : trois filières à suivre

    Trois pistes à suivre pour la mise en place et le suivi de filières de développement durable du fenua : Exploiter l’énergie des vagues pour produire de l’électricité, et produire donc une énergie naturelle et plus propre ; Valorisation du bois local dans le cadre du développement de filières économiques locales et durables ; Transformer notre système alimentaire afin de procurer à tous, une alimentation saine, abordable et durable, utilisant davantage de produits locaux.

  • Nature et culture : une alliance à privilégier

    Opposer nature et culture n’a guère de sens pour les sociétés polynésiennes traditionnelles. Dans la perspective d’un développement ‘’durable’’ du fenua, il est aussi préférable de les associer concrètement. Dans cette revue de presse : la stratégie touristique du Pays, Fāri’ira’a Manihini 2027, pour un tourisme durable ;Dans le dernier BSEO, zoom sur l’atoll de Morane, un site isolé dont les peuplements terrestres et marins sont considérés comme atypiques ; Préservation des valeurs agricoles et culturelles du fenua avec Te tau ‘auhune   matari’i i ni’a ; Les oiseaux ont un rôle important dans les traditions orales du fenua. Encore faut-il les protéger... avec discernement.

  • Bio ou pesticides : la transition en cours

    À Kauehi, dans l'archipel des Tuamotu, l'exemple d'un potager sans engrais ni pesticides a fait l'étonnement des autorités en déplacement pour inaugurer l'abri anti-cyclonique de l'atoll. Son créateur produit jusqu’à 500 kilos de tomates chaque mois... ; Le glyphosate, herbicide puissant mais classé comme cancérigène probable par l'OMS, est désormais interdit à la vente pour les particuliers. Ainsi en a décidé leconseil des ministres du 19 octobre. Mais...les agriculteurs professionnels peuvent encore l'utiliser,  en limitant toutefois la concentration du produit à 36% au lieu de 72% par litre d’eau. 

  • Développement durable : promotion de démarches concrètes et pédagogiques auprès des populations

    Le développement durable et la protection de l’environnement bénéficient d’aides pour la promotion de démarches concrètes et pédagogiques auprès des populations : Présentation des 10 lauréats de l’appel à projets Rahui 2022 pour la protection des ressources lagonaires, avec Pew Bertarelli et la FAPE – Te Ora Naho ; Appel à candidature pour la participation à un Comité Citoyen pour le Climat ; Formation en électroménager pour favoriser l’émergence d’une économie circulaire au fenua avec l’association Ti’ai fenua ; La fondation de la navigatrice Maud Fontenoy et l’association Te Mana O te Moana s’attachent à sensibiliser et éduquer la jeune génération avec un livret pédagogique sur le lien Terre-mer.

  • Le végétal au service de l’homme, source de bien-être

     Le monde végétal est un allié face aux changements climatiques, sa protection favorise la biodiversité et maintien l'intégrité de l’environnement, c'est notre première source nourricière : une nouvelle antenne pour l'agriculture biologique à Raiatea ; une micro-forêt urbaine dans un lycée de Tahiti ; des produits locaux dans les cantines scolaires des communes.

  • 36e Foire agricole : sur le thème « Du fa’a’apu à l’assiette »

    Le “fa'a'apu dans l'assiette”, c'est le thème de la 36e édition de la foire agricole. Un événement “100% local” cette année, puisque toute commercialisation de produits importés a été interdite. Officiellement ouverte depuis jeudi matin (29/09), elle se tient jusqu'au 9 octobre prochain sur le site d'exposition de Outumaoro à Punaauia. Valorisation des produits locaux, une agriculture responsable et de qualité… La Chambre d’agriculture et de la pêche lagonaire (CAPL) organise cette édition avec l’ambition d’accompagner la transition alimentaire du Pays : produire de manière responsable et de qualité, manger mieux et autrement et soutenir le développement des filières de production traditionnelle.

  • Énergie, santé, respect de l'environnement : des solutions novatrices

    Lancement du projet agrisolaire Mahana O’Hiupe à la Presqu’île ; Coral Gardeners projette de planter un million de coraux d’ici 2025 ; signature du label “Commune en Santé” pour 14 communes issues des 5 archipels ; Création d'une brigade verte à Rikitea ; Annonce du prochain Tech4islands Summit pour l’émergence de nouveaux modèles insulaires de développement, durables et résilients ; Le glamping : une activité d'hébergement basée sur l'échange.

  • Pistes pour l'autonomie alimentaire du Fenua

    L'autonomie alimentaire du Fenua passe par la mise en place de nouvelles activités et initiatives : À Arutua, un projet d'agroforesterie unique en Polynésie ; À Moorea, la société civile agricole Hotu Fenua s'est lancée dans la culture de canne à sucre bio ; Les agriculteurs de Tubuai redoublent de vigilance face aux ravages occasionnés par la mouche des fruits ; Des kits de semences maraîchères et fruitières remis aux maires lors du 31ème congrès des communes ; le 'uru intéresse les participants à la 12ème Conférence des dirigeants des îles du Pacifique.

  • Ava-Infos : les revues de presse du fenua durable

    Les différents médias du fenua relaient sur le web des informations concernant le développement durable et la protection de l’environnement qu’ils traitent sur leurs supports respectifs (tv, radio, presse écrite). Mais le flux d’infos étant continu, et ces dernières étant mélangées avec toutes sortes d’autres éclairages (politique, fait divers, culture, etc…), il est important, pour ceux qui s’y intéressent, de pouvoir suivre cette actualité de façon ciblée. Les revues de presse AvA-Infos sont une source d'informations pour les lecteurs exigeants qui ne veulent pas être de simples consommateurs de l'actualité. Elles représentent une base de données établie sur huit années qui peut intéresser les chercheurs et les étudiants qui souhaitent  "creuser" ces sujets.

  • Foire agricole, cantines scolaires, bois de construction : promouvoir la production locale

     Pour son alimentation, le fenua doit tendre vers une plus grande autonomie de production. Idem pour son bois de construction : La 36e Foire agricole ouvrira ses portes fin septembre. Des produits locaux y seront exclusivement proposés afin de favoriser la résilience alimentaire du Pays ; Un marché 100% local à Tubuai ; Promotion des produits locaux dans les cantines scolaires ; Protection agronomique : et si la musique aidait à soigner les plantes ? / danger pour les abeilles: suspicion de loque américaine à Mahina et Moorea ; Implantation d'une scierie à Nuku Hiva qui ambitionne de produire 50% du bois de construction utilisé au fenua.

  • Agriculture et sylviculture : renforcer l’autonomie du fenua

    Que ce soit en contribuant à l'alimentation ou en procurant des matériaux pour la construction, les plantes sont indispensables à la vie humaine. Le maximum d'autosuffisance s'avère nécessaire au développent durable du fenua :  Semences maraichères et fruitières ; carottes des Australes ;  épices ; huile de coco - d'un côté -  arbres d'espèces Pinus et Falcata... de l'autre,  autant de variétés qui peuvent contribuer à la sécurité alimentaire en évitant le gaspillage ou à la la mise en place d’une filière économique viable du bois

  • Autonomie alimentaire, pratique agro-écologique et réinsertion sociale

    L’autonomie alimentaire du pays passe aussi par l’agro-transformation. Trois ateliers spécifiques sont en construction à Raiatea. Des sources d’approvisionnement bienvenues, notamment pour les cantines scolaires ; à Raiatea toujours, afin de leur permettre de concrétiser un projet de réinsertion, l’administration pénitentiaire permet aux détenus présents dans le centre de participer à des ateliers, dont un qui porte sur la permaculture. Une manière pour eux de découvrir une nouvelle conception de la nature à travers une pratique agro-écologique.

  • Facettes du développement durable

    Il y a de multiples manières de contribuer à un développement durable (c-à-d vivable, soutenable et équitable) du fenua. D'abord, se mobiliser pour lutter contre la pollution, souvent fruit de l'inconscience et de l'égoïsme. Favoriser l'autonomie énergétique et l'habitat écologique, contribuer à la promotion d’une meilleure alimentation en sont d'autres facettes. Les news de la semaine.

  • Économie : développer des stratégies de développement vraiment “durables”

    Avec plus de 280 000 habitants dans dix ans, la Polynésie française se doit de développer des solutions qui répondent à un développement vraiment “durable”, c'est-à-dire écologiquement soutenable, économiquement résilient et socialement plus équitable. Alimentation, énergie, transport... doivent être examinés à cette aulne. Le consommateur, en devenant un “consom'acteur” peut aussi poser un geste politique qui, autant qu'un vote, implique son sens de la responsabilité. 

  • Taiarapu-Est donne un avis défavorable au projet de porcherie industrielle

    Le projet de porcherie industrielle à Taravao suscite des inquiétudes depuis quelques mois. Un collectif s’est élevé contre ce projet en organisant notamment une marche à laquelle s’étaient joints plusieurs élus de Taiarapu-Ouest.

  • En bref: parution du n°4 du magazine Tama’a, un numéro 100% bio

    Le n° 4 de Tama’a, « le magazine des amoureux de la Polynésie et de sa gastronomie » est paru récemment dans les kiosques de Tahiti. Dans ce numéro 100% bio, « 100% local, 100% gourmand », 156 pages pour tout apprendre du bio local, des labels, des producteurs, des vins, des bonnes adresses…

  • Projet contesté de porcherie industrielle à Taravao

    Les effluents des porcheries industrielles posent un problème environnemental. Ils constituent de bons engrais mais lorsqu ’ ils sont déversés en trop grande quantité sur les surfaces cultivables, ils polluent les cours d ’ eau et les nappes phréatiques. À Taravao, un projet de plus de 1 800 porcs suscite l’opposition…

  • Des pistes pour une économie polynésienne plus solidaire et “durable”

    Situation économique difficile pour une grande partie de la population, et pourtant gaspillage alimentaire… Gabegie d’emballages, production alimentaire locale insuffisante… Sommes-nous prêts aujourd’hui à relever ces défis ? Des solutions émergent pour faire face à ces aberrations et contribuer à l’édification d’une économie résiliente. 

  • Les produits agricoles vendus comme "bio" doivent être garantis ou certifiés

    Une conférence de presse a été organisée, le 25 avril à la Direction de l’agriculture, afin de rappeler au public, via les médias, la réglementation concernant l’affichage du “bio” en Polynésie française. Ce terme, qui est l’expression d’un label, y est en effet encadré de manière précise et aucun producteur ne peut l’employer sans avoir fait l’objet d’une garantie ou d’une certification.

  • Produire local et plus sain

    La teneur en pesticides des produits agricoles locaux, en 2005, avait suscité l’inquiétude des consommateurs. Aujourd’hui, la politique agricole du Pays étant tournée vers le “produire et consommer local”, semble aller de pair avec le développement de pratiques plus respectueuses de l’environnement et de la santé.

  • Le ‘uru et la banane à l’honneur

    Le Festival du ‘Uru et de la Banane s’est déroulé du 15 au 17 mars, à la Maison de la culture, à Papeete. L’occasion de découvrir en un même lieu les produits dérivés de l’arbre à pain. Mais aussi, de valoriser l’ensemble du patrimoine végétal et culinaire traditionnel polynésien. 

  • Alimentation : Petite revue de presse de février

     

    Voici les titres d'articles repérés dans la presse locale en ligne, en février 2017, concernant plus particulièrement la problématique de l'alimentations : problèmes et réactions. Quelques solutions… les liens mènent aux sites émetteurs.

  • Petite revue de presse centrée autour de l’agriculture et de l’alimentation

    Agriculture : Sortie d’un guide pratique d’agriculture naturelle, portraits d’agriculteurs bio, lutte biologique pour protéger les légumes. Alimentation : portrait de Hereiti qui partage ses recettes « vegan » en photo et vidéo sur Facebook et Instagram ; un concours de recettes autour de produits du fenua.

     

  • Petite revue de presse centrée sur l'économie et l'énergie

    Selon la commission Brundtland, le développement durable correspond à un mode de développement économique qui permet de satisfaire les besoins des générations présentes sans mettre en cause la satisfaction des besoins de générations futures. La production locale, l'agriculture biologique, la priorité donnée aux énergies propres et renouvelables, l'écotourisme… participent de ce concept. Voici une sélection d'articles issus de la presse locale du mois de novembre et s'intéressant à ces thématiques. Ils sont classés par ordre chronologique de parution.

  • Ateliers régionaux d'agriculture biologique à Moorea

    Du 29 octobre au 4 novembre, ont été organisés à Moorea les 2e Ateliers régionaux d'agriculture biologique. Un travail commun entre des acteurs de Nouvelle-Calédonie, Wallis & Futuna et la Polynésie française a permis de renforcer une synergie entre ces trois collectivités françaises d'outre-mer pour le développement du bio.

  • Biodiversité : coccinelles v/s fourmis et moustiques

    La biodiversité animale et la biodiversité végétale sont étroitement liées. Les insectes y ont une grande part. Pour autant, ils n'ont pas tous le même rôle. L'humain, en bon jardinier doit pouvoir coopérer avec les unes sans se laisser agresser par les autres. Sans pour autant non plus utiliser l'arme lourde de la chimie, préjudiciable à la santé et à l'environnement…

  • Appel aux dons pour construire le "Village des alternatives"

    L’association Colibris Tahiti est en pleine préparation d’Alternatiba Tahiti, le Village des alternatives du Fenua, seconde édition, qui aura lieu le samedi 14 novembre à la mairie de Punaauia. Elle lance un appel aux dons afin d’assurer le bon déroulement de cet événement qui est, rappelons-le entièrement citoyen et bénévole. Alternatiba Tahiti, c'est plus de 50 stands, des conférences, des ateliers, des concerts, un espace de création artistique, un grand maa participatif... et plein d'autres choses...

  • Grand succès du ma'a bio organisé par le SPG BioFetia

    Le système participatif de garantie (SPG) BioFetia  a organisé, dimanche 12 juillet au restaurant du Musée Gauguin de Papeari, la 3e édition de son buffet annuel. Un dîner-buffet “saveurs bio et ma’a tahiti” pour combler les papilles gustatives tout en apportant des informations sur la “planète bio” en développement dans le monde et en Polynésie. Plus de 150 personnes ont participé à ce ma'a Tahiti  préparé à partir des produits des agriculteurs de l'association. Le repas a également été l'occasion de deux présentations : "les risques des pesticides sur la santé humaine" par le Dr Stéphane Darteyre et "les principes de la permaculture", par Jonathan Cunéo.                                                                          

  • "Dans mon faapu" se positionne comme force de proposition auprès des communes

    Le contact avec Mahina a été établi depuis quelques mois par "Dans mon faapu", et trouve un premier aboutissement dans quatre propositions faites à la commune. « Pour que Mahina, ville d’histoire, ville d’avenir, redevienne phare d’abondance ».

  • La ministre de l'Écologie, Ségolène Royal, se prononce pour l'interdiction dans les jardineries du Roundup, de Monsanto

    La ministre française de l'Ecologie, Ségolène Royal, a annoncé dimanche 14 juin sur France 3 l'interdiction de la vente en libre service dans les jardineries du Roundup afin de lutter contre les effets néfastes des pesticides. Quid de la Polynésie française ? Ce désherbant vedette de Monsanto était présenté en février dernier par le ministre local de l'Agriculture comme un... substitut possible au paraquat, autre pesticide désormais interdit d'importation mais dont les commerçants sont autorisés à écouler les stocks existants !

  • Marches contre les OGM dans le monde et à Tahiti

    Le collectif citoyen Gaya Origin a organisé samedi une randonnée découverte de la vallée de Tipaerui, à Papeete. L'occasion de découvrir les richesses naturelles de l'amont d'une vallée très industrialisée dans sa partie basse. Et de participer au mouvement mondial engagé contre la multinationale de la chimie des pesticides ainsi que des OGM, Monsanto.

  • Pour l’interdiction du Roundup : mobilisation citoyenne contre le lobbying d’une multinationale

    Il y a un mois, l’agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonçait avoir classé plusieurs pesticides comme « cancérogènes probables ». Une pétition a été lancée par l’association Agir pour l’Environnement pour interpeller les ministres européens de l'agriculture, de l'environnement et de la santé de l’Europe sur les dangers sur Roundup et interdire son utilisation en France. Une autre est aussi en ligne, lancée sur Avaaz.  

  • Bora Bora veut promouvoir une agriculture moins polluante

    La municipalité de Bora-Bora encourage les jeunes à cultiver en se basant sur le calendrier lunaire et l’agro biologie. Un nouveau groupe de jeunes demandeurs d’emploi de l’île suit un stage de formation à l’agriculture « 100% naturelle ».

     

  • Initiation à l’agriculture naturelle à Faa’a

    La commune de Faa’a organise régulièrement des sessions d’initiation à « l’agriculture naturelle ». Elle en est actuellement à sa troisième session. Après les cours théoriques, la pratique.

  • Cinq pesticides classés cancérogènes « probables » par l’OMS

    Cinq pesticides viennent d’être classés cancérogènes "probables" ou "possibles" pour l'homme par l'agence du cancer de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Parmi eux, le glyphosate, qui est notamment la substance active du Roundup, l'un des herbicides les plus vendus sur la planète.                                                                                                                                                  

  • Le Salon de l'agriculture de Paris s'ouvre (enfin) à l'agro-écologie

    Le Salon International de l’Agriculture, qui ouvre ses portes le samedi 21 février Porte de Versailles, a été placé sous le signe de l’agroécologie. Le temps est-il venu d'affirmer que production économiquement viable et responsabilité environnementale et sociale doivent marcher de pair ? Nos choix alimentaires ont une incidence sur la santé, bien sûr, mais aussi sur l'environnement et l'économie.

  • Le SPG BioFetia recrute un technicien en agriculture biologique pour effectuer le suivi d'une ferme pilote à Moorea

    Le SPG Bio Fetia vient de passer une offre d'emploi au SEFI pour recruter un technicien en agriculture avec des compétences en agriculture biologique afin d'assurer le suivi de parcelles d'essai et de parcelles pilote au sein d'une ferme pilote bio à Moorea, dans le cadre du projet INTEGRE, un programme de développement durable commun à quatre territoires français de la région Pacifique.

  • À Moorea, les algues invasives nourrissent le compost du lycée agricole

    Lors d'une opération de nettoyage du littoral, les élèves de la seconde professionnelle nature, jardins, paysages et forêts (NJPF) et de la seconde générale et technologique du lycée agricole de Opunohuo (Moorea) ont fait coup double. Ils ont également arraché les algues invasives Turbinaria ornata, qui colonisent les massifs coralliens du récif frangeant, limitant le bourgeonnement spontané des coraux.

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